Univers de poésie d'un auteur

Prose:Brave Machine À Lessiver

A Propos de cette Prose

Un brin de fantaisie ne peut nuire…

La Prose

« Cette belle histoire, est tout à fait vraie et vécue… enfin presque » !
Il y a de bonnes journées, des journées bonnes, celles qui en principe devraient l’être…
C’était comme hier, le soleil était là, enfin je me sentais mieux. Mes douleurs très diverses s’estompaient comme la dite norme (celle de la déliquescence des valeurs familiales) .
J’avais empoigné ma tondeuse à gazon et déjà l’herbe trop haute était fauchée plus bas que les pâquerettes.
Soudain un bruit intempestif me parvint de la buanderie dont la porte était restée ouverte.
Qu’était-ce ? Bon Dieu !
J’accouru, elle était toujours là stoïque à la même place, comme depuis bien des années. Mais elle convulsionnait, son cœur battait la chamade et tout à coup se révulsait à mes pieds. J’étais atterré, perdre ce que l’on aime, mon cœur se prit d’une intense douleur.
Que faire ?
La respiration artificielle pas question, alors ? Je remis le programme à zéro et la remis en fonction.
Bon, allait-elle nous lâcher dans un moment aussi crucial ?
J’étais figé devant elle, le cœur battant ; peine perdue maintenant elle agonisait implorant Dieu sait quelle aide dont j’étais incapable de saisir la portée.
J’appelais à l’aide, Mamy vint et constata elle aussi son état de fin de vie…
Il y avait encore une chance, je couru à l’étage. Bonne Mère, oui, les secours via les pages jaunes : dépannages de machines à lessiver : non rien, ah les salauds ; machines à laver, concessionnaires : oui, ouf. Le vendeur condescendit à me répondre : oui, j’ai fait le bon diagnostic. C’est grave, très grave, il fallait un nouveau programmateur ! Autant dire qu’il fallait une transplantation cardiaque. Vu le modèle ancien dit-il c’était possible mais difficilement réalisable de nos jours. Il fallait s’y résoudre, lâcher cette belle et fidèle pièce, la mettre au rebut alors qu’elle vivait encore un peu. C’était top dur… Mamy était là et ma lessive ? Je fais quoi ? Je revins à la réalité, il me fallait une plus récente, une plus jeune, une plus fringante, une plus belle, une plus moderne, informatisée comme on dit.
Nous plongeâmes le nez dans les pubs et dans l’Internet comme ils disent. Puis tout compte fait, au propre comme au figuré, après le dîner nous fonçâmes chez Makro.
Elle était là, elle nous attendait prête à nous servir sans relâche. Elle savait que nous viendrions et ne fit aucune difficulté à nous suivre. Nous la déposâmes dans le garage et lui accordâmes un répit de bienvenue, bien au chaud dans son emballage de jeune mariée. Mais voilà tout à une fin, surtout les bonnes choses et de ce pas nous allâmes lui retirer ses atours appelés « emballage » par ces rustres de commerçants.
Quel délire, il faut bien le dire et l’écrire : il n’y a pas de reconnaissance pour les vieilles machines à lessiver ; que Dieu machine ait son âme, elle l’a bien mérité ce petit laïus.
J’avais passé une nuit glauque, inconsciemment je savais ce qui m’attendait. Je descendis les escaliers menant au gynécée d’un pas mesuré mais lourd. Pourtant j’avais attendu mais, maintenant il était temps, je ne pouvais plus tergiverser. Elle avait eu droit à un répit, un temps de grâce comme on dit car elle avait droit à de la considération, à du respect même. C’est qu’accueillir une nouvelle machine à lessiver demande assurément une empathie certaine, doublée d’une formation psychologique. Cet accueil est un rite qui revêt une importance dont peu s’en soucie par ignorance pure et simple : quelle désolation !
Je la vis, elle n’avait pas bougé. Notre caniche était resté avec elle durant la nuit. Je lui avais confié la bonne fille afin qu’elle ne fut pas seule en ce lieu encore étranger.
Empreint d’un respect qui m’étonnera toujours, l’animal avait omis de lever la patte sur la déesse. Sans doute avait-il flairé que cela ne se faisait pas. Pour lui c’était, à n’en pas en douter, une grande marque de respect. Je lui en fus gré et il remonta mission accomplie. L’instant n’était plus aux états d’âme, il fallait agir. Je m’emparai d’une lame tranchante, coupai ses ceintures et lacérai ses atours, son voile de plastique luminescent sous le néon tomba sur le sol froid. J’attachai la gangue de polystyrène qui enserrait son corps tôlé. La matière craqua et des perles blanches inondèrent la pièce, offrant là un cadeau sacrificiel intense.
Maintenant, elle était devant moi, nue, inviolée, sa peau blanche, immaculée, ma gorge se serra devant cette beauté diaphane. Elle s’exhibait sans contrainte, fière et altière comme elle avait voulu qu’on l’a vit. Il ne fallait pas se tromper, c’était non pas une quelconque princesse mais une reine de technologie prête à régner sur un royaume promis. Car vous, oui vous, sachez qu’elle se targue de la famille des 3A avec un essorage de 1600 tours.
Si c’était une femme, on dirait d’elle qu’elle est jolie, toujours prête, de bonne santé, robuste, économe, et puis, et plus…
Je l’emmenai dans son royaume dit de la « buanderie ». Poudres et liquides à lessiver l’attendaient, recueillis avec détartrants, assouplissants, javel, ammoniaque et que sais-je encore. Mais le futur prince consort « Séchoir » attendait avec émotion. Bientôt il partagerait son existence, règnerait avec elle sur ce petit monde.
Mamy, la grande prêtresse, avait suivi. Elle officia : « Il faut retirer ce qui l’empêche de tourner » récita-t-elle monocorde. Je me plaçai derrière elle et dévissai les affreux goujons qui enserrés dans sa chair, empêchaient son ventre, sa cuve de tourner en rond. C’était serré et je dus la contraindre… mais que faire d’autre ! Enfin, ils cédèrent sous l’effort. Des goujons de chasteté je vous le dis, rien de moins. Mais qui avait inventé ce traitement digne d’un autre âge ? Ah, si je le tenais entre mes mains…
Je pris l’élément de décharge que je vissai à l’orifice ad-hoc ; de même je pris le fil aux électrons libres et le branchai là où vous pensez. Pour l’admission de flotte, ce fut du pareil au même : visser là où le jus dénommé « eau » entra. Je la pris alors à bras le corps, l’enserrai fortement et la plaqua contre le mur. Elle y trônera désormais entre l’arrivée d’électrons et le mignon petit robinet à jus H2o.
Puis la grande prêtresse fouilla le ventre de la belle, y retira le guide d’emploi, le bréviaire : la charte de l’ingénue. De fait, ne vous confondez pas en conjectures, il faut suivre ce guide si vous désirez effleurer ses petits boutons et pénétrer dans sa grotte circulaire par le hublot.
Elle lut… après, officiant elle-même, la prêtresse, seule à pouvoir pénétrer les fondements de la jolie, lui fit un premier rinçage. C’était, je le suppose, comme une sorte d’injection autrefois pratiquée par le sexe féminin. S’agissant là d’une purification post-fonction. L’importance du rite ne m’échappa, c’était l’apogée de la cérémonie. Son avenir en dépendait car il ne fallait pas que des impuretés nuisissent nos futurs rapports. Nous devions avoir confiance en elle.
Bientôt elle démarra, tournant de plus en plus, le liquide gicla sur le hublot ; elle ronronnait comme une chatte que l’on caresse. Elle délirait, oui vraiment, elle délirait de cette première, son premier programme.
La grande prêtresse me regarda sans mot dire, je vis qu’elle était satisfaite de notre protégée. Je sus que les dieux de la lessive étaient parmi nous pour longtemps et que le linge sale n’avait désormais plus qu’à bien se tenir.

