Poeme : Bonne Fête Passy !
Bonne Fête Passy !
Comme il est difficile de s’adresser à une princesse,
Pour trouver le mot exact, peut-être, de justesse.
En vue d’exprimer avec la plus grande fidélité
De ce que véritablement on ressent
En une occasion si spéciale,
Comme celle de ton anniversaire Passy.
Quel casse-tête !
Mais je le ferai volontiers
Tel du cœur la meilleure quête,
Sans trop de clichés ni stéréotype
Mais avec de la poésie toute la saveur
Donc, avec art, talent et charme.
Ce n’est donc pas une occasion de tous les jours
C’est pour moi un très grand honneur
D’avoir à esquisser une silhouette unique,
D’une créature des plus singulière
D’une femme sans tunique
Dans ses aspiration de perfection en humanité,
Une diva !
Oui, une femme malgré vents et marées
N’entend jamais savourer aucune défaite.
C’est donc elle l’amour nous convie aujourd’hui à célébrer
Avec de notre cœur un sentiment de sincérité et de gratitude.
Ainsi, je veux que tu saches Passy,
Que ton amitié pour est moi sexy
Depuis que nous nous connaissons
A cette étape de notre vie
Où nous étions en quête du pain de l’éducation
À l’université il y a autour de 20 ans.
Pas de souci,
Point tu ne vieillis
Tu grandis !
Bien sûr que non !
Tu n’es pas à l’aube de la vieillesse,
Cependant, n’abusez pas non plus de ce qui te reste de jeunesse.
Laisse ton âme comme un altesse
Expérimenter la joie de vivre,
Dans sa pureté,
Sans souillure ni aucune angoisse.
Evertue-toi à explorer en profondeur l’univers de la sagesse,
Avec plaisir, admiration et satisfaction.
C’est ce que fait ta force.
N’arrête l’œuvre de ta propre construction.
Laisse-la se sculpter méticuleusement
Comme de tête les tresses,
Sans stress, ni hâte ni paresse,
À la cadence de la tendresse de la providence
Telles de douces caresses des mains de Dieu.
Toujours je me demande
Si tu n’as au moins une idée
De l’importance de parmi nous ta présence ?
Pas de panique, tu n’es point une étrangère
Mais plutôt une héroïne,
Une fille de la promesse,
Un prodige, une prouesse,
En un mot, une princesse,
Sans conteste et en liesse.
J’avoue qu’avec toi j’ai appris
Qu’être une femme implique non seulement
Exubérance courbes, de poitrines et de fesses,
Mais aussi et surtout,
Ce qui est à l’intérieur
Dans les profondeurs de l’âme et de l’esprit,
En vue de la totale transcendance
De ce qui ne peut pas être vu par les yeux de la chair
Mais avec l’âme et le cœur.
Et c’est ce qui distingue véritablement.
En vertu de tout cela
Sache que si je devais fonder un Parti,
Ce ne serait pas au nom de la politique.
Je t’assure que je ne résisterais pas à l’envie
Que l’amour, la simplicité,
L’humour, le glamour, et la bravoure,
En constitueraient le manifeste.
Oui, là nous jouerions tous
Sans crainte à se faire la cour,
Dans cette grande cour pleine d’amitié,
De fraternité, de sensibilité, de sérénité et de bonheur.
Crois-moi ta très chère amie, ta posture d’esprit libre
S’adapte parfaitement à la taille de ton cœur
Et illustre sans réserve tes idéaux,
Pas seulement en tant que femme,
Mais avant tout et surtout en tant qu’être humain,
Contournant ainsi toute forme de cupidité
Et de toutes sortes de préjugés,
À la dimension de ta grandeur de cœur
Et proportionnellement à ton ouverture d’esprit.
En effet, de ce Parti tu en serais le manifeste
En liesse et sans conteste.
Avec toi, j’ai encore appris qu’être femme
N’est pas une simple affaire,
Ni non plus un acquis,
C’est tout un projet durant tout une vie.
Ce n’est pas seulement synonyme de douceur,
De sensualité, de séduction ou de pleurs
Mais, et surtout, de réticence, de profondeur,
De force de caractère et de volonté,
De détermination, du désir de vaincre
Et plus encore du sentiment irrépréhensible
De plénitude et d’accomplissement,
Au milieu des tempêtes familiales et professionnelles.
Tout est mesuré et interprété avec précision
Du plus petit au plus insignifiant geste
Sans aucune urgence mais avec désintéressement,
Bien au-delà des subtiles sensations
D’angoisse et d’épuisement,
Par l’exclusion de toute mauvaises intentions,
Grâce à la parfaite dose de la maîtrise de soi et des circonstances.
Sans aucune velléité de flatterie
J’ose affirmer que modestie, empathie et sympathie
Te définissent comme femme, cette créature si singulière
Dont tout vrai homme
N’hésiterait à solliciter l’adresse
Pour en vue de leur vie une meilleure orientation,
En cas de maladresse de sa femme.
On ne sait jamais.
(Rire)
O mon Dieu
Quelle formidable histoire :
Tu étais une fille pleine d’habileté,
Puis, une femme pleine de sagesse et de tendresse.
