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Poème:Un Tryptique Textuel

Le Poème

LE CHANT DES SIRENES
La religion vide les hommes et séquestre les esprits. Elle évite l’âme et empoisonne les cœurs, et d’un doux poignard impalpable assassine les candeurs. Elle rompt avec l’humain, fondant dans son corps plomb et airain, et faisant des mains de l’homme un triste lendemain, sans vergogne.
Elle bâtit des châteaux de quartz et des piédestals, en métal, des postures de bronzes et des allures de bonzes. Et de chaque élan animal, elle prétend la cavale, de l’homme vers le péché, les versets au gosier. Elle est le triste vers des âmes poétesses sans inspiration. Elle est l’odieuse raison des hommes privés de rire et de maison. Elle insuffle dans l’air des vapeurs moisies. Des fumées bétonnées et des lueurs jolies.
Elle tente ! la religion. Mais pour chaque estampe c’est le même crayon. Et pour chaque hiver la même lamentation. Et pour chaque été la même folle abjection. Tissant des remparts de soie invisibles, elle prétend que le commun du lard est sa bible. Grotesque délire et indigne élixir ! Pourtant des plus nobles selon certains, quitte à choisir dieu autant choisir l’humain ! mais ces irrévérencieux opportuns préfèrent les frontières aux coups de surins.
Et même le ciel dégringole, de toutes ces pierres et de tout ce bitume, de ces barbelés à la brillance prétentieuse, et de ces bunkers aux parures de plumes. Il serait temps que l’homme en fasse de même, car grave comme l’océan et sourd comme un domaine, la religion méprise le sang et la nage des sirènes.
RIRE
Je pense qu’on ne peut pas rire des choses sans forcément s’en moquer un peu ; quelqu’un d’intelligent ne se sentira pas vexé ni humilié. En revanche, quelqu’un qui sacralise sa religion, à un point même de la mettre au dessus de tout, y compris au dessus de la démocratie et de la liberté d’expression, sera susceptible, et deviendra con. Et donc il réagira connement.
Et pourquoi il la met au dessus de tout d’ailleurs ? Parce qu’en fait il doute de lui, il ne s’aime pas, il sait très bien qu’il est critiquable et risible, un peu arriéré et ringard. Donc il met sa religion en avant, et au dessus de tout pour impressionner, et empêcher les autres de voir la vérité. Mais en fait c’est une posture de faible, qui n’en fait qu’à sa tête. Si l’islam était remis en question un jour, ou plus précisément si certains musulmans (voire certains pays tout entier) se remettaient en question, alors ces musulmans, et ces pays basculeraient dans la liberté. Et la liberté ça les fait flipper. Parce que cela insinuerait une dissolution partielle de leurs traditions. Et un mode de vie libertaire, un peu comme en Tunisie, et d’ailleurs on le voit très bien : après la révolution du printemps, la Tunisie semble rebasculer dans l’extrémisme.
Le monde islamiste et le monde occidental semblent être diamétralement opposés. Le monde islamiste veut, malgré tout, ressembler à son frère, le monde occidental. Il le désire en secret. Mais il culpabilise, car il a peur de dire au revoir à son passé. Alors, Monde Musulman, n’aie pas peur d’évoluer ; si tu as peur tu n’y gagneras rien que de la haine et de la régression, mais si tu n’as pas peur, alors tu seras libre.
LE SILENCE DU SEIGNEUR
L’agnosticisme vide habite finalement les Grands de ce monde. Les clochards miteux de la politique de surface, les fieffés enfiévrés de leur propre merde, les dictateurs paresseux, délayés d’ailleurs dans le diktat du système, les affections désaffectées pour sacs d’aspirateur, et les freluquets froqués jusque dans leur douche. Il faut bien nourrir et abreuver les mouches. Il faut bien baiser, et triompher au-delà même de l’orgasme. Et ces phasmes magmatiques, organisant toute l’existence, d’une manière mathématique se torchent, systématiquement, avec le sang du peuple.
Endémiques à nos îles d’amour, ils nous persuadent et nous convainquent de chérir nos propres chimères. Et nous, à notre tour, nous acceptons l’endroit sans le revers, le vice sans le versa, et nous nous laissons ensevelir doucement, par la bien-pensance nauséabonde, en ne nous accordant pas le droit de faire flancher la faiblesse. Partout, la même uniformité tombe et gronde, comme l’averse a ses fantasmes, et comme un tonnerre sonore, comme un feu brûlant, comme un océan qui mouille, nous collons à nous-mêmes, évidemment.
