Poème:Titre

Le lit,
La nuit,
Le noir,
Et le marchand de sable.

Tout sa m’attendais,
Juste avant de fermer les yeux,
De pouvoir rêver,
Et parcourir des centaines de lieus.

Alors comme tous les soirs,
J’eitaignis la lumière,
Pour me plonger dans le noir,
Le desespoir.

Quand je m’endromis,
Je te vis,
Juste devant moi,
Tu me tendais les bras.

Tu me pris la main,
M’emmenas au loin,
Dans de magnifiques cachettes,
Dans la vie, on appelle sa des perles.

Tu me souriait, me parlais,
Me câlinais, me taquinais,
On s’écoutait, on chantait
Tout simplement, « on s’aimait »

La journée passa vite,
Il était temps de se quitter,
Mais pas de larmes,
Demain on se reverra.

Quand j’ouvris les yeux,
Je tatonna mon lit,
Tu n’étais pas la,
Alors comme sa tu m’avais menti ?

Mais non Sophie,
Ce n’était qu’un rêve,
Comme il en existe des milliards,
Le rêve est une sorte d’illusion qui te rassure,
Comme une histoire,
Et voilà tout !