Oui, comme toute autre femme,
Toujours à la recherche d’elle-même
En vue de l’offrande du meilleur d’elle-même
Même si parfois elle fait mal
Même ceux qu’elle aime, par l’inconscience de ses actes.
Soit dit en passant, je sais que d’aucuns
Risquent de monter des sciences de jalousie,
En raison de mon romantisme a ton égard
Mais que tout cela soit mis à part.
Mais permets-moi de te demander
Si comme une grippe saisonnière
L’envie d’être maitrise ne t’a jamais piquée ?
Disons d’enseignement, sois pas perverse,
Car tu es tellement douée, dévouée et intelligente
Et fais preuve de professionnalisme d’une hôtesse
De si grand calibre.
Je veux dire pour la motivation ou le coaching
Dans ta vie, à certains moments ?
Mon Dieu,
C’est curieux !
Mais très sérieusement
Et entre nous.
(Rire)
Mais ouais, te voilà,
A l’aube de ta nouvelle jeunesse,
Éblouissante et majestueuse telle une princesse,
En attente de son Altesse.
Qui en douterait
Il mérite l’expulsion immédiat du royaume,
Coûte que coûte.
Et au cas de réticence, il serait envoyé au diable !
Pour parfaire son œuvre d’aigreur et d’hypocrisie.
En ce jour spécial, permets-toi toutes les folies
Donne à ton cœur par ton corps joie et volupté
Et à quiconque qui n’oserait pas vouloir coopérer
De bonne fessées.
Ne l’oublie jamais, t’es de la famille des duchesses
Et de la vie toute une poétesse,
Pleine de délicatesse et de souplesse.
Ainsi, tu mérites d’être célébrée avec art,
Somptuosité et méticulosité
Sans que ta royauté ne soit mise à l’écart,
Puisque tu y es la dernière héritière,
Donc une incontestable princesse.
Joyeux anniversaire Passy !
Ton amitié est plus que sexy
Quelle fierté de t’avoir comme amie.
Joyeux anniversaire ma très chère amie !
Réjouis, resplendis, éblouis, enivre-toi
Car, aujourd’hui est ton jour notre prodigieuse Passy !
Pour trouver le mot exact, peut-être, de justesse.
En vue d’exprimer avec la plus grande fidélité
De ce que véritablement on ressent
En une occasion si spéciale,
Comme celle de ton anniversaire Passy.
Quel casse-tête !
Mais je le ferai volontiers
Tel du cœur la meilleure quête,
Sans trop de clichés ni stéréotype
Mais avec de la poésie toute la saveur
Donc, avec art, talent et charme.
Ce n’est donc pas une occasion de tous les jours
C’est pour moi un très grand honneur
D’avoir à esquisser une silhouette unique,
D’une créature des plus singulière
D’une femme sans tunique
Dans ses aspiration de perfection en humanité,
Une diva !
Oui, une femme malgré vents et marées
N’entend jamais savourer aucune défaite.
C’est donc elle l’amour nous convie aujourd’hui à célébrer
Avec de notre cœur un sentiment de sincérité et de gratitude.
Ainsi, je veux que tu saches Passy,
Que ton amitié pour est moi sexy
Depuis que nous nous connaissons
A cette étape de notre vie
Où nous étions en quête du pain de l’éducation
À l’université il y a autour de 20 ans.
Pas de souci,
Point tu ne vieillis
Tu grandis !
Bien sûr que non !
Tu n’es pas à l’aube de la vieillesse,
Cependant, n’abusez pas non plus de ce qui te reste de jeunesse.
Laisse ton âme comme un altesse
Expérimenter la joie de vivre,
Dans sa pureté,
Sans souillure ni aucune angoisse.
Evertue-toi à explorer en profondeur l’univers de la sagesse,
Avec plaisir, admiration et satisfaction.
C’est ce que fait ta force.
N’arrête l’œuvre de ta propre construction.
Laisse-la se sculpter méticuleusement
Comme de tête les tresses,
Sans stress, ni hâte ni paresse,
À la cadence de la tendresse de la providence
Telles de douces caresses des mains de Dieu.
Toujours je me demande
Si tu n’as au moins une idée
De l’importance de parmi nous ta présence ?
Pas de panique, tu n’es point une étrangère
Mais plutôt une héroïne,
Une fille de la promesse,
Un prodige, une prouesse,
En un mot, une princesse,
Sans conteste et en liesse.
J’avoue qu’avec toi j’ai appris
Qu’être une femme implique non seulement
Exubérance courbes, de poitrines et de fesses,
Mais aussi et surtout,
Ce qui est à l’intérieur
Dans les profondeurs de l’âme et de l’esprit,
En vue de la totale transcendance
De ce qui ne peut pas être vu par les yeux de la chair
Mais avec l’âme et le cœur.
Et c’est ce qui distingue véritablement.
En vertu de tout cela
Sache que si je devais fonder un Parti,
Ce ne serait pas au nom de la politique.
Je t’assure que je ne résisterais pas à l’envie
Que l’amour, la simplicité,
L’humour, le glamour, et la bravoure,
En constitueraient le manifeste.
