Univers de poésie d'un auteur

Poème:Un Chien Vous Parle Avec Son Coeur.

Le Poème

Quand j’étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire. Vous m’avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami. Toutes les fois que j’étais méchant, tu agitais ton doigt vers moi et me demandais « Comment peux-tu ? » mais après on s’amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j’ai seulement eu le cornet parce que « la glace est mauvaise pour les chiens, » comme tu disais) , et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et tu t’es concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t’ai attendu patiemment, t’ai consolé après chaque déchirement de cœur et déceptions, ne t’ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis débattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n’est pas une « personne-chien » mais je l’ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l’affection, et lui ai obéi. J’étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j’ai partagé votre excitation. J’étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j’ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un « prisonnier de l’amour ». Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m’ont donné des baisers sur le nez. J’aimais tout d’eux et leurs caresses parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J’allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l’allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu’ils te demandaient une photo de moi tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais « juste oui » et changeais de sujet. Je suis passé du statut de « ton chien » à « seulement un chien » et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n’autorise pas d’animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta « famille », mais il y eut un temps où j’étais ta seule la famille. J’étais excité par la promenade en voiture jusqu’à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et tu as dit « je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui ». Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec « des papiers ». Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait « Non, papa ! S’il vous plaît ne les laissez pas prendre mon chien ! » Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises à l’instant, au sujet de l’amitié et la loyauté, au sujet de l’amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie. Tu m’as donné un « au revoir caresse » sur la tête, tu as évité mes yeux, et tu as refusé de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué leurs têtes et ont dit « Comment est-ce possible ? » Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j’ai perdu l’appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu’un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c’était toi, que tu avais changé d’avis, que c’était juste un mauvais rêve. Où j’espérais tout au moins que ça soit quelqu’un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l’attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J’ai entendu ses pas quand elle s’approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l’allée jusqu’à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m’a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m’a dit de ne pas m’inquiéter. Mon cœur battait d’anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le « prisonnier de l’amour » avait survécu à travers les jours. Comme c’est dans ma nature, je me suis plus inquiété d’elle. Le fardeau qu’elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour. Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J’ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d’années. Elle a glissé l’aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j’ai senti le dard et les liquides se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l’ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : « Comment as-tu pu ? » Peut-être parce qu’elle comprenait mon langage, elle a dit « je suis si désolée ». Elle m’a étreint, et m’a expliqué précipitamment que c’était son travail de s’assurer que j’aille à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d’amour et de lumière très différente de cet endroit. Et avec mes dernières énergies, j’ai essayé de me transporter jusqu’à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon « Comment as-tu pu ? » n’était pas dirigé contre elle. C’était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais. Je penserai à toi et t’attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.
