Poème:Mon Grand Père, Ce Vieil Homme.
Le Poème
Les pensées perdues s’aiguisent au fil des années
Lorsque je voyais vieillir la peau de mes mains
Qui toutes jeunes se tendaient pour un baiser
Te tes lèvres ridées sur mon front de bambin.
Veille homme, tu m’as vie des voyages enchantés
Dans le train argenté des parcours enfantins
De quelques gares qui portent les rêves aimés
Des prises de blanchailles au canal serein.
Ambiance calme, du bol fumant de café
Auprès duquel meurent les gauloises du matin
Tremblotantes entre tes doigts jaunis de fumé
En volutes bleues qui envoûtent les chagrins.
Les yeux plissés face à la fenêtre fermée
Tu restes contemplatif de ce flot urbain
Qui, il y a peu dévorait ton temps de journée
Alors que tu t’échinais pour un bout de pain.
Les souvenirs meurent des sentiments oubliés,
Quand parfois ma mémoire appel ce gamin
Qui espiègle à perdu trop tôt ses aînés
Lui léguant qu’une photo, sanctuaire des parchemins.
Les pensées perdues s’aiguisent au fil des années,
Lorsque je voyais vieillir la peau de mes mains
Qui toutes jeunes se tendaient pour un baiser
Te tes lèvres ridées sur mon front de bambin.
Lorsque je voyais vieillir la peau de mes mains
Qui toutes jeunes se tendaient pour un baiser
Te tes lèvres ridées sur mon front de bambin.
Veille homme, tu m’as vie des voyages enchantés
Dans le train argenté des parcours enfantins
De quelques gares qui portent les rêves aimés
Des prises de blanchailles au canal serein.
Ambiance calme, du bol fumant de café
Auprès duquel meurent les gauloises du matin
Tremblotantes entre tes doigts jaunis de fumé
En volutes bleues qui envoûtent les chagrins.
Les yeux plissés face à la fenêtre fermée
Tu restes contemplatif de ce flot urbain
Qui, il y a peu dévorait ton temps de journée
Alors que tu t’échinais pour un bout de pain.
Les souvenirs meurent des sentiments oubliés,
Quand parfois ma mémoire appel ce gamin
Qui espiègle à perdu trop tôt ses aînés
Lui léguant qu’une photo, sanctuaire des parchemins.
Les pensées perdues s’aiguisent au fil des années,
Lorsque je voyais vieillir la peau de mes mains
Qui toutes jeunes se tendaient pour un baiser
Te tes lèvres ridées sur mon front de bambin.
Poète Poesie.flanante.7
Poesie.flanante.7 a publié sur le site 21 écrits. Poesie.flanante.7 est membre du site depuis l'année 2013.Lire le profil du poète Poesie.flanante.7Syllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Mon Grand Père, Ce Vieil Homme.
les=pen=sées=per=dues=sai=guisent=au=fil=des=an=nées 12lors=que=je=vo=yais=vieil=lir=la=peau=de=mes=mains 12
qui=tou=tes=jeu=nes=se=ten=daient=pour=un=bai=ser 12
te=tes=lè=vres=ri=dées=sur=mon=front=de=bam=bin 12
veille=hom=me=tu=mas=vie=des=voya=ges=en=chan=tés 12
dans=le=train=ar=gen=té=des=par=cours=en=fan=tins 12
de=quel=ques=gares=qui=por=tent=les=rê=ves=ai=més 12
des=pri=ses=de=blan=chail=les=au=ca=nal=se=rein 12
am=bian=ce=cal=me=du=bol=fu=mant=de=ca=fé 12
au=près=du=quel=meurent=les=gau=loi=ses=du=ma=tin 12
trem=blo=tantes=en=tre=tes=doigts=jau=nis=de=fu=mé 12
en=vo=lu=tes=bleues=qui=en=voû=tent=les=cha=grins 12
les=yeux=plis=sés=face=à=la=fe=nê=tre=fer=mée 12
tu=res=tes=con=tem=pla=tif=de=ce=flot=ur=bain 12
qui=il=y=a=peu=dé=vo=rait=ton=temps=de=jour=née 13
a=lors=que=tu=té=chi=nais=pour=un=bout=de=pain 12
les=souve=nirs=meu=rent=des=sen=ti=ments=ou=bli=és 12
quand=par=fois=ma=mé=moi=re=ap=pel=ce=ga=min 12
qui=es=piè=gle=à=per=du=trop=tôt=ses=aî=nés 12
lui=lé=guant=quune=pho=to=sanc=tuai=re=des=par=che=mins 13
les=pen=sées=per=dues=sai=guisent=au=fil=des=an=nées 12
lors=que=je=vo=yais=vieil=lir=la=peau=de=mes=mains 12
qui=tou=tes=jeu=nes=se=ten=daient=pour=un=bai=ser 12
te=tes=lè=vres=ri=dées=sur=mon=front=de=bam=bin 12
Phonétique : Mon Grand Père, Ce Vieil Homme.
lε pɑ̃se pεʁdɥ sεɡize o fil dεz- anelɔʁskə ʒə vwajε vjεjiʁ la po də mε mɛ̃
ki tutə ʒənə sə tɑ̃dε puʁ œ̃ bεze
tə tε lεvʁə- ʁide syʁ mɔ̃ fʁɔ̃ də bɑ̃bɛ̃.
vεjə ɔmə, ty ma vi dε vwajaʒəz- ɑ̃ʃɑ̃te
dɑ̃ lə tʁɛ̃ aʁʒɑ̃te dε paʁkuʁz- ɑ̃fɑ̃tɛ̃
də kεlk ɡaʁə ki pɔʁte lε ʁεvəz- εme
dε pʁizə də blɑ̃ʃajəz- o kanal səʁɛ̃.