Oui, là nous jouerions tous
Sans crainte à se faire la cour,
Dans cette grande cour pleine d’amitié,
De fraternité, de sensibilité, de sérénité et de bonheur.
Crois-moi ta très chère amie, ta posture d’esprit libre
S’adapte parfaitement à la taille de ton cœur
Et illustre sans réserve tes idéaux,
Pas seulement en tant que femme,
Mais avant tout et surtout en tant qu’être humain,
Contournant ainsi toute forme de cupidité
Et de toutes sortes de préjugés,
À la dimension de ta grandeur de cœur
Et proportionnellement à ton ouverture d’esprit.
En effet, de ce Parti tu en serais le manifeste
En liesse et sans conteste.
Avec toi, j’ai encore appris qu’être femme
N’est pas une simple affaire,
Ni non plus un acquis,
C’est tout un projet durant tout une vie.
Ce n’est pas seulement synonyme de douceur,
De sensualité, de séduction ou de pleurs
Mais, et surtout, de réticence, de profondeur,
De force de caractère et de volonté,
De détermination, du désir de vaincre
Et plus encore du sentiment irrépréhensible
De plénitude et d’accomplissement,
Au milieu des tempêtes familiales et professionnelles.
Tout est mesuré et interprété avec précision
Du plus petit au plus insignifiant geste
Sans aucune urgence mais avec désintéressement,
Bien au-delà des subtiles sensations
D’angoisse et d’épuisement,
Par l’exclusion de toute mauvaises intentions,
Grâce à la parfaite dose de la maîtrise de soi et des circonstances.
Sans aucune velléité de flatterie
J’ose affirmer que modestie, empathie et sympathie
Te définissent comme femme, cette créature si singulière
Dont tout vrai homme
N’hésiterait à solliciter l’adresse
Pour en vue de leur vie une meilleure orientation,
En cas de maladresse de sa femme.
On ne sait jamais.
(Rire)
O mon Dieu
Quelle formidable histoire :
Tu étais une fille pleine d’habileté,
Puis, une femme pleine de sagesse et de tendresse.
Oui, comme toute autre femme,
Toujours à la recherche d’elle-même
En vue de l’offrande du meilleur d’elle-même
Même si parfois elle fait mal
Même ceux qu’elle aime, par l’inconscience de ses actes.
Soit dit en passant, je sais que d’aucuns
Risquent de monter des sciences de jalousie,
En raison de mon romantisme a ton égard
Mais que tout cela soit mis à part.
Mais permets-moi de te demander
Si comme une grippe saisonnière
L’envie d’être maitrise ne t’a jamais piquée ?
Disons d’enseignement, sois pas perverse,
Car tu es tellement douée, dévouée et intelligente
Et fais preuve de professionnalisme d’une hôtesse
De si grand calibre.
Je veux dire pour la motivation ou le coaching
Dans ta vie, à certains moments ?
Mon Dieu,
C’est curieux !
Mais très sérieusement
Et entre nous.
(Rire)
Mais ouais, te voilà,
A l’aube de ta nouvelle jeunesse,
Éblouissante et majestueuse telle une princesse,
En attente de son Altesse.
Qui en douterait
Il mérite l’expulsion immédiat du royaume,
Coûte que coûte.
Et au cas de réticence, il serait envoyé au diable !
Pour parfaire son œuvre d’aigreur et d’hypocrisie.
En ce jour spécial, permets-toi toutes les folies
Donne à ton cœur par ton corps joie et volupté
Et à quiconque qui n’oserait pas vouloir coopérer
De bonne fessées.
Ne l’oublie jamais, t’es de la famille des duchesses
Et de la vie toute une poétesse,
Pleine de délicatesse et de souplesse.
Ainsi, tu mérites d’être célébrée avec art,
Somptuosité et méticulosité
Sans que ta royauté ne soit mise à l’écart,
Puisque tu y es la dernière héritière,
Donc une incontestable princesse.
Joyeux anniversaire Passy !
Ton amitié est plus que sexy
Quelle fierté de t’avoir comme amie.
Joyeux anniversaire ma très chère amie !
Réjouis, resplendis, éblouis, enivre-toi
Car, aujourd’hui est ton jour notre prodigieuse Passy !
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Poème en Phonétique
kɔmə il ε difisilə də sadʁese a ynə pʁɛ̃sεsə,
puʁ tʁuve lə mo εɡzakt, pø tεtʁə, də ʒystεsə.