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PostScriptum

c’est pas un poème mais j’ai kan mm ajouté

Poeme de Flea

Poète Flea

Flea a publié sur le site 13 écrits. Flea est membre du site depuis l'année 2004.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Un Chien Vous Parle Avec Son Coeur.quand=jé=tais=un=chiot=je=vous=ai=a=mu=sés=a=vec=mes=ca=brioles=et=vous=ai=fait=rire=vous=ma=vez=ap=pe=lé=vo=tre=en=fant=et=en=dé=pit=de=plu=sieurs=chaus=su=res=mâ=chées=et=quel=ques=o=reil=lers=as=sas=si=nés=je=suis=de=ve=nu=vo=tre=meilleur=a=mi=tou=tes=les=fois=que=jé=tais=mé=chant=tu=a=gi=tais=ton=doigt=vers=moi=et=me=de=man=dais=com=ment=peux=tu=mais=a=près=on=sa=mu=sait=en=semble 98
mon=é=du=ca=ti=on=a=pris=un=peu=plus=long=temps=que=pré=vu=par=ce=que=vous=é=tiez=ter=ri=ble=ment=oc=cu=pés=mais=nous=y=a=vons=tra=vail=lé=en=semble=je=me=sou=viens=de=ces=nuits=où=je=foui=nais=dans=le=lit=et=é=cou=tais=tes=con=fi=den=ces=et=rê=ves=se=crets=et=je=cro=yais=que=la=vie=ne=pour=rait=pas=ê=tre=plus=par=fai=te 84
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il=y=eut=un=temps=quand=les=autres=te=de=man=daient=si=tu=a=vais=un=chien=et=quils=te=de=man=daient=u=ne=pho=to=de=moi=tu=en=a=vais=u=neà=leur=mon=trer=dans=ton=por=te=feu=ille=et=tu=leur=ra=con=tais=des=his=toi=res=à=mon=pro=pos=ces=der=niè=res=an=nées=tu=ré=pon=dais=jus=te=oui=et=chan=geais=de=su=jet=je=suis=pas=sé=du=sta=tut=de=ton=chien=à=seu=le=ment=un=chien=et=vous=vous=ê=tes=of=fen=sés=de=cha=que=dé=pen=se=pour=moi 110
main=te=nant=vous=a=vez=u=ne=nou=vel=le=oc=ca=si=on=de=car=ri=è=re=dans=u=ne=au=tre=vil=le=et=vous=al=lez=dé=mé=na=ger=dans=un=ap=par=te=ment=qui=nau=to=ri=se=pas=da=ni=maux=fa=mi=li=ers 54
tu=as=fait=le=bon=choix=pour=ta=fa=mille=mais=il=y=eut=un=temps=où=jé=tais=ta=seule=la=fa=mille=jé=tais=ex=ci=té=par=la=pro=me=na=deen=voi=tu=re=jus=quà=ce=que=nous=ar=ri=vions=au=re=fu=ge=pour=a=ni=maux=ce=la=sen=tait=les=chiens=et=chats=la=peur=le=dé=ses=poir=tu=as=rem=pli=la=pa=pe=ras=se=rie=et=tu=as=dit=je=sais=que=vous=trou=ve=rez=u=ne=bon=ne=mai=son=pour=lui=ils=ont=haus=sé=les=é=pau=les=et=vous=ont=je=té=un=re=gard=at=tris=té=ils=com=pren=nent=la=ré=a=li=té=qui=fait=fa=ce=à=un=chien=en=tre=deux=â=ges=mê=me=un=a=vec=des=pa=piers=tu=as=dû=for=cer=les=doigts=de=ton=fils=pour=les=dé=ta=cher=de=mon=col=et=il=criait=non=pa=pa=sil=vous=plaît=ne=les=lais=sez=pas=pren=dre=mon=chien=et=je=me=suis=in=quié=té=pour=lui=quel=les=le=çons=lui=a=vez=vous=ap=pri=ses=à=lins=tant=au=su=jet=de=la=mi=ti=é=et=la=loyau=té=au=su=jet=de=la=mour=et=de=la=res=pon=sa=bi=li=té=et=au=su=jet=du=res=pect=pour=tou=te=vie=tu=mas=don=né=un=au=re=voir=ca=res=se=sur=la=tê=te=tu=as=é=vi=té=mes=yeux=et=tu=as=re=fu=sé=de=pren=dre=mon=col=lier=a=vec=vous 279
après=votre=dé=part=les=deux=gen=tilles=da=mes=ont=dit=que=vous=sa=viez=pro=ba=ble=ment=au=su=jet=de=vo=tre=dé=part=il=y=a=de=ce=la=plu=sieurs=mois=et=rien=fait=pour=me=trou=ver=u=neau=tre=bon=ne=mai=son=el=les=ont=se=coué=leurs=tê=tes=et=ont=dit=com=ment=est=ce=pos=si=ble=ils=sont=aus=si=at=ten=tifs=à=nous=i=ci=dans=le=re=fu=ge=que=leurs=pro=gram=mes=char=gés=le=leur=per=mettent=ils=nous=nour=ris=sent=bien=sûr=mais=jai=per=du=lap=pé=tit=il=y=a=plu=sieurs=jours 116
au=dé=but=cha=que=fois=que=quel=quun=pas=sait=près=de=ma=cage=je=me=dé=pê=chais=en=es=pé=rant=que=cé=tait=toi=que=tu=a=vais=chan=gé=da=vis=que=cé=tait=jus=teun=mau=vais=rêve=où=jes=pé=rais=tout=au=moins=que=ça=soit=quel=quun=qui=se=sou=cie=de=moi=et=qui=pour=rait=me=sau=ver=quand=je=me=suis=ren=du=comp=te=que=je=ne=pour=rais=pas=ri=va=li=ser=a=vec=les=au=tres=chiots=qui=fo=lâ=traient=pour=at=ti=rer=lat=ten=tion=je=me=suis=re=ti=ré=dans=un=coin=de=la=ca=ge=et=ai=at=ten=du 122
