Poème:132635 - Sans Titre
Le Poème
Cécil ou l’amour aux enfers.
Le Poète :
Cécil, mon amour où es-tu, réponds, dis moi,
Je t’appelle dans la nuit & par dessus les toits,
Je t’implore & ma voix est un cri de détresse
Que je confie au vent qui ma fait cette promesse.
Le Vent :
J’irai pour toi ami, je porterai ton message
La saveur de tes larmes est ta plus belle image.
Je lui dirai comment tu fond dans ta prison
Tu vis de souvenir sans perdre la raison.
Pourquoi depuis le jour où tu vis le malheur
Tu oublies le passé pour penser à son cœur.
Adieu Ami je pars à l’orage qui s’amorce,
Je reviendrai bientôt te porter sa réponse.
Le Poète :
Vas fais toi ouragan, typhon ou raz de marrée.
Pour lui dire que je l’aime & que je l’attendrai.
Lui il prit tout son temps, moi mon mal en patience.
J’ai longtemps attendu à n’entendre que silence
Puis un jour vibrant sous un soleil de feu,
Il vint à la fenêtre me faire cet aveu.
Le Vent :
J’ai vu le paradis, j’ai visité l’enfer.
J’ai déchiffré les marbres gravés des cimetières
J’ai balayé les routes, les maisons & les rues ;
& Embrasé d’un souffle des boulevards aux avenues.
Mais voir, dans tous ces lieux du domaine du possible.
Elle ne se montrait pas ou était invisible.
Pour toi, il n’est plus rien que je puisse faire encore,
Un conseil seulement : interroge la mort.
Le Poète :
Surmontant mon chagrin, je suivis conseil.
& De toutes justices, j’appelai la plus veille.
La Mort :
Tu me demandes ami, tu es bien imprudant,
Tu as tout ton jeune age, tes cheveux & tes dents.
J’allume une bougie & je ris de ta peur,
Tu vois cette petite flamme, si je souffle tu meurs.
Le Poète :
Oh ! Ce n’est point « Divine » pour parler de trépas.
Car je cherche ma chérie & ne la trouve pas.
La Mort :
Saches que si pour tes beaux yeux je te pardonne,
Je retire souvent, bien plus que je donne.
Je suis la mort ami, tu devrais me maudire,
Je suis douce & cruelle, & ris de faire souffrir.
J’ai éteins d’un doigt l’amour que tu as perdue,
& Je peux d’un regard ce soir te voir perdu.
Mais n’ai crainte car je n’aime que ceux
Qui tiennent à la vie ;
Toi, je sais que de vivre tu en as plus envie.
& Puis tiens, je te rends ton sourire en ta geôle
La personne que tu cherche n’est pas en mon royaume
Le Poète :
Oh ! Cécil où es tu, je t’en prie réponds-moi ?
J’ai du remord, je souffre, il faut que tu me crois.
J’ai vu la mort qui prend mais jamais ne redonne,
Je l’avais appelé pour que tu me pardonnes.
& Si je te savais dans un enfer étrange,
Je rappellerai la mort pour retrouver mon ange.
J’irai au bout du monde & même si c’est au ciel.
De barreau, de lumière, je ferai un arc en ciel
& L’appuyant sur le balcon de Dieu
J’irai d’une enjambé faire justice en ces lieux.
Dieu :
Pourquoi Haire mon fils ? & pourquoi ce blasphème ?
Elle est en bas sur terre qui t’attend & qui t’aime.
Le Poète :
Dois-je te remercier de me montrer la route,
Si j’y perds mon chemin & retrouve mes doutes.
Pourquoi ne lierais tu pas mon destin au sien,
Quand certain fils ont tout & disent je n’ai rien ?
Dieu :
Je suis un Dieu, tu es un homme.
C’est à ce titre que je te somme,
Jette toi dans l’abime qui vit couler ses pleurs,
Remplis le de ton sang pour racheter son cœur.
Va, sauve l’âme de celle que tu fis tienne
Je ne puis plus t’aider, c’est ta femme non la mienne !
Le Poète :
Alors abandonné de toutes divinités,
J’ai retrouvé les mures où meurt la liberté.
& Voyant ce cauchemar me poursuivre toujours,
Devant un doute soudain, j’ai appelé l’Amour.
« Oh ! Cruelle-lui ais-je dit ;
Dis moi ce qui t’empêche
De mon cœur blessé d’en retirer la flèche. »
L’Amour :
Je ne puis te faire haire celle qui t’a plu,
Car les traits que je lance ne se retirent plus.
C’est toi infâme qui frottant ton cœur au sien,
A enfoncé la pointe qui leur servait de lien.
Hélas ! Si son amour ne dépend que de moi,
Je n’ai plus à ton non de flèche à mon carquois.
Adieu, je m’en vais que ceci te rassure
Pas de flèche en son cœur si ce n’est ta blessure.
Le Poète :
Ni la mort, ni l’amour, ni le ciel ne l’a prise,
& Je puis l’adorer comme une terre promise.
& S’il faut par amour vaincre le temps & Dieu,
Dans deux milles ans d’ici je ne serai pas vieux.
Oh ! Lucil je jure sur mon trésor le plus cher
Sur les enfants, sortit de ta chair,
Si au seuil du néant je puis penser encore
Ton image me suivra aux portes de la mort.
Je laisserai sur terre
L’héritage de ma foi.