ɑ̃ vɥ dεkspʁime avεk la plys ɡʁɑ̃də fidelite
də sə kə veʁitabləmɑ̃ ɔ̃ ʁəse
ɑ̃n- ynə ɔkazjɔ̃ si spesjalə,
kɔmə sεllə də tɔ̃n- anivεʁsεʁə pasi.
kεl kasə tεtə !
mε ʒə lə fəʁε vɔlɔ̃tje
tεl dy kœʁ la mεjəʁə kεtə,
sɑ̃ tʁo də kliʃe ni steʁeɔtipə
mεz- avεk də la pɔezi tutə la savœʁ
dɔ̃k, avεk aʁ, talɑ̃ e ʃaʁmə.
sə nε dɔ̃k pa ynə ɔkazjɔ̃ də tus lε ʒuʁ
sε puʁ mwa œ̃ tʁε ɡʁɑ̃t- ɔnœʁ
davwaʁ a εskise ynə siluεtə ynikə,
dynə kʁeatyʁə dε plys sɛ̃ɡyljεʁə
dynə famə sɑ̃ tynikə
dɑ̃ sεz- aspiʁasjɔ̃ də pεʁfεksjɔ̃ ɑ̃n- ymanite,
ynə diva !
ui, ynə famə malɡʁe vɑ̃z- e maʁe
nɑ̃tɑ̃ ʒamε savuʁe okynə defεtə.
sε dɔ̃k εllə lamuʁ nu kɔ̃vi oʒuʁdɥi a selebʁe
avεk də nɔtʁə kœʁ œ̃ sɑ̃timɑ̃ də sɛ̃seʁite e də ɡʁatitydə.
ɛ̃si, ʒə vø kə ty saʃə pasi,
kə tɔ̃n- amitje puʁ ε mwa sεksi
dəpɥi kə nu nu kɔnεsɔ̃
a sεtə etapə də nɔtʁə vi
u nuz- esjɔ̃z- ɑ̃ kεtə dy pɛ̃ də ledykasjɔ̃
a lynivεʁsite il i a otuʁ də vɛ̃t- ɑ̃.
pa də susi,
pwɛ̃ ty nə vjεji
ty ɡʁɑ̃di !
bjɛ̃ syʁ kə nɔ̃ !
ty nε pa a lobə də la vjεjεsə,
səpɑ̃dɑ̃, nabyze pa nɔ̃ plys də sə ki tə ʁεstə də ʒənεsə.
lεsə tɔ̃n- amə kɔmə œ̃n- altεsə
εkspeʁimɑ̃te la ʒwa də vivʁə,
dɑ̃ sa pyʁəte,
sɑ̃ sujyʁə ni okynə ɑ̃ɡwasə.
əvεʁtɥ twa a εksplɔʁe ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ lynive də la saʒεsə,
avεk plεziʁ, admiʁasjɔ̃ e satisfaksjɔ̃.
sε sə kə fε ta fɔʁsə.
naʁεtə lœvʁə də ta pʁɔpʁə kɔ̃stʁyksjɔ̃.
lεsə la sə skylpte metikyløzəmɑ̃
kɔmə də tεtə lε tʁesə,
sɑ̃ stʁεs, ni atə ni paʁεsə,
a la kadɑ̃sə də la tɑ̃dʁεsə də la pʁɔvidɑ̃sə
tεllə də dusə kaʁesə dε mɛ̃ də djø.
tuʒuʁ ʒə mə dəmɑ̃də
si ty na o mwɛ̃z- ynə ide
də lɛ̃pɔʁtɑ̃sə də paʁmi nu ta pʁezɑ̃sə ?
pa də panikə, ty nε pwɛ̃ ynə etʁɑ̃ʒεʁə
mε plyto ynə eʁɔinə,
ynə fijə də la pʁɔmεsə,
œ̃ pʁɔdiʒə, ynə pʁuεsə,
ɑ̃n- œ̃ mo, ynə pʁɛ̃sεsə,
sɑ̃ kɔ̃tεstə e ɑ̃ ljεsə.
ʒavu kavεk twa ʒε apʁi
kεtʁə ynə famə ɛ̃plikə nɔ̃ sələmɑ̃
εɡzybeʁɑ̃sə kuʁbə, də pwatʁinəz- e də fesə,
mεz- osi e syʁtu,
sə ki εt- a lɛ̃teʁjœʁ
dɑ̃ lε pʁɔfɔ̃dœʁ də lamə e də lεspʁi,
ɑ̃ vɥ də la tɔtalə tʁɑ̃sɑ̃dɑ̃sə
də sə ki nə pø pa εtʁə vy paʁ lεz- iø də la ʃεʁ
mεz- avεk lamə e lə kœʁ.
e sε sə ki distɛ̃ɡ veʁitabləmɑ̃.
ɑ̃ vεʁty də tu səla
saʃə kə si ʒə dəvε fɔ̃de œ̃ paʁti,
sə nə səʁε pa o nɔ̃ də la pɔlitikə.
ʒə tasyʁə kə ʒə nə ʁezistəʁε pa a lɑ̃vi
kə lamuʁ, la sɛ̃plisite,
lymuʁ, lə ɡlamuʁ, e la bʁavuʁə,
ɑ̃ kɔ̃stitɥəʁε lə manifεstə.
ui, la nu ʒuəʁjɔ̃ tus
sɑ̃ kʁɛ̃tə a sə fεʁə la kuʁ,
dɑ̃ sεtə ɡʁɑ̃də kuʁ plεnə damitje,
də fʁatεʁnite, də sɑ̃sibilite, də seʁenite e də bɔnœʁ.
kʁwa mwa ta tʁε ʃεʁə ami, ta pɔstyʁə dεspʁi libʁə
sadaptə paʁfεtəmɑ̃ a la tajə də tɔ̃ kœʁ
e ilystʁə sɑ̃ ʁezεʁvə tεz- ideo,
pa sələmɑ̃ ɑ̃ tɑ̃ kə famə,
mεz- avɑ̃ tut- e syʁtu ɑ̃ tɑ̃ kεtʁə ymɛ̃,
kɔ̃tuʁnɑ̃ ɛ̃si tutə fɔʁmə də kypidite
e də tutə sɔʁtə- də pʁeʒyʒe,
a la dimɑ̃sjɔ̃ də ta ɡʁɑ̃dœʁ də kœʁ
e pʁɔpɔʁsjɔnεllmɑ̃ a tɔ̃n- uvεʁtyʁə dεspʁi.