Emile/Buissonnets
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PostScriptum

Bof une lessiveuse qui tombe en panne ne génère généralement pas l’hilarité de son propriétaire…

Poeme de Gramo

Poète Gramo

Gramo a publié sur le site 307 écrits. Gramo est membre du site depuis l'année 2011.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Brave Machine À Lessivercet=te=bel=le=his=toi=re=est=tout=à=fait=vraie=et=vé=cue=en=fin=pres=que 20
il=y=a=de=bon=nes=jour=nées=des=jour=nées=bon=nes=cel=les=qui=en=prin=ci=pe=de=vraient=lê=tre 24
cé=tait=comme=hier=le=so=leil=é=tait=là=en=fin=je=me=sen=tais=mieux=mes=dou=leurs=très=di=verses=ses=tom=paient=comme=la=di=te=nor=me=cel=le=de=la=dé=li=ques=cen=ce=des=va=leurs=fa=mi=lia=les 48
ja=vais=em=poi=gné=ma=ton=deuseà=ga=zon=et=dé=jà=lherbe=trop=hau=teé=tait=fau=chée=plus=bas=que=les=pâ=que=rettes 27
sou=dain=un=bruit=in=tem=pes=tif=me=par=vint=de=la=buande=rie=dont=la=por=teé=tait=res=tée=ou=verte 24
qué=tait=ce=bon=dieu 5
jac=cou=ru=el=leé=tait=tou=jours=là=stoï=queà=la=même=place=comme=de=puis=bien=des=an=nées=mais=elle=con=vul=sion=nait=son=cœur=bat=tait=la=cha=ma=deet=tout=à=coup=se=ré=vul=sait=à=mes=pieds=jé=tais=at=ter=ré=per=dre=ce=que=lon=ai=me=mon=cœur=se=prit=du=ne=in=ten=se=dou=leur 68
que=fai=re 3
la=res=pi=ra=tion=ar=ti=fi=ciel=le=pas=ques=tion=a=lors=je=re=mis=le=pro=grammeà=zé=ro=et=la=re=mis=en=fonc=tion 30
bon=al=lait=tel=le=nous=lâ=cher=dans=un=mo=ment=aus=si=cru=cial 16
jé=tais=fi=gé=de=vant=elle=le=cœur=bat=tant=peine=per=due=mainte=nant=el=lea=go=ni=sait=im=plo=rant=dieu=sait=quel=leaide=dont=jé=tais=in=ca=pa=ble=de=sai=sir=la=por=tée 41
jap=pe=lais=à=lai=de=ma=my=vint=et=cons=ta=ta=el=le=aus=si=son=é=tat=de=fin=de=vie 24
il=y=a=vait=en=coreune=chance=je=cou=ru=à=lé=tage=bon=ne=mè=re=oui=les=se=cours=via=les=pa=ges=jau=nes=dé=pan=na=ges=de=ma=chi=nes=à=les=si=ver=non=rien=ah=les=sa=lauds=ma=chi=nes=à=la=ver=con=ces=sion=nai=res=oui=ouf=le=ven=deur=con=des=cen=dit=à=me=ré=pon=dre=oui=jai=fait=le=bon=diag=nos=tic=cest=gra=ve=très=gra=ve=il=fal=lait=un=nou=veau=pro=gram=ma=teur=au=tant=di=re=quil=fal=lait=u=ne=trans=plan=ta=tion=car=diaque=vu=le=mo=dè=lean=ci=en=dit=til=cé=tait=pos=si=ble=mais=dif=fi=ci=le=ment=ré=a=li=sa=ble=de=nos=jours=il=fal=lait=sy=ré=sou=dre=lâ=cher=cet=te=bel=leet=fi=dè=le=piè=ce=la=met=tre=au=re=but=a=lors=quel=le=vi=vait=en=co=re=un=peu=cé=tait=top=dur=ma=my=é=tait=là=et=ma=les=si=ve=je=fais=quoi=je=re=vins=à=la=ré=a=li=té=il=me=fal=lait=u=ne=plus=ré=cen=te=u=ne=plus=jeu=ne=u=ne=plus=frin=gan=te=u=ne=plus=bel=le=u=ne=plus=mo=der=ne=in=for=ma=ti=sée=com=me=on=dit 239
nous=plon=geâ=mes=le=nez=dans=les=pubs=et=dans=lin=ternet=comme=ils=disent=puis=tout=comp=te=fait=au=propre=com=meau=fi=gu=ré=a=près=le=dî=ner=nous=fon=çâ=mes=chez=ma=kro 40
elleé=tait=là=el=le=nous=at=ten=dait=prêteà=nous=ser=vir=sans=re=lâche=el=le=sa=vait=que=nous=vien=drions=et=ne=fit=au=cune=dif=fi=cul=té=à=nous=suivre=nous=la=dé=po=sâ=mes=dans=le=ga=rageet=lui=ac=cor=dâ=mes=un=ré=pit=de=bien=ve=nue=bien=au=chaud=dans=son=em=bal=la=ge=de=jeu=ne=ma=ri=ée=mais=voi=là=tout=à=u=ne=fin=sur=tout=les=bon=nes=cho=ses=et=de=ce=pas=nous=al=lâ=mes=lui=re=ti=rer=ses=a=tours=ap=pe=lés=em=bal=la=ge=par=ces=rus=tres=de=com=mer=çants 118
quel=dé=lire=il=faut=bien=le=di=reet=lé=crire=il=ny=a=pas=de=re=con=nais=sance=pour=les=viei=lles=ma=chi=nes=à=les=si=ver=que=dieu=ma=chi=neait=son=â=me=el=le=la=bien=mé=ri=té=ce=pe=tit=laïus 50
ja=vais=pas=sé=une=nuit=glau=que=in=cons=ciem=ment=je=sa=vais=ce=qui=mat=ten=dait=je=des=cen=dis=les=es=ca=liers=me=nant=au=gy=né=cée=dun=pas=me=su=ré=mais=lourd=pour=tant=ja=vais=at=ten=du=mais=mainte=nant=il=é=tait=temps=je=ne=pou=vais=plus=ter=gi=ver=ser=el=lea=vait=eu=droit=à=un=ré=pit=un=temps=de=grâ=ce=com=meon=dit=car=ellea=vait=droit=à=de=la=con=si=dé=ra=tion=à=du=res=pect=même=cest=quac=cueillir=u=ne=nou=vel=le=ma=chi=ne=à=les=si=ver=de=man=de=as=su=ré=ment=u=ne=em=pa=thie=cer=tai=ne=dou=blée=du=ne=for=ma=tion=psy=cho=lo=gique=cet=ac=cueil=est=un=ri=te=qui=re=vêt=u=ne=im=por=tan=ce=dont=peu=sen=sou=cie=par=i=gno=ran=ce=pu=re=et=sim=ple=quel=le=dé=so=la=tion 176