jai=enten=du=ses=pas=quand=elle=sap=pro=chait=de=moi=en=fin=de=jour=née=et=je=pié=ti=nais=le=long=de=lal=lée=jus=quà=u=ne=piè=ce=sé=pa=rée=une=piè=ce=heu=reu=se=ment=tran=quille=el=le=ma=pla=cé=sur=la=ta=bleet=a=frot=té=mes=o=rei=lles=et=ma=dit=de=ne=pas=min=qui=é=ter=mon=cœur=bat=tait=dan=ti=ci=pa=tion=à=ce=qui=é=tait=à=ve=nir=mais=il=y=a=vait=aus=si=un=sen=ti=ment=de=sou=la=ge=ment=le=pri=son=nier=de=la=mour=a=vait=sur=vé=cu=à=tra=vers=les=jours=com=me=cest=dans=ma=na=tu=re=je=me=suis=plus=in=qui=é=té=delle=le=far=deau=quel=le=por=te=pè=se=lour=de=ment=sur=el=le=et=je=le=sais=de=la=mê=me=ma=niè=re=que=je=con=nais=vo=tre=hu=meur=cha=que=jour=el=le=a=pla=cé=u=ne=chaî=ne=dou=ce=ment=au=tour=de=ma=pat=te=de=de=vant=et=u=ne=lar=me=a=rou=lé=sur=sa=joue=jai=lé=ché=sa=main=de=la=mê=me=fa=çon=que=je=te=con=so=lais=il=y=a=tant=dan=nées=el=le=a=glis=sé=lai=guille=hy=po=der=mi=que=ha=bile=ment=dans=ma=veine=quand=jai=sen=ti=le=dard=et=les=li=qui=des=se=ré=pan=dre=à=tra=vers=mon=corps=je=me=suis=as=sou=pi=lai=exa=mi=née=de=mes=gen=tils=yeux=et=ai=mur=mu=ré=com=ment=as=tu=pu=peut=tê=tre=par=ce=quel=le=com=pre=nait=mon=lan=ga=ge=el=le=a=dit=je=suis=si=dé=so=lée=el=le=ma=é=treint=et=ma=ex=pli=qué=pré=ci=pi=tam=ment=que=cé=tait=son=tra=vail=de=sas=su=rer=que=jaille=à=u=ne=meilleu=re=pla=ce=où=je=ne=se=rais=pas=i=gno=ré=ou=a=bu=sé=ou=a=ban=don=né=ou=au=rais=à=pour=voir=moi=mê=me=à=mes=be=soins=u=ne=pla=ce=rem=plie=da=mour=et=de=lu=miè=re=très=dif=fé=ren=te=de=cet=en=droit=et=a=vec=mes=der=niè=res=éner=gies=jai=es=sayé=de=me=trans=por=ter=jus=quà=el=le=et=lui=ex=pli=quer=a=vec=un=coup=sourd=de=ma=queue=que=mon=com=ment=as=tu=pu=né=tait=pas=di=ri=gé=con=tre=elle=cé=tait=à=toi=mon=maî=tre=bien=ai=mé=que=je=pen=sais=je=pen=se=rai=à=toi=et=tat=ten=drai=à=ja=mais=puis=se=tout=le=mon=de=dans=ta=vie=con=ti=nuer=à=te=mon=trer=au=tant=de=loyau=té 502
Phonétique : Un Chien Vous Parle Avec Son Coeur.kɑ̃ ʒetεz- œ̃ ʃjo, ʒə vuz- ε amyzez- avεk mε kabʁjɔləz- e vuz- ε fε ʁiʁə. vu mavez- apəle vɔtʁə ɑ̃fɑ̃, e ɑ̃ depi də plyzjœʁ ʃosyʁə maʃez- e kεlkz- ɔʁεjez- asasine, ʒə sɥi dəvəny vɔtʁə mεjœʁ ami. tutə lε fwa kə ʒetε meʃɑ̃, ty aʒitε tɔ̃ dwa vεʁ mwa e mə dəmɑ̃dεs « kɔmɑ̃ pø ty ? » mεz- apʁεz- ɔ̃ samyzε ɑ̃sɑ̃blə.
mɔ̃n- edykasjɔ̃ a pʁiz- œ̃ pø plys lɔ̃tɑ̃ kə pʁevy, paʁsə kə vuz- etje teʁibləmɑ̃ ɔkype, mε nuz- i avɔ̃ tʁavaje ɑ̃sɑ̃blə. ʒə mə suvjɛ̃ də sε nɥiz- u ʒə fuinε dɑ̃ lə li e ekutε tε kɔ̃fidɑ̃səz- e ʁεvə sεkʁε, e ʒə kʁwajε kə la vi nə puʁʁε pa εtʁə plys paʁfεtə.
nu sɔməz- ale puʁ də lɔ̃ɡ pʁɔmənadəz- e kuʁsə- dɑ̃ lə paʁk, pʁɔmənadə də vwatyʁə, aʁε puʁ də la kʁεmə ɡlaseə (ʒε sələmɑ̃ y lə kɔʁnε paʁsə kə « la ɡlasə ε movεzə puʁ lε ʃjɛ̃, » kɔmə ty dizεs) , e ʒə fəzε də lɔ̃ɡ sjεstəz- o sɔlεj ɑ̃n- atɑ̃dɑ̃ kə ty ʁɑ̃tʁəz- a la mεzɔ̃.
pʁɔɡʁesivəmɑ̃, ty a kɔmɑ̃se a pase plys də tɑ̃z- o tʁavaj e ty tε kɔ̃sɑ̃tʁe syʁ ta kaʁjεʁə, e plys də tɑ̃z- a ʃεʁʃe œ̃ kɔ̃paɲɔ̃ ymɛ̃. ʒə tε atɑ̃dy pasjamɑ̃, tε kɔ̃sɔle apʁε ʃakə deʃiʁəmɑ̃ də kœʁ e desεpsjɔ̃, nə tε ʒamε ʁepʁimɑ̃de o syʒε də movεzə desizjɔ̃, e mə sɥi debaty avεk ʒwa lɔʁ də tε ʁətuʁz- o fwaje, e pɥi ty ε tɔ̃be amuʁø. εllə, mɛ̃tənɑ̃ ta famə, nε pa ynə « pεʁsɔnə ʃjən » mε ʒə lε akœji dɑ̃ nɔtʁə mεzɔ̃, esεje də lɥi mɔ̃tʁe də lafεksjɔ̃, e lɥi ε ɔbei. ʒetεz- œʁø paʁsə kə ty etεz- œʁø.
ɑ̃sɥitə lε bebez- ymɛ̃ sɔ̃t- aʁivez- e ʒε paʁtaʒe vɔtʁə εksitasjɔ̃. ʒetε fasine paʁ lœʁ kulœʁ ʁozə, lœʁ ɔdœʁ, e ʒə vulε lε pupɔne osi. sələmɑ̃ vu vuz- εtəz- ɛ̃kjete kə ʒə pɥisə lε blese, e ʒε pase la plypaʁ də mɔ̃ tɑ̃ bani dɑ̃z- ynə otʁə pjεsə, u dɑ̃z- ynə niʃə. ɔ, kɔmə ʒə vulε lεz- εme, mε ʒə sɥi dəvəny yn « pʁizɔnje də lamuʁ ». kɑ̃t- ilz- ɔ̃ kɔmɑ̃se a ɡʁɑ̃diʁ, ʒə sɥi dəvəny lœʁ ami. il sə sɔ̃t- akʁoʃez- a ma fuʁʁyʁə e sə sɔ̃ ləve syʁ lœʁ ʒɑ̃bə bʁɑ̃lɑ̃tə, ɔ̃ puse lœʁ dwa dɑ̃ mεz- iø, fuje mεz- ɔʁεjə, e mɔ̃ dɔne dε bεze syʁ lə ne. ʒεmε tu døz- e lœʁ kaʁesə paʁsə kə lε tjεnəz- etε mɛ̃tənɑ̃ si pø fʁekɑ̃təz- e ʒə lεz- oʁε defɑ̃dysz- avεk ma vi si bəzwɛ̃ etε. ʒalε dɑ̃ lœʁ liz- e ekutε lœʁ susiz- e ʁεvə sεkʁεz- e ɑ̃sɑ̃blə nuz- atɑ̃djɔ̃ lə sɔ̃ də ta vwatyʁə dɑ̃ lale.
