Poème:L’oeil

Je tends la main,
Mais je me fais manger le bras.
Je regarde certain
Qui ne veulent même pas de moi.
Trop fier pour admetre qu’ils auraient besoin de sa,
Ou je pourrais simplement les aider ou les conseiller,
Mais il ne veulent pas m’écouter.
Et quand ils sont forcés de me rencontrer
Ou même de me croiser,
Ils repartent les yeux fermés,
Quand ils se sont fait expliquer
Tellement de veritées.
Non,
Ils foncent dans le mur,
Et continus sans même entrouvrir leurs yeux bouchés,
Par la cupidité.
Pourtant il y a certaines personnes attachées a moi,
Alors qu’ils ne sont même pas capable de m’écouter,
De me regarder,
De me remarquer.
Je regarde autour de moi,
Et jai envie de pleurer.
Jusqu’à en mourrir.
Je me demande pourquoi continuer,
Quand tout autour de moi est si sombre,
Si personne ne peu meme pas songer,
A tout ce que je pourrais leur apportez.
Juste une suggestion,
Un point de vue,
Peu répondre à une question,
Ou peut-être juste les ouvrir à de nouvelles solutions.
Je préfaire être celle qui va consoller,
Plutôt que celle qui fait pleurer.
Je préfaire être l’épaule sur laquelle on peu s’accoter,
Plutot que celle qui bouscule pour aider les larmes à tomber.
Mais cela va-t-il m’être rendu un jour,
Ou faudra-t-il que j’attende toujours.
Pour le moment,
Toujours les même questions reviennent dans ma tête,
Et jusqu’à maintenant,
Continues à parcourir mon être.
J’essaye d’évacuer tout ce qui me torture,
Toute cette carrure,
C’est bien d’oublier,
Mais toutes ces choses reste quand même gravées,
En moi,
Et presentées,
Au travers de chaqu’un de mes geste et pensées.
Tout mes actes en sont affectées.
C’est pour quoi il faut oublier,
Mais le passé est déjà arrivé,
Nous ne pouvons donc rien y changer.