je=la=vis=el=le=na=vait=pas=bou=gé=notre=ca=ni=cheé=tait=res=té=a=vec=elle=du=rant=la=nuit=je=lui=a=vais=con=fié=la=bonne=fillea=fin=quel=le=ne=fut=pas=seuleen=ce=lieu=en=co=re=é=tran=ger 48
em=preint=dun=res=pect=qui=mé=tonne=ra=tou=jours=la=ni=mal=a=vait=o=mis=de=le=ver=la=pat=te=sur=la=déesse=sans=dou=tea=vait=til=flai=ré=que=ce=la=ne=se=fai=sait=pas=pour=lui=cé=tait=à=nen=pas=en=dou=ter=une=grande=mar=que=de=res=pect=je=lui=en=fus=gré=et=il=re=mon=ta=mis=sion=ac=com=plie=lins=tant=né=tait=plus=aux=é=tats=dâ=me=il=fal=lait=a=gir=je=mem=pa=rai=du=ne=la=me=tran=chan=te=cou=pai=ses=cein=tu=res=et=la=cé=rai=ses=a=tours=son=voi=le=de=plas=ti=que=lu=mi=nes=cent=sous=le=néon=tom=ba=sur=le=sol=froid=jat=ta=chai=la=gan=gue=de=po=ly=sty=rè=ne=qui=en=ser=rait=son=corps=tô=lé=la=ma=tiè=re=cra=qua=et=des=per=les=blan=ches=i=non=dè=rent=la=piè=ce=of=frant=là=un=ca=deau=sa=cri=fi=ciel=in=tense 184
mainte=nant=el=leé=tait=de=vant=moi=nue=in=vio=lée=sa=peau=blanche=im=ma=cu=lée=ma=gorge=se=ser=ra=de=vant=cet=te=beau=té=dia=phane=el=le=sex=hi=bait=sans=con=train=te=fiè=reet=al=tiè=re=com=meelle=a=vait=vou=lu=quon=la=vit=il=ne=fal=lait=pas=se=trom=per=cé=tait=non=pas=u=ne=quel=con=que=prin=ces=se=mais=u=ne=rei=ne=de=tech=no=lo=gie=prê=te=à=ré=gner=sur=un=ro=yau=me=pro=mis=car=vous=oui=vous=sa=chez=quel=le=se=tar=gue=de=la=fa=mille=des=trois=a=a=vec=un=es=so=ra=ge=de=mille=six=cents=tours 127
si=cé=tait=une=fem=me=on=di=rait=del=le=quel=leest=jo=lie=tou=jours=prête=de=bonne=san=té=ro=bus=te=é=co=no=me=et=puis=et=plus 33
je=lem=me=nai=dans=son=ro=yaume=dit=de=la=buande=rie=poudres=et=li=qui=des=à=les=si=ver=lat=ten=daient=re=cueillis=a=vec=dé=tar=trants=as=sou=plis=sants=ja=vel=am=mo=nia=queet=que=sais=jeen=core=mais=le=fu=tur=prin=ce=con=sort=sé=choir=at=ten=dait=a=vec=é=mo=tion=bien=tôt=il=par=ta=ge=rait=son=exis=ten=ce=rè=gne=rait=a=vec=elle=sur=ce=pe=tit=monde 86
ma=my=la=grande=prêtres=se=a=vait=sui=vi=el=leof=fi=cia=il=faut=re=ti=rer=ce=qui=lem=pêche=de=tour=ner=ré=ci=ta=tel=le=mo=no=corde=je=me=pla=çai=der=riè=reelleet=dé=vis=sai=les=af=freux=gou=jons=qui=en=ser=rés=dans=sa=chair=em=pê=chaient=son=ven=tre=sa=cu=ve=de=tour=ner=en=rond=cé=tait=ser=ré=et=je=dus=la=con=train=dre=mais=que=fai=re=dau=tre=en=fin=ils=cé=dè=rent=sous=lef=fort=des=gou=jons=de=chas=te=té=je=vous=le=dis=rien=de=moins=mais=qui=a=vait=in=ven=té=ce=trai=te=ment=di=gne=dun=au=tre=â=ge=ah=si=je=le=te=nais=en=tre=mes=mains 138
je=pris=l=élément=de=dé=char=ge=que=je=vis=sai=à=lo=ri=fi=cead=hoc=de=même=je=pris=le=fil=aux=élec=trons=libres=et=le=bran=chai=là=où=vous=pen=sez=pour=lad=mis=sion=de=flot=te=ce=fut=du=pa=reil=au=mê=me=vis=ser=là=où=le=jus=dé=nom=mé=eau=en=tra=je=la=pris=a=lors=à=bras=le=corps=len=ser=rai=for=te=ment=et=la=pla=qua=con=tre=le=mur=el=le=y=trô=ne=ra=dé=sor=mais=en=tre=lar=ri=vée=d=élec=trons=et=le=mi=gnon=pe=tit=ro=bi=net=à=jus=h=deux=o 118
puis=la=grande=prêtres=se=fouilla=le=ventre=de=la=bel=le=y=re=ti=ra=le=gui=de=dem=ploi=le=bré=viai=re=la=char=te=de=lin=gé=nue=de=fait=ne=vous=con=fon=dez=pas=en=con=jec=tu=res=il=faut=sui=vre=ce=gui=de=si=vous=dé=si=rez=ef=fleu=rer=ses=pe=tits=bou=tons=et=pé=né=trer=dans=sa=grot=te=cir=cu=lai=re=par=le=hu=blot 81
elle=lut=a=près=of=fi=ciant=elle=même=la=prêtres=se=seu=leà=pou=voir=pé=né=trer=les=fonde=ments=de=la=jo=lie=lui=fit=un=pre=mier=rin=çage=cé=tait=je=le=sup=po=se=com=meu=ne=sor=te=din=jec=tion=au=tre=fois=pra=ti=quée=par=le=sexe=fé=mi=nin=sa=gis=sant=là=du=ne=pu=ri=fi=ca=tion=post=fonc=tion=lim=por=tan=ce=du=ri=te=ne=mé=chap=pa=cé=tait=la=po=gée=de=la=cé=ré=mo=nie=son=a=ve=nir=en=dé=pen=dait=car=il=ne=fal=lait=pas=que=des=im=pu=re=tés=nui=sis=sent=nos=fu=turs=rap=ports=nous=de=vions=a=voir=con=fian=ceen=elle 133
bien=tôt=elle=dé=mar=ra=tour=nant=de=plus=en=plus=le=li=quide=gi=cla=sur=le=hu=blot=el=le=ron=ron=nait=com=meune=chat=te=que=lon=ca=resse=el=le=dé=li=rait=oui=vraiment=el=le=dé=li=rait=de=cet=te=pre=miè=re=son=pre=mier=pro=gramme 57
la=grande=prêtres=se=me=re=gar=da=sans=mot=dire=je=vis=quel=leé=tait=sa=tis=fai=te=de=no=tre=pro=té=gée=je=sus=que=les=dieux=de=la=les=si=veé=taient=par=mi=nous=pour=long=temps=et=que=le=lin=ge=sa=le=na=vait=dé=sor=mais=plus=quà=bien=se=te=nir 61

