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Prose:Adieu Et À Jamais

A Propos de cette Prose

Dernière prose du recueil « Séjour en Enfer »

La Prose

En cette période de l’année les jours se raccourcissent et mon espoir aussi. Il ne faut absolument pas que je livre mon fardeau au monde. Il faut le garder, souffrir en silence, puisque c’est comme ça que la vie est faite. Elle n’est qu’un long, dur et fastidieux chemin de souffrance. Allons ! Allons ! Un peu de joie dans mes futiles paroles. Mais je ne veux être joyeux à rien. Allons ! Marchons, travaillons, mangeons, vivons, soyons de bon petit soldat ! Non, non, non, non et encore et toujours et à jamais non. Ça ne peut pas être comme ça, je ne veux pas, je l’interdis, je refuse, je ne veux pas du chemin tout tracé, je ne veux pas être le gentil petit garçon bien coiffé, j’ai horreur de cette coupe. Allez tous vous faire pendre. France, Europe, Amérique assez ! Assez d’être civilisé, poli, courtois, évolué. Retour au primitif, au sauvage, à la bestialité. Je ne serai pas l’esclave de la vie. La vie sera mon esclave. Mais regarde-toi, qu’est-ce qu’on a fait de toi ? Indigne-toi ! On t’a fait devenir misérable, répugnant, mais tu peux être encore sauf !
Aucune loi, aucun homme, aucune civilisation, aucun colon, aucun peuple ne fera de moi ce que je ne veux pas être. Je suis un enfant, un homme, un humain, un être-vivant, je suis un nègre, je suis un autre.
La rivière de ma haine c’est renversé. Je ne saurai vous décrire mes pensées sans explications violentes. Alors je laisse le silence le faire.



Quoi ? ! Déjà une nouvelle saison et je n’ai rien fait. Ceci prouve mon échec. Ah ! L’affreuse rage. J’ai échoué dans tout ce que j’ai entrepris. L’échec est mon ombre, mon roi. Je connais toutes ces facettes, ces élans, ces horreurs. J’ai fait d’incroyables prouesses hypocrites pendant toutes les saisons. J’ai effleuré l’enfer de mes mensonges. J’ai suivi une route cruelle et féroce. J’ai fait vibrer mon cœur en d’hideux crédo. Chaque saison était différente, le printemps laissait place à la fleuraison de mes répugnances, l’été à la paresse, l’automne à la colère et l’hiver à l’ivresse. Je connais tous les délices et lauriers de la folie et la violence. Je me suis noyé dans le dégoût biblique. Je suis même un jour rentré dans une église lors d’une messe en criant :
– Mort à Jésus, il est nu et laid sur sa croix.
Et je suis reparti en courant. J’étais la vermine qui pourrie dans le sang des carcasses puantes. J’ai mangé les vers dégoulinants et bu le jus des cadavres pour que ma laideur soit telle que même Satan en personne soit dégouté et me repousse des portes de l’enfer.
J’ai vu les rouges soleils couchants au loin dans l’horizon, je ne les ai pas trouvés romantiques. J’ai vu les étoiles illuminées la nuit, je ne les ai pas trouvés belles. J’ai vu les soleils levants montés doucement sur la Terre, je ne les ai pas trouvés réchauffants. J’ai vu les clairs de lunes brillantes, je ne les ai pas trouvés réconfortantes. J’ai cherché l’étoile filante, la lune de sang, le vrai soleil, pour que le sang séché sur mon visage ne fume, n’atteigne et ne pourrisse pas mon innocente âme. Je suis couvert de boue, de sang, de larmes et plus tard j’aurai un bâton pour redresser mon corps en guise de cadeau pour tous les péchés que j’ai commis.