Déversant sa trique intrinquable, sans satiété et sans appétit, l’absolue évidence est la mouvance des insaisissables. Jamais ceux-ci ne se posent réellement, faisant. S’éclipseraient-ils pour autant ? Car echappant à la loi, fidèles à la justice, et délirant même le délire ressemble à quelque chose ces gueux pétés de tout éclatent, demeurent et perdurent, comme des proses ramassés, comme des ramassis écarlates. N’ont-ils pas conscience qu’ils peuvent encore pleurer ? Ne sont-ils pas au courant de leurs peurs avortées ? Et pourtant, depuis des lustres ils ne pleurent plus et ils n’ont plus peur.
Le peuple misérable, et aimé des detritus vous salue. Vos gens n’ont apparemment pas perdu le sens de l’erreur. Et pendant que Vous sucez, l’âme lourde, les dernières merdes de vos cœurs qui puent, Le Peuple ramasse par terre Votre PQ, tentant d’y trouver… même de l’amour.
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Poeme de Pendantce

Poète Pendantce

Pendantce a publié sur le site 1 écrit. Pendantce est membre du site depuis l'année 2013.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Un Tryptique Textuelle=chant=des=si=renes 5
la=re=li=gion=vi=de=les=hom=mes=et=sé=ques=tre=les=es=prits=el=le=é=vi=te=lâ=me=et=em=poi=son=ne=les=cœurs=et=dun=doux=poi=gnard=im=pal=pa=ble=as=sas=si=ne=les=can=deurs=el=le=rompt=a=vec=l=hu=main=fon=dant=dans=son=corps=plomb=et=ai=rain=et=fai=sant=des=mains=de=l=hom=me=un=tris=te=len=de=main=sans=ver=go=gne 82
elle=bâ=tit=des=châ=teaux=de=quartz=et=des=pi=édes=tals=en=mé=tal=des=pos=tu=res=de=bron=zes=et=des=al=lu=res=de=bonzes=et=de=cha=queé=lan=a=ni=mal=el=le=pré=tend=la=ca=va=le=de=lhom=me=vers=le=pé=ché=les=ver=sets=au=go=sier=el=le=est=le=tris=te=vers=des=â=mes=poé=tes=ses=sans=ins=pi=ra=tion=el=le=est=lo=dieu=se=rai=son=des=hom=mes=pri=vés=de=ri=re=et=de=mai=son=el=le=in=suf=fle=dans=lair=des=va=peurs=moi=sies=des=fu=mées=bé=ton=nées=et=des=lueurs=jo=lies 120
elle=tente=la=re=li=gion=mais=pour=cha=que=es=tam=pe=cest=le=mê=me=crayon=et=pour=cha=que=hi=ver=la=mê=me=la=men=ta=tion=et=pour=cha=que=é=té=la=mê=me=fol=le=ab=jec=tion=tis=sant=des=rem=parts=de=soie=in=vi=si=bles=el=le=pré=tend=que=le=com=mun=du=lard=est=sa=bible=gro=tes=que=dé=li=re=et=in=di=gne=é=li=xir=pour=tant=des=plus=no=bles=se=lon=cer=tains=quit=te=à=choi=sir=dieu=au=tant=choi=sir=lhu=main=mais=ces=ir=ré=vé=ren=cieux=op=por=tuns=pré=fè=rent=les=fron=tiè=res=aux=coups=de=su=rins 126