« Que mon âme soit à toi
& Mon corps à l’enfer. »
Je pleure, je crie, t’aime, mais ma douleur qu’importe
Je viendrai te chercher quand s’ouvrira ma porte.
Le Poète :
Cécil, mon amour où es-tu, réponds, dis moi,
Je t’appelle dans la nuit & par dessus les toits,
Je t’implore & ma voix est un cri de détresse
Que je confie au vent qui ma fait cette promesse.
Le Vent :
J’irai pour toi ami, je porterai ton message
La saveur de tes larmes est ta plus belle image.
Je lui dirai comment tu fond dans ta prison
Tu vis de souvenir sans perdre la raison.
Pourquoi depuis le jour où tu vis le malheur
Tu oublies le passé pour penser à son cœur.
Adieu Ami je pars à l’orage qui s’amorce,
Je reviendrai bientôt te porter sa réponse.
Le Poète :
Vas fais toi ouragan, typhon ou raz de marrée.
Pour lui dire que je l’aime & que je l’attendrai.
Lui il prit tout son temps, moi mon mal en patience.
J’ai longtemps attendu à n’entendre que silence
Puis un jour vibrant sous un soleil de feu,
Il vint à la fenêtre me faire cet aveu.
Le Vent :
J’ai vu le paradis, j’ai visité l’enfer.
J’ai déchiffré les marbres gravés des cimetières
J’ai balayé les routes, les maisons & les rues ;
& Embrasé d’un souffle des boulevards aux avenues.
Mais voir, dans tous ces lieux du domaine du possible.
Elle ne se montrait pas ou était invisible.
Pour toi, il n’est plus rien que je puisse faire encore,
Un conseil seulement : interroge la mort.
Le Poète :
Surmontant mon chagrin, je suivis conseil.
& De toutes justices, j’appelai la plus veille.
La Mort :
Tu me demandes ami, tu es bien imprudant,
Tu as tout ton jeune age, tes cheveux & tes dents.
J’allume une bougie & je ris de ta peur,
Tu vois cette petite flamme, si je souffle tu meurs.
Le Poète :
Oh ! Ce n’est point « Divine » pour parler de trépas.
Car je cherche ma chérie & ne la trouve pas.
La Mort :
Saches que si pour tes beaux yeux je te pardonne,
Je retire souvent, bien plus que je donne.
Je suis la mort ami, tu devrais me maudire,
Je suis douce & cruelle, & ris de faire souffrir.
J’ai éteins d’un doigt l’amour que tu as perdue,
& Je peux d’un regard ce soir te voir perdu.
Mais n’ai crainte car je n’aime que ceux
Qui tiennent à la vie ;
Toi, je sais que de vivre tu en as plus envie.
& Puis tiens, je te rends ton sourire en ta geôle
La personne que tu cherche n’est pas en mon royaume
Le Poète :
Oh ! Cécil où es tu, je t’en prie réponds-moi ?
J’ai du remord, je souffre, il faut que tu me crois.
J’ai vu la mort qui prend mais jamais ne redonne,
Je l’avais appelé pour que tu me pardonnes.
& Si je te savais dans un enfer étrange,
Je rappellerai la mort pour retrouver mon ange.
J’irai au bout du monde & même si c’est au ciel.
De barreau, de lumière, je ferai un arc en ciel
& L’appuyant sur le balcon de Dieu
J’irai d’une enjambé faire justice en ces lieux.
Dieu :
Pourquoi Haire mon fils ? & pourquoi ce blasphème ?
Elle est en bas sur terre qui t’attend & qui t’aime.
Le Poète :
Dois-je te remercier de me montrer la route,
Si j’y perds mon chemin & retrouve mes doutes.
Pourquoi ne lierais tu pas mon destin au sien,
Quand certain fils ont tout & disent je n’ai rien ?
Dieu :
Je suis un Dieu, tu es un homme.
C’est à ce titre que je te somme,
Jette toi dans l’abime qui vit couler ses pleurs,
Remplis le de ton sang pour racheter son cœur.
Va, sauve l’âme de celle que tu fis tienne
Je ne puis plus t’aider, c’est ta femme non la mienne !
Le Poète :
Alors abandonné de toutes divinités,
J’ai retrouvé les mures où meurt la liberté.
& Voyant ce cauchemar me poursuivre toujours,
Devant un doute soudain, j’ai appelé l’Amour.
« Oh ! Cruelle-lui ais-je dit ;
Dis moi ce qui t’empêche
De mon cœur blessé d’en retirer la flèche. »
L’Amour :
Je ne puis te faire haire celle qui t’a plu,
Car les traits que je lance ne se retirent plus.
C’est toi infâme qui frottant ton cœur au sien,
A enfoncé la pointe qui leur servait de lien.
Hélas ! Si son amour ne dépend que de moi,
Je n’ai plus à ton non de flèche à mon carquois.
Adieu, je m’en vais que ceci te rassure
Pas de flèche en son cœur si ce n’est ta blessure.
Le Poète :
Ni la mort, ni l’amour, ni le ciel ne l’a prise,
& Je puis l’adorer comme une terre promise.
& S’il faut par amour vaincre le temps & Dieu,
Dans deux milles ans d’ici je ne serai pas vieux.
Oh ! Lucil je jure sur mon trésor le plus cher
Sur les enfants, sortit de ta chair,
Si au seuil du néant je puis penser encore
Ton image me suivra aux portes de la mort.