Je ne me sens pas à l’aise ici. Les jours me donnent la nausée et les soirs me donnent envie de pleurer. Mais je n’ai plus de larme. Mon ruisseau s’est éteint. Il a coulé beaucoup trop souvent. J’ai pris le coup de grâce. Ah ! Relève-toi mon corps, il est encore temps. Ma vie est un échec ici. Il me faut partir, prendre le large, m’exiler, migrer vers d’autres lieux, d’autres visages, d’autres plages, d’autres montagnes, d’autres océans, d’autres langues. Oui, il faut que je réinvente ma langue, ma faim, ma soif, mes désirs, mes passions, mes peines, mes souffrances, mes souvenirs, mon avenir, ma vie, tout. La mer m’appelle. Je dois quitter la terre ferme. Je serrai libre, enfin sauvé.
Je me purifierai dans les déserts, prendrai un nouveau souffle dans les montagnes, explorerai les gigantesques forêts, renaitrai dans les océans réparateurs, me réchaufferai sur les douces plages luisantes, découvrirai le vrai froid dans les grands pays du nord, découvrirai le vrai chaud dans les îles perdues du sud. J’aurai tout vu, tout su, tout entendu, mes yeux auront mille ans, mon corps aura vécu mille ans. J’aurai vu le soleil et la lune se rencontrer, fusionner et s’embraser dans un ultime combat. J’aurai vu les dauphins de diamant, les oiseaux multicolores, les savanes divines, les îles paradisiaques, les plages aux sables doux et écarlates, les immenses montagnes neigeuses, le soleil d’or d’antan, les pluies de feu, les mines de cristaux purs. Je reviendrai de l’or ancien à ma ceinture, la peau brûlée, l’œil terne et lumineux, cruel et tendre, le regard froid, rebelle et arrogant, le visage sévère méprisant toutes les moqueries et humiliations de l’enfance. Je reviendrai grand et solide comme un roc, sombre comme la nuit, luisant comme le jour, impassible comme le temps, souple comme la mer. Rien, ni personne, même les astres, les planètes, les ouragans, les tempêtes, les orages ne pourront flétrir mon corps et mon âme redevenus sauvages, bestiales et primitifs. J’aurai vu le soleil dans les pays où il ne fait pas jour, les étoiles dans les pays où il ne fait pas nuit, la pluie dans les pays où il ne pleut pas, la lave de l’ancien volcan éteint depuis deux mille ans rejaillir deux fois.

___

Mais maintenant, je casse ma plume, me coupe la langue, je ne parlerai plus, ne dirai rien. Mes désirs, ma naïveté et mes rêves idiots d’enfant prennent le large comme les hirondelles voyageant vers les pays chauds pendant l’horrible hiver. Mon encre n’a plus de goût, de son, d’odeur. Elle bave. Je me tais, me mutile. Silence sur le papier blanc.
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Poeme de Guillaume Racidet

Poète Guillaume Racidet

Guillaume Racidet a publié sur le site 141 écrits. Guillaume Racidet est membre du site depuis l'année 2017.