et=mê=me=le=ciel=dé=grin=go=le=de=tou=tes=ces=pi=er=res=et=de=tout=ce=bi=tu=me=de=ces=bar=be=lés=à=la=brillan=ce=pré=ten=tieu=se=et=de=ces=bun=kers=aux=pa=ru=res=de=plu=mes=il=se=rait=temps=que=l=hom=me=en=fas=se=de=mê=me=car=gra=ve=com=me=lo=cé=an=et=sourd=com=me=un=do=mai=ne=la=re=li=gi=on=mé=pri=se=le=sang=et=la=na=ge=des=si=rè=nes 96
ri=re 2
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et=pour=quoi=il=la=met=au=des=sus=de=tout=dailleurs=par=ce=quen=fait=il=doute=de=lui=il=ne=sai=me=pas=il=sait=très=bien=quil=est=cri=ti=qua=bleet=ri=si=ble=un=peu=ar=rié=ré=et=rin=gard=donc=il=met=sa=re=li=gion=en=a=vant=et=au=des=sus=de=tout=pour=im=pres=sion=ner=et=em=pê=cher=les=au=tres=de=voir=la=vé=ri=té=mais=en=fait=cest=u=ne=pos=tu=re=de=fai=ble=qui=nen=fait=quà=sa=tê=te=si=lis=lam=é=tait=re=mis=en=ques=tion=un=jour=ou=plus=pré=ci=sé=ment=si=cer=tains=mu=sul=mans=voi=re=cer=tains=pa=ys=tout=en=tier=se=re=met=taient=en=ques=tion=a=lors=ces=mu=sul=mans=et=ces=pa=ys=bas=cu=le=raient=dans=la=li=ber=té=et=la=li=ber=té=ça=les=fait=flip=per=par=ce=que=ce=la=in=si=nue=rait=u=ne=dis=so=lu=ti=on=par=tiel=le=de=leurs=tra=di=tions=et=un=mo=de=de=vie=li=ber=tai=re=un=peu=com=me=en=tu=ni=sie=et=dail=leurs=on=le=voit=très=bien=a=près=la=ré=vo=lu=ti=on=du=prin=temps=la=tu=ni=sie=sem=ble=re=bas=cu=ler=dans=lex=tré=misme 243
le=mon=de=is=la=mis=te=et=le=mon=de=oc=ci=den=tal=sem=blent=ê=tre=dia=mé=tra=le=ment=op=po=sés=le=mon=de=is=la=mis=te=veut=mal=gré=tout=res=sem=bler=à=son=frè=re=le=mon=de=oc=ci=den=tal=il=le=dé=si=re=en=se=cret=mais=il=cul=pa=bi=li=se=car=il=a=peur=de=di=re=au=re=voir=à=son=pas=sé=alors=mon=de=mu=sul=man=naie=pas=peur=dé=vo=luer=si=tu=as=peur=tu=ny=ga=gne=ras=rien=que=de=la=hai=ne=et=de=la=ré=gres=sion=mais=si=tu=nas=pas=peur=a=lors=tu=se=ras=libre 126
le=si=len=ce=du=sei=gneur 7
lag=nos=ti=cisme=vi=de=ha=bi=te=fi=na=le=ment=les=grands=de=ce=monde=les=clo=chards=mi=teux=de=la=po=li=ti=que=de=sur=fa=ce=les=fief=fés=en=fié=vrés=de=leur=pro=pre=mer=de=les=dic=ta=teurs=pa=res=seux=dé=layés=dailleurs=dans=le=dik=tat=du=sys=tè=me=les=af=fec=tions=dé=saf=fec=tées=pour=sacs=das=pi=ra=teur=et=les=fre=lu=quets=fro=qués=jus=que=dans=leur=douche=il=faut=bien=nour=rir=et=a=breu=ver=les=mouches=il=faut=bien=bai=ser=et=triom=pher=au=de=là=mê=me=de=lor=gasme=et=ces=phas=mes=mag=ma=ti=ques=or=ga=ni=sant=tou=te=lexis=ten=ce=du=ne=ma=niè=re=ma=thé=ma=ti=que=se=tor=chent=sys=té=ma=ti=que=ment=a=vec=le=sang=du=peuple 158
en=dé=mi=ques=à=nos=îles=da=mour=ils=nous=per=sua=dent=et=nous=con=vain=quent=de=ché=rir=nos=pro=pres=chi=mères=et=nous=à=no=tre=tour=nous=ac=cep=tons=len=droit=sans=le=re=vers=le=vi=ce=sans=le=ver=sa=et=nous=nous=lais=sons=en=se=ve=lir=dou=ce=ment=par=la=bien=pen=san=ce=nau=sé=a=bon=de=en=ne=nous=ac=cor=dant=pas=le=droit=de=fai=re=flan=cher=la=fai=blesse=par=tout=la=mê=meu=ni=for=mi=té=tom=be=et=gron=de=com=me=la=ver=se=a=ses=fan=tas=mes=et=com=me=un=ton=ner=re=so=no=re=com=me=un=feu=brû=lant=com=me=un=o=cé=an=qui=mouille=nous=col=lons=à=nous=mê=mes=é=vi=dem=ment 149