ɑ̃n- efε, də sə paʁti ty ɑ̃ səʁε lə manifεstə
ɑ̃ ljεsə e sɑ̃ kɔ̃tεstə.
avεk twa, ʒε ɑ̃kɔʁə apʁi kεtʁə famə
nε pa ynə sɛ̃plə afεʁə,
ni nɔ̃ plysz- œ̃n- aki,
sε tut- œ̃ pʁɔʒε dyʁɑ̃ tut- ynə vi.
sə nε pa sələmɑ̃ sɛ̃ɔnimə də dusœʁ,
də sɑ̃sɥalite, də sedyksjɔ̃ u də plœʁ
mε, e syʁtu, də ʁetisɑ̃sə, də pʁɔfɔ̃dœʁ,
də fɔʁsə də kaʁaktεʁə e də vɔlɔ̃te,
də detεʁminasjɔ̃, dy deziʁ də vɛ̃kʁə
e plysz- ɑ̃kɔʁə dy sɑ̃timɑ̃ iʁepʁeɑ̃siblə
də plenitydə e dakɔ̃plisəmɑ̃,
o miljø dε tɑ̃pεtə familjaləz- e pʁɔfesjɔnεllə.
tut- ε məzyʁe e ɛ̃tεʁpʁete avεk pʁesizjɔ̃
dy plys pəti o plysz- ɛ̃siɲifjɑ̃ ʒεstə
sɑ̃z- okynə yʁʒɑ̃sə mεz- avεk dezɛ̃teʁəsəmɑ̃,
bjɛ̃ o dəla dε sybtilə sɑ̃sasjɔ̃
dɑ̃ɡwasə e depɥizəmɑ̃,
paʁ lεksklyzjɔ̃ də tutə movεzəz- ɛ̃tɑ̃sjɔ̃,
ɡʁasə a la paʁfεtə dozə də la mεtʁizə də swa e dε siʁkɔ̃stɑ̃sə.
sɑ̃z- okynə vεlleite də flatəʁi
ʒozə afiʁme kə mɔdεsti, ɑ̃pati e sɛ̃pati
tə definise kɔmə famə, sεtə kʁeatyʁə si sɛ̃ɡyljεʁə
dɔ̃ tu vʁε ɔmə
nezitəʁε a sɔlisite ladʁεsə
puʁ ɑ̃ vɥ də lœʁ vi ynə mεjəʁə ɔʁjɛ̃tasjɔ̃,
ɑ̃ ka də maladʁεsə də sa famə.
ɔ̃ nə sε ʒamε.
(ʁiʁə)
o mɔ̃ djø
kεllə fɔʁmidablə istwaʁə :
ty etεz- ynə fijə plεnə dabiləte,
pɥi, ynə famə plεnə də saʒεsə e də tɑ̃dʁεsə.
ui, kɔmə tutə otʁə famə,
tuʒuʁz- a la ʁəʃεʁʃə dεllə mεmə
ɑ̃ vɥ də lɔfʁɑ̃də dy mεjœʁ dεllə mεmə
mεmə si paʁfwaz- εllə fε mal
mεmə sø kεllə εmə, paʁ lɛ̃kɔ̃sjɑ̃sə də sεz- aktə.
swa di ɑ̃ pasɑ̃, ʒə sε kə dokœ̃
ʁiske də mɔ̃te dε sjɑ̃sə də ʒaluzi,
ɑ̃ ʁεzɔ̃ də mɔ̃ ʁɔmɑ̃tismə a tɔ̃n- eɡaʁ
mε kə tu səla swa miz- a paʁ.
mε pεʁmε mwa də tə dəmɑ̃de
si kɔmə ynə ɡʁipə sεzɔnjεʁə
lɑ̃vi dεtʁə mεtʁizə nə ta ʒamε pike ?
dizɔ̃ dɑ̃sεɲəmɑ̃, swa pa pεʁvεʁsə,
kaʁ ty ε tεllmɑ̃ due, devue e ɛ̃tεlliʒɑ̃tə
e fε pʁəvə də pʁɔfesjɔnalismə dynə otεsə
də si ɡʁɑ̃ kalibʁə.
ʒə vø diʁə puʁ la mɔtivasjɔ̃ u lə kɔaʃiŋ
dɑ̃ ta vi, a sεʁtɛ̃ mɔmɑ̃ ?
mɔ̃ djø,
sε kyʁjø !
mε tʁε seʁjøzəmɑ̃
e ɑ̃tʁə nu.