emi=le=s=la=sh=buis=son=nets 8
Phonétique : Brave Machine À Lessiver« sεtə bεllə istwaʁə, ε tut- a fε vʁε e vekɥ… ɑ̃fɛ̃ pʁεskə » !
il i a də bɔnə ʒuʁne, dε ʒuʁne bɔnə, sεllə ki ɑ̃ pʁɛ̃sipə dəvʁε lεtʁə…
setε kɔmə jεʁ, lə sɔlεj etε la, ɑ̃fɛ̃ ʒə mə sɑ̃tε mjø. mε dulœʁ tʁε divεʁsə- sεstɔ̃pε kɔmə la ditə nɔʁmə (sεllə də la delikesɑ̃sə dε valœʁ familjaləs) .
ʒavεz- ɑ̃pwaɲe ma tɔ̃døzə a ɡazɔ̃ e deʒa lεʁbə tʁo-otə etε foʃe plys ba kə lε pakəʁεtə.
sudɛ̃ œ̃ bʁɥi ɛ̃tɑ̃pεstif mə paʁvɛ̃ də la bɥɑ̃dəʁi dɔ̃ la pɔʁtə etε ʁεste uvεʁtə.
ketε sə ? bɔ̃ djø !
ʒakuʁy, εllə etε tuʒuʁ la stɔikə a la mεmə plasə, kɔmə dəpɥi bjɛ̃ dεz- ane. mεz- εllə kɔ̃vylsjɔnε, sɔ̃ kœʁ batε la ʃamadə e tut- a ku sə ʁevylsε a mε pje. ʒetεz- ateʁe, pεʁdʁə sə kə lɔ̃n- εmə, mɔ̃ kœʁ sə pʁi dynə ɛ̃tɑ̃sə dulœʁ.
kə fεʁə ?
la ʁεspiʁasjɔ̃ aʁtifisjεllə pa kεstjɔ̃, alɔʁ ? ʒə ʁəmi lə pʁɔɡʁamə a zeʁo e la ʁəmiz- ɑ̃ fɔ̃ksjɔ̃.
bɔ̃, alε tεllə nu laʃe dɑ̃z- œ̃ mɔmɑ̃ osi kʁysjal ?
ʒetε fiʒe dəvɑ̃ εllə, lə kœʁ batɑ̃, pεnə pεʁdɥ mɛ̃tənɑ̃ εllə aɡɔnizε ɛ̃plɔʁɑ̃ djø sε kεllə εdə dɔ̃ ʒetεz- ɛ̃kapablə də sεziʁ la pɔʁte.
ʒapəlεz- a lεdə, mami vɛ̃ e kɔ̃stata εllə osi sɔ̃n- eta də fɛ̃ də vi…
il i avε ɑ̃kɔʁə ynə ʃɑ̃sə, ʒə kuʁy a letaʒə. bɔnə mεʁə, ui, lε səkuʁ vja lε paʒə ʒonə : depanaʒə də maʃinəz- a lesive : nɔ̃ ʁjɛ̃, a lε salo, maʃinəz- a lave, kɔ̃sesjɔnεʁə : ui, uf. lə vɑ̃dœʁ kɔ̃desɑ̃di a mə ʁepɔ̃dʁə : ui, ʒε fε lə bɔ̃ djaɲɔstik. sε ɡʁavə, tʁε ɡʁavə, il falε œ̃ nuvo pʁɔɡʁamatœʁ ! otɑ̃ diʁə kil falε ynə tʁɑ̃splɑ̃tasjɔ̃ kaʁdjakə. vy lə mɔdεlə ɑ̃sjɛ̃ di til setε pɔsiblə mε difisiləmɑ̃ ʁealizablə də no ʒuʁ. il falε si ʁezudʁə, laʃe sεtə bεllə e fidεlə pjεsə, la mεtʁə o ʁəby alɔʁ kεllə vivε ɑ̃kɔʁə œ̃ pø. setε tɔp dyʁ… mami etε la e ma lesivə ? ʒə fε kwa ? ʒə ʁəvɛ̃z- a la ʁealite, il mə falε ynə plys ʁesɑ̃tə, ynə plys ʒənə, ynə plys fʁɛ̃ɡɑ̃tə, ynə plys bεllə, ynə plys mɔdεʁnə, ɛ̃fɔʁmatize kɔmə ɔ̃ di.
nu plɔ̃ʒamə lə ne dɑ̃ lε pybz- e dɑ̃ lɛ̃tεʁnεt kɔmə il dize. pɥi tu kɔ̃tə fε, o pʁɔpʁə kɔmə o fiɡyʁe, apʁε lə dine nu fɔ̃samə ʃe makʁo.
εllə etε la, εllə nuz- atɑ̃dε pʁεtə a nu sεʁviʁ sɑ̃ ʁəlaʃə. εllə savε kə nu vjɛ̃dʁjɔ̃z- e nə fi okynə difikylte a nu sɥivʁə. nu la depozamə dɑ̃ lə ɡaʁaʒə e lɥi akɔʁdaməz- œ̃ ʁepi də bjɛ̃vənɥ, bjɛ̃ o ʃo dɑ̃ sɔ̃n- ɑ̃balaʒə də ʒənə maʁje. mε vwala tut- a ynə fɛ̃, syʁtu lε bɔnə ʃozəz- e də sə pa nuz- alamə lɥi ʁətiʁe sεz- atuʁz- apəles « ɑ̃balaʒə » paʁ sε ʁystʁə- də kɔmεʁsɑ̃.
kεl deliʁə, il fo bjɛ̃ lə diʁə e lekʁiʁə : il ni a pa də ʁəkɔnεsɑ̃sə puʁ lε vjεjə maʃinəz- a lesive, kə djø maʃinə ε sɔ̃n- amə, εllə la bjɛ̃ meʁite sə pəti lajys.
ʒavε pase ynə nɥi ɡlokə, ɛ̃kɔ̃sjamɑ̃ ʒə savε sə ki matɑ̃dε. ʒə desɑ̃di lεz- εskalje mənɑ̃ o ʒinese dœ̃ pa məzyʁe mε luʁ. puʁtɑ̃ ʒavεz- atɑ̃dy mε, mɛ̃tənɑ̃ il etε tɑ̃, ʒə nə puvε plys tεʁʒivεʁse. εllə avε y dʁwa a œ̃ ʁepi, œ̃ tɑ̃ də ɡʁasə kɔmə ɔ̃ di kaʁ εllə avε dʁwa a də la kɔ̃sideʁasjɔ̃, a dy ʁεspε mεmə. sε kakœjiʁ ynə nuvεllə maʃinə a lesive dəmɑ̃də asyʁemɑ̃ ynə ɑ̃pati sεʁtεnə, duble dynə fɔʁmasjɔ̃ psikɔlɔʒikə. sεt akœj εt- œ̃ ʁitə ki ʁəvε ynə ɛ̃pɔʁtɑ̃sə dɔ̃ pø sɑ̃ susi paʁ iɲɔʁɑ̃sə pyʁə e sɛ̃plə : kεllə dezɔlasjɔ̃ !
ʒə la vis, εllə navε pa buʒe. nɔtʁə kaniʃə etε ʁεste avεk εllə dyʁɑ̃ la nɥi. ʒə lɥi avε kɔ̃fje la bɔnə fijə afɛ̃ kεllə nə fy pa sələ ɑ̃ sə ljø ɑ̃kɔʁə etʁɑ̃ʒe.