dé=ver=sant=sa=tri=quein=trin=quable=sans=sa=tié=té=et=sans=ap=pé=tit=lab=so=lue=é=vi=den=ce=est=la=mou=van=ce=des=in=sai=sis=sables=ja=mais=ceux=ci=ne=se=po=sent=réel=le=ment=fai=sant=sé=clip=se=raient=tils=pour=au=tant=car=e=chap=pant=à=la=loi=fi=dè=les=à=la=jus=ti=ce=et=dé=li=rant=sou=li=gné=mê=me=le=dé=li=re=res=sem=ble=à=quel=que=cho=se=sou=li=gné=ces=gueux=pé=tés=de=tout=é=cla=tent=de=meu=rent=et=per=du=rent=com=me=des=pro=ses=ra=mas=sés=com=me=des=ra=mas=sis=é=car=lates=nont=tils=pas=cons=cien=ce=quils=peu=vent=en=co=re=pleu=rer=ne=sont=tils=pas=au=cou=rant=de=leurs=peurs=a=vor=tées=et=pour=tant=de=puis=des=lus=tres=ils=ne=pleu=rent=plus=et=ils=nont=plus=peur 172
le=peu=ple=mi=sé=ra=ble=et=ai=mé=des=de=tri=tus=vous=sa=lue=vos=gens=nont=ap=pa=rem=ment=pas=per=du=le=sens=de=ler=reur=et=pen=dant=que=vous=su=cez=lâ=me=lour=de=les=der=ni=è=res=mer=des=de=vos=cœurs=qui=puent=le=peu=ple=ra=mas=se=par=ter=re=vo=tre=p=q=ten=tant=dy=trou=ver=mê=me=de=la=mour 78
Phonétique : Un Tryptique Textuellə ʃɑ̃ dε siʁənə
la ʁəliʒjɔ̃ vidə lεz- ɔməz- e sekεstʁə lεz- εspʁi. εllə evitə lamə e ɑ̃pwazɔnə lε kœʁ, e dœ̃ du pwaɲaʁ ɛ̃palpablə asasinə lε kɑ̃dœʁ. εllə ʁɔ̃ avεk lymɛ̃, fɔ̃dɑ̃ dɑ̃ sɔ̃ kɔʁ plɔ̃ e εʁɛ̃, e fəzɑ̃ dε mɛ̃ də lɔmə œ̃ tʁistə lɑ̃dəmɛ̃, sɑ̃ vεʁɡɔɲə.
εllə bati dε ʃato də kaʁts e dε pjedεstal, ɑ̃ metal, dε pɔstyʁə də bʁɔ̃zəz- e dεz- alyʁə də bɔ̃zə. e də ʃakə elɑ̃ animal, εllə pʁetɑ̃ la kavalə, də lɔmə vεʁ lə peʃe, lε vεʁsεz- o ɡozje. εllə ε lə tʁistə vεʁ dεz- amə pɔetesə sɑ̃z- ɛ̃spiʁasjɔ̃. εllə ε lɔdjøzə ʁεzɔ̃ dεz- ɔmə pʁive də ʁiʁə e də mεzɔ̃. εllə ɛ̃syflə dɑ̃ lεʁ dε vapœʁ mwazi. dε fyme betɔnez- e dε lɥœʁ ʒɔli.
εllə tɑ̃tə ! la ʁəliʒjɔ̃. mε puʁ ʃakə εstɑ̃pə sε lə mεmə kʁεjɔ̃. e puʁ ʃakə ivεʁ la mεmə lamɑ̃tasjɔ̃. e puʁ ʃakə ete la mεmə fɔlə abʒεksjɔ̃. tisɑ̃ dε ʁɑ̃paʁ də swa ɛ̃viziblə, εllə pʁetɑ̃ kə lə kɔmœ̃ dy laʁ ε sa biblə. ɡʁɔtεskə deliʁə e ɛ̃diɲə eliksiʁ ! puʁtɑ̃ dε plys nɔblə səlɔ̃ sεʁtɛ̃, kitə a ʃwaziʁ djø otɑ̃ ʃwaziʁ lymɛ̃ ! mε sεz- iʁeveʁɑ̃sjøz- ɔpɔʁtœ̃ pʁefεʁe lε fʁɔ̃tjεʁəz- o ku də syʁɛ̃.
e mεmə lə sjεl deɡʁɛ̃ɡɔlə, də tutə sε pjeʁəz- e də tu sə bitymə, də sε baʁbəlez- a la bʁijɑ̃sə pʁetɑ̃tjøzə, e də sε bœ̃kez- o paʁyʁə də plymə. il səʁε tɑ̃ kə lɔmə ɑ̃ fasə də mεmə, kaʁ ɡʁavə kɔmə lɔseɑ̃ e suʁ kɔmə œ̃ dɔmεnə, la ʁəliʒjɔ̃ mepʁizə lə sɑ̃ e la naʒə dε siʁεnə.
