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Poeme : Le Carnaval Des Cinq Sens



A Propos

Ce petit poème a été imaginé pour célébrer les cinq sens avec humour, tendresse et fantaisie.
Chaque ligne invite le lecteur à découvrir son propre monde intérieur avec curiosité et émerveillement.
Qu’il soit lu en classe, à la maison ou simplement pour le plaisir, il a été créé pour faire sourire
et pour rappeler que nos sens transforment chaque jour en aventure.

Le Carnaval Des Cinq Sens

Mes yeux, deux détectives perchés sur mon visage,
Trouvent des chaussettes perdues et suivent chaque passage.
Ils voient mon chat en yoga, mon frère qui veut filer,
Et clignent très très fort pour essayer de magier !

Mes oreilles, deux radars qui tournent comme des moulins,
Écoutent mes petits bruits… même mes bruits de câlin.
Elles entendent le robinet, le parquet qui s’éveille,
Et rient quand mon ami éternue comme un lion sans pareil.

Mon nez, super-héros à la cape invisible,
Sent le repas du soir avec un talent terrible.
Mais parfois — catastrophe ! — une odeur l’agresse un peu,
Alors : « Atchoum ! » très fort… et je m’envole vers les cieux !

Ma bouche adore parler, raconter n’importe quoi,
Goûter le sucre filé, les glaces et même le chocolat.
Elle chante, elle grimace, elle rit tout le temps…
Au point que ma biche me regarde drôlement !

Et tous mes sens, ensemble, font un joyeux festival :
Un cirque plein de magie, un vrai grand carnaval.
Grâce à eux je découvre, je ris et je m’émerveille…
Chaque jour est une aventure qui brille comme le soleil !
Maniho

PostScriptum

Que ce poème accompagne longtemps ceux qui le lisent,
comme une petite étincelle de joie et d’imagination.
Et n’oublie jamais : les sens sont les super-pouvoirs du quotidien !


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Poème en Phonétique

mεz- iø, dø detεktivə pεʁʃe syʁ mɔ̃ vizaʒə,
tʁuve dε ʃosεtə pεʁdɥz- e sɥive ʃakə pasaʒə.
il vwae mɔ̃ ʃa ɑ̃n- iɔɡa, mɔ̃ fʁεʁə ki vø file,
e kliɲe tʁε tʁε fɔʁ puʁ esεje də maʒje !

mεz- ɔʁεjə, dø ʁadaʁ ki tuʁne kɔmə dε mulɛ̃,
ekute mε pəti bʁɥi… mεmə mε bʁɥi də kalɛ̃.
εlləz- ɑ̃tɑ̃de lə ʁɔbinε, lə paʁkε ki sevεjə,
e ʁje kɑ̃ mɔ̃n- ami etεʁnɥ kɔmə œ̃ ljɔ̃ sɑ̃ paʁεj.

mɔ̃ ne, sype eʁoz- a la kapə ɛ̃viziblə,
sɑ̃ lə ʁəpa dy swaʁ avεk œ̃ talɑ̃ teʁiblə.
mε paʁfwa katastʁɔfə ! ynə ɔdœʁ laɡʁεsə œ̃ pø,
alɔʁ : « atʃum ! » tʁε fɔʁ… e ʒə mɑ̃vɔlə vεʁ lε sjø !

ma buʃə adɔʁə paʁle, ʁakɔ̃te nɛ̃pɔʁtə kwa,
ɡute lə sykʁə file, lε ɡlasəz- e mεmə lə ʃɔkɔla.
εllə ʃɑ̃tə, εllə ɡʁimasə, εllə ʁit tu lə tɑ̃…
o pwɛ̃ kə ma biʃə mə ʁəɡaʁdə dʁoləmɑ̃ !

e tus mε sɑ̃s, ɑ̃sɑ̃blə, fɔ̃ œ̃ ʒwajø fεstival :
œ̃ siʁkə plɛ̃ də maʒi, œ̃ vʁε ɡʁɑ̃ kaʁnaval.
ɡʁasə a ø ʒə dekuvʁə, ʒə ʁis e ʒə memεʁvεjə…
ʃakə ʒuʁ εt- ynə avɑ̃tyʁə ki bʁijə kɔmə lə sɔlεj !