ɑ̃pʁɛ̃ dœ̃ ʁεspε ki metɔnəʁa tuʒuʁ, lanimal avε ɔmi də ləve la patə syʁ la deεsə. sɑ̃ dutə avε til flεʁe kə səla nə sə fəzε pa. puʁ lɥi setε, a nɑ̃ pa ɑ̃ dute, ynə ɡʁɑ̃də maʁkə də ʁεspε. ʒə lɥi ɑ̃ fy ɡʁe e il ʁəmɔ̃ta misjɔ̃ akɔ̃pli. lɛ̃stɑ̃ netε plysz- oz- eta damə, il falε aʒiʁ. ʒə mɑ̃paʁε dynə lamə tʁɑ̃ʃɑ̃tə, kupε sε sɛ̃tyʁəz- e laseʁε sεz- atuʁ, sɔ̃ vwalə də plastikə lyminesɑ̃ su lə neɔ̃ tɔ̃ba syʁ lə sɔl fʁwa. ʒataʃε la ɡɑ̃ɡ də pɔlistiʁεnə ki ɑ̃seʁε sɔ̃ kɔʁ tole. la matjεʁə kʁaka e dε pεʁlə- blɑ̃ʃəz- inɔ̃dεʁe la pjεsə, ɔfʁɑ̃ la œ̃ kado sakʁifisjεl ɛ̃tɑ̃sə.
mɛ̃tənɑ̃, εllə etε dəvɑ̃ mwa, nɥ, ɛ̃vjɔle, sa po blɑ̃ʃə, imakyle, ma ɡɔʁʒə sə seʁa dəvɑ̃ sεtə bote djafanə. εllə sεɡzibε sɑ̃ kɔ̃tʁɛ̃tə, fjεʁə e altjεʁə kɔmə εllə avε vuly kɔ̃ la vit. il nə falε pa sə tʁɔ̃pe, setε nɔ̃ pa ynə kεlkɔ̃kə pʁɛ̃sεsə mεz- ynə ʁεnə də tεknɔlɔʒi pʁεtə a ʁeɲe syʁ œ̃ ʁwajomə pʁɔmi. kaʁ vu, ui vu, saʃe kεllə sə taʁɡ də la famijə dε tʁwaz- a avεk œ̃n- esɔʁaʒə də milə si- sɑ̃ tuʁ.
si setε ynə famə, ɔ̃ diʁε dεllə kεllə ε ʒɔli, tuʒuʁ pʁεtə, də bɔnə sɑ̃te, ʁɔbystə, ekɔnɔmə, e pɥi, e plys…
ʒə lamənε dɑ̃ sɔ̃ ʁwajomə di də la « bɥɑ̃dəʁjə ». pudʁəz- e likidəz- a lesive latɑ̃dε, ʁəkœjiz- avεk detaʁtʁɑ̃, asuplisɑ̃, ʒavεl, amɔnjakə e kə sε ʒə ɑ̃kɔʁə. mε lə fytyʁ pʁɛ̃sə kɔ̃sɔʁt « seʃwaʁ » atɑ̃dε avεk emɔsjɔ̃. bjɛ̃to il paʁtaʒəʁε sɔ̃n- εɡzistɑ̃sə, ʁεɲəʁε avεk εllə syʁ sə pəti mɔ̃də.
mami, la ɡʁɑ̃də pʁεtʁεsə, avε sɥivi. εllə ɔfisja : « il fo ʁətiʁe sə ki lɑ̃pεʃə də tuʁnəʁ » ʁesita tεllə monokɔʁdə. ʒə mə plasε dəʁjεʁə εllə e devisε lεz- afʁø ɡuʒɔ̃ ki ɑ̃seʁe dɑ̃ sa ʃεʁ, ɑ̃pεʃε sɔ̃ vɑ̃tʁə, sa kyvə də tuʁne ɑ̃ ʁɔ̃. setε seʁe e ʒə dy la kɔ̃tʁɛ̃dʁə… mε kə fεʁə dotʁə ! ɑ̃fɛ̃, il sedεʁe su lefɔʁ. dε ɡuʒɔ̃ də ʃastəte ʒə vu lə di, ʁjɛ̃ də mwɛ̃. mε ki avε ɛ̃vɑ̃te sə tʁεtəmɑ̃ diɲə dœ̃n- otʁə aʒə ? a, si ʒə lə tənεz- ɑ̃tʁə mε mɛ̃…
ʒə pʁi lelemɑ̃ də deʃaʁʒə kə ʒə visε a lɔʁifisə ad ɔk, də mεmə ʒə pʁi lə fil oz- elεktʁɔ̃ libʁəz- e lə bʁɑ̃ʃε la u vu pɑ̃se. puʁ ladmisjɔ̃ də flɔtə, sə fy dy paʁεj o mεmə : vise la u lə ʒy denɔme « o » ɑ̃tʁa. ʒə la pʁiz- alɔʁz- a bʁa lə kɔʁ, lɑ̃seʁε fɔʁtəmɑ̃ e la plaka kɔ̃tʁə lə myʁ. εllə i tʁonəʁa dezɔʁmεz- ɑ̃tʁə laʁive delεktʁɔ̃z- e lə miɲɔ̃ pəti ʁɔbinε a ʒy aʃ døz- o.
pɥi la ɡʁɑ̃də pʁεtʁεsə fuja lə vɑ̃tʁə də la bεllə, i ʁətiʁa lə ɡidə dɑ̃plwa, lə bʁevjεʁə : la ʃaʁtə də lɛ̃ʒenɥ. də fε, nə vu kɔ̃fɔ̃de pa ɑ̃ kɔ̃ʒεktyʁə, il fo sɥivʁə sə ɡidə si vu deziʁez- efləʁe sε pəti butɔ̃z- e penetʁe dɑ̃ sa ɡʁɔtə siʁkylεʁə paʁ lə yblo.
εllə ly… apʁε, ɔfisjɑ̃ εllə mεmə, la pʁεtʁεsə, sələ a puvwaʁ penetʁe lε fɔ̃dəmɑ̃ də la ʒɔli, lɥi fi œ̃ pʁəmje ʁɛ̃saʒə. setε, ʒə lə sypozə, kɔmə ynə sɔʁtə dɛ̃ʒεksjɔ̃ otʁəfwa pʁatike paʁ lə sεksə feminɛ̃. saʒisɑ̃ la dynə pyʁifikasjɔ̃ pɔst fɔ̃ksjɔ̃. lɛ̃pɔʁtɑ̃sə dy ʁitə nə meʃapa, setε lapɔʒe də la seʁemɔni. sɔ̃n- avəniʁ ɑ̃ depɑ̃dε kaʁ il nə falε pa kə dεz- ɛ̃pyʁəte nɥizise no fytyʁ ʁapɔʁ. nu dəvjɔ̃z- avwaʁ kɔ̃fjɑ̃sə ɑ̃n- εllə.
bjɛ̃to εllə demaʁa, tuʁnɑ̃ də plysz- ɑ̃ plys, lə likidə ʒikla syʁ lə yblo, εllə ʁɔ̃ʁɔnε kɔmə ynə ʃatə kə lɔ̃ kaʁεsə. εllə deliʁε, ui vʁεmɑ̃, εllə deliʁε də sεtə pʁəmjεʁə, sɔ̃ pʁəmje pʁɔɡʁamə.
la ɡʁɑ̃də pʁεtʁεsə mə ʁəɡaʁda sɑ̃ mo diʁə, ʒə vis kεllə etε satisfεtə də nɔtʁə pʁɔteʒe. ʒə sy kə lε djø də la lesivə etε paʁmi nu puʁ lɔ̃tɑ̃z- e kə lə lɛ̃ʒə salə navε dezɔʁmε plys ka bjɛ̃ sə təniʁ.

