Poème:Je T’aimais Tellement ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

Je t’aimais tellement !
Tu étais mon premier amour
Je pensais que cet amour durerait toujours
Je t’aimais infiniment
Je t’aimais tellement !
Tu étais mon premier amour
Je pensais que cet amour durerait toujours
Je t’aimais infiniment
Jamais je n’aurai pensé prendre un amant
Mais toi tu ne t’es pas gêné
Sans rancune tu m’as trompé
Tu as pris un maîtresse
A ce moment je ne comprenais pas ta détresse
Tu avais besoin d’une amie
Et non d’une chérie
Une amie pour comprendre tes problèmes
Une amie qui reste toujours la même
Alors je t’ai quitté
Et je ne l’ai pas regretté
On est redevenu amis
Tu m’as dit tous tes ennuis
J’ai compris que tu n’étais pas bien
Que tu avais besoin d’un coup de main
Mais je n’ai pas su t’aider
Je n’ai pas réussi à te réconforter
Quand je suis arrivée dans ton appartement ce soir là
Que tu ne bougeais plus sur ton matelas
J’ai d’abord cru que tu dormais
Je te secouais
Tu ne réagissais pas
Je m’affolais
Je ne me reprenais pas
J’ai lu la lettre que tu m’avais laissé
Les raisons pour lesquelles tu t’étais suicidé
J’ai lu aussi les lignes qui me concernaient
Sur notre amour qui renaissait
Tu me disais…
« Toi et tes grands yeux
Ton petit air mystérieux
Tes cheveux bouclés
Qui se tortillaient au vent
Vous m’avez souvent
Donné l’envie de continué
Mais le malheur me rattrapa
La misère s’acharna
Jusqu’à ce que je ne puisse plus respirer
Jusqu’à ce que mon cœur se fut arrêté »
En lisant ces quelques mots reliés
Sur mes joues des larmes se sont misent a coulé
Les larmes ne s’arrêtaient plus
Dehors il pleuvait comme il n’avait jamais plu
Sur ton corps refroidi
Je posais la tête et m’endormi
En sentant en moi ce vide qui s’était formé
Mais tout contre toi je me sentais réconforter
Je me sentais vivre
Mais ou tu vas je ne peux te suivre
Alors je t’ai laissé glisser
Je t’ai laissé t’en aller
Mais sache que je t’ai toujours aimé
Et qu’un jour je te rejoindrai
Jamais je n’aurai pensé prendre un amant
Mais toi tu ne t’es pas gêné
Sans rancune tu m’as trompé
Tu as pris une maîtresse
A ce moment je ne comprenais pas ta détresse
Tu avais besoin d’une amie
Et non d’une chérie
Une amie pour comprendre tes problèmes
Une amie qui reste toujours la même
Alors je t’ai quitté
Et je ne l’ai pas regretté
On est redevenu amis
Tu m’as dit tous tes ennuis
J’ai compris que tu n’étais pas bien
Que tu avais besoin d’un coup de main
Mais je n’ai pas su t’aider
Je n’ai pas réussi à te réconforter
Quand je suis arrivée dans ton appartement ce soir là
Que tu ne bougeais plus sur ton matelas
J’ai d’abord cru que tu dormais
Je te secouais
Tu ne réagissais pas
Je m’affolais
Je ne me reprenais pas
J’ai lu la lettre que tu m’avais laissé
Les raisons pour lesquelles tu t’étais suicidé
J’ai lu aussi les lignes qui me concernaient
Sur notre amour qui renaissait
Tu me disais…
« Toi et tes grands yeux
Ton petit air mystérieux
Tes cheveux bouclés
Qui se tortillaient au vent
Vous m’avez souvent
Donné l’envie de continué
Mais le malheur me rattrapa
La misère s’acharna
Jusqu’à ce que je ne puisse plus respirer
Jusqu’à ce que mon cœur se fut arrêté »
En lisant ces quelques mots reliés
Sur mes joues des larmes se sont misent a coulé
Les larmes ne s’arrêtaient plus
Dehors il pleuvait comme il n’avait jamais plu
Sur ton corps refroidi
Je posais la tête et m’endormi
En sentant en moi ce vide qui s’était formé
Mais tout contre toi je me sentais réconforter
Je me sentais vivre
Mais ou tu vas je ne peux te suivre
Alors je t’ai laissé glisser
Je t’ai laissé t’en aller
Mais sache que je t’ai toujours aimé
Et qu’un jour je te rejoindrai