Je laisserai sur terre
L’héritage de ma foi.
« Que mon âme soit à toi
& Mon corps à l’enfer. »
Je pleure, je crie, t’aime, mais ma douleur qu’importe
Je viendrai te chercher quand s’ouvrira ma porte.
PostScriptum
Site Poétique :
www. limaginaireenlumiere. com
Poète Ff.c
Ff.c a publié sur le site 2 écrits. Ff.c est membre du site depuis l'année 2010.Lire le profil du poète Ff.cSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: 132635 - Sans Titre
cé=cil=ou=la=mour=aux=en=fers 8le=po=è=te 4
cé=cil=mon=a=mour=où=es=tu=ré=ponds=dis=moi 12
je=tap=pel=le=dans=la=nuit=et=par=des=sus=les=toits 13
je=tim=plore=et=ma=voix=est=un=cri=de=dé=tresse 12
que=je=con=fie=au=vent=qui=ma=fait=cette=pro=messe 12
le=vent 2
ji=rai=pour=toi=a=mi=je=porte=rai=ton=mes=sage 12
la=sa=veur=de=tes=lar=mes=est=ta=plus=bel=le=i=mage 14
je=lui=di=rai=com=ment=tu=fond=dans=ta=pri=son 12
tu=vis=de=sou=ve=nir=sans=per=dre=la=rai=son 12
pour=quoi=de=puis=le=jour=où=tu=vis=le=mal=heur 12
tu=ou=blies=le=pas=sé=pour=pen=ser=à=son=cœur 12
adieu=a=mi=je=pars=à=lo=ra=ge=qui=sa=morce 12
je=re=vien=drai=bien=tôt=te=por=ter=sa=ré=ponse 12
le=po=è=te 4
vas=fais=toi=ou=ra=gan=ty=phon=ou=raz=de=mar=rée 13
pour=lui=dire=que=je=lai=meet=que=je=lat=ten=drai 12
lui=il=prit=tout=son=temps=moi=mon=mal=en=pa=tience 12
jai=long=temps=at=ten=du=à=nenten=dre=que=si=lence 12
puis=un=jour=vi=brant=sous=un=so=leil=de=feu 11
il=vint=à=la=fe=nêtre=me=fai=re=cet=a=veu 12
le=vent 2
jai=vu=le=pa=ra=dis=jai=vi=si=té=len=fer 12
jai=dé=chif=fré=les=mar=bres=gra=vés=des=cime=tières 12
jai=ba=layé=les=rou=tes=les=mai=sons=et=les=rues 12
et=em=bra=sé=dun=souf=fle=des=boule=vards=aux=a=ve=nues 14
mais=voir=dans=tous=ces=lieux=du=do=maine=du=pos=sible 12
elle=ne=se=mon=trait=pas=ou=é=tait=in=vi=sible 12
pour=toi=il=nest=plus=rien=que=je=puisse=fai=reen=core 12
un=con=seil=seu=le=ment=in=ter=ro=ge=la=mort 12
le=po=è=te 4
sur=mon=tant=mon=cha=grin=je=sui=vis=con=seil 11
et=de=tou=tes=jus=tices=jap=pe=lai=la=plus=veille 12
la=mort 2
tu=me=de=mandes=a=mi=tu=es=bien=im=pru=dant 12
tu=as=tout=ton=jeunea=ge=tes=che=veux=et=tes=dents 12
jal=lume=u=ne=bou=gie=et=je=ris=de=ta=peur 12
tu=vois=cette=pe=ti=te=flamme=si=je=souf=fle=tu=meurs 13
le=po=è=te 4
oh=ce=nest=point=di=vine=pour=par=ler=de=tré=pas 12
car=je=cherche=ma=ché=rie=et=ne=la=trou=ve=pas 12
la=mort 2
saches=que=si=pour=tes=beaux=y=eux=je=te=par=donne 12
je=re=ti=re=sou=vent=bien=plus=que=je=don=ne 12
je=suis=la=mort=a=mi=tu=de=vrais=me=mau=dire 12
je=suis=douceet=cruel=le=et=ris=de=fai=re=souf=frir 12
jai=é=teins=dun=doigt=la=mour=que=tu=as=per=due 12
et=je=peux=dun=re=gard=ce=soir=te=voir=per=du 12
mais=nai=crain=te=car=je=nai=me=que=ceux 10
qui=tien=nent=à=la=vie 6
toi=je=sais=que=de=vivre=tu=en=as=plus=en=vie 12
et=puis=tiens=je=te=rends=ton=sou=rire=en=ta=geôle 12
la=per=sonne=que=tu=cher=che=nest=pas=en=mon=ro=yaume 13
le=po=è=te 4
oh=cé=cil=où=es=tu=je=ten=prie=ré=ponds=moi 12
jai=du=re=mord=je=souf=fre=il=faut=que=tu=me=crois 13
jai=vu=la=mort=qui=prend=mais=ja=mais=ne=re=donne 12
