Poème:Philippe Et L’autoradio
Le Poème
Je ferai un procès à ce petit Philippe
Et le dénoncerai car il est dangereux
On ne peut laisser faire, toujours fermer les yeux
Devant tant d’irrespect, de mépris des principes.
Comme chacun le sait, la faute est bien plus grande
Quand on est accusé de préméditation
Quand volontairement on capte l’attention
De tous les conducteurs branchés sur cette bande.
Car enfin je roulais et revenais de Nantes
Complètement rivé à mon autoradio
Oui, j’étais suspendu aux délirants propos
Que tenaient les grosses têtes, toujours impénitentes.
Je n’imaginais pas que tapi, prêt à fondre
Le prédateur casqué, derrière le garde fou
Le sifflet dans la bouche, le doigt pointé sur vous
Accusateur immense, allait sortir de l’ombre.
Sifflé en sursaut par la roulette stridente
Je fixais mon compteur, le cœur empli d’effroi
J’eus beau freiner à mort pour respecter la loi
J’avais allègrement passé le cent cinquante.
Dans le flot des voitures qui roulaient sur ma file
Je n’étais pas très sûr d’avoir été celui
Qui avait été pris par le zèle en képi
Pour verser au trésor cette amende incivile
Mais un petit point bleu, pas plus gros qu’une mouche
Apparaissait soudain dans mon rétroviseur
Surgi de nulle part, il faisait presque peur
Et grossissait si vite que je mis là les pouces.
Sagement arrêté sur l’herbe de la berme
J’attendais résigné ce nouveau Liéviathan
Monté sur ses deux roues et armé jusqu’aux dents.
Par malheur la radio était toujours en verve…
Quand sa tête m’apparut, j’ai éclaté de rire
Ce qui pour l’homme de loi est une provocation
J’eus beau mettre les torts sur l’illustre station
Rien ne put dérider son visage de porphyre.
« Savez-vous cher monsieur pourquoi l’on vous arrête ? »
« Je n’en ai nulle idée, peut-être l’alcootest ?
Mais je n’ai bu en fait que d’un citron le zest
Et si je fus distrait c’est à cause des grosses têtes »
« Me prenez-vous donc, cher monsieur pour une oie ?
Cette excuse est fréquente, on ne me la fait plus
Vous avez été pris, comme on dit, dans le flux
Par un cinémomètre dont vous fûtes la proie. »
J’eus beau jurer, prétendre à ce motocycliste
Que je conduisais bien et toujours prudemment
Et respectais le code, sans jamais d’accident
Il n’aimait pas en fait les automobilistes.
Aimait-il les grosses têtes ? la péponse n’est pas sûre
J’ai dû payer l’amende et j’ai perdu trois points
Philippe me doit cette somme ou je jure que demain
Sur mon autoradio, j’écoute France Culture.
Et le dénoncerai car il est dangereux
On ne peut laisser faire, toujours fermer les yeux
Devant tant d’irrespect, de mépris des principes.
Comme chacun le sait, la faute est bien plus grande
Quand on est accusé de préméditation
Quand volontairement on capte l’attention
De tous les conducteurs branchés sur cette bande.
Car enfin je roulais et revenais de Nantes
Complètement rivé à mon autoradio
Oui, j’étais suspendu aux délirants propos
Que tenaient les grosses têtes, toujours impénitentes.
Je n’imaginais pas que tapi, prêt à fondre
Le prédateur casqué, derrière le garde fou
Le sifflet dans la bouche, le doigt pointé sur vous
Accusateur immense, allait sortir de l’ombre.
Sifflé en sursaut par la roulette stridente
Je fixais mon compteur, le cœur empli d’effroi
J’eus beau freiner à mort pour respecter la loi
J’avais allègrement passé le cent cinquante.
Dans le flot des voitures qui roulaient sur ma file
Je n’étais pas très sûr d’avoir été celui
Qui avait été pris par le zèle en képi
Pour verser au trésor cette amende incivile
Mais un petit point bleu, pas plus gros qu’une mouche
Apparaissait soudain dans mon rétroviseur
Surgi de nulle part, il faisait presque peur
Et grossissait si vite que je mis là les pouces.
Sagement arrêté sur l’herbe de la berme
J’attendais résigné ce nouveau Liéviathan
Monté sur ses deux roues et armé jusqu’aux dents.
Par malheur la radio était toujours en verve…
Quand sa tête m’apparut, j’ai éclaté de rire
Ce qui pour l’homme de loi est une provocation
J’eus beau mettre les torts sur l’illustre station
Rien ne put dérider son visage de porphyre.