Syllabation De L'Écrit

Phonétique : Adieu Et À Jamaisɑ̃ sεtə peʁjɔdə də lane lε ʒuʁ sə ʁakuʁsise e mɔ̃n- εspwaʁ osi. il nə fo absɔlymɑ̃ pa kə ʒə livʁə mɔ̃ faʁdo o mɔ̃də. il fo lə ɡaʁde, sufʁiʁ ɑ̃ silɑ̃sə, pɥiskə sε kɔmə sa kə la vi ε fεtə. εllə nε kœ̃ lɔ̃, dyʁ e fastidjø ʃəmɛ̃ də sufʁɑ̃sə. alɔ̃ ! alɔ̃ ! œ̃ pø də ʒwa dɑ̃ mε fytilə paʁɔlə. mε ʒə nə vøz- εtʁə ʒwajøz- a ʁjɛ̃. alɔ̃ ! maʁʃɔ̃, tʁavajɔ̃, mɑ̃ʒɔ̃, vivɔ̃, swajɔ̃ də bɔ̃ pəti sɔlda ! nɔ̃, nɔ̃, nɔ̃, nɔ̃ e ɑ̃kɔʁə e tuʒuʁz- e a ʒamε nɔ̃. sa nə pø pa εtʁə kɔmə sa, ʒə nə vø pa, ʒə lɛ̃tεʁdi, ʒə ʁəfyzə, ʒə nə vø pa dy ʃəmɛ̃ tu tʁase, ʒə nə vø pa εtʁə lə ʒɑ̃til pəti ɡaʁsɔ̃ bjɛ̃ kwafe, ʒε ɔʁœʁ də sεtə kupə. ale tus vu fεʁə pɑ̃dʁə. fʁɑ̃sə, əʁɔpə, ameʁikə ase ! ase dεtʁə sivilize, pɔli, kuʁtwa, evɔlye. ʁətuʁ o pʁimitif, o sovaʒə, a la bεstjalite. ʒə nə səʁε pa lεsklavə də la vi. la vi səʁa mɔ̃n- εsklavə. mε ʁəɡaʁdə twa, kε sə kɔ̃n- a fε də twa ? ɛ̃diɲə twa ! ɔ̃ ta fε dəvəniʁ mizeʁablə, ʁepyɲɑ̃, mε ty pøz- εtʁə ɑ̃kɔʁə sof !
okynə lwa, okœ̃ ɔmə, okynə sivilizasjɔ̃, okœ̃ kɔlɔ̃, okœ̃ pəplə nə fəʁa də mwa sə kə ʒə nə vø pa εtʁə. ʒə sɥiz- œ̃n- ɑ̃fɑ̃, œ̃n- ɔmə, œ̃n- ymɛ̃, œ̃n- εtʁə vivɑ̃, ʒə sɥiz- œ̃ nεɡʁə, ʒə sɥiz- œ̃n- otʁə.
la ʁivjεʁə də ma-εnə sε ʁɑ̃vεʁse. ʒə nə soʁε vu dekʁiʁə mε pɑ̃se sɑ̃z- εksplikasjɔ̃ vjɔlɑ̃tə. alɔʁ ʒə lεsə lə silɑ̃sə lə fεʁə.