je=la=vais=ap=pe=lé=pour=que=tu=me=par=donnes 12
et=si=je=te=sa=vais=dans=un=en=fer=é=trange 12
je=rap=pel=le=rai=la=mort=pour=re=trou=ver=mon=ange 13
ji=rai=au=bout=du=mondeet=mê=me=si=cest=au=ciel 12
de=bar=reau=de=lu=mière=je=fe=rai=un=arc=en=ciel 13
et=lap=puy=ant=sur=le=bal=con=de=dieu 10
ji=rai=duneen=jam=bé=faire=jus=ti=ce=en=ces=lieux 12
dieu 1
pour=quoi=hai=re=mon=fils=et=pour=quoi=ce=blas=phème 12
elle=est=en=bas=sur=terre=qui=tat=tend=et=qui=taime 12
le=po=è=te 4
dois=je=te=re=mer=cier=de=me=mon=trer=la=route 12
si=jy=perds=mon=che=min=et=re=trou=ve=mes=doutes 12
pour=quoi=ne=lie=rais=tu=pas=mon=des=tin=au=sien 12
quand=cer=tain=fils=ont=tout=et=di=sent=je=nai=rien 12
dieu 1
je=suis=un=dieu=tu=es=un=hom=me 9
cest=à=ce=ti=tre=que=je=te=som=me 10
jette=toi=dans=la=bi=me=qui=vit=cou=ler=ses=pleurs 12
rem=plis=le=de=ton=sang=pour=ra=che=ter=son=cœur 12
va=sau=ve=lâ=me=de=cel=le=que=tu=fis=tienne 12
je=ne=puis=plus=tai=der=cest=ta=fem=me=non=la=mienne 13
le=po=è=te 4
a=lors=a=ban=don=né=de=toutes=di=vi=ni=tés 12
jai=re=trou=vé=les=mures=où=meurt=la=li=ber=té 12
et=voy=ant=ce=cauche=mar=me=pour=sui=vre=tou=jours 12
de=vant=un=doute=sou=dain=jai=ap=pe=lé=la=mour 12
oh=cru=el=le=lui=ais=je=dit 9
dis=moi=ce=qui=tem=pê=che 7
de=mon=cœur=bles=sé=den=re=ti=rer=la=flè=che 12
la=mour 2
je=ne=puis=te=fai=re=haire=cel=le=qui=ta=plu 12
car=les=traits=que=je=lance=ne=se=re=ti=rent=plus 12
cest=toi=in=fâ=me=qui=frot=tant=ton=cœur=au=sien 12
a=en=fon=cé=la=pointe=qui=leur=ser=vait=de=lien 12
hé=las=si=son=a=mour=ne=dé=pend=que=de=moi 12
je=nai=plus=à=ton=non=de=flèche=à=mon=car=quois 12
adieu=je=men=vais=que=ce=ci=te=ras=su=re 11
pas=de=flèche=en=son=cœur=si=ce=nest=ta=bles=sure 12
le=po=è=te 4
ni=la=mort=ni=la=mour=ni=le=ciel=ne=la=prise 12
et=je=puis=la=do=rer=commeu=ne=ter=re=pro=mise 12
et=sil=faut=par=a=mour=vain=cre=le=temps=et=dieu 12
dans=deux=milles=ans=di=ci=je=ne=se=rai=pas=vieux 12
oh=lu=cil=je=jure=sur=mon=tré=sor=le=plus=cher 12
sur=les=en=fants=sor=tit=de=ta=chair 9
si=au=seuil=du=né=ant=je=puis=pen=ser=en=core 12
ton=i=mage=me=sui=vra=aux=por=tes=de=la=mort 12
je=lais=se=rai=sur=ter=re 7
l=hé=ri=ta=ge=de=ma=foi 8
que=mon=â=me=soit=à=toi 8
et=mon=corps=à=len=fer 6
je=pleu=re=je=crie=taime=mais=ma=dou=leur=quim=porte 12
je=vien=drai=te=cher=cher=quand=sou=vri=ra=ma=porte 12
Phonétique : 132635 - Sans Titre
sesil u lamuʁ oz- ɑ̃fe.lə pɔεtə :
sesil, mɔ̃n- amuʁ u ε ty, ʁepɔ̃, di mwa,
ʒə tapεllə dɑ̃ la nɥi e paʁ dəsy lε twa,
ʒə tɛ̃plɔʁə e ma vwa εt- œ̃ kʁi də detʁεsə
kə ʒə kɔ̃fi o vɑ̃ ki ma fε sεtə pʁɔmεsə.
lə vɑ̃ :
ʒiʁε puʁ twa ami, ʒə pɔʁtəʁε tɔ̃ mesaʒə
la savœʁ də tε laʁməz- ε ta plys bεllə imaʒə.
ʒə lɥi diʁε kɔmɑ̃ ty fɔ̃ dɑ̃ ta pʁizɔ̃
ty vis də suvəniʁ sɑ̃ pεʁdʁə la ʁεzɔ̃.
puʁkwa dəpɥi lə ʒuʁ u ty vis lə malœʁ
ty ubli lə pase puʁ pɑ̃se a sɔ̃ kœʁ.
adjø ami ʒə paʁz- a lɔʁaʒə ki samɔʁsə,
ʒə ʁəvjɛ̃dʁε bjɛ̃to tə pɔʁte sa ʁepɔ̃sə.
lə pɔεtə :
va fε twa uʁaɡɑ̃, tifɔ̃ u ʁaz də maʁe.
puʁ lɥi diʁə kə ʒə lεmə e kə ʒə latɑ̃dʁε.
lɥi il pʁi tu sɔ̃ tɑ̃, mwa mɔ̃ mal ɑ̃ pasjɑ̃sə.