ʁiʁə
ʒə pɑ̃sə kɔ̃ nə pø pa ʁiʁə dε ʃozə sɑ̃ fɔʁsemɑ̃ sɑ̃ mɔke œ̃ pø, kεlkœ̃ dɛ̃tεlliʒe nə sə sɑ̃tiʁa pa vεkse ni ymilje. ɑ̃ ʁəvɑ̃ʃə, kεlkœ̃ ki sakʁalizə sa ʁəliʒjɔ̃, a œ̃ pwɛ̃ mεmə də la mεtʁə o dəsy də tu, i kɔ̃pʁiz- o dəsy də la demɔkʁasi e də la libεʁte dεkspʁesjɔ̃, səʁa sysεptiblə, e dəvjɛ̃dʁa kɔ̃. e dɔ̃k il ʁeaʒiʁa kɔnəmɑ̃.
e puʁkwa il la mεt o dəsy də tu dajœʁ ? paʁsə kɑ̃ fε il dutə də lɥi, il nə sεmə pa, il sε tʁε bjɛ̃ kil ε kʁitikablə e ʁiziblə, œ̃ pø aʁjeʁe e ʁɛ̃ɡaʁ. dɔ̃k il mεt sa ʁəliʒjɔ̃ ɑ̃n- avɑ̃, e o dəsy də tu puʁ ɛ̃pʁesjɔne, e ɑ̃pεʃe lεz- otʁə- də vwaʁ la veʁite. mεz- ɑ̃ fε sεt- ynə pɔstyʁə də fεblə, ki nɑ̃ fε ka sa tεtə. si lislam etε ʁəmiz- ɑ̃ kεstjɔ̃ œ̃ ʒuʁ, u plys pʁesizemɑ̃ si sεʁtɛ̃ myzylmɑ̃s (vwaʁə sεʁtɛ̃ pεi tut- ɑ̃tjəʁ) sə ʁəmεtε ɑ̃ kεstjɔ̃, alɔʁ sε myzylmɑ̃, e sε pεi baskyləʁε dɑ̃ la libεʁte. e la libεʁte sa lε fε flipe. paʁsə kə səla ɛ̃sinɥəʁε ynə disɔlysjɔ̃ paʁsjεllə də lœʁ tʁadisjɔ̃. e œ̃ mɔdə də vi libεʁtεʁə, œ̃ pø kɔmə ɑ̃ tynizi, e dajœʁz- ɔ̃ lə vwa tʁε bjɛ̃ : apʁε la ʁevɔlysjɔ̃ dy pʁɛ̃tɑ̃, la tynizi sɑ̃blə ʁəbaskyle dɑ̃ lεkstʁemismə.
lə mɔ̃də islamistə e lə mɔ̃də ɔksidɑ̃tal sɑ̃ble εtʁə djametʁaləmɑ̃ ɔpoze. lə mɔ̃də islamistə vø, malɡʁe tu, ʁəsɑ̃ble a sɔ̃ fʁεʁə, lə mɔ̃də ɔksidɑ̃tal. il lə deziʁə ɑ̃ sεkʁε. mεz- il kylpabilizə, kaʁ il a pœʁ də diʁə o ʁəvwaʁ a sɔ̃ pase. alɔʁ, mɔ̃də myzylmɑ̃, nε pa pœʁ devɔlɥe, si ty a pœʁ ty ni ɡaɲəʁa ʁjɛ̃ kə də la-εnə e də la ʁeɡʁesjɔ̃, mε si ty na pa pœʁ, alɔʁ ty səʁa libʁə.
lə silɑ̃sə dy sεɲœʁ
laɲɔstisismə vidə-abitə finaləmɑ̃ lε ɡʁɑ̃ də sə mɔ̃də. lε kloʃaʁd mitø də la pɔlitikə də syʁfasə, lε fjefez- ɑ̃fjevʁe də lœʁ pʁɔpʁə mεʁdə, lε diktatœʁ paʁesø, delεje dajœʁ dɑ̃ lə dikta dy sistεmə, lεz- afεksjɔ̃ dezafεkte puʁ sak daspiʁatœʁ, e lε fʁəlykε fʁɔke ʒyskə dɑ̃ lœʁ duʃə. il fo bjɛ̃ nuʁʁiʁ e abʁəve lε muʃə. il fo bjɛ̃ bεze, e tʁjɔ̃fe o dəla mεmə də lɔʁɡasmə. e sε fasmə maɡmatik, ɔʁɡanizɑ̃ tutə lεɡzistɑ̃sə, dynə manjεʁə matematikə sə tɔʁʃe, sistematikəmɑ̃, avεk lə sɑ̃ dy pəplə.