suliɲe suliɲe suliɲe

kwa ? ! deʒa ynə nuvεllə sεzɔ̃ e ʒə nε ʁjɛ̃ fε. səsi pʁuvə mɔ̃n- eʃεk. a ! lafʁøzə ʁaʒə. ʒε eʃue dɑ̃ tu sə kə ʒε ɑ̃tʁəpʁi. leʃεk ε mɔ̃n- ɔ̃bʁə, mɔ̃ ʁwa. ʒə kɔnε tutə sε fasεtə, sεz- elɑ̃, sεz- ɔʁœʁ. ʒε fε dɛ̃kʁwajablə pʁuesəz- ipɔkʁitə pɑ̃dɑ̃ tutə lε sεzɔ̃. ʒε efləʁe lɑ̃fe də mε mɑ̃sɔ̃ʒə. ʒε sɥivi ynə ʁutə kʁyεllə e feʁɔsə. ʒε fε vibʁe mɔ̃ kœʁ ɑ̃ didø kʁedo. ʃakə sεzɔ̃ etε difeʁɑ̃tə, lə pʁɛ̃tɑ̃ lεsε plasə a la fləʁεzɔ̃ də mε ʁepyɲɑ̃sə, lete a la paʁεsə, lotɔmnə a la kɔlεʁə e livεʁ a livʁεsə. ʒə kɔnε tus lε delisəz- e loʁje də la fɔli e la vjɔlɑ̃sə. ʒə mə sɥi nwaje dɑ̃ lə deɡu biblikə. ʒə sɥi mεmə œ̃ ʒuʁ ʁɑ̃tʁe dɑ̃z- ynə eɡlizə lɔʁ dynə mεsə ɑ̃ kʁjɑ̃ :
mɔʁ a ʒezys, il ε ny e lε syʁ sa kʁwa.
e ʒə sɥi ʁəpaʁti ɑ̃ kuʁɑ̃. ʒetε la vεʁminə ki puʁʁi dɑ̃ lə sɑ̃ dε kaʁkasə pɥɑ̃tə. ʒε mɑ̃ʒe lε vεʁ deɡulinɑ̃z- e by lə ʒy dε kadavʁə- puʁ kə ma lεdœʁ swa tεllə kə mεmə satɑ̃ ɑ̃ pεʁsɔnə swa deɡute e mə ʁəpusə dε pɔʁtə- də lɑ̃fe.
ʒε vy lε ʁuʒə sɔlεj kuʃɑ̃z- o lwɛ̃ dɑ̃ lɔʁizɔ̃, ʒə nə lεz- ε pa tʁuve ʁɔmɑ̃tik. ʒε vy lεz- etwaləz- ilymine la nɥi, ʒə nə lεz- ε pa tʁuve bεllə. ʒε vy lε sɔlεj ləvɑ̃ mɔ̃te dusəmɑ̃ syʁ la teʁə, ʒə nə lεz- ε pa tʁuve ʁeʃofɑ̃. ʒε vy lε klεʁ də lynə bʁijɑ̃tə, ʒə nə lεz- ε pa tʁuve ʁekɔ̃fɔʁtɑ̃tə. ʒε ʃεʁʃe letwalə filɑ̃tə, la lynə də sɑ̃, lə vʁε sɔlεj, puʁ kə lə sɑ̃ seʃe syʁ mɔ̃ vizaʒə nə fymə, natεɲə e nə puʁʁisə pa mɔ̃n- inɔsɑ̃tə amə. ʒə sɥi kuvεʁ də bu, də sɑ̃, də laʁməz- e plys taʁ ʒoʁε œ̃ batɔ̃ puʁ ʁədʁese mɔ̃ kɔʁz- ɑ̃ ɡizə də kado puʁ tus lε peʃe kə ʒε kɔmi.