ʒε lɔ̃tɑ̃z- atɑ̃dy a nɑ̃tɑ̃dʁə kə silɑ̃sə
pɥiz- œ̃ ʒuʁ vibʁɑ̃ suz- œ̃ sɔlεj də fø,
il vɛ̃ a la fənεtʁə mə fεʁə sεt avø.
lə vɑ̃ :
ʒε vy lə paʁadi, ʒε vizite lɑ̃fe.
ʒε deʃifʁe lε maʁbʁə- ɡʁave dε simətjεʁə
ʒε balεje lε ʁutə, lε mεzɔ̃z- e lε ʁy,
e ɑ̃bʁaze dœ̃ suflə dε buləvaʁdz- oz- avənɥ.
mε vwaʁ, dɑ̃ tus sε ljø dy dɔmεnə dy pɔsiblə.
εllə nə sə mɔ̃tʁε pa u etε ɛ̃viziblə.
puʁ twa, il nε plys ʁjɛ̃ kə ʒə pɥisə fεʁə ɑ̃kɔʁə,
œ̃ kɔ̃sεj sələmɑ̃ : ɛ̃teʁɔʒə la mɔʁ.
lə pɔεtə :
syʁmɔ̃tɑ̃ mɔ̃ ʃaɡʁɛ̃, ʒə sɥivi kɔ̃sεj.
e də tutə ʒystisə, ʒapəlε la plys vεjə.
la mɔʁ :
ty mə dəmɑ̃dəz- ami, ty ε bjɛ̃ ɛ̃pʁydɑ̃,
ty a tu tɔ̃ ʒənə aʒə, tε ʃəvøz- e tε dɑ̃.
ʒalymə ynə buʒi e ʒə ʁis də ta pœʁ,
ty vwa sεtə pətitə flamə, si ʒə suflə ty mœʁ.
lə pɔεtə :
ɔ ! sə nε pwɛ̃t « divinə » puʁ paʁle də tʁepa.
kaʁ ʒə ʃεʁʃə ma ʃeʁi e nə la tʁuvə pa.
la mɔʁ :
saʃə kə si puʁ tε boz- iø ʒə tə paʁdɔnə,
ʒə ʁətiʁə suvɑ̃, bjɛ̃ plys kə ʒə dɔnə.
ʒə sɥi la mɔʁ ami, ty dəvʁε mə modiʁə,
ʒə sɥi dusə e kʁyεllə, e ʁis də fεʁə sufʁiʁ.
ʒε etɛ̃ dœ̃ dwa lamuʁ kə ty a pεʁdɥ,
e ʒə pø dœ̃ ʁəɡaʁ sə swaʁ tə vwaʁ pεʁdy.
mε nε kʁɛ̃tə kaʁ ʒə nεmə kə sø
ki tjεne a la vi,
twa, ʒə sε kə də vivʁə ty ɑ̃n- a plysz- ɑ̃vi.
e pɥi tjɛ̃, ʒə tə ʁɑ̃ tɔ̃ suʁiʁə ɑ̃ ta ʒolə
la pεʁsɔnə kə ty ʃεʁʃə nε pa ɑ̃ mɔ̃ ʁwajomə
lə pɔεtə :
ɔ ! sesil u ε ty, ʒə tɑ̃ pʁi ʁepɔ̃ mwa ?
ʒε dy ʁəmɔʁ, ʒə sufʁə, il fo kə ty mə kʁwa.
ʒε vy la mɔʁ ki pʁɑ̃ mε ʒamε nə ʁədɔnə,
ʒə lavεz- apəle puʁ kə ty mə paʁdɔnə.
e si ʒə tə savε dɑ̃z- œ̃n- ɑ̃fe etʁɑ̃ʒə,
ʒə ʁapεllʁε la mɔʁ puʁ ʁətʁuve mɔ̃n- ɑ̃ʒə.
ʒiʁε o bu dy mɔ̃də e mεmə si sεt- o sjεl.
də baʁo, də lymjεʁə, ʒə fəʁε œ̃n- aʁk ɑ̃ sjεl
e lapyiɑ̃ syʁ lə balkɔ̃ də djø
ʒiʁε dynə ɑ̃ʒɑ̃be fεʁə ʒystisə ɑ̃ sε ljø.
djø :
puʁkwa-εʁə mɔ̃ fis ? e puʁkwa sə blasfεmə ?
εllə εt- ɑ̃ ba syʁ teʁə ki tatɑ̃t- e ki tεmə.
lə pɔεtə :
dwa ʒə tə ʁəmεʁsje də mə mɔ̃tʁe la ʁutə,
si ʒi pεʁd mɔ̃ ʃəmɛ̃ e ʁətʁuvə mε dutə.
puʁkwa nə ljəʁε ty pa mɔ̃ dεstɛ̃ o sjɛ̃,
kɑ̃ sεʁtɛ̃ fisz- ɔ̃ tut- e dize ʒə nε ʁjɛ̃ ?
djø :
ʒə sɥiz- œ̃ djø, ty ε œ̃n- ɔmə.
sεt- a sə titʁə kə ʒə tə sɔmə,
ʒεtə twa dɑ̃ labimə ki vit kule sε plœʁ,
ʁɑ̃pli lə də tɔ̃ sɑ̃ puʁ ʁaʃəte sɔ̃ kœʁ.
va, sovə lamə də sεllə kə ty fi tjεnə
ʒə nə pɥi plys tεde, sε ta famə nɔ̃ la mjεnə !
lə pɔεtə :
alɔʁz- abɑ̃dɔne də tutə divinite,
ʒε ʁətʁuve lε myʁəz- u məʁ la libεʁte.
e vwajɑ̃ sə koʃəmaʁ mə puʁsɥivʁə tuʒuʁ,
dəvɑ̃ œ̃ dutə sudɛ̃, ʒε apəle lamuʁ.