« Savez-vous cher monsieur pourquoi l’on vous arrête ? »
« Je n’en ai nulle idée, peut-être l’alcootest ?
Mais je n’ai bu en fait que d’un citron le zest
Et si je fus distrait c’est à cause des grosses têtes »
« Me prenez-vous donc, cher monsieur pour une oie ?
Cette excuse est fréquente, on ne me la fait plus
Vous avez été pris, comme on dit, dans le flux
Par un cinémomètre dont vous fûtes la proie. »
J’eus beau jurer, prétendre à ce motocycliste
Que je conduisais bien et toujours prudemment
Et respectais le code, sans jamais d’accident
Il n’aimait pas en fait les automobilistes.
Aimait-il les grosses têtes ? la péponse n’est pas sûre
J’ai dû payer l’amende et j’ai perdu trois points
Philippe me doit cette somme ou je jure que demain
Sur mon autoradio, j’écoute France Culture.
Poète Acthum41
Acthum41 a publié sur le site 6 écrits. Acthum41 est membre du site depuis l'année 2012.Lire le profil du poète Acthum41Syllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Philippe Et L’autoradio
je=fe=rai=un=pro=cès=à=ce=pe=tit=phi=lippe 12et=le=dé=non=ce=rai=car=il=est=dan=ge=reux 12
on=ne=peut=lais=ser=faire=tou=jours=fer=mer=les=yeux 12
de=vant=tant=dir=res=pect=de=mé=pris=des=prin=cipes 12
comme=cha=cun=le=sait=la=fau=te=est=bien=plus=grande 12
quand=on=est=ac=cu=sé=de=pré=mé=di=ta=tion 12
quand=vo=lon=tai=re=ment=on=cap=te=lat=ten=tion 12
de=tous=les=con=duc=teurs=bran=chés=sur=cet=te=bande 12
car=en=fin=je=rou=lais=et=re=ve=nais=de=nantes 12
com=plè=te=ment=ri=vé=à=mon=au=to=ra=dio 12
oui=jé=tais=sus=pen=du=aux=dé=li=rants=pro=pos 12
que=te=naient=les=gros=ses=têtes=tou=jours=im=pé=ni=tentes 13
je=ni=ma=gi=nais=pas=que=ta=pi=prêt=à=fondre 12
le=pré=da=teur=cas=qué=der=rière=le=gar=de=fou 12
le=sif=flet=dans=la=bouche=le=doigt=poin=té=sur=vous 12
ac=cu=sa=teur=immen=se=al=lait=sor=tir=de=lombre 12
sif=flé=en=sur=saut=par=la=rou=let=te=stri=dente 12
je=fixais=mon=comp=teur=le=cœur=em=pli=def=froi 11
jeus=beau=frei=ner=à=mort=pour=res=pec=ter=la=loi 12
ja=vais=al=lè=gre=ment=pas=sé=le=cent=cin=quante 12
dans=le=flot=des=voi=tures=qui=rou=laient=sur=ma=file 12
je=né=tais=pas=très=sûr=da=voir=é=té=ce=lui 12
qui=a=vait=é=té=pris=par=le=zèle=en=ké=pi 12
pour=ver=ser=au=tré=sor=cettea=men=de=in=ci=vile 12
mais=un=pe=tit=point=bleu=pas=plus=gros=quu=ne=mouche 12
ap=pa=rais=sait=sou=dain=dans=mon=ré=tro=vi=seur 12
sur=gi=de=nul=le=part=il=fai=sait=pres=que=peur 12
et=gros=sis=sait=si=vite=que=je=mis=là=les=pouces 12
sage=ment=ar=rê=té=sur=l=her=be=de=la=berme 12
jat=ten=dais=ré=si=gné=ce=nou=veau=lié=via=than 12