(ʁiʁə)
mεz- uε, tə vwala,
a lobə də ta nuvεllə ʒənεsə,
ebluisɑ̃tə e maʒεstɥøzə tεllə ynə pʁɛ̃sεsə,
ɑ̃n- atɑ̃tə də sɔ̃n- altεsə.
ki ɑ̃ dutəʁε
il meʁitə lεkspylsjɔ̃ imedja dy ʁwajomə,
kutə kə kutə.
e o ka də ʁetisɑ̃sə, il səʁε ɑ̃vwaje o djablə !
puʁ paʁfεʁə sɔ̃n- œvʁə dεɡʁœʁ e dipɔkʁizi.
ɑ̃ sə ʒuʁ spesjal, pεʁmε twa tutə lε fɔli
dɔnə a tɔ̃ kœʁ paʁ tɔ̃ kɔʁ ʒwa e vɔlypte
e a kikɔ̃kə ki nozəʁε pa vulwaʁ kupeʁe
də bɔnə fese.
nə lubli ʒamε, tε də la famijə dε dyʃesə
e də la vi tutə ynə pɔetεsə,
plεnə də delikatεsə e də suplεsə.
ɛ̃si, ty meʁitə dεtʁə selebʁe avεk aʁ,
sɔ̃ptyozite e metikylozite
sɑ̃ kə ta ʁwajote nə swa mizə a lekaʁ,
pɥiskə ty i ε la dεʁnjεʁə eʁitjεʁə,
dɔ̃k ynə ɛ̃kɔ̃tεstablə pʁɛ̃sεsə.
ʒwajøz- anivεʁsεʁə pasi !
tɔ̃n- amitje ε plys kə sεksi
kεllə fjεʁte də tavwaʁ kɔmə ami.
ʒwajøz- anivεʁsεʁə ma tʁε ʃεʁə ami !
ʁeʒui, ʁεsplɑ̃di, eblui, ɑ̃nivʁə twa
kaʁ, oʒuʁdɥi ε tɔ̃ ʒuʁ nɔtʁə pʁɔdiʒjøzə pasi !
puʁ tʁuve lə mo εɡzakt, pø tεtʁə, də ʒystεsə.
ɑ̃ vɥ dεkspʁime avεk la plys ɡʁɑ̃də fidelite
də sə kə veʁitabləmɑ̃ ɔ̃ ʁəse
ɑ̃n- ynə ɔkazjɔ̃ si spesjalə,
kɔmə sεllə də tɔ̃n- anivεʁsεʁə pasi.
kεl kasə tεtə !
mε ʒə lə fəʁε vɔlɔ̃tje
tεl dy kœʁ la mεjəʁə kεtə,
sɑ̃ tʁo də kliʃe ni steʁeɔtipə
mεz- avεk də la pɔezi tutə la savœʁ
dɔ̃k, avεk aʁ, talɑ̃ e ʃaʁmə.
sə nε dɔ̃k pa ynə ɔkazjɔ̃ də tus lε ʒuʁ
sε puʁ mwa œ̃ tʁε ɡʁɑ̃t- ɔnœʁ
davwaʁ a εskise ynə siluεtə ynikə,
dynə kʁeatyʁə dε plys sɛ̃ɡyljεʁə
dynə famə sɑ̃ tynikə
dɑ̃ sεz- aspiʁasjɔ̃ də pεʁfεksjɔ̃ ɑ̃n- ymanite,
ynə diva !
ui, ynə famə malɡʁe vɑ̃z- e maʁe
nɑ̃tɑ̃ ʒamε savuʁe okynə defεtə.
sε dɔ̃k εllə lamuʁ nu kɔ̃vi oʒuʁdɥi a selebʁe
avεk də nɔtʁə kœʁ œ̃ sɑ̃timɑ̃ də sɛ̃seʁite e də ɡʁatitydə.
ɛ̃si, ʒə vø kə ty saʃə pasi,
kə tɔ̃n- amitje puʁ ε mwa sεksi
dəpɥi kə nu nu kɔnεsɔ̃
a sεtə etapə də nɔtʁə vi
u nuz- esjɔ̃z- ɑ̃ kεtə dy pɛ̃ də ledykasjɔ̃
a lynivεʁsite il i a otuʁ də vɛ̃t- ɑ̃.
pa də susi,
pwɛ̃ ty nə vjεji
ty ɡʁɑ̃di !
bjɛ̃ syʁ kə nɔ̃ !
ty nε pa a lobə də la vjεjεsə,
səpɑ̃dɑ̃, nabyze pa nɔ̃ plys də sə ki tə ʁεstə də ʒənεsə.
lεsə tɔ̃n- amə kɔmə œ̃n- altεsə
εkspeʁimɑ̃te la ʒwa də vivʁə,
dɑ̃ sa pyʁəte,
sɑ̃ sujyʁə ni okynə ɑ̃ɡwasə.