« ɔ ! kʁyεllə lɥi εs ʒə di,
di mwa sə ki tɑ̃pεʃə
də mɔ̃ kœʁ blese dɑ̃ ʁətiʁe la flεʃə. »
lamuʁ :
ʒə nə pɥi tə fεʁə-εʁə sεllə ki ta ply,
kaʁ lε tʁε kə ʒə lɑ̃sə nə sə ʁətiʁe plys.
sε twa ɛ̃famə ki fʁɔtɑ̃ tɔ̃ kœʁ o sjɛ̃,
a ɑ̃fɔ̃se la pwɛ̃tə ki lœʁ sεʁvε də ljɛ̃.
ela ! si sɔ̃n- amuʁ nə depɑ̃ kə də mwa,
ʒə nε plysz- a tɔ̃ nɔ̃ də flεʃə a mɔ̃ kaʁkwa.
adjø, ʒə mɑ̃ vε kə səsi tə ʁasyʁə
pa də flεʃə ɑ̃ sɔ̃ kœʁ si sə nε ta blesyʁə.
lə pɔεtə :
ni la mɔʁ, ni lamuʁ, ni lə sjεl nə la pʁizə,
e ʒə pɥi ladɔʁe kɔmə ynə teʁə pʁɔmizə.
e sil fo paʁ amuʁ vɛ̃kʁə lə tɑ̃z- e djø,
dɑ̃ dø miləz- ɑ̃ disi ʒə nə səʁε pa vjø.
ɔ ! lysil ʒə ʒyʁə syʁ mɔ̃ tʁezɔʁ lə plys ʃεʁ
syʁ lεz- ɑ̃fɑ̃, sɔʁti də ta ʃεʁ,
si o səj dy neɑ̃ ʒə pɥi pɑ̃se ɑ̃kɔʁə
tɔ̃n- imaʒə mə sɥivʁa o pɔʁtə- də la mɔʁ.
ʒə lεsəʁε syʁ teʁə
leʁitaʒə də ma fwa.
« kə mɔ̃n- amə swa a twa
e mɔ̃ kɔʁz- a lɑ̃fe. »
ʒə plœʁə, ʒə kʁi, tεmə, mε ma dulœʁ kɛ̃pɔʁtə
ʒə vjɛ̃dʁε tə ʃεʁʃe kɑ̃ suvʁiʁa ma pɔʁtə.
Syllabes Phonétique : 132635 - Sans Titre
se=sil=u=la=muʁ=o=zɑ̃=fe 8lə=pɔ=ε=tə 4
se=sil=mɔ̃=na=muʁ=u=ε=ty=ʁe=pɔ̃=di=mwa 12
ʒə=ta=pεl=lə=dɑ̃=la=nɥi=e=paʁ=də=sy=lε=twa 13
ʒə=tɛ̃=plɔ=ʁə=e=ma=vwa=ε=tœ̃=kʁi=də=de=tʁε=sə 14
kə=ʒə=kɔ̃=fi=o=vɑ̃=ki=ma=fε=sε=tə=pʁɔ=mε=sə 14
lə=vɑ̃ 2
ʒi=ʁε=puʁ=twa=a=miʒə=pɔʁ=tə=ʁε=tɔ̃=me=saʒə 12
la=sa=vœʁ=də=tε=laʁmə=zε=ta=plys=bεl=lə=imaʒə 12
ʒə=lɥi=di=ʁε=kɔ=mɑ̃=ty=fɔ̃=dɑ̃=ta=pʁi=zɔ̃ 12
ty=vis=də=su=və=niʁ=sɑ̃=pεʁ=dʁə=la=ʁε=zɔ̃ 12
puʁ=kwa=dəp=ɥi=lə=ʒuʁ=u=ty=vis=lə=ma=lœʁ 12
ty=u=bli=lə=pa=se=puʁ=pɑ̃=se=a=sɔ̃=kœʁ 12
a=djø=a=miʒə=paʁ=za=lɔ=ʁa=ʒə=ki=sa=mɔʁsə 12
ʒə=ʁə=vjɛ̃=dʁε=bjɛ̃=to=tə=pɔʁ=te=sa=ʁe=pɔ̃sə 12
lə=pɔ=ε=tə 4
va=fε=twa=u=ʁa=ɡɑ̃=ti=fɔ̃=u=ʁaz=də=ma=ʁe 13
puʁ=lɥi=diʁə=kə=ʒə=lε=məe=kə=ʒə=la=tɑ̃=dʁε 12
lɥi=il=pʁi=tu=sɔ̃=tɑ̃=mwa=mɔ̃=mal=ɑ̃=pa=sjɑ̃sə 12
ʒε=lɔ̃=tɑ̃=za=tɑ̃=dy=a=nɑ̃=tɑ̃dʁə=kə=si=lɑ̃sə 12
pɥi=zœ̃=ʒuʁ=vi=bʁɑ̃=su=zœ̃=sɔ=lεj=də=fø 11
