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Poeme : Rosée Du Matin.



A Propos

La rosée du matin, telle une muse silencieuse, m’a guidé dans la création de ce texte. Au fil des premières lueurs du jour, elle danse sur l’herbe et les fleurs, un spectacle éphémère qui réveille la nature et nos âmes endormies. Dans ces vers, je tente de capturer la magie de la rosée du matin, cette délicate perle de la nature qui témoigne de la beauté fugace de chaque jour qui se lève.

Rosée Du Matin.

Dans le jardin, à l’aube légère,
La rosée danse sur l’herbe claire,
Gouttes d’argent, perles du jour,
Elle scintille, source de velours.

Les fleurs tendent leurs pétales doux,
Pour boire à cette source, c’est tout,
La rosée du matin, mystère éphémère,
Rend la nature encore plus sincère.

Sous le soleil qui monte lentement,
Elle disparaît, doucement,
Mais dans nos cœurs, elle demeure,
La rosée du matin, douce liqueur.

Sous le ciel azuré du matin qui se lève,
La rosée caresse les feuilles avec douceur,
Elle réveille la nature qui s’éveille,
Comme une mélodie légère, un doux chœur.

Elle perle sur les toiles d’araignée tissées,
Tel un bijou fragile, une dentelle enchantée,
Les rayons du soleil l’illuminent d’or,
La rosée du matin, trésor encore.

Elle témoigne du renouveau de chaque jour,
Dans ce cycle éternel, elle est le troubadour,
Qui chante la beauté de la terre, éphémère,
La rosée du matin, éveille nos prières.

Ainsi, chaque aube nous rappelle avec grâce,
Que la vie est un précieux espace,
Où la rosée du matin, comme une main tendue,
Nous invite à savourer chaque instant, chaque vue.
Inamtom

PostScriptum

Dans chaque goutte de rosée, je trouve une leçon de vie, une métaphore de l’éphémère et de la beauté fragile de notre existence. Que ce texte vous rappelle, tout comme la rosée du matin, de savourer chaque moment précieux de votre journée et d’apprécier la magie qui se cache dans les détails les plus simples de la vie.


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Poème en Phonétique

dɑ̃ lə ʒaʁdɛ̃, a lobə leʒεʁə,
la ʁoze dɑ̃sə syʁ lεʁbə klεʁə,
ɡutə daʁʒe, pεʁlə- dy ʒuʁ,
εllə sɛ̃tijə, suʁsə də vəluʁ.

lε flœʁ tɑ̃de lœʁ petalə du,
puʁ bwaʁə a sεtə suʁsə, sε tu,
la ʁoze dy matɛ̃, mistεʁə efemεʁə,
ʁɑ̃ la natyʁə ɑ̃kɔʁə plys sɛ̃sεʁə.

su lə sɔlεj ki mɔ̃tə lɑ̃təmɑ̃,
εllə dispaʁε, dusəmɑ̃,
mε dɑ̃ no kœʁ, εllə dəməʁə,
la ʁoze dy matɛ̃, dusə likœʁ.

su lə sjεl azyʁe dy matɛ̃ ki sə lεvə,
la ʁoze kaʁεsə lε fœjəz- avεk dusœʁ,
εllə ʁevεjə la natyʁə ki sevεjə,
kɔmə ynə melɔdi leʒεʁə, œ̃ du ʃœʁ.

εllə pεʁlə syʁ lε twalə daʁεɲe tise,
tεl œ̃ biʒu fʁaʒilə, ynə dɑ̃tεllə ɑ̃ʃɑ̃te,
lε ʁεjɔ̃ dy sɔlεj lilymine dɔʁ,
la ʁoze dy matɛ̃, tʁezɔʁ ɑ̃kɔʁə.

εllə temwaɲə dy ʁənuvo də ʃakə ʒuʁ,
dɑ̃ sə siklə etεʁnεl, εllə ε lə tʁubaduʁ,
ki ʃɑ̃tə la bote də la teʁə, efemεʁə,
la ʁoze dy matɛ̃, evεjə no pʁjεʁə.

ɛ̃si, ʃakə obə nu ʁapεllə avεk ɡʁasə,
kə la vi εt- œ̃ pʁesjøz- εspasə,
u la ʁoze dy matɛ̃, kɔmə ynə mɛ̃ tɑ̃dɥ,
nuz- ɛ̃vitə a savuʁe ʃakə ɛ̃stɑ̃, ʃakə vɥ.