əmilə slaʃ bɥisɔnε
Syllabes Phonétique : Brave Machine À Lessiversε=tə=bεl=lə=is=twa=ʁə=ε=tu=ta=fε=vʁε=e=vekɥ=ɑ̃=fɛ̃=pʁεs=kə 19
il=i=a=də=bɔ=nə=ʒuʁ=ne=dε=ʒuʁ=ne=bɔ=nə=sεl=lə=ki=ɑ̃=pʁɛ̃=si=pə=də=vʁε=lε=tʁə 24
se=tεkɔmə=jεʁ=lə=sɔ=lεj=e=tε=la=ɑ̃=fɛ̃ʒə=mə=sɑ̃=tε=mjø=mε=du=lœʁ=tʁε=di=vεʁ=sə=sεs=tɔ̃=pε=kɔ=mə=la=di=tə=nɔʁ=mə=sεl=lə=də=la=de=li=ke=sɑ̃=sə=dε=va=lœʁ=fa=mi=lja=ləs 48
ʒa=vε=zɑ̃=pwa=ɲe=ma=tɔ̃=døzəa=ɡa=zɔ̃=e=de=ʒalεʁbə=tʁo-o=təe=tε=fo=ʃe=plys=ba=kə=lε=pa=kə=ʁεtə 26
su=dɛ̃=œ̃=bʁɥi=ɛ̃=tɑ̃=pεs=tif=mə=paʁ=vɛ̃də=la=bɥɑ̃=də=ʁi=dɔ̃=la=pɔʁ=təe=tε=ʁεs=te=u=vεʁtə 24
ke=tε=sə=bɔ̃=dj=ø 6
ʒa=ku=ʁy=εl=ləe=tε=tu=ʒuʁ=la=stɔikəa=la=mεmə=pla=sə=kɔ=mə=dəp=ɥi=bjɛ̃=dε=za=ne=mε=zεllə=kɔ̃=vyl=sjɔ=nε=sɔ̃=kœʁ=ba=tε=la=ʃa=ma=dəe=tu=ta=ku=sə=ʁe=vyl=sε=a=mε=pje=ʒe=tε=za=te=ʁe=pεʁ=dʁə=sə=kə=lɔ̃=nε=mə=mɔ̃=kœʁ=sə=pʁi=dy=nə=ɛ̃=tɑ̃=sə=du=lœʁ 69
kə=fε=ʁə 3
la=ʁεs=pi=ʁa=sjɔ̃=aʁ=ti=fi=sjεllə=pa=kεs=tjɔ̃=alɔʁ=ʒə=ʁə=milə=pʁɔ=ɡʁa=məa=ze=ʁo=e=laʁə=mi=zɑ̃=fɔ̃k=sjɔ̃ 27
bɔ̃=a=lε=tεl=lə=nu=la=ʃe=dɑ̃=zœ̃=mɔ=mɑ̃=o=si=kʁy=sjal 16
ʒe=tε=fi=ʒe=də=vɑ̃εllə=lə=kœʁ=ba=tɑ̃=pεnə=pεʁdɥ=mɛ̃tə=nɑ̃=εl=ləa=ɡɔ=ni=zε=ɛ̃=plɔ=ʁɑ̃=djø=sε=kεlləε=də=dɔ̃=ʒe=tε=zɛ̃=ka=pa=blə=də=sε=ziʁ=la=pɔʁ=te 39
ʒa=pə=lε=za=lε=də=ma=mi=vɛ̃=e=kɔ̃s=ta=ta=εl=lə=o=si=sɔ̃=ne=ta=də=fɛ̃=də=vi 24
il=i=a=vε=ɑ̃kɔʁəynə=ʃɑ̃=sə=ʒə=ku=ʁy=a=le=ta=ʒə=bɔ=nə=mε=ʁə=ui=lε=sə=kuʁ=vja=lε=pa=ʒə=ʒo=nə=de=pa=na=ʒə=də=ma=ʃi=nə=za=le=si=ve=nɔ̃=ʁjɛ̃=a=lε=sa=lo=ma=ʃi=nə=za=la=ve=kɔ̃=se=sjɔ=nε=ʁə=ui=uf=lə=vɑ̃=dœʁ=kɔ̃=de=sɑ̃=di=a=mə=ʁe=pɔ̃=dʁə=ui=ʒε=fε=lə=bɔ̃=dja=ɲɔs=tik=sε=ɡʁa=və=tʁε=ɡʁa=və=il=fa=lε=œ̃=nu=vo=pʁɔ=ɡʁa=ma=tœʁ=o=tɑ̃=di=ʁə=kil=fa=lε=y=nə=tʁɑ̃s=plɑ̃=ta=sjɔ̃=kaʁ=dja=kə=vy=lə=mɔ=dε=ləɑ̃=sjɛ̃=di=til=se=tε=pɔ=si=blə=mε=di=fi=si=lə=mɑ̃=ʁe=a=li=za=blə=də=no=ʒuʁ=il=fa=lε=si=ʁe=zu=dʁə=la=ʃe=sε=tə=bεlləe=fi=dε=lə=pjε=sə=la=mε=tʁə=o=ʁə=by=a=lɔʁ=kεllə=vi=vε=ɑ̃=kɔ=ʁə=œ̃=pø=se=tε=tɔp=dyʁ=ma=mi=e=tε=la=e=ma=le=si=və=ʒə=fε=kwa=ʒə=ʁə=vɛ̃=za=la=ʁe=a=li=te=il=mə=fa=lε=y=nə=plys=ʁe=sɑ̃=tə=y=nə=plys=ʒə=nə=y=nə=plys=fʁɛ̃=ɡɑ̃=tə=y=nə=plys=bεllə=y=nə=plys=mɔ=dεʁ=nə=ɛ̃=fɔʁ=ma=ti=ze=kɔ=mə=ɔ̃=di 237
nuplɔ̃ʒamə=lə=ne=dɑ̃=lε=pyb=ze=dɑ̃=lɛ̃=tεʁ=nεt=kɔ=mə=il=di=ze=pɥi=tu=kɔ̃=tə=fε=o=pʁɔ=pʁə=kɔ=məo=fi=ɡy=ʁe=a=pʁε=lə=di=ne=nu=fɔ̃=sa=mə=ʃe=ma=kʁo 41
εlləe=tε=la=εl=lə=nu=za=tɑ̃=dεpʁεtəa=nu=sεʁ=viʁ=sɑ̃ʁə=la=ʃə=εl=lə=sa=vε=kə=nu=vjɛ̃=dʁjɔ̃=ze=nə=fi=o=ky=nə=di=fi=kyl=te=a=nu=sɥi=vʁə=nu=la=de=po=za=mə=dɑ̃=lə=ɡa=ʁa=ʒəe=lɥi=a=kɔʁ=da=mə=zœ̃=ʁe=pi=də=bjɛ̃=vənɥ=bjɛ̃=o=ʃo=dɑ̃=sɔ̃=nɑ̃=ba=la=ʒə=də=ʒə=nə=ma=ʁje=mε=vwa=la=tu=ta=y=nə=fɛ̃=syʁ=tu=lε=bɔ=nə=ʃo=zə=ze=də=sə=pa=nu=za=la=mə=lɥi=ʁə=ti=ʁe=sε=za=tuʁ=za=pə=les=ɑ̃=ba=la=ʒə=paʁ=sε=ʁys=tʁə=də=kɔ=mεʁ=sɑ̃ 118