il i y œ̃ tɑ̃, kɑ̃ lεz- otʁə- tə dəmɑ̃dε si ty avεz- œ̃ ʃjɛ̃ e kil tə dəmɑ̃dε ynə fɔto də mwa ty ɑ̃n- avεz- ynə a lœʁ mɔ̃tʁe dɑ̃ tɔ̃ pɔʁtəfœjə e ty lœʁ ʁakɔ̃tε dεz- istwaʁəz- a mɔ̃ pʁɔpo. sε dεʁnjεʁəz- ane ty ʁepɔ̃dεs « ʒystə ui » εt ʃɑ̃ʒε də syʒε. ʒə sɥi pase dy staty də « tɔ̃ ʃjən » a « sələmɑ̃ œ̃ ʃjən » εt vu vuz- εtəz- ɔfɑ̃se də ʃakə depɑ̃sə puʁ mwa.
mɛ̃tənɑ̃, vuz- avez- ynə nuvεllə ɔkazjɔ̃ də kaʁjεʁə dɑ̃z- ynə otʁə vilə, e vuz- ale demenaʒe dɑ̃z- œ̃n- apaʁtəmɑ̃ ki notɔʁizə pa danimo familje.
ty a fε lə bɔ̃ ʃwa puʁ ta « famijə », mεz- il i y œ̃ tɑ̃z- u ʒetε ta sələ la famijə. ʒetεz- εksite paʁ la pʁɔmənadə ɑ̃ vwatyʁə ʒyska sə kə nuz- aʁivjɔ̃z- o ʁəfyʒə puʁ animo. səla sɑ̃tε lε ʃjɛ̃z- e ʃa, la pœʁ, lə dezεspwaʁ. ty a ʁɑ̃pli la papəʁasəʁi e ty a dit « ʒə sε kə vu tʁuvəʁez- ynə bɔnə mεzɔ̃ puʁ lɥi ». ilz- ɔ̃-ose lεz- epoləz- e vuz- ɔ̃ ʒəte œ̃ ʁəɡaʁ atʁiste. il kɔ̃pʁεne la ʁealite ki fε fasə a œ̃ ʃjɛ̃ ɑ̃tʁə døz- aʒə, mεmə œ̃n- avək « dəs papjεʁs ». ty a dy fɔʁse lε dwa də tɔ̃ fis puʁ lε detaʃe də mɔ̃ kɔl e il kʁjεt « nɔ̃, papa ! sil vu plε nə lε lεse pa pʁɑ̃dʁə mɔ̃ ʃjɛ̃ ! » εt ʒə mə sɥiz- ɛ̃kjete puʁ lɥi, kεllə ləsɔ̃ lɥi ave vuz- apʁizəz- a lɛ̃stɑ̃, o syʒε də lamitje e la lwajote, o syʒε də lamuʁ e də la ʁεspɔ̃sabilite, e o syʒε dy ʁεspε puʁ tutə vi. ty ma dɔne yn « o ʁəvwaʁ kaʁesə » syʁ la tεtə, ty a evite mεz- iø, e ty a ʁəfyze də pʁɑ̃dʁə mɔ̃ kɔlje avεk vu.
apʁε vɔtʁə depaʁ, lε dø ʒɑ̃tijə daməz- ɔ̃ di kə vu savje pʁɔbabləmɑ̃ o syʒε də vɔtʁə depaʁ il i a də səla plyzjœʁ mwaz- e ʁjɛ̃ fε puʁ mə tʁuve ynə otʁə bɔnə mεzɔ̃. εlləz- ɔ̃ səkue lœʁ tεtəz- e ɔ̃ dit « kɔmɑ̃ ε sə pɔsiblə ? » ils sɔ̃t- osi atɑ̃tifz- a nuz- isi dɑ̃ lə ʁəfyʒə kə lœʁ pʁɔɡʁamə ʃaʁʒe lə lœʁ pεʁmεte. il nu nuʁʁise, bjɛ̃ syʁ, mε ʒε pεʁdy lapeti il i a plyzjœʁ ʒuʁ.
o deby, ʃakə fwa kə kεlkœ̃ pasε pʁε də ma kaʒə, ʒə mə depεʃεz- ɑ̃n- εspeʁɑ̃ kə setε twa, kə ty avε ʃɑ̃ʒe davi, kə setε ʒystə œ̃ movε ʁεvə. u ʒεspeʁε tut- o mwɛ̃ kə sa swa kεlkœ̃ ki sə susi də mwa e ki puʁʁε mə sove. kɑ̃ ʒə mə sɥi ʁɑ̃dy kɔ̃tə kə ʒə nə puʁʁε pa ʁivalize avεk lεz- otʁə- ʃjo ki fɔlatʁε puʁ atiʁe latɑ̃sjɔ̃, ʒə mə sɥi ʁətiʁe dɑ̃z- œ̃ kwɛ̃ də la kaʒə e ε atɑ̃dy.