ɑ̃demikz- a noz- ilə damuʁ, il nu pεʁsɥade e nu kɔ̃vɛ̃ke də ʃeʁiʁ no pʁɔpʁə- ʃimεʁə. e nu, a nɔtʁə tuʁ, nuz- aksεptɔ̃ lɑ̃dʁwa sɑ̃ lə ʁəve, lə visə sɑ̃ lə vεʁsa, e nu nu lεsɔ̃z- ɑ̃səvəliʁ dusəmɑ̃, paʁ la bjɛ̃ pɑ̃sɑ̃sə nozeabɔ̃də, ɑ̃ nə nuz- akɔʁdɑ̃ pa lə dʁwa də fεʁə flɑ̃ʃe la fεblεsə. paʁtu, la mεmə ynifɔʁmite tɔ̃bə e ɡʁɔ̃də, kɔmə lavεʁsə a sε fɑ̃tasmə, e kɔmə œ̃ tɔneʁə sonoʁə, kɔmə œ̃ fø bʁylɑ̃, kɔmə œ̃n- ɔseɑ̃ ki mujə, nu kɔlɔ̃z- a nu mεmə, evidamɑ̃.
devεʁsɑ̃ sa tʁikə ɛ̃tʁɛ̃kablə, sɑ̃ satjete e sɑ̃z- apeti, labsɔlɥ evidɑ̃sə ε la muvɑ̃sə dεz- ɛ̃sεzisablə. ʒamε sø si nə sə poze ʁeεllmɑ̃, fəzɑ̃. seklipsəʁε til puʁ otɑ̃ ? kaʁ εʃapɑ̃ a la lwa, fidεləz- a la ʒystisə, e deliʁɑ̃ suliɲe mεmə lə deliʁə ʁəsɑ̃blə a kεlkə ʃozə suliɲe sε ɡø pete də tut- eklate, dəməʁe e pεʁdyʁe, kɔmə dε pʁozə ʁamase, kɔmə dε ʁamasiz- ekaʁlatə. nɔ̃ til pa kɔ̃sjɑ̃sə kil pəve ɑ̃kɔʁə pləʁe ? nə sɔ̃ til pa o kuʁɑ̃ də lœʁ pœʁz- avɔʁte ? e puʁtɑ̃, dəpɥi dε lystʁəz- il nə pləʁe plysz- e il nɔ̃ plys pœʁ.
lə pəplə mizeʁablə, e εme dε dətʁitys vu salɥ. vo ʒɑ̃ nɔ̃ apaʁamɑ̃ pa pεʁdy lə sɑ̃s də leʁœʁ. e pɑ̃dɑ̃ kə vu syse, lamə luʁdə, lε dεʁnjεʁə mεʁdə- də vo kœʁ ki pɥe, lə pəplə ʁamasə paʁ teʁə vɔtʁə pe ky, tɑ̃tɑ̃ di tʁuve… mεmə də lamuʁ.
Syllabes Phonétique : Un Tryptique Textuellə=ʃɑ̃=dε=si=ʁə=nə 6
laʁə=li=ʒjɔ̃=vi=də=lε=zɔ=mə=ze=se=kεs=tʁə=lε=zεs=pʁi=εl=ləe=vi=tə=la=mə=e=ɑ̃=pwa=zɔ=nə=lε=kœʁ=e=dœ̃=du=pwa=ɲaʁ=ɛ̃=pal=pa=blə=a=sa=si=nə=lε=kɑ̃=dœʁ=εl=lə=ʁɔ̃=a=vεk=ly=mɛ̃=fɔ̃=dɑ̃=dɑ̃=sɔ̃=kɔʁ=plɔ̃=e=ε=ʁɛ̃=e=fə=zɑ̃=dε=mɛ̃=də=lɔ=mə=œ̃=tʁis=tə=lɑ̃=də=mɛ̃=sɑ̃=vεʁ=ɡɔɲə 77