kεl=de=liʁə=il=fo=bjɛ̃lə=di=ʁəe=le=kʁiʁə=il=ni=a=pa=də=ʁə=kɔ=nε=sɑ̃=sə=puʁ=lε=vjεjə=ma=ʃi=nə=za=le=si=ve=kə=djø=ma=ʃi=nəε=sɔ̃=na=mə=εl=lə=la=bjɛ̃=me=ʁi=te=sə=pə=ti=la=jys 50
ʒa=vε=pase=ynə=nɥi=ɡlokə=ɛ̃=kɔ̃=sja=mɑ̃=ʒə=sa=vε=sə=ki=ma=tɑ̃=dε=ʒə=de=sɑ̃=di=lε=zεs=ka=lje=mə=nɑ̃=o=ʒi=ne=se=dœ̃=pa=mə=zy=ʁe=mε=luʁ=puʁ=tɑ̃=ʒa=vε=za=tɑ̃=dy=mε=mɛ̃=tə=nɑ̃=il=e=tε=tɑ̃=ʒə=nə=pu=vε=plys=tεʁ=ʒi=vεʁ=se=εl=ləa=vε=y=dʁwa=a=œ̃=ʁe=pi=œ̃=tɑ̃=də=ɡʁa=sə=kɔ=məɔ̃=di=kaʁ=εlləa=vε=dʁwa=a=də=la=kɔ̃=si=de=ʁa=sjɔ̃=a=dy=ʁεs=pε=mε=mə=sε=ka=kœjiʁ=y=nə=nu=vεllə=ma=ʃi=nə=a=le=si=ve=də=mɑ̃=də=a=sy=ʁe=mɑ̃=y=nə=ɑ̃=pa=ti=sεʁ=tε=nə=du=ble=dy=nə=fɔʁ=ma=sjɔ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=sεt=a=kœj=ε=tœ̃=ʁi=tə=ki=ʁə=vε=y=nə=ɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=sə=dɔ̃=pø=sɑ̃=su=si=paʁ=i=ɲɔ=ʁɑ̃=sə=py=ʁə=e=sɛ̃=plə=kεl=lə=de=zɔ=la=sjɔ̃ 176
ʒə=la=vis=εl=lə=na=vε=pa=bu=ʒe=nɔtʁə=ka=ni=ʃəe=tε=ʁεs=te=a=vεk=εllə=dy=ʁɑ̃=la=nɥi=ʒə=lɥi=a=vε=kɔ̃=fje=labɔnə=fi=jəa=fɛ̃=kεllə=nə=fy=pa=sə=ləɑ̃=sə=ljø=ɑ̃=kɔ=ʁə=e=tʁɑ̃=ʒe 48
ɑ̃=pʁɛ̃=dœ̃=ʁεs=pε=ki=me=tɔnə=ʁa=tu=ʒuʁ=la=ni=mal=a=vε=ɔmidə=lə=ve=la=pa=tə=syʁ=la=de=ε=sə=sɑ̃=du=təa=vε=til=flε=ʁe=kə=sə=la=nə=sə=fə=zε=pa=puʁ=lɥi=se=tε=a=nɑ̃=pa=ɑ̃=du=te=y=nə=ɡʁɑ̃=də=maʁ=kə=də=ʁεs=pε=ʒə=lɥi=ɑ̃=fy=ɡʁe=e=il=ʁə=mɔ̃=ta=mi=sjɔ̃=a=kɔ̃=pli=lɛ̃s=tɑ̃=ne=tε=plys=zo=ze=ta=da=mə=il=fa=lε=a=ʒiʁ=ʒə=mɑ̃=pa=ʁε=dy=nə=la=mə=tʁɑ̃=ʃɑ̃=tə=ku=pε=sε=sɛ̃=ty=ʁə=ze=la=se=ʁε=sε=za=tuʁ=sɔ̃=vwa=lə=də=plas=ti=kə=ly=mi=ne=sɑ̃=su=lə=ne=ɔ̃=tɔ̃=ba=syʁ=lə=sɔl=fʁwa=ʒa=ta=ʃε=la=ɡɑ̃ɡ=də=pɔ=lis=ti=ʁε=nə=ki=ɑ̃=se=ʁε=sɔ̃=kɔʁ=to=le=la=ma=tjε=ʁə=kʁa=ka=e=dε=pεʁ=lə=blɑ̃=ʃə=zi=nɔ̃=dε=ʁe=la=pjε=sə=ɔ=fʁɑ̃=la=œ̃=ka=do=sa=kʁi=fi=sjεl=ɛ̃tɑ̃sə 185
mɛ̃tə=nɑ̃=εl=ləe=tεdə=vɑ̃=mwa=nɥ=ɛ̃=vjɔ=le=sa=po=blɑ̃ʃə=i=ma=ky=le=ma=ɡɔʁ=ʒə=sə=se=ʁa=də=vɑ̃=sε=tə=bo=te=dja=fa=nə=εl=lə=sεɡ=zi=bε=sɑ̃=kɔ̃=tʁɛ̃=tə=fjε=ʁəe=al=tjε=ʁə=kɔ=məεllə=a=vε=vu=ly=kɔ̃=la=vit=il=nə=fa=lε=pa=sə=tʁɔ̃=pe=se=tε=nɔ̃=pa=y=nə=kεl=kɔ̃=kə=pʁɛ̃=sε=sə=mε=zy=nə=ʁε=nə=də=tεk=nɔ=lɔ=ʒi=pʁε=tə=a=ʁe=ɲe=syʁ=œ̃=ʁwa=jo=mə=pʁɔ=mi=kaʁ=vu=ui=vu=sa=ʃe=kεllə=sə=taʁɡ=də=la=fa=mi=jə=dε=tʁwa=za=a=vεk=œ̃=ne=sɔ=ʁa=ʒə=də=mi=lə=si=sɑ̃=tuʁ 128
sise=tεynə=fa=mə=ɔ̃=di=ʁε=dεllə=kεl=ləε=ʒɔ=li=tu=ʒuʁ=pʁε=tə=də=bɔ=nə=sɑ̃=te=ʁɔ=bys=tə=e=kɔ=nɔ=mə=e=pɥi=e=plys 32
ʒə=lamə=nε=dɑ̃=sɔ̃=ʁwa=jomə=didə=la=bɥɑ̃=də=ʁjə=pu=dʁə=ze=li=ki=də=za=le=si=ve=la=tɑ̃=dε=ʁə=kœji=za=vεk=de=taʁ=tʁɑ̃=a=su=pli=sɑ̃=ʒa=vεl=a=mɔ=nja=kəe=kə=sε=ʒəɑ̃=kɔ=ʁə=mε=lə=fy=tyʁ=pʁɛ̃=sə=kɔ̃=sɔʁt=se=ʃwaʁ=a=tɑ̃=dε=a=vεk=e=mɔ=sjɔ̃=bjɛ̃=to=il=paʁ=ta=ʒə=ʁε=sɔ̃=nεɡ=zis=tɑ̃=sə=ʁε=ɲə=ʁε=a=vεk=εllə=syʁ=sə=pə=timɔ̃də 87