ʒε ɑ̃tɑ̃dy sε pa kɑ̃t- εllə sapʁoʃε də mwa ɑ̃ fɛ̃ də ʒuʁne, e ʒə pjetinε lə lɔ̃ də lale ʒyska ynə pjεsə sepaʁe. ynə pjεsə œʁøzəmɑ̃ tʁɑ̃kjə. εllə ma plase syʁ la tablə e a fʁɔte mεz- ɔʁεjə, e ma di də nə pa mɛ̃kjete. mɔ̃ kœʁ batε dɑ̃tisipasjɔ̃ a sə ki etε a vəniʁ, mεz- il i avε osi œ̃ sɑ̃timɑ̃ də sulaʒəmɑ̃. lə « pʁizɔnje də lamuʁ » avε syʁveky a tʁavεʁ lε ʒuʁ. kɔmə sε dɑ̃ ma natyʁə, ʒə mə sɥi plysz- ɛ̃kjete dεllə. lə faʁdo kεllə pɔʁtə pεzə luʁdəmɑ̃ syʁ εllə, e ʒə lə sε, də la mεmə manjεʁə kə ʒə kɔnε vɔtʁə ymœʁ ʃakə ʒuʁ. εllə a plase ynə ʃεnə dusəmɑ̃ otuʁ də ma patə də dəvɑ̃ e ynə laʁmə a ʁule syʁ sa ʒu. ʒε leʃe sa mɛ̃ də la mεmə fasɔ̃ kə ʒə tə kɔ̃sɔlεz- il i a tɑ̃ dane. εllə a ɡlise lεɡɥjə ipɔdεʁmikə-abiləmɑ̃ dɑ̃ ma vεnə. kɑ̃ ʒε sɑ̃ti lə daʁ e lε likidə sə ʁepɑ̃dʁə a tʁavεʁ mɔ̃ kɔʁ, ʒə mə sɥiz- asupi, lε εɡzamine də mε ʒɑ̃tilz- iøz- e ε myʁmyʁe : « kɔmɑ̃ a ty py ? » pø tεtʁə paʁsə kεllə kɔ̃pʁənε mɔ̃ lɑ̃ɡaʒə, εllə a dit « ʒə sɥi si dezɔleə ». εllə ma etʁɛ̃, e ma εksplike pʁesipitamɑ̃ kə setε sɔ̃ tʁavaj də sasyʁe kə ʒajə a ynə mεjəʁə plasə u ʒə nə səʁε pa iɲɔʁe u abyze u abɑ̃dɔne, u oʁεz- a puʁvwaʁ mwa mεmə a mε bəzwɛ̃, ynə plasə ʁɑ̃pli damuʁ e də lymjεʁə tʁε difeʁɑ̃tə də sεt ɑ̃dʁwa. e avεk mε dεʁnjεʁəz- enεʁʒi, ʒε esεje də mə tʁɑ̃spɔʁte ʒyska εllə e lɥi εksplike avεk œ̃ ku suʁ də ma kø kə mɔn « kɔmɑ̃ a ty py ? » netε pa diʁiʒe kɔ̃tʁə εllə. setε a twa, mɔ̃ mεtʁə bjɛ̃ εme, kə ʒə pɑ̃sε. ʒə pɑ̃səʁε a twa e tatɑ̃dʁε a ʒamε. pɥisə tu lə mɔ̃də dɑ̃ ta vi kɔ̃tinɥe a tə mɔ̃tʁe otɑ̃ də lwajote.
Syllabes Phonétique : Un Chien Vous Parle Avec Son Coeur.kɑ̃=ʒe=tε=zœ̃=ʃj=o=ʒə=vu=zε=a=my=ze=za=vεk=mε=ka=bʁjɔ=lə=ze=vu=zε=fε=ʁi=ʁə=vu=ma=ve=za=pə=le=vɔ=tʁə=ɑ̃=fɑ̃=e=ɑ̃=de=pi=də=ply=zjœʁ=ʃo=sy=ʁə=ma=ʃe=ze=kεl=kzɔ=ʁε=je=za=sa=si=ne=ʒə=sɥi=də=və=ny=vɔ=tʁə=mε=jœʁ=a=mi=tu=tə=lε=fwa=kə=ʒe=tε=me=ʃɑ̃=ty=a=ʒi=tε=tɔ̃=dwa=vεʁ=mwa=e=mə=də=mɑ̃=dεs=kɔ=mɑ̃=pø=ty=mε=za=pʁε=zɔ̃=sa=my=zε=ɑ̃=sɑ̃=blə 102