εllə=ba=ti=dε=ʃa=todə=kaʁts=e=dε=pje=dεs=tal=ɑ̃=me=tal=dε=pɔs=ty=ʁə=də=bʁɔ̃=zə=ze=dε=za=ly=ʁə=də=bɔ̃=zə=e=də=ʃa=kəe=lɑ̃=a=ni=mal=εl=lə=pʁe=tɑ̃=la=ka=va=lə=də=lɔ=mə=vεʁ=lə=pe=ʃe=lε=vεʁ=sε=zo=ɡo=zje=εl=lə=ε=lə=tʁis=tə=vεʁ=dε=za=mə=pɔ=e=te=sə=sɑ̃=zɛ̃s=pi=ʁa=sjɔ̃=εl=lə=ε=lɔ=djø=zə=ʁε=zɔ̃=dε=zɔ=mə=pʁi=ve=də=ʁi=ʁə=e=də=mε=zɔ̃=εl=lə=ɛ̃=sy=flə=dɑ̃=lεʁ=dε=va=pœʁ=mwa=zi=dε=fy=me=be=tɔ=ne=ze=dε=lɥœʁ=ʒɔ=li 121
εllə=tɑ̃tə=la=ʁə=li=ʒjɔ̃=mε=puʁ=ʃa=kə=εs=tɑ̃=pə=sε=lə=mε=mə=kʁε=jɔ̃=e=puʁ=ʃa=kə=i=vεʁ=la=mε=mə=la=mɑ̃=ta=sjɔ̃=e=puʁ=ʃa=kə=e=te=la=mε=mə=fɔ=lə=ab=ʒεk=sjɔ̃=ti=sɑ̃=dε=ʁɑ̃=paʁ=də=swa=ɛ̃=vi=zi=blə=εl=lə=pʁe=tɑ̃=kə=lə=kɔ=mœ̃=dy=laʁ=ε=sa=bi=blə=ɡʁɔ=tεs=kə=de=li=ʁə=e=ɛ̃=di=ɲə=e=lik=siʁ=puʁ=tɑ̃=dε=plys=nɔ=blə=sə=lɔ̃=sεʁ=tɛ̃=ki=tə=a=ʃwa=ziʁ=djø=o=tɑ̃=ʃwa=ziʁ=ly=mɛ̃=mε=sε=zi=ʁe=ve=ʁɑ̃=sjø=zɔ=pɔʁ=tœ̃=pʁe=fε=ʁe=lε=fʁɔ̃=tjε=ʁə=zo=ku=də=sy=ʁɛ̃ 128
e=mε=mə=lə=sjεl=de=ɡʁɛ̃=ɡɔ=lə=də=tu=tə=sε=pj=e=ʁə=ze=də=tu=sə=bi=ty=mə=də=sε=baʁ=bə=le=za=la=bʁi=j=ɑ̃=sə=pʁe=tɑ̃=tjø=zə=e=də=sε=bœ̃=ke=zo=pa=ʁy=ʁə=də=ply=mə=il=sə=ʁε=tɑ̃=kə=lɔ=mə=ɑ̃=fa=sə=də=mε=mə=kaʁ=ɡʁa=və=kɔ=mə=lɔ=se=ɑ̃=e=suʁ=kɔ=mə=œ̃=dɔ=mε=nə=la=ʁə=li=ʒjɔ̃=me=pʁi=zə=lə=sɑ̃=e=la=na=ʒə=dε=si=ʁε=nə 96
ʁi=ʁə 2
ʒə=pɑ̃=sə=kɔ̃=nə=pø=pa=ʁi=ʁə=dε=ʃo=zə=sɑ̃=fɔʁ=se=mɑ̃=sɑ̃=mɔ=ke=œ̃=pø=kεl=kœ̃=dɛ̃=tεl=li=ʒe=nə=sə=sɑ̃=ti=ʁa=pa=vεk=se=ni=y=mi=lj=e=ɑ̃=ʁə=vɑ̃=ʃə=kεl=kœ̃=ki=sa=kʁa=li=zə=sa=ʁə=li=ʒj=ɔ̃=a=œ̃=pwɛ̃=mε=mə=də=la=mε=tʁə=o=də=sy=də=tu=i=kɔ̃=pʁi=zo=də=sy=də=la=de=mɔ=kʁa=si=e=də=la=li=bεʁ=te=dεk=spʁe=sjɔ̃=sə=ʁa=sy=sεp=ti=blə=e=də=vjɛ̃=dʁa=kɔ̃=e=dɔ̃k=il=ʁe=a=ʒi=ʁa=kɔ=nə=mɑ̃ 112
e=puʁ=kwa=il=la=mεt=odə=sy=də=tu=da=jœʁ=paʁ=sə=kɑ̃=fε=il=du=tə=də=lɥi=il=nə=sε=mə=pa=il=sε=tʁε=bjɛ̃=kil=ε=kʁi=ti=ka=bləe=ʁi=zi=blə=œ̃=pø=a=ʁje=ʁe=e=ʁɛ̃=ɡaʁ=dɔ̃k=il=mεt=sa=ʁə=li=ʒjɔ̃=ɑ̃=na=vɑ̃=e=o=də=sy=də=tu=puʁ=ɛ̃=pʁe=sjɔ=ne=e=ɑ̃=pε=ʃe=lε=zo=tʁə=də=vwaʁ=la=ve=ʁi=te=mε=zɑ̃=fε=sε=ty=nə=pɔs=ty=ʁə=də=fε=blə=ki=nɑ̃=fε=ka=sa=tε=tə=si=li=slam=e=tε=ʁə=mi=zɑ̃=kεs=tjɔ̃=œ̃=ʒuʁ=u=plys=pʁe=si=ze=mɑ̃=si