suliɲe suliɲe suliɲe

ʒə nə mə sɑ̃s pa a lεzə isi. lε ʒuʁ mə dɔne la noze e lε swaʁ mə dɔne ɑ̃vi də pləʁe. mε ʒə nε plys də laʁmə. mɔ̃ ʁɥiso sεt- etɛ̃. il a kule boku tʁo suvɑ̃. ʒε pʁi lə ku də ɡʁasə. a ! ʁəlεvə twa mɔ̃ kɔʁ, il εt- ɑ̃kɔʁə tɑ̃. ma vi εt- œ̃n- eʃεk isi. il mə fo paʁtiʁ, pʁɑ̃dʁə lə laʁʒə, mεɡzile, miɡʁe vεʁ dotʁə- ljø, dotʁə- vizaʒə, dotʁə- plaʒə, dotʁə- mɔ̃taɲə, dotʁəz- ɔseɑ̃, dotʁə- lɑ̃ɡ. ui, il fo kə ʒə ʁeɛ̃vɑ̃tə ma lɑ̃ɡ, ma fɛ̃, ma swaf, mε deziʁ, mε pasjɔ̃, mε pεnə, mε sufʁɑ̃sə, mε suvəniʁ, mɔ̃n- avəniʁ, ma vi, tu. la mεʁ mapεllə. ʒə dwa kite la teʁə fεʁmə. ʒə seʁε libʁə, ɑ̃fɛ̃ sove.
ʒə mə pyʁifjəʁε dɑ̃ lε dezεʁ, pʁɑ̃dʁε œ̃ nuvo suflə dɑ̃ lε mɔ̃taɲə, εksplɔʁəʁε lε ʒiɡɑ̃tεsk fɔʁε, ʁənεtʁε dɑ̃ lεz- ɔseɑ̃ ʁepaʁatœʁ, mə ʁeʃofəʁε syʁ lε dusə plaʒə lɥizɑ̃tə, dekuvʁiʁε lə vʁε fʁwa dɑ̃ lε ɡʁɑ̃ pεi dy nɔʁ, dekuvʁiʁε lə vʁε ʃo dɑ̃ lεz- ilə pεʁdɥ dy syd. ʒoʁε tu vy, tu sy, tut- ɑ̃tɑ̃dy, mεz- iøz- oʁɔ̃ milə ɑ̃, mɔ̃ kɔʁz- oʁa veky milə ɑ̃. ʒoʁε vy lə sɔlεj e la lynə sə ʁɑ̃kɔ̃tʁe, fyzjɔne e sɑ̃bʁaze dɑ̃z- œ̃n- yltimə kɔ̃ba. ʒoʁε vy lε dofɛ̃ də djamɑ̃, lεz- wazo myltikɔlɔʁə, lε savanə divinə, lεz- ilə paʁadizjak, lε plaʒəz- o sablə duz- e ekaʁlatə, lεz- imɑ̃sə mɔ̃taɲə nεʒøzə, lə sɔlεj dɔʁ dɑ̃tɑ̃, lε plɥi də fø, lε minə də kʁisto pyʁ. ʒə ʁəvjɛ̃dʁε də lɔʁ ɑ̃sjɛ̃ a ma sɛ̃tyʁə, la po bʁyle, lœj tεʁnə e lyminø, kʁyεl e tɑ̃dʁə, lə ʁəɡaʁ fʁwa, ʁəbεllə e aʁɔɡɑ̃, lə vizaʒə sevεʁə mepʁizɑ̃ tutə lε mɔkəʁiz- e ymiljasjɔ̃ də lɑ̃fɑ̃sə. ʒə ʁəvjɛ̃dʁε ɡʁɑ̃t- e sɔlidə kɔmə œ̃ ʁɔk, sɔ̃bʁə kɔmə la nɥi, lɥizɑ̃ kɔmə lə ʒuʁ, ɛ̃pasiblə kɔmə lə tɑ̃, suplə kɔmə la mεʁ. ʁjɛ̃, ni pεʁsɔnə, mεmə lεz- astʁə, lε planεtə, lεz- uʁaɡɑ̃, lε tɑ̃pεtə, lεz- ɔʁaʒə nə puʁʁɔ̃ fletʁiʁ mɔ̃ kɔʁz- e mɔ̃n- amə ʁədəvənys sovaʒə, bεstjaləz- e pʁimitif. ʒoʁε vy lə sɔlεj dɑ̃ lε pεiz- u il nə fε pa ʒuʁ, lεz- etwalə dɑ̃ lε pεiz- u il nə fε pa nɥi, la plɥi dɑ̃ lε pεiz- u il nə plø pa, la lavə də lɑ̃sjɛ̃ vɔlkɑ̃ etɛ̃ dəpɥi dø milə ɑ̃ ʁəʒajiʁ dø fwa.

suliɲe suliɲe suliɲe

mε mɛ̃tənɑ̃, ʒə kasə ma plymə, mə kupə la lɑ̃ɡ, ʒə nə paʁləʁε plys, nə diʁε ʁjɛ̃. mε deziʁ, ma najvəte e mε ʁεvəz- idjo dɑ̃fɑ̃ pʁεne lə laʁʒə kɔmə lεz- iʁɔ̃dεllə vwajaʒɑ̃ vεʁ lε pεi ʃo pɑ̃dɑ̃ lɔʁiblə ivεʁ. mɔ̃n- ɑ̃kʁə na plys də ɡu, də sɔ̃, dɔdœʁ. εllə bavə. ʒə mə tε, mə mytilə. silɑ̃sə syʁ lə papje blɑ̃.

Historique des Modifications

03/08/2017 08:11
02/08/2017 23:45

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Poesie sans commentaire

Commentaire poème
19/04/2024Poeme-France
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Prose Auteur
Du 28/07/2017 13:46

L'écrit contient 1072 mots qui sont répartis dans 10 strophes.