mɔ̃=ne=dy=ka=sj=ɔ̃=a=pʁi=zœ̃=pø=plys=lɔ̃=tɑ̃=kə=pʁe=vy=paʁ=sə=kə=vu=ze=tj=e=te=ʁi=blə=mɑ̃=ɔ=ky=pe=mε=nu=zi=a=vɔ̃=tʁa=va=je=ɑ̃=sɑ̃=blə=ʒə=mə=su=vjɛ̃=də=sε=nɥi=zu=ʒə=fu=i=nε=dɑ̃=lə=li=e=e=ku=tε=tε=kɔ̃=fi=dɑ̃=sə=ze=ʁε=və=sε=kʁε=e=ʒə=kʁwa=jε=kə=la=vi=nə=puʁ=ʁε=pa=ε=tʁə=plys=paʁ=fε=tə 87
nu=sɔ=mə=za=le=puʁ=də=lɔ̃ɡ=pʁɔ=mə=na=də=ze=kuʁ=sə=dɑ̃=lə=paʁk=pʁɔ=mə=na=də=də=vwa=ty=ʁə=a=ʁε=puʁ=də=la=kʁε=mə=ɡla=se=ə=ʒε=sə=lə=mɑ̃=y=lə=kɔʁ=nε=paʁ=sə=kə=la=ɡla=sə=ε=mo=vε=zə=puʁ=lε=ʃj=ɛ̃=kɔ=mə=ty=di=zεs=e=ʒə=fə=zε=də=lɔ̃ɡ=sjεs=tə=zo=sɔ=lεj=ɑ̃=na=tɑ̃=dɑ̃=kə=ty=ʁɑ̃=tʁə=za=la=mε=zɔ̃ 86
pʁɔ=ɡʁe=sivə=mɑ̃=ty=a=kɔ=mɑ̃=se=a=pa=se=plys=də=tɑ̃=zo=tʁa=vaj=e=ty=tε=kɔ̃=sɑ̃=tʁe=syʁ=ta=ka=ʁjε=ʁə=e=plys=də=tɑ̃=za=ʃεʁ=ʃe=œ̃=kɔ̃=pa=ɲɔ̃=y=mɛ̃=ʒə=tε=a=tɑ̃=dy=pa=sja=mɑ̃=tε=kɔ̃=sɔ=le=a=pʁε=ʃa=kə=de=ʃi=ʁə=mɑ̃=də=kœʁ=e=de=sεp=sjɔ̃=nə=tε=ʒa=mε=ʁe=pʁi=mɑ̃=de=o=sy=ʒε=də=mo=vε=zə=de=si=zjɔ̃=e=mə=sɥi=de=ba=ty=a=vεk=ʒwa=lɔʁ=də=tε=ʁə=tuʁ=zo=fwa=je=e=pɥi=ty=ε=tɔ̃=be=a=mu=ʁø=εl=lə=mɛ̃=tə=nɑ̃=ta=fa=mə=nε=pa=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=ʃjən=mε=ʒə=lε=a=kœji=dɑ̃=nɔ=tʁə=mε=zɔ̃=e=sε=je=də=lɥi=mɔ̃=tʁe=də=la=fεk=sjɔ̃=e=lɥi=ε=ɔ=be=i=ʒe=tε=zœ=ʁø=paʁ=sə=kə=ty=e=tε=zœ=ʁø 167
ɑ̃s=ɥitə=lε=be=be=zy=mɛ̃=sɔ̃=ta=ʁi=ve=ze=ʒε=paʁ=ta=ʒe=vɔ=tʁəεk=si=ta=sjɔ̃=ʒe=tε=fa=si=ne=paʁ=lœʁ=ku=lœʁ=ʁo=zə=lœʁ=ɔ=dœʁ=e=ʒə=vu=lε=lε=pu=pɔ=ne=o=si=sə=lə=mɑ̃=vu=vu=zε=tə=zɛ̃=kje=te=kə=ʒə=pɥi=sə=lε=ble=se=e=ʒε=pa=se=la=ply=paʁ=də=mɔ̃=tɑ̃=ba=ni=dɑ̃=zy=nə=o=tʁə=pjε=sə=u=dɑ̃=zy=nə=ni=ʃə=ɔ=kɔ=mə=ʒə=vu=lε=lε=zε=me=mε=ʒə=sɥi=də=və=ny=yn=pʁi=zɔ=nje=də=la=muʁ=kɑ̃=til=zɔ̃=kɔ=mɑ̃=se=a=ɡʁɑ̃=diʁ=ʒə=sɥi=də=və=ny=lœʁ=a=mi=il=sə=sɔ̃=ta=kʁo=ʃe=za=ma=fuʁ=ʁy=ʁə=e=sə=sɔ̃=lə=ve=syʁ=lœʁ=ʒɑ̃=bə=bʁɑ̃=lɑ̃=tə=ɔ̃=pu=se=lœʁ=dwa=dɑ̃=mε=ziø=fu=je=mε=zɔ=ʁεjə=e=mɔ̃=dɔ=ne=dε=bε=ze=syʁ=lə=ne=ʒε=mε=tu=dø=ze=lœʁ=ka=ʁe=sə=paʁ=sə=kə=lε=tjε=nə=ze=tε=mɛ̃=tə=nɑ̃=si=pø=fʁe=kɑ̃=tə=ze=ʒə=lε=zo=ʁε=de=fɑ̃=dys=za=vεk=ma=vi=si=bə=zwɛ̃=e=tε=ʒa=lε=dɑ̃=lœʁ=li=ze=e=ku=tε=lœʁ=su=si=ze=ʁε=və=sε=kʁε=ze=ɑ̃=sɑ̃=blə=nu=za=tɑ̃=djɔ̃=lə=sɔ̃=də=ta=vwa=ty=ʁə=dɑ̃=la=le 249
