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Poeme : Méchanceté Entre Parents.



A Propos

Je cherche à comprendre, à trouver le cœur,
Là où la méchanceté s’installe, où elle se vautre.
Des tensions familiales, un triste ballet,
Mais aussi de l’espoir, de la réconciliation,
Car l’amour entre parents, une belle mission.
Que ces mots résonnent comme une prière,
Pour que la méchanceté laisse place à la lumière,
Et que l’amour familial triomphe toujours,
Dans ces vers, je célèbre cet amour avec vous, chaque jour.

Méchanceté Entre Parents.

Dans l’ombre des liens de sang, parfois,
La méchanceté peut s’immiscer sans choix.

Entre parents, l’amour devrait briller,
Mais parfois, la douleur peut dominer.

Les blessures anciennes, les rancœurs cachées,
Peuvent faire naître des mots acérés.

Mais souvenons-nous que la famille est précieuse,
Et que l’amour peut apaiser chaque querelle odieuse.

L’harmonie et le pardon sont des trésors,
Qui peuvent guider nos cœurs dans leurs détours.

Pour que la méchanceté cède sa place à la paix,
Choisissons l’amour, l’écoute et la douceur à jamais.

Dans ce voyage de la vie, nous apprenons tous,
Que l’amour familial peut être parfois flou.

Mais au-delà des tourments, des mots blessants,
L’amour entre parents peut être transcendant.

Tâchons de guérir les blessures du passé,
De la méchanceté, laissons-nous effacer.

Réapprenons à nous comprendre et à nous aimer,
Car la famille unie peut tout surmonter.

Dans les bras de l’acceptation et du respect,
Nous trouverons un amour qui ne fait pas défaut.

La méchanceté, nous laisserons loin derrière,
Et notre famille sera un havre de lumière.
Inamtom

PostScriptum

Que ce poème inspire la réconciliation,
Et que l’harmonie devienne notre vocation.
Les parents, les enfants, liens indéfectibles,
Même dans les moments où tout semble terrible.


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Poème en Phonétique

dɑ̃ lɔ̃bʁə dε ljɛ̃ də sɑ̃, paʁfwa,
la meʃɑ̃səte pø simise sɑ̃ ʃwa.

ɑ̃tʁə paʁɑ̃, lamuʁ dəvʁε bʁije,
mε paʁfwa, la dulœʁ pø dɔmine.

lε blesyʁəz- ɑ̃sjεnə, lε ʁɑ̃kœʁ kaʃe,
pəve fεʁə nεtʁə dε moz- aseʁe.

mε suvənɔ̃ nu kə la famijə ε pʁesjøzə,
e kə lamuʁ pø apεze ʃakə kəʁεllə ɔdjøzə.

laʁmɔni e lə paʁdɔ̃ sɔ̃ dε tʁezɔʁ,
ki pəve ɡide no kœʁ dɑ̃ lœʁ detuʁ.

puʁ kə la meʃɑ̃səte sεdə sa plasə a la pε,
ʃwazisɔ̃ lamuʁ, lekutə e la dusœʁ a ʒamε.

dɑ̃ sə vwajaʒə də la vi, nuz- apʁənɔ̃ tus,
kə lamuʁ familjal pø εtʁə paʁfwa flu.

mεz- o dəla dε tuʁmɑ̃, dε mo blesɑ̃,
lamuʁ ɑ̃tʁə paʁɑ̃ pø εtʁə tʁɑ̃sɑ̃dɑ̃.

taʃɔ̃ də ɡeʁiʁ lε blesyʁə dy pase,
də la meʃɑ̃səte, lεsɔ̃ nuz- efase.

ʁeapʁənɔ̃z- a nu kɔ̃pʁɑ̃dʁə e a nuz- εme,
kaʁ la famijə yni pø tu syʁmɔ̃te.

dɑ̃ lε bʁa də laksεptasjɔ̃ e dy ʁεspε,
nu tʁuvəʁɔ̃z- œ̃n- amuʁ ki nə fε pa defo.

la meʃɑ̃səte, nu lεsəʁɔ̃ lwɛ̃ dəʁjεʁə,
e nɔtʁə famijə səʁa œ̃-avʁə də lymjεʁə.