əvεʁtɥ twa a εksplɔʁe ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ lynive də la saʒεsə,
avεk plεziʁ, admiʁasjɔ̃ e satisfaksjɔ̃.
sε sə kə fε ta fɔʁsə.
naʁεtə lœvʁə də ta pʁɔpʁə kɔ̃stʁyksjɔ̃.
lεsə la sə skylpte metikyløzəmɑ̃
kɔmə də tεtə lε tʁesə,
sɑ̃ stʁεs, ni atə ni paʁεsə,
a la kadɑ̃sə də la tɑ̃dʁεsə də la pʁɔvidɑ̃sə
tεllə də dusə kaʁesə dε mɛ̃ də djø.
tuʒuʁ ʒə mə dəmɑ̃də
si ty na o mwɛ̃z- ynə ide
də lɛ̃pɔʁtɑ̃sə də paʁmi nu ta pʁezɑ̃sə ?
pa də panikə, ty nε pwɛ̃ ynə etʁɑ̃ʒεʁə
mε plyto ynə eʁɔinə,
ynə fijə də la pʁɔmεsə,
œ̃ pʁɔdiʒə, ynə pʁuεsə,
ɑ̃n- œ̃ mo, ynə pʁɛ̃sεsə,
sɑ̃ kɔ̃tεstə e ɑ̃ ljεsə.
ʒavu kavεk twa ʒε apʁi
kεtʁə ynə famə ɛ̃plikə nɔ̃ sələmɑ̃
εɡzybeʁɑ̃sə kuʁbə, də pwatʁinəz- e də fesə,
mεz- osi e syʁtu,
sə ki εt- a lɛ̃teʁjœʁ
dɑ̃ lε pʁɔfɔ̃dœʁ də lamə e də lεspʁi,
ɑ̃ vɥ də la tɔtalə tʁɑ̃sɑ̃dɑ̃sə
də sə ki nə pø pa εtʁə vy paʁ lεz- iø də la ʃεʁ
mεz- avεk lamə e lə kœʁ.
e sε sə ki distɛ̃ɡ veʁitabləmɑ̃.
ɑ̃ vεʁty də tu səla
saʃə kə si ʒə dəvε fɔ̃de œ̃ paʁti,
sə nə səʁε pa o nɔ̃ də la pɔlitikə.
ʒə tasyʁə kə ʒə nə ʁezistəʁε pa a lɑ̃vi
kə lamuʁ, la sɛ̃plisite,
lymuʁ, lə ɡlamuʁ, e la bʁavuʁə,
ɑ̃ kɔ̃stitɥəʁε lə manifεstə.
ui, la nu ʒuəʁjɔ̃ tus
sɑ̃ kʁɛ̃tə a sə fεʁə la kuʁ,
dɑ̃ sεtə ɡʁɑ̃də kuʁ plεnə damitje,
də fʁatεʁnite, də sɑ̃sibilite, də seʁenite e də bɔnœʁ.
kʁwa mwa ta tʁε ʃεʁə ami, ta pɔstyʁə dεspʁi libʁə
sadaptə paʁfεtəmɑ̃ a la tajə də tɔ̃ kœʁ
e ilystʁə sɑ̃ ʁezεʁvə tεz- ideo,
pa sələmɑ̃ ɑ̃ tɑ̃ kə famə,
mεz- avɑ̃ tut- e syʁtu ɑ̃ tɑ̃ kεtʁə ymɛ̃,
kɔ̃tuʁnɑ̃ ɛ̃si tutə fɔʁmə də kypidite
e də tutə sɔʁtə- də pʁeʒyʒe,
a la dimɑ̃sjɔ̃ də ta ɡʁɑ̃dœʁ də kœʁ
e pʁɔpɔʁsjɔnεllmɑ̃ a tɔ̃n- uvεʁtyʁə dεspʁi.
ɑ̃n- efε, də sə paʁti ty ɑ̃ səʁε lə manifεstə
ɑ̃ ljεsə e sɑ̃ kɔ̃tεstə.
avεk twa, ʒε ɑ̃kɔʁə apʁi kεtʁə famə
nε pa ynə sɛ̃plə afεʁə,
ni nɔ̃ plysz- œ̃n- aki,
sε tut- œ̃ pʁɔʒε dyʁɑ̃ tut- ynə vi.
sə nε pa sələmɑ̃ sɛ̃ɔnimə də dusœʁ,
də sɑ̃sɥalite, də sedyksjɔ̃ u də plœʁ
mε, e syʁtu, də ʁetisɑ̃sə, də pʁɔfɔ̃dœʁ,
də fɔʁsə də kaʁaktεʁə e də vɔlɔ̃te,
də detεʁminasjɔ̃, dy deziʁ də vɛ̃kʁə
e plysz- ɑ̃kɔʁə dy sɑ̃timɑ̃ iʁepʁeɑ̃siblə
də plenitydə e dakɔ̃plisəmɑ̃,
o miljø dε tɑ̃pεtə familjaləz- e pʁɔfesjɔnεllə.
