Poème:L’ideale

Tes mains en mouvement,
Se deplace dans l’air en s’envolant,
Elle revelent de leur longueur et de leur finesse,
Toute ta douceur, ton calme, ta gentillesse,

Tes yeux mixés, bleu, gris, de vert tachetés,
Horne ton visage aux courbes etudiés,
Tel le bijoux rare à valeur inestimable,
D’un tresor de barbare reputé introuvable,

Ils se marient ravissement au sourire,
De l’oiseaux à l’instant evadé de sa cage,
Laissant généreuseument decouvrir,
Ton ame, sincère, malicieuse et sage,

Ta peau brune, teintée claire,
Mi-chocolat, mi-lait,
Lisse et pure comme le verre,
Sans l’ombre d’une égratinure,

Donne envie, de sentir, de toucher,
Du bout des doigts ta beauté,
Et même, pourquoi pas oser,
Allé jusqu’a tendrement caresser,

Cette silhouette bien faite,
De haut en bas, des pieds à la tête,
Qu’il vaut mieux garder en secret,
Fort de details qui serait censurés,

C’est dans ce rayon de soleil que tu m’est apparu,
Sur un fond de desert, tu etait la simplement,
Vétu de violet et de vert, dessiner parfaitement,
Dans cette vague de lumière et de sable, je n’ai pas bien vu,

AAAAH ! mon dieu si seulement,
Tu pouvais être vrai, tu pouvais existé,
Mais pour l’heure, séant, je n’peut que te penser,
En esperant, en priant qu’un jour le bon vent,
Te feras venir à moi tel que je t’ai imaginé.