mon=té=sur=ses=deux=roues=et=ar=mé=jus=quaux=dents 12
par=mal=heur=la=ra=dio=é=tait=tou=jours=en=verve 12
quand=sa=tête=map=pa=rut=jai=é=cla=té=de=rire 12
ce=qui=pour=lhomme=de=loi=est=u=ne=pro=vo=ca=tion 13
jeus=beau=met=tre=les=torts=sur=lil=lus=tre=sta=tion 12
rien=ne=put=dé=ri=der=son=vi=sage=de=por=phyre 12
sa=vez=vous=cher=mon=sieur=pour=quoi=lon=vous=ar=rête 13
je=nen=ai=nul=le=i=dée=peut=têtre=lal=coo=test 13
mais=je=nai=bu=en=fait=que=dun=ci=tron=le=zest 12
et=si=je=fus=dis=trait=cest=à=cause=des=gros=ses=têtes 13
me=pre=nez=vous=donc=cher=mon=sieur=pour=une=oie 12
cette=ex=cu=seest=fré=quen=te=on=ne=me=la=fait=plus 13
vous=a=vez=é=té=pris=comme=on=dit=dans=le=flux 12
par=un=ci=né=mo=mètre=dont=vous=fû=tes=la=proie 12
jeus=beau=ju=rer=pré=tendre=à=ce=mo=to=cy=cliste 12
que=je=con=dui=sais=bien=et=tou=jours=pru=dem=ment 12
et=res=pec=tais=le=code=sans=ja=mais=dac=ci=dent 12
il=nai=mait=pas=en=fait=les=au=to=mo=bi=listes 12
ai=mait=til=les=gros=ses=têtes=la=pé=ponse=nest=pas=sûre 13
jai=dû=payer=la=men=de=et=jai=per=du=trois=points 12
phi=lip=pe=me=doit=cette=som=meou=je=ju=re=que=de=main 14
sur=mon=au=to=ra=dio=jé=coute=fran=ce=cul=ture 12
Phonétique : Philippe Et L’autoradio
ʒə fəʁε œ̃ pʁɔsεz- a sə pəti filipəe lə denɔ̃səʁε kaʁ il ε dɑ̃ʒəʁø
ɔ̃ nə pø lεse fεʁə, tuʒuʁ fεʁme lεz- iø
dəvɑ̃ tɑ̃ diʁεspε, də mepʁi dε pʁɛ̃sipə.
kɔmə ʃakœ̃ lə sε, la fotə ε bjɛ̃ plys ɡʁɑ̃də
kɑ̃t- ɔ̃n- εt- akyze də pʁemeditasjɔ̃
kɑ̃ vɔlɔ̃tεʁəmɑ̃ ɔ̃ kaptə latɑ̃sjɔ̃
də tus lε kɔ̃dyktœʁ bʁɑ̃ʃe syʁ sεtə bɑ̃də.
kaʁ ɑ̃fɛ̃ ʒə ʁulεz- e ʁəvənε də nɑ̃tə
kɔ̃plεtəmɑ̃ ʁive a mɔ̃n- otɔʁadjo
ui, ʒetε syspɑ̃dy o deliʁɑ̃ pʁɔpo
kə tənε lε ɡʁɔsə tεtə, tuʒuʁz- ɛ̃penitɑ̃tə.
ʒə nimaʒinε pa kə tapi, pʁε a fɔ̃dʁə
lə pʁedatœʁ kaske, dəʁjεʁə lə ɡaʁdə fu
lə siflε dɑ̃ la buʃə, lə dwa pwɛ̃te syʁ vu
akyzatœʁ imɑ̃sə, alε sɔʁtiʁ də lɔ̃bʁə.
sifle ɑ̃ syʁso paʁ la ʁulεtə stʁidɑ̃tə
ʒə fiksε mɔ̃ kɔ̃tœʁ, lə kœʁ ɑ̃pli defʁwa
ʒy bo fʁεne a mɔʁ puʁ ʁεspεkte la lwa
ʒavεz- alεɡʁəmɑ̃ pase lə sɑ̃ sɛ̃kɑ̃tə.
dɑ̃ lə flo dε vwatyʁə ki ʁulε syʁ ma filə
ʒə netε pa tʁε syʁ davwaʁ ete səlɥi
ki avε ete pʁi paʁ lə zεlə ɑ̃ kepi
puʁ vεʁse o tʁezɔʁ sεtə amɑ̃də ɛ̃sivilə
mεz- œ̃ pəti pwɛ̃ blø, pa plys ɡʁo kynə muʃə
apaʁεsε sudɛ̃ dɑ̃ mɔ̃ ʁetʁɔvizœʁ
syʁʒi də nylə paʁ, il fəzε pʁεskə pœʁ
e ɡʁɔsisε si vitə kə ʒə mi la lε pusə.
saʒəmɑ̃ aʁεte syʁ lεʁbə də la bεʁmə
ʒatɑ̃dε ʁeziɲe sə nuvo ljevjatɑ̃
mɔ̃te syʁ sε dø ʁuz- e aʁme ʒysko dɑ̃.
paʁ malœʁ la ʁadjo etε tuʒuʁz- ɑ̃ vεʁvə…
kɑ̃ sa tεtə mapaʁy, ʒε eklate də ʁiʁə
sə ki puʁ lɔmə də lwa εt- ynə pʁɔvɔkasjɔ̃
ʒy bo mεtʁə lε tɔʁ syʁ lilystʁə stasjɔ̃
ʁjɛ̃ nə pyt deʁide sɔ̃ vizaʒə də pɔʁfiʁə.
