Poème:Un Lourd Fardeau

Un jour près du puit, on avait parler de la mort
On avait dit qu’il y avait un paradis
Une image d’un bonheur parfait
On avait aussi parler de l’enfer
Une certaine image de la douleur
Plus puissante encore que celle vécus ici

Un autre soir, on avait parler de la lune
On m’avait dit, qu’ailleurs il y avait mieux
Qu’ailleurs il y avait un monde
Qu’ailleurs, la vie continuait, même si tu était mort
Parti, a jamais
Perdu dans le vide d’un trou béant creuser six pieds sous moi

Une autre année
On avait dit m’aimer
On avait dit que j’étais quelqu’un de génial
Mais encore, il a fallut que je me retrouve près d’un trou béant
Sombre, noir, froid et frémissant

Encore une fois, sur le sable chaud d’une plage
On m’avais jurer amitié pour la vie
Un jour triste et froid d’Août, j’ai réaliser
J’ai compris que tout était mensonge
Mais j’ai continuer, encore et encore
Vouloir essayer a été ma faute

Un autre jour, près d’une chute
On m’avais dit que l’eau était douce et chaude
Comme l’amour d’un cœur passionner
En tombant dans la chute
J’ai compris que ce n’étais pas vrai

Quelque mois plus tard
On ma confier un secret
Un doux secret, d’un ami génial
Mais quand je suis revenu, encore une fois
Il m’a fallut dire adieu

J’ai encore continuer
J’ai voulu trouver cette image du paradis dont tu m’avais parler
Celle que tu m’avais jurer d’exister
Encore une fois, je ne l’ai pas trouver
J’ai grimper des montagne
Traverser des rivières
Nager des lacs
Marcher des forets toutes entière
Je n’y ai trouver encore que tes yeux perçants
Entre la nuit et le jour
Entre le sombre et le clair
Au beaux milieu de ma foret magique

J’ai encore continuer
J’ai traverser la foret obscur
Et j’y ai trouver une falaise
Et il y avait cette voix
Cette douce voix qui me disait « Ne saute pas »
Et il y avait toi, toi qui me disait « vient me rejoindre, C’est beaucoup mieux ici »

Et cette fois
Ce n’est ni a toi, ni a un ami, ni a un parents, ni a un amour
Ce n’est a personne d’autre que moi
A qui je dirais un derniers adieu
A qui je chanterais encore « joyeuse vie »
C’est toi qui me regardera, six pied sous toi
Pleurant
Me disant adieu une dernière fois
Car tout a commencer de toi

Ce jour la, près du puit
Tu n’aurais pas dut me parler de la mort
Me dire que c’étais génial a été ton erreur
La mienne a été d’essayer

Je t’aimerais encore
Même si tes yeux me regarde encore dans le noir
Dans le noir d’une tristesse finie
Une tristesse énorme
Un lourd fardeau

Dans une arrière penser
J’ai entendu ta voix
Pendant qu’on enterrait ma vie
Ta voix me disait « tu me manquera »

Une dernière image du suicide
Une dernière image d’une porte de sortie
Une sortie de secours
Un appel a l’aide
Un dernier cris du cœur
Un dernier espoir

Tout éteint un même jour
Un jour triste et froid
Et penser profonde envers toi
Un sombre regard
Et tout s’éteint

Entre la nuit et le jour
Entre la vie et la mort
Entre la joie et la peine
Entre toi et moi
Il y a tout un monde
Il y tant de choses qui ailleurs nous appelle

Un de ces jours je te reverrais
Ce jour la je te sourira
Même si toi tu ne me reconnaîtrais pas
Je serais quelqu’un d’autre
Je serais différente
Je ne serais plus ce que tu a autrefois aimer
Une fois vue
Un jour oublier
Et toujours ce sourire te hantera

Je sais qu’un jour je devrais te faire face
T’avouer ce que je ressens
T’avouer ce que je pense
T’avouer que ce jour la
J’ai tout compris

Ce jour la, près du puit
La ou tu ma tout montrer
La ou tu ma expliquer
La ou j’ai enfin vu dans quelle monde nous étions

Je te donne encore une fois rendez vous
Dans ce lieux de notre enfance
Ce jour la, je te dirais adieu
Nous aurons tous les deux changer
Toi pour le pire et moi pour la mort

Encore une fois
Je termine par un triste message
Par une dernière parole
Penser avec mon cœur qui saigne toujours ta perte
Je te dit adieu
Un jour tu verra
Mon appel au suicide
Tu comprendra ma décision
Tu comprendra mon geste
Ce jour la tu me pardonnera
Tu t’y joindra
Et tu te dira adieu
Au beaux milieu d’un trou noir et sombre
Au milieux du néant
Au milieux de la vermine de la terre
Au centre d’un parc de pierre sombre et triste
Qu’on n’ose appelez Cimetière… .

Adieu