il=i=y=œ̃=tɑ̃=kɑ̃=lε=zotʁə=tə=də=mɑ̃=dε=si=ty=a=vε=zœ̃=ʃjɛ̃=e=kil=tə=də=mɑ̃=dε=y=nə=fɔ=to=də=mwa=ty=ɑ̃=na=vε=zy=nəa=lœʁ=mɔ̃=tʁe=dɑ̃=tɔ̃=pɔʁ=tə=fœjə=e=ty=lœʁ=ʁa=kɔ̃=tε=dε=zis=twa=ʁə=za=mɔ̃=pʁɔ=po=sε=dεʁ=njε=ʁə=za=ne=ty=ʁe=pɔ̃=dεs=ʒys=tə=ui=εt=ʃɑ̃=ʒε=də=sy=ʒε=ʒə=sɥi=pa=se=dy=sta=ty=də=tɔ̃=ʃjən=a=sə=lə=mɑ̃=œ̃=ʃjən=εt=vu=vu=zε=tə=zɔ=fɑ̃=se=də=ʃa=kə=de=pɑ̃=sə=puʁ=mwa 109
mɛ̃=tə=nɑ̃=vu=za=ve=zy=nə=nu=vεl=lə=ɔ=ka=zj=ɔ̃=də=ka=ʁj=ε=ʁə=dɑ̃=zy=nə=o=tʁə=vi=lə=e=vu=za=le=de=me=na=ʒe=dɑ̃=zœ̃=na=paʁ=tə=mɑ̃=ki=no=tɔ=ʁi=zə=pa=da=ni=mo=fa=mi=lj=e 54
ty=a=fεlə=bɔ̃=ʃwa=puʁ=ta=fa=mi=jə=mε=zil=i=y=œ̃=tɑ̃=zu=ʒe=tε=ta=sə=lə=la=fa=mi=jə=ʒe=tε=zεk=si=te=paʁ=la=pʁɔ=mə=na=dəɑ̃=vwa=ty=ʁə=ʒys=ka=sə=kə=nu=za=ʁi=vjɔ̃=zo=ʁə=fy=ʒə=puʁ=a=ni=mo=sə=la=sɑ̃=tε=lε=ʃjɛ̃=ze=ʃa=la=pœʁ=lə=de=zεs=pwaʁ=ty=a=ʁɑ̃=pli=la=pa=pə=ʁa=sə=ʁi=e=ty=a=dit=ʒə=sε=kə=vu=tʁu=və=ʁe=zy=nə=bɔ=nə=mε=zɔ̃=puʁ=lɥi=il=zɔ̃-o=se=lε=ze=po=lə=ze=vu=zɔ̃=ʒə=te=œ̃=ʁə=ɡaʁ=a=tʁis=te=il=kɔ̃=pʁε=ne=la=ʁe=a=li=te=ki=fε=fa=sə=a=œ̃=ʃjɛ̃=ɑ̃=tʁə=dø=za=ʒə=mε=mə=œ̃=na=vək=dəs=pa=pjεʁs=ty=a=dy=fɔʁ=se=lε=dwa=də=tɔ̃=fis=puʁ=lε=de=ta=ʃe=də=mɔ̃=kɔl=e=il=kʁjεt=nɔ̃=pa=pa=sil=vu=plε=nə=lε=lε=se=pa=pʁɑ̃=dʁə=mɔ̃=ʃjɛ̃=εt=ʒə=mə=sɥi=zɛ̃=kje=te=puʁ=lɥi=kεl=lə=lə=sɔ̃=lɥi=a=ve=vu=za=pʁi=zə=za=lɛ̃s=tɑ̃=o=sy=ʒε=də=la=mi=tje=e=la=lwa=jo=te=o=sy=ʒε=də=la=muʁ=e=də=la=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=e=o=sy=ʒε=dy=ʁεs=pε=puʁ=tu=tə=vi=ty=ma=dɔ=ne=yn=o=ʁə=vwaʁ=ka=ʁe=sə=syʁ=la=tε=tə=ty=a=e=vi=te=mε=ziø=e=ty=a=ʁə=fy=ze=də=pʁɑ̃=dʁə=mɔ̃=kɔ=lje=a=vεk=vu 281
a=pʁε=vɔtʁə=de=paʁ=lε=dø=ʒɑ̃=ti=jə=da=mə=zɔ̃=di=kə=vu=sa=vje=pʁɔ=ba=blə=mɑ̃=o=sy=ʒε=də=vɔ=tʁə=de=paʁ=il=i=a=də=sə=la=ply=zjœʁ=mwa=ze=ʁjɛ̃=fε=puʁ=mə=tʁu=ve=y=nəo=tʁə=bɔ=nə=mε=zɔ̃=εl=lə=zɔ̃=sə=ku=e=lœʁ=tε=tə=ze=ɔ̃=dit=kɔ=mɑ̃=ε=sə=pɔ=si=blə=ils=sɔ̃=to=si=a=tɑ̃=tif=za=nu=zi=si=dɑ̃=lə=ʁə=fy=ʒə=kə=lœʁ=pʁɔ=ɡʁa=mə=ʃaʁ=ʒe=lə=lœʁ=pεʁ=mε=te=il=nu=nuʁ=ʁi=se=bjɛ̃=syʁ=mε=ʒε=pεʁ=dy=la=pe=ti=il=i=a=ply=zjœʁ=ʒuʁ 120
o=de=by=ʃakə=fwa=kə=kεl=kœ̃=pa=sε=pʁε=də=ma=ka=ʒə=ʒə=mə=de=pε=ʃε=zɑ̃=nεs=pe=ʁɑ̃=kə=se=tε=twa=kə=ty=a=vε=ʃɑ̃=ʒe=da=vi=kə=se=tε=ʒys=təœ̃=mo=vε=ʁε=və=u=ʒεs=pe=ʁε=tu=to=mwɛ̃=kə=sa=swa=kεl=kœ̃=ki=sə=su=si=də=mwa=e=ki=puʁ=ʁε=mə=so=ve=kɑ̃=ʒə=mə=sɥi=ʁɑ̃=dy=kɔ̃=tə=kə=ʒə=nə=puʁ=ʁε=pa=ʁi=va=li=ze=a=vεk=lε=zo=tʁə=ʃjo=ki=fɔ=la=tʁε=puʁ=a=ti=ʁe=la=tɑ̃=sjɔ̃=ʒə=mə=sɥi=ʁə=ti=ʁe=dɑ̃=zœ̃=kwɛ̃=də=la=ka=ʒə=e=ε=a=tɑ̃=dy 123