« save vu ʃεʁ məsjø puʁkwa lɔ̃ vuz- aʁεtə ? »
« ʒə nɑ̃n- ε nylə ide, pø tεtʁə lalkutεst ?
mε ʒə nε by ɑ̃ fε kə dœ̃ sitʁɔ̃ lə zεst
e si ʒə fy distʁε sεt- a kozə dε ɡʁɔsə tεtəs »
« mə pʁəne vu dɔ̃k, ʃεʁ məsjø puʁ ynə wa ?
sεtə εkskyzə ε fʁekɑ̃tə, ɔ̃ nə mə la fε plys
vuz- avez- ete pʁi, kɔmə ɔ̃ di, dɑ̃ lə flyks
paʁ œ̃ sinemɔmεtʁə dɔ̃ vu fytə la pʁwa. »
ʒy bo ʒyʁe, pʁetɑ̃dʁə a sə mɔtɔsiklistə
kə ʒə kɔ̃dɥizε bjɛ̃ e tuʒuʁ pʁydamɑ̃
e ʁεspεktε lə kɔdə, sɑ̃ ʒamε daksidɑ̃
il nεmε pa ɑ̃ fε lεz- otomobilistə.
εmε til lε ɡʁɔsə tεtə ? la pepɔ̃sə nε pa syʁə
ʒε dy pεje lamɑ̃də e ʒε pεʁdy tʁwa pwɛ̃
filipə mə dwa sεtə sɔmə u ʒə ʒyʁə kə dəmɛ̃
syʁ mɔ̃n- otɔʁadjo, ʒekutə fʁɑ̃sə kyltyʁə.
Syllabes Phonétique : Philippe Et L’autoradio
ʒə=fə=ʁε=œ̃=pʁɔ=sε=za=sə=pə=ti=fi=lipə 12e=lə=de=nɔ̃=sə=ʁε=kaʁ=il=ε=dɑ̃=ʒə=ʁø 12
ɔ̃nə=pø=lε=se=fε=ʁə=tu=ʒuʁ=fεʁ=me=lε=ziø 12
də=vɑ̃=tɑ̃=di=ʁεs=pε=də=me=pʁi=dε=pʁɛ̃=sipə 12
kɔmə=ʃa=kœ̃=lə=sε=la=fo=tə=ε=bjɛ̃=plys=ɡʁɑ̃də 12
kɑ̃=tɔ̃=nε=ta=ky=ze=də=pʁe=me=di=ta=sjɔ̃ 12
kɑ̃=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=mɑ̃=ɔ̃=kap=tə=la=tɑ̃=sjɔ̃ 12
də=tus=lε=kɔ̃=dyk=tœʁ=bʁɑ̃=ʃe=syʁ=sε=tə=bɑ̃də 12
kaʁ=ɑ̃=fɛ̃=ʒə=ʁu=lε=ze=ʁə=və=nε=də=nɑ̃tə 12
kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=ʁi=ve=a=mɔ̃=no=tɔ=ʁa=djo 12
ui=ʒe=tε=sys=pɑ̃=dy=o=de=li=ʁɑ̃=pʁɔ=po 12
kə=tə=nε=lε=ɡʁɔsə=tε=tə=tu=ʒuʁ=zɛ̃=pe=nitɑ̃tə 12
ʒə=ni=ma=ʒi=nε=pa=kə=ta=pi=pʁε=a=fɔ̃dʁə 12
lə=pʁe=da=tœʁ=kas=ke=də=ʁjεʁə=lə=ɡaʁ=də=fu 12
lə=si=flε=dɑ̃=la=buʃə=lə=dwa=pwɛ̃=te=syʁ=vu 12
a=ky=za=tœʁ=i=mɑ̃sə=a=lε=sɔʁ=tiʁ=də=lɔ̃bʁə 12
si=fle=ɑ̃=syʁ=so=paʁ=la=ʁu=lε=tə=stʁi=dɑ̃tə 12
ʒə=fik=sε=mɔ̃=kɔ̃=tœʁ=lə=kœʁ=ɑ̃=pli=de=fʁwa 12
ʒy=bo=fʁε=ne=a=mɔʁ=puʁ=ʁεs=pεk=te=la=lwa 12
ʒa=vε=za=lε=ɡʁə=mɑ̃=pa=se=lə=sɑ̃=sɛ̃=kɑ̃tə 12
dɑ̃=lə=flo=dε=vwa=tyʁə=ki=ʁu=lε=syʁ=ma=filə 12
ʒə=ne=tε=pa=tʁε=syʁ=da=vwaʁ=e=te=səl=ɥi 12