ma=mi=laɡʁɑ̃də=pʁε=tʁεsə=a=vε=sɥi=vi=εl=ləɔ=fi=sja=il=fo=ʁə=ti=ʁe=sə=ki=lɑ̃=pε=ʃə=də=tuʁ=nəʁ=ʁe=si=ta=tεllə=mo=no=kɔʁ=də=ʒə=mə=pla=sε=də=ʁjε=ʁəεlləe=de=vi=sε=lε=za=fʁø=ɡu=ʒɔ̃=ki=ɑ̃=se=ʁe=dɑ̃=sa=ʃεʁ=ɑ̃=pε=ʃε=sɔ̃=vɑ̃=tʁə=sa=ky=və=də=tuʁ=ne=ɑ̃=ʁɔ̃=se=tε=se=ʁe=e=ʒə=dy=la=kɔ̃=tʁɛ̃=dʁə=mε=kə=fε=ʁə=do=tʁə=ɑ̃=fɛ̃=il=se=dε=ʁe=su=le=fɔʁ=dε=ɡu=ʒɔ̃=də=ʃas=tə=te=ʒə=vu=lə=di=ʁjɛ̃=də=mwɛ̃=mε=ki=a=vε=ɛ̃=vɑ̃=te=sə=tʁε=tə=mɑ̃=di=ɲə=dœ̃=no=tʁə=a=ʒə=a=si=ʒə=lə=tə=nε=zɑ̃=tʁə=mε=mɛ̃ 138
ʒə=pʁi=le=le=mɑ̃də=de=ʃaʁʒə=kə=ʒə=vi=sε=a=lɔ=ʁi=fi=səad=ɔk=də=mεmə=ʒə=pʁi=lə=fil=o=ze=lεk=tʁɔ̃=li=bʁə=ze=lə=bʁɑ̃=ʃε=la=u=vu=pɑ̃=se=puʁ=lad=mi=sjɔ̃=də=flɔ=tə=sə=fy=dy=pa=ʁεj=o=mε=mə=vi=se=la=u=lə=ʒy=de=nɔ=me=o=ɑ̃=tʁa=ʒə=la=pʁi=za=lɔʁ=za=bʁa=lə=kɔʁ=lɑ̃=se=ʁε=fɔʁ=tə=mɑ̃=e=la=pla=ka=kɔ̃=tʁə=lə=myʁ=εl=lə=i=tʁo=nə=ʁa=de=zɔʁ=mε=zɑ̃=tʁə=la=ʁi=ve=de=lεk=tʁɔ̃=ze=lə=mi=ɲɔ̃=pə=ti=ʁɔ=bi=nε=a=ʒy=aʃ=dø=zo 119
pɥilaɡʁɑ̃də=pʁε=tʁε=sə=fu=ja=lə=vɑ̃=tʁə=də=la=bεllə=i=ʁə=ti=ʁa=lə=ɡi=də=dɑ̃=plwa=lə=bʁe=vjε=ʁə=la=ʃaʁ=tə=də=lɛ̃=ʒenɥ=də=fε=nə=vu=kɔ̃=fɔ̃=de=pa=ɑ̃=kɔ̃=ʒεk=ty=ʁə=il=fo=sɥi=vʁə=sə=ɡi=də=si=vu=de=zi=ʁe=ze=flə=ʁe=sε=pə=ti=bu=tɔ̃=ze=pe=ne=tʁe=dɑ̃=sa=ɡʁɔ=tə=siʁ=ky=lε=ʁə=paʁ=ləy=blo 79
εllə=ly=a=pʁε=ɔ=fi=sjɑ̃εllə=mεmə=la=pʁε=tʁεsə=sə=ləa=pu=vwaʁ=pe=ne=tʁe=lε=fɔ̃=də=mɑ̃=də=la=ʒɔ=li=lɥi=fi=œ̃=pʁə=mje=ʁɛ̃=sa=ʒə=se=tε=ʒə=lə=sy=po=zə=kɔ=məy=nə=sɔʁ=tə=dɛ̃=ʒεk=sjɔ̃=o=tʁə=fwa=pʁa=ti=ke=paʁ=lə=sεk=sə=fe=mi=nɛ̃=sa=ʒi=sɑ̃=la=dy=nə=py=ʁi=fi=ka=sjɔ̃=pɔst=fɔ̃k=sjɔ̃=lɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=sə=dy=ʁi=tə=nə=me=ʃa=pa=se=tε=la=pɔ=ʒe=də=la=se=ʁe=mɔ=ni=sɔ̃=na=və=niʁ=ɑ̃=de=pɑ̃=dε=kaʁ=il=nə=fa=lε=pa=kə=dε=zɛ̃=py=ʁə=te=nɥi=zi=se=no=fy=tyʁ=ʁa=pɔʁ=nu=də=vjɔ̃=za=vwaʁ=kɔ̃=fjɑ̃=səɑ̃nεllə 134
bjɛ̃toεllə=de=ma=ʁa=tuʁ=nɑ̃də=plys=zɑ̃=plys=lə=li=ki=də=ʒi=kla=syʁ=ləy=blo=εl=lə=ʁɔ̃=ʁɔ=nε=kɔ=məy=nə=ʃa=tə=kə=lɔ̃=ka=ʁε=sə=εl=lə=de=li=ʁε=ui=vʁε=mɑ̃=εl=lə=de=li=ʁε=də=sε=tə=pʁə=mjε=ʁə=sɔ̃=pʁə=mje=pʁɔɡʁamə 56
laɡʁɑ̃də=pʁε=tʁεsə=mə=ʁə=ɡaʁ=da=sɑ̃=mo=di=ʁə=ʒə=vis=kεlləe=tε=sa=tis=fε=tə=də=nɔ=tʁə=pʁɔ=te=ʒe=ʒə=sy=kə=lε=djø=də=la=le=si=vəe=tε=paʁ=mi=nu=puʁ=lɔ̃=tɑ̃=ze=kə=lə=lɛ̃=ʒə=sa=lə=na=vε=de=zɔʁ=mε=plys=ka=bjɛ̃=sə=tə=niʁ 60

ə=mi=lə=slaʃ=bɥi=sɔ=nε 7

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Poesie sans commentaire

Commentaire poème
27/04/2024Poeme-France
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Prose Fantastique
Du 18/07/2021 17:38

L'écrit contient 1314 mots qui sont répartis dans 2 strophes.