tut- ε məzyʁe e ɛ̃tεʁpʁete avεk pʁesizjɔ̃
dy plys pəti o plysz- ɛ̃siɲifjɑ̃ ʒεstə
sɑ̃z- okynə yʁʒɑ̃sə mεz- avεk dezɛ̃teʁəsəmɑ̃,
bjɛ̃ o dəla dε sybtilə sɑ̃sasjɔ̃
dɑ̃ɡwasə e depɥizəmɑ̃,
paʁ lεksklyzjɔ̃ də tutə movεzəz- ɛ̃tɑ̃sjɔ̃,
ɡʁasə a la paʁfεtə dozə də la mεtʁizə də swa e dε siʁkɔ̃stɑ̃sə.
sɑ̃z- okynə vεlleite də flatəʁi
ʒozə afiʁme kə mɔdεsti, ɑ̃pati e sɛ̃pati
tə definise kɔmə famə, sεtə kʁeatyʁə si sɛ̃ɡyljεʁə
dɔ̃ tu vʁε ɔmə
nezitəʁε a sɔlisite ladʁεsə
puʁ ɑ̃ vɥ də lœʁ vi ynə mεjəʁə ɔʁjɛ̃tasjɔ̃,
ɑ̃ ka də maladʁεsə də sa famə.
ɔ̃ nə sε ʒamε.
(ʁiʁə)
o mɔ̃ djø
kεllə fɔʁmidablə istwaʁə :
ty etεz- ynə fijə plεnə dabiləte,
pɥi, ynə famə plεnə də saʒεsə e də tɑ̃dʁεsə.
ui, kɔmə tutə otʁə famə,
tuʒuʁz- a la ʁəʃεʁʃə dεllə mεmə
ɑ̃ vɥ də lɔfʁɑ̃də dy mεjœʁ dεllə mεmə
mεmə si paʁfwaz- εllə fε mal
mεmə sø kεllə εmə, paʁ lɛ̃kɔ̃sjɑ̃sə də sεz- aktə.
swa di ɑ̃ pasɑ̃, ʒə sε kə dokœ̃
ʁiske də mɔ̃te dε sjɑ̃sə də ʒaluzi,
ɑ̃ ʁεzɔ̃ də mɔ̃ ʁɔmɑ̃tismə a tɔ̃n- eɡaʁ
mε kə tu səla swa miz- a paʁ.
mε pεʁmε mwa də tə dəmɑ̃de
si kɔmə ynə ɡʁipə sεzɔnjεʁə
lɑ̃vi dεtʁə mεtʁizə nə ta ʒamε pike ?
dizɔ̃ dɑ̃sεɲəmɑ̃, swa pa pεʁvεʁsə,
kaʁ ty ε tεllmɑ̃ due, devue e ɛ̃tεlliʒɑ̃tə
e fε pʁəvə də pʁɔfesjɔnalismə dynə otεsə
də si ɡʁɑ̃ kalibʁə.
ʒə vø diʁə puʁ la mɔtivasjɔ̃ u lə kɔaʃiŋ
dɑ̃ ta vi, a sεʁtɛ̃ mɔmɑ̃ ?
mɔ̃ djø,
sε kyʁjø !
mε tʁε seʁjøzəmɑ̃
e ɑ̃tʁə nu.
(ʁiʁə)
mεz- uε, tə vwala,
a lobə də ta nuvεllə ʒənεsə,
ebluisɑ̃tə e maʒεstɥøzə tεllə ynə pʁɛ̃sεsə,
ɑ̃n- atɑ̃tə də sɔ̃n- altεsə.
ki ɑ̃ dutəʁε
il meʁitə lεkspylsjɔ̃ imedja dy ʁwajomə,
kutə kə kutə.
e o ka də ʁetisɑ̃sə, il səʁε ɑ̃vwaje o djablə !
puʁ paʁfεʁə sɔ̃n- œvʁə dεɡʁœʁ e dipɔkʁizi.
ɑ̃ sə ʒuʁ spesjal, pεʁmε twa tutə lε fɔli
dɔnə a tɔ̃ kœʁ paʁ tɔ̃ kɔʁ ʒwa e vɔlypte
e a kikɔ̃kə ki nozəʁε pa vulwaʁ kupeʁe
də bɔnə fese.
nə lubli ʒamε, tε də la famijə dε dyʃesə
e də la vi tutə ynə pɔetεsə,
plεnə də delikatεsə e də suplεsə.
ɛ̃si, ty meʁitə dεtʁə selebʁe avεk aʁ,
sɔ̃ptyozite e metikylozite
sɑ̃ kə ta ʁwajote nə swa mizə a lekaʁ,
pɥiskə ty i ε la dεʁnjεʁə eʁitjεʁə,
dɔ̃k ynə ɛ̃kɔ̃tεstablə pʁɛ̃sεsə.
ʒwajøz- anivεʁsεʁə pasi !
tɔ̃n- amitje ε plys kə sεksi
kεllə fjεʁte də tavwaʁ kɔmə ami.
ʒwajøz- anivεʁsεʁə ma tʁε ʃεʁə ami !
ʁeʒui, ʁεsplɑ̃di, eblui, ɑ̃nivʁə twa
kaʁ, oʒuʁdɥi ε tɔ̃ ʒuʁ nɔtʁə pʁɔdiʒjøzə pasi !