ɑ̃bjɑ̃sə kalmə, dy bɔl fymɑ̃ də kafe
opʁε dykεl məʁe lε ɡolwazə dy matɛ̃
tʁɑ̃blɔtɑ̃təz- ɑ̃tʁə tε dwa ʒoni də fyme
ɑ̃ vɔlytə blø ki ɑ̃vute lε ʃaɡʁɛ̃.
lεz- iø plise fasə a la fənεtʁə fεʁme
ty ʁεstə kɔ̃tɑ̃platif də sə flo yʁbɛ̃
ki, il i a pø devɔʁε tɔ̃ tɑ̃ də ʒuʁne
alɔʁ kə ty teʃinε puʁ œ̃ bu də pɛ̃.
lε suvəniʁ məʁe dε sɑ̃timɑ̃z- ublje,
kɑ̃ paʁfwa ma memwaʁə apεl sə ɡamɛ̃
ki εspjεɡlə a pεʁdy tʁo to sεz- εne
lɥi leɡɑ̃ kynə fɔto, sɑ̃ktɥεʁə dε paʁʃəmɛ̃.
lε pɑ̃se pεʁdɥ sεɡize o fil dεz- ane,
lɔʁskə ʒə vwajε vjεjiʁ la po də mε mɛ̃
ki tutə ʒənə sə tɑ̃dε puʁ œ̃ bεze
tə tε lεvʁə- ʁide syʁ mɔ̃ fʁɔ̃ də bɑ̃bɛ̃.
Syllabes Phonétique : Mon Grand Père, Ce Vieil Homme.
lε=pɑ̃=se=pεʁdɥ=sε=ɡi=ze=o=fil=dε=za=ne 12lɔʁ=skə=ʒə=vwa=jε=vjε=jiʁ=la=po=də=mε=mɛ̃ 12
ki=tu=tə=ʒə=nə=sə=tɑ̃=dε=puʁ=œ̃=bε=ze 12
tə=tε=lε=vʁə=ʁi=de=syʁ=mɔ̃=fʁɔ̃=də=bɑ̃=bɛ̃ 12
vεjə=ɔmə=ty=ma=vi=dε=vwa=ja=ʒə=zɑ̃=ʃɑ̃=te 12
dɑ̃=lə=tʁɛ̃=aʁ=ʒɑ̃=te=dε=paʁ=kuʁ=zɑ̃=fɑ̃=tɛ̃ 12
də=kεl=kə=ɡaʁə=ki=pɔʁ=te=lε=ʁε=və=zε=me 12
dε=pʁi=zə=də=blɑ̃=ʃa=jə=zo=ka=nal=sə=ʁɛ̃ 12
ɑ̃=bjɑ̃=sə=kal=mə=dy=bɔl=fy=mɑ̃=də=ka=fe 12
o=pʁε=dy=kεl=mə=ʁe=lε=ɡo=lwazə=dy=ma=tɛ̃ 12
tʁɑ̃=blɔ=tɑ̃tə=zɑ̃=tʁə=tε=dwa=ʒo=ni=də=fy=me 12
ɑ̃=vɔ=ly=tə=blø=ki=ɑ̃=vu=te=lε=ʃa=ɡʁɛ̃ 12
lε=ziø=plise=fa=sə=a=la=fə=nε=tʁə=fεʁ=me 12
ty=ʁεs=tə=kɔ̃=tɑ̃=pla=tif=də=sə=flo=yʁ=bɛ̃ 12
ki=il=i=a=pø=de=vɔ=ʁε=tɔ̃=tɑ̃də=ʒuʁ=ne 12
a=lɔʁ=kə=ty=te=ʃi=nε=puʁ=œ̃=bu=də=pɛ̃ 12
lε=su=və=niʁ=mə=ʁe=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=zu=blje 12
kɑ̃=paʁ=fwa=ma=me=mwa=ʁə=a=pεl=sə=ɡa=mɛ̃ 12
ki=εs=pjε=ɡlə=a=pεʁ=dy=tʁo=to=sε=zε=ne 12
lɥi=le=ɡɑ̃=kynə=fɔ=to=sɑ̃k=tɥε=ʁə=dε=paʁ=ʃə=mɛ̃ 13
lε=pɑ̃=se=pεʁdɥ=sε=ɡi=ze=o=fil=dε=za=ne 12
lɔʁ=skə=ʒə=vwa=jε=vjε=jiʁ=la=po=də=mε=mɛ̃ 12
ki=tu=tə=ʒə=nə=sə=tɑ̃=dε=puʁ=œ̃=bε=ze 12
tə=tε=lε=vʁə=ʁi=de=syʁ=mɔ̃=fʁɔ̃=də=bɑ̃=bɛ̃ 12
Récompense
Poesie sans commentaire
02/05/2024Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 06/03/2013 15:42
L'écrit contient 193 mots qui sont répartis dans 1 strophes.