ʒε=ɑ̃=tɑ̃=dy=sε=pa=kɑ̃=tεllə=sa=pʁo=ʃεdə=mwa=ɑ̃=fɛ̃=də=ʒuʁ=ne=e=ʒə=pje=ti=nε=lə=lɔ̃=də=la=le=ʒys=ka=y=nə=pjε=sə=se=pa=ʁe=y=nə=pjε=sə=œ=ʁø=zə=mɑ̃=tʁɑ̃=kjə=εl=lə=ma=pla=se=syʁ=la=ta=bləe=a=fʁɔ=te=mε=zɔ=ʁεjə=e=ma=di=də=nə=pa=mɛ̃=kje=te=mɔ̃=kœʁ=ba=tε=dɑ̃=ti=si=pa=sjɔ̃=a=sə=ki=e=tε=a=və=niʁ=mε=zil=i=a=vε=o=si=œ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=su=la=ʒə=mɑ̃=lə=pʁi=zɔ=nje=də=la=muʁ=a=vε=syʁ=ve=ky=a=tʁa=vεʁ=lε=ʒuʁ=kɔ=mə=sε=dɑ̃=ma=na=ty=ʁə=ʒə=mə=sɥi=plys=zɛ̃=kje=te=dεl=lə=lə=faʁ=do=kεl=lə=pɔʁ=tə=pε=zə=luʁ=də=mɑ̃=syʁ=εl=lə=e=ʒə=lə=sε=də=la=mε=mə=ma=njε=ʁə=kə=ʒə=kɔ=nε=vɔ=tʁə=y=mœʁ=ʃa=kə=ʒuʁ=εl=lə=a=pla=se=y=nə=ʃε=nə=du=sə=mɑ̃=o=tuʁ=də=ma=pa=tə=də=də=vɑ̃=e=y=nə=laʁ=mə=a=ʁu=le=syʁ=sa=ʒu=ʒε=le=ʃe=sa=mɛ̃=də=la=mε=mə=fa=sɔ̃=kə=ʒə=tə=kɔ̃=sɔ=lε=zil=i=a=tɑ̃=da=ne=εl=lə=a=ɡli=se=lεɡ=ɥjə=i=pɔ=dεʁ=mi=kə-a=bi=lə=mɑ̃=dɑ̃=ma=vε=nə=kɑ̃=ʒε=sɑ̃=ti=lə=daʁ=e=lε=li=ki=də=sə=ʁe=pɑ̃=dʁə=a=tʁa=vεʁ=mɔ̃=kɔʁ=ʒə=mə=sɥi=za=su=pi=lε=εɡ=za=mi=ne=də=mε=ʒɑ̃=til=ziø=ze=ε=myʁ=my=ʁe=kɔ=mɑ̃=a=ty=py=pø=tε=tʁə=paʁ=sə=kεl=lə=kɔ̃=pʁə=nε=mɔ̃=lɑ̃=ɡa=ʒə=εl=lə=a=dit=ʒə=sɥi=si=de=zɔ=le=ə=εl=lə=ma=e=tʁɛ̃=e=ma=εk=spli=ke=pʁe=si=pi=ta=mɑ̃=kə=se=tε=sɔ̃=tʁa=vaj=də=sa=sy=ʁe=kə=ʒa=jə=a=y=nə=mε=jə=ʁə=pla=sə=u=ʒə=nə=sə=ʁε=pa=i=ɲɔ=ʁe=u=a=by=ze=u=a=bɑ̃=dɔ=ne=u=o=ʁε=za=puʁ=vwaʁ=mwa=mε=mə=a=mε=bə=zwɛ̃=y=nə=pla=sə=ʁɑ̃=pli=da=muʁ=e=də=ly=mjε=ʁə=tʁε=di=fe=ʁɑ̃=tə=də=sεt=ɑ̃=dʁwa=e=a=vεk=mε=dεʁ=njε=ʁə=ze=nεʁ=ʒi=ʒε=e=sε=je=də=mə=tʁɑ̃s=pɔʁ=te=ʒys=ka=εl=lə=e=lɥi=εk=spli=ke=a=vεk=œ̃=ku=suʁ=də=ma=kø=kə=mɔ=nə=kɔ=mɑ̃=a=ty=py=ne=tε=pa=di=ʁi=ʒe=kɔ̃=tʁə=εl=lə=se=tε=a=twa=mɔ̃=mε=tʁə=bjɛ̃=ε=me=kə=ʒə=pɑ̃=sε=ʒə=pɑ̃=sə=ʁε=a=twa=e=ta=tɑ̃=dʁε=a=ʒa=mε=pɥi=sə=tu=lə=mɔ̃=də=dɑ̃=ta=vi=kɔ̃=tin=ɥe=a=tə=mɔ̃=tʁe=o=tɑ̃=də=lwa=jo=te 512

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26/04/2024Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 02/08/2004 00:00

L'écrit contient 1261 mots qui sont répartis dans 1 strophes.