il=vɛ̃=a=la=fə=nεtʁə=mə=fε=ʁə=sεt=a=vø 12
lə=vɑ̃ 2
ʒε=vy=lə=pa=ʁa=di=ʒε=vi=zi=te=lɑ̃=fe 12
ʒε=de=ʃi=fʁe=lε=maʁbʁə=ɡʁa=ve=dε=si=mə=tjεʁə 12
ʒε=ba=lε=je=lε=ʁutə=lε=mε=zɔ̃=ze=lε=ʁy 12
e=ɑ̃=bʁa=ze=dœ̃=suflə=dε=bu=lə=vaʁ=dzo=za=vənɥ 13
mε=vwaʁ=dɑ̃=tus=sε=ljø=dy=dɔ=mεnə=dy=pɔ=siblə 12
εl=lə=nə=sə=mɔ̃=tʁε=pa=u=e=tε=ɛ̃=viziblə 12
puʁ=twa=il=nε=plys=ʁjɛ̃kə=ʒə=pɥi=sə=fε=ʁə=ɑ̃kɔʁə 12
œ̃=kɔ̃=sεj=sə=lə=mɑ̃=ɛ̃=te=ʁɔ=ʒə=la=mɔʁ 12
lə=pɔ=ε=tə 4
syʁ=mɔ̃=tɑ̃=mɔ̃=ʃa=ɡʁɛ̃=ʒə=sɥi=vi=kɔ̃=sεj 11
e=də=tu=tə=ʒys=tisə=ʒa=pə=lε=la=plys=vεjə 12
la=mɔʁ 2
tymə=də=mɑ̃=də=za=mi=ty=ε=bjɛ̃=ɛ̃=pʁy=dɑ̃ 12
ty=a=tu=tɔ̃ʒə=nəa=ʒə=tε=ʃə=vø=ze=tε=dɑ̃ 12
ʒa=lymə=y=nə=bu=ʒi=e=ʒə=ʁis=də=ta=pœʁ 12
ty=vwa=sεtə=pə=ti=tə=fla=mə=si=ʒə=su=flə=ty=mœʁ 14
lə=pɔ=ε=tə 4
ɔ=sə=nε=pwɛ̃t=di=vinə=puʁ=paʁ=le=də=tʁe=pa 12
kaʁʒə=ʃεʁ=ʃə=ma=ʃe=ʁi=e=nə=la=tʁu=və=pa 12
la=mɔʁ 2
saʃə=kə=si=puʁ=tε=bo=zi=ø=ʒə=tə=paʁ=dɔnə 12
ʒə=ʁə=ti=ʁə=su=vɑ̃=bjɛ̃=plys=kə=ʒə=dɔ=nə 12
ʒə=sɥi=la=mɔʁ=a=mi=ty=də=vʁε=mə=mo=diʁə 12
ʒə=sɥi=dusəe=kʁy=εllə=e=ʁis=də=fε=ʁə=su=fʁiʁ 12
ʒε=e=tɛ̃=dœ̃=dwa=la=muʁ=kə=ty=a=pεʁdɥ 11
e=ʒə=pø=dœ̃=ʁə=ɡaʁ=sə=swaʁ=tə=vwaʁ=pεʁ=dy 12
mε=nε=kʁɛ̃=tə=kaʁ=ʒə=nε=mə=kə=sø 10
ki=tj=ε=ne=a=la=vi 7
twa=ʒə=sε=kə=də=vivʁə=ty=ɑ̃=na=plys=zɑ̃=vi 12
e=pɥi=tjɛ̃=ʒə=tə=ʁɑ̃=tɔ̃=su=ʁiʁə=ɑ̃=ta=ʒolə 12
la=pεʁ=sɔnə=kə=ty=ʃεʁ=ʃə=nε=pa=ɑ̃=mɔ̃=ʁwa=jomə 13
lə=pɔ=ε=tə 4
ɔ=se=sil=u=ε=ty=ʒə=tɑ̃=pʁi=ʁe=pɔ̃=mwa 12
ʒε=dy=ʁə=mɔʁ=ʒə=sufʁə=il=fo=kə=ty=mə=kʁwa 12
ʒε=vy=la=mɔʁ=ki=pʁɑ̃=mε=ʒa=mε=nə=ʁə=dɔnə 12
ʒə=la=vε=za=pə=le=puʁ=kə=ty=mə=paʁ=dɔnə 12
e=si=ʒə=tə=sa=vε=dɑ̃=zœ̃=nɑ̃=fe=e=tʁɑ̃ʒə 12
ʒə=ʁa=pεl=lʁε=la=mɔʁ=puʁ=ʁə=tʁu=ve=mɔ̃=nɑ̃ʒə 12
ʒi=ʁε=o=bu=dy=mɔ̃dəe=mε=mə=si=sε=to=sjεl 12
də=ba=ʁo=də=ly=mjεʁə=ʒə=fə=ʁε=œ̃=naʁk=ɑ̃=sjεl 13
e=la=py=i=ɑ̃=syʁ=lə=bal=kɔ̃=də=dj=ø 12
ʒi=ʁε=dynəɑ̃=ʒɑ̃=be=fε=ʁə=ʒys=ti=sə=ɑ̃=sε=ljø 13
dj=ø 2
puʁ=kwa-ε=ʁə=mɔ̃=fis=e=puʁ=kwa=sə=blas=fεmə 12
εl=lə=ε=tɑ̃=ba=syʁ=teʁə=ki=ta=tɑ̃=te=kitεmə 12