ki=a=vε=e=te=pʁi=paʁlə=zε=lə=ɑ̃=ke=pi 12
puʁ=vεʁse=o=tʁe=zɔʁ=sε=tə=a=mɑ̃=də=ɛ̃=sivilə 12
mε=zœ̃=pə=ti=pwɛ̃=blø=pa=plys=ɡʁo=ky=nə=muʃə 12
a=pa=ʁε=sε=su=dɛ̃=dɑ̃=mɔ̃=ʁe=tʁɔ=vi=zœʁ 12
syʁ=ʒi=də=ny=lə=paʁ=il=fə=zε=pʁεs=kə=pœʁ 12
e=ɡʁɔ=si=sε=si=vitə=kə=ʒə=mi=la=lε=pusə 12
sa=ʒə=mɑ̃=a=ʁε=te=syʁ=lεʁ=bə=də=la=bεʁmə 12
ʒa=tɑ̃=dε=ʁe=zi=ɲe=sə=nu=vo=lje=vja=tɑ̃ 12
mɔ̃=te=syʁ=sε=dø=ʁu=ze=aʁ=me=ʒys=ko=dɑ̃ 12
paʁ=ma=lœʁ=la=ʁa=djo=e=tε=tu=ʒuʁ=zɑ̃=vεʁvə 12
kɑ̃=sa=tεtə=ma=pa=ʁy=ʒε=e=kla=te=də=ʁiʁə 12
sə=ki=puʁ=lɔmə=də=lwa=ε=ty=nə=pʁɔ=vɔ=ka=sjɔ̃ 13
ʒy=bo=mε=tʁə=lε=tɔʁ=syʁ=li=lys=tʁə=sta=sjɔ̃ 12
ʁjɛ̃nə=pyt=de=ʁi=de=sɔ̃=vi=za=ʒə=də=pɔʁ=fiʁə 12
sa=ve=vu=ʃεʁmə=sjø=puʁ=kwa=lɔ̃=vu=za=ʁε=tə 13
ʒə=nɑ̃=nε=nylə=i=de=pø=tε=tʁə=lal=ku=tεst 13
mε=ʒə=nε=by=ɑ̃=fε=kə=dœ̃=si=tʁɔ̃=lə=zεst 12
e=siʒə=fy=dis=tʁε=sε=ta=ko=zə=dε=ɡʁɔ=sə=tε=təs 14
mə=pʁə=ne=vu=dɔ̃k=ʃεʁmə=sjø=puʁ=y=nə=wa 12
sεtəεk=sky=zə=ε=fʁe=kɑ̃=tə=ɔ̃=nə=mə=la=fε=plys 13
vu=za=ve=ze=te=pʁi=kɔmə=ɔ̃=di=dɑ̃=lə=flyks 12
paʁ=œ̃=si=ne=mɔ=mεtʁə=dɔ̃=vu=fy=tə=la=pʁwa 12
ʒy=bo=ʒy=ʁe=pʁe=tɑ̃dʁə=a=sə=mɔ=tɔ=si=klistə 12
kə=ʒə=kɔ̃d=ɥi=zε=bjɛ̃=e=tu=ʒuʁ=pʁy=da=mɑ̃ 12
e=ʁεs=pεk=tε=lə=kɔdə=sɑ̃=ʒa=mε=dak=si=dɑ̃ 12
il=nε=mε=pa=ɑ̃=fε=lε=zo=to=mo=bi=listə 12
ε=mε=til=lε=ɡʁɔsə=tεtə=la=pe=pɔ̃=sə=nε=pasyʁə 12
ʒε=dy=pε=je=la=mɑ̃də=e=ʒε=pεʁ=dy=tʁwa=pwɛ̃ 12
fi=lipə=mə=dwa=sε=tə=sɔ=məu=ʒə=ʒy=ʁə=kə=də=mɛ̃ 14
syʁ=mɔ̃=no=tɔ=ʁa=djo=ʒe=kutə=fʁɑ̃=sə=kyl=tyʁə 12
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
22/05/2012 13:37Oliver
je pense que ce texte plairait beaucoup à Jean Jacques Peroni et aux autres joyeux drilles de la célèbre émission qui n’a pas pris une ride. Bravo pour ce texte plein d’humour et vachement bien tourné!
Poème Rigolo
Du 21/05/2012 17:46
L'écrit contient 447 mots qui sont répartis dans 13 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.