=sεʁ=tɛ̃=my=zyl=mɑ̃s=vwa=ʁə=sεʁ=tɛ̃=pε=i=tu=tɑ̃=tjəʁ=sə=ʁə=mε=tε=ɑ̃=kεs=tjɔ̃=a=lɔʁ=sε=my=zyl=mɑ̃=e=sε=pε=i=bas=ky=lə=ʁε=dɑ̃=la=li=bεʁ=te=e=la=li=bεʁ=te=sa=lε=fε=fli=pe=paʁ=sə=kə=sə=la=ɛ̃=sin=ɥə=ʁε=y=nə=di=sɔ=ly=sjɔ̃=paʁ=sjεllə=də=lœʁ=tʁa=di=sjɔ̃=e=œ̃=mɔ=də=də=vi=li=bεʁ=tε=ʁə=œ̃=pø=kɔ=mə=ɑ̃=ty=ni=zi=e=da=jœʁ=zɔ̃=lə=vwa=tʁε=bjɛ̃=a=pʁε=la=ʁe=vɔ=ly=sjɔ̃=dy=pʁɛ̃=tɑ̃=la=ty=ni=zi=sɑ̃=blə=ʁə=bas=ky=le=dɑ̃=lεk=stʁe=mismə 241
lə=mɔ̃=də=i=sla=mis=tə=e=lə=mɔ̃=də=ɔk=si=dɑ̃=tal=sɑ̃=ble=ε=tʁə=dja=me=tʁa=lə=mɑ̃=ɔ=po=ze=lə=mɔ̃=də=i=sla=mis=tə=vø=mal=ɡʁe=tu=ʁə=sɑ̃=ble=a=sɔ̃=fʁε=ʁə=lə=mɔ̃=də=ɔk=si=dɑ̃=tal=il=lə=de=zi=ʁə=ɑ̃=sε=kʁε=mε=zil=kyl=pa=bi=li=zə=kaʁ=il=a=pœʁ=də=di=ʁə=o=ʁə=vwaʁ=a=sɔ̃=pa=se=a=lɔʁ=mɔ̃=də=my=zyl=mɑ̃=nε=pa=pœʁ=de=vɔl=ɥe=si=ty=a=pœʁ=ty=ni=ɡa=ɲə=ʁa=ʁjɛ̃=kə=də=la-ε=nə=e=də=la=ʁe=ɡʁe=sjɔ̃=mε=si=ty=na=pa=pœʁ=a=lɔʁ=ty=sə=ʁa=li=bʁə 128
lə=si=lɑ̃=sə=dy=sε=ɲœ=ʁə 8
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ɑ̃=de=mik=za=no=zilə=da=muʁ=il=nu=pεʁ=sɥa=de=e=nu=kɔ̃=vɛ̃=ke=də=ʃe=ʁiʁ=no=pʁɔ=pʁə=ʃi=mε=ʁə=e=nu=a=nɔ=tʁə=tuʁ=nu=zak=sεp=tɔ̃=lɑ̃=dʁwa=sɑ̃=lə=ʁə=ve=lə=vi=sə=sɑ̃=lə=vεʁ=sa=e=nu=nu=lε=sɔ̃=zɑ̃=sə=və=liʁ=du=sə=mɑ̃=paʁ=la=bjɛ̃=pɑ̃=sɑ̃=sə=no=ze=a=bɔ̃=də=ɑ̃=nə=nu=za=kɔʁ=dɑ̃=pa=lə=dʁwa=də=fε=ʁə=flɑ̃=ʃe=la=fε=blε=sə=paʁ=tu=la=mε=məy=ni=fɔʁ=mi=te=tɔ̃=bə=e=ɡʁɔ̃=də=kɔ=mə=la=vεʁ=sə=a=sε=fɑ̃=tas=mə=e=kɔ=mə=œ̃=tɔ=ne=ʁə=so=no=ʁə=kɔ=mə=œ̃=fø=bʁy=lɑ̃=kɔ=mə=œ̃=nɔ=se=ɑ̃=ki=mu=jə=nu=kɔ=lɔ̃=za=nu=mε=mə=e=vi=da=mɑ̃ 151
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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
19/01/2015 13:52Abdelleouf

wsc este

Auteur de Poésie
19/01/2015 13:53Este ;'')

wsh mon sraab 😛

Poème - Sans Thème -
Du 19/01/2015 13:48

L'écrit contient 912 mots qui sont répartis dans 1 strophes.