lə=pɔ=ε=tə 4
dwa=ʒə=tə=ʁə=mεʁ=sje=də=mə=mɔ̃=tʁe=la=ʁutə 12
si=ʒi=pεʁd=mɔ̃=ʃə=mɛ̃=e=ʁə=tʁu=və=mε=dutə 12
puʁ=kwa=nə=ljə=ʁε=ty=pa=mɔ̃=dεs=tɛ̃=o=sjɛ̃ 12
kɑ̃=sεʁ=tɛ̃=fis=zɔ̃=tu=te=di=ze=ʒə=nε=ʁjɛ̃ 12
dj=ø 2
ʒə=sɥi=zœ̃=dj=ø=ty=ε=œ̃=nɔ=mə 10
sε=ta=sə=ti=tʁə=kə=ʒə=tə=sɔ=mə 10
ʒε=tə=twa=dɑ̃=la=bimə=ki=vit=ku=le=sε=plœʁ 12
ʁɑ̃=pli=lə=də=tɔ̃=sɑ̃=puʁ=ʁa=ʃə=te=sɔ̃=kœʁ 12
va=so=və=la=mə=də=sεl=lə=kə=ty=fi=tjεnə 12
ʒə=nə=pɥi=plys=tε=de=sε=ta=famə=nɔ̃=la=mjεnə 12
lə=pɔ=ε=tə 4
a=lɔʁ=za=bɑ̃=dɔ=ne=də=tutə=di=vi=ni=te 12
ʒε=ʁə=tʁu=ve=lε=myʁə=zu=məʁ=la=li=bεʁ=te 12
e=vwa=jɑ̃sə=ko=ʃə=maʁ=mə=puʁ=sɥi=vʁə=tu=ʒuʁ 12
də=vɑ̃=œ̃=dutə=su=dɛ̃=ʒε=a=pə=le=la=muʁ 12
ɔ=kʁy=εl=lə=lɥi=ε=sə=ʒə=di 10
di=mwa=sə=ki=tɑ̃=pε=ʃə 7
də=mɔ̃=kœʁ=ble=se=dɑ̃=ʁə=ti=ʁe=la=flε=ʃə 12
la=muʁ 2
ʒə=nə=pɥi=tə=fε=ʁə-εʁə=sεl=lə=ki=ta=ply 12
kaʁ=lε=tʁε=kə=ʒə=lɑ̃sə=nə=sə=ʁə=ti=ʁe=plys 12
sε=twa=ɛ̃=fa=mə=ki=fʁɔ=tɑ̃=tɔ̃=kœʁ=o=sjɛ̃ 12
a=ɑ̃=fɔ̃=se=la=pwɛ̃tə=ki=lœʁ=sεʁ=vε=də=ljɛ̃ 12
e=la=si=sɔ̃=na=muʁ=nə=de=pɑ̃=kə=də=mwa 12
ʒə=nε=plys=za=tɔ̃=nɔ̃də=flε=ʃə=a=mɔ̃=kaʁ=kwa 12
a=djø=ʒə=mɑ̃=vε=kə=sə=si=tə=ʁa=sy=ʁə 12
padə=flε=ʃə=ɑ̃=sɔ̃=kœʁ=si=sə=nε=ta=ble=syʁə 12
lə=pɔ=ε=tə 4
ni=la=mɔʁ=ni=la=muʁ=ni=lə=sjεl=nə=la=pʁizə 12
e=ʒə=pɥi=la=dɔ=ʁe=kɔmə=y=nə=te=ʁə=pʁɔmizə 12
e=sil=fo=paʁ=a=muʁ=vɛ̃=kʁə=lə=tɑ̃=ze=djø 12
dɑ̃=dø=milə=zɑ̃=di=si=ʒə=nə=sə=ʁε=pa=vjø 12
ɔ=ly=sil=ʒə=ʒyʁə=syʁ=mɔ̃=tʁe=zɔʁ=lə=plys=ʃεʁ 12
syʁ=lε=zɑ̃=fɑ̃=sɔʁ=ti=də=ta=ʃεʁ 9
si=o=səj=dy=ne=ɑ̃=ʒə=pɥi=pɑ̃=se=ɑ̃=kɔʁə 12
tɔ̃=ni=maʒə=mə=sɥi=vʁa=o=pɔʁ=tə=də=la=mɔʁ 12
ʒə=lε=sə=ʁε=syʁ=te=ʁə 7
le=ʁi=ta=ʒə=də=ma=fwa 7
kə=mɔ̃=na=mə=swa=a=twa 8
e=mɔ̃=kɔʁ=za=lɑ̃=fe 6
ʒə=plœ=ʁə=ʒə=kʁi=tεmə=mε=ma=du=lœʁ=kɛ̃=pɔʁtə 12
ʒə=vjɛ̃=dʁε=tə=ʃεʁ=ʃe=kɑ̃=su=vʁi=ʁa=ma=pɔʁtə 12
Récompense
Poesie sans commentaire

02/05/2025Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 16/01/2010 21:20
L'écrit contient 908 mots qui sont répartis dans 1 strophes.