Poème:Les Roses Les Plus Belles
A Propos du Poeme
Dialogue entre jeune femme dévastée et son amant fantomatique.
Le Poème
Les roses les plus belles
Te voilà revenu sur le lieu de tes crimes.
Dans cette ville ouverte aux pires souvenirs.
En prenant des chemins sans aucun avenir,
Te voilà revenu sur le lieu de tes crimes.
Tu pensais en partant conquérir un empire
Croyant être au retour cousu d’argent et d’or,
Mais tu es devant moi, là dans la chaux, tu dors.
Je ne sais toujours pas quel sentiment m’inspire.
Jamais je n’ai pensé conquérir un empire
Que je pourrais t’offrir ma reine, mon amour.
Je voulais, pour ton cœur, des mots faits de velours,
Et te dire par toi quel sentiment m’inspire.
J’admets ma lâcheté, je reconnais mes torts.
Cent fois, j’aurais voulu sur mes pas revenir.
Cent fois, j’aurais voulu une lettre t’écrire.
Mais je suis devant toi, là, dans la chaux, je dors.
Longtemps, j’ai cru en nous en ma prime jeunesse,
Quand nous jouions ensemble aux portes du temps doux,
J’avais les sentiments envers toi les plus doux.
Longtemps, j’ai cru en nous en ma prime jeunesse.
Dans les bois de genêts, au milieu des prairies,
Quand nous jouions ensemble aux portes du temps doux,
Quand nous égratignions ensemble nos genoux.
Le soir, je nous voyais au pied de la mairie.
Je n’ai été qu’un fou partant se faire la belle.
J’aurais dû nous garder, dû nous revoir quand nous,
Quand nous égratignions ensemble nos genoux
En voulant attraper les roses les plus belles.
En voulant attraper la rose la plus belle,
Il arriva parfois de tomber tous les deux
Dans les bras l’un de l’autre et mes yeux dans tes yeux
Pareils à la lionne accompagnant Cybèle.
Un jour, tu es partie, les roses sont flétries.
Les rosiers sont coupés. Passe le temps du faon,
Des baisers innocents, celui des illusions,
Lorsque je nous rêvais au pied de la mairie.
Toi, vêtu de draps bleus et moi, en traîne blanche.
Les rosiers sont coupés. Passé le temps du faon,
Vient l’heure de l’adulte et du cœur qui se fend
Sur le spleen acéré qui tombe en avalanche.
Le soir, je nous rêvais au pied de la mairie,
Mais ton père est venu et il m’a ordonné
De m’en aller au loin et de t’abandonner,
Alors je suis parti mourir pour la patrie.
Moi, vêtu de drap bleu, prisonnier des nuits blanches
Où le sang coule à flots jusqu’au fond des ruisseaux,
Où je guettais tremblant à l’abri des boisseaux.
À attendre l’enfer, massacre en avalanche…
Tu as tout emporté, mon amour, ma jeunesse
Mon cœur est asséché, mes yeux ne pleuvent plus
Sur le toit de mes rêves. Non ! Je ne t’aime plus.
Tu as tout emporté, mon amour, ma jeunesse
Je suis morte-vivante, un fantôme qui se grime.
Le jour où tu as fui, tu m’as assassinée
À coups de peine au cœur que tu m’as assénée.
Te voilà revenu sur le lieu de tes crimes
Il a tout emporté, mon amour, ma jeunesse.
Je l’ai frappé là, oui ! Juste là, en plein cœur.
À grands coups de couteau sans pitié et sans peur.
C’est dans le désespoir que le soir, les fous naissent.
Moi, j’étais revenu pour tenir ma promesse.
Il m’a fait arrêter et jeté en prison.
Il m’a fait torturer, passer à la question.
C’est dans le désespoir que le soir les fous naissent.
Tu es réapparu, mais sans que je le sache.
Alors qu’il t’accueillait avec toute amitié
À grands coups de couteau sans peur et sans pitié
Tu as tué mon père, un vieillard, comme un lâche.
Tu es réapparu, mais sans que je le sache.
Moi, j’aurais préféré te voir te balancer
Sur la place, pendu, jouant au balancier
Mais derrière la mort, du lâche, tu te caches.
Cela m’a rendu fou d’être accusé sans preuves.
Il m’a fait torturer, passé à la question.
J’ai scié mes barreaux, couru vers ta maison
Pour aller le tuer et plonger dans le fleuve
Je n’ai pas eu besoin au cou mettre une corde.
L’eau froide m’a saisi, entraîné vers le fond.
Le filet d’un pêcheur m’a traîné sous le pont.
Ils n’ont pas eu besoin au cou me mettre corde
Ta mort fut sans saveur, je voulais ma vengeance.
Sur la place ton corps, jouant au balancier
Et puis regarder faire un corbeau supplicier
L’assassin de mon père et de mes espérances.
Toi, tu ne souffres pas, oubliée ma vengeance.
La chaux fait son travail, je sais mon devenir.
Je suis morte-vivante, je connais l’avenir
Du fantôme grimé mettant fin aux souffrances.
C’est au petit matin, quand la brume se lève,
Que vint le fossoyeur et son plus jeune élève.
Sans prêter attention à la terre première
Ils ont couvert deux corps privés de mise en bière.
Ils ont fermé le trou, triste concession.
Ainsi, ils mirent fin à la conversation.
Au lieu-dit de la rose et de l’âme perdue,
Où l’on jetait les corps des noyés, des pendus,
Il se dit aujourd’hui, qu’on entend des palabres
Parcourant les buissons et les branches des arbres.
Quand le soleil se pose, aux portes du temps doux
Un vieux couple d’enfants se fait la courte-échelle,
S’étire et s’égratigne un peu de leurs genoux
En voulant attraper les roses les plus belles.
Te voilà revenu sur le lieu de tes crimes.
Dans cette ville ouverte aux pires souvenirs.
En prenant des chemins sans aucun avenir,
Te voilà revenu sur le lieu de tes crimes.
Tu pensais en partant conquérir un empire
Croyant être au retour cousu d’argent et d’or,
Mais tu es devant moi, là dans la chaux, tu dors.
Je ne sais toujours pas quel sentiment m’inspire.
Jamais je n’ai pensé conquérir un empire
Que je pourrais t’offrir ma reine, mon amour.
Je voulais, pour ton cœur, des mots faits de velours,
Et te dire par toi quel sentiment m’inspire.
J’admets ma lâcheté, je reconnais mes torts.
Cent fois, j’aurais voulu sur mes pas revenir.
Cent fois, j’aurais voulu une lettre t’écrire.
Mais je suis devant toi, là, dans la chaux, je dors.
Longtemps, j’ai cru en nous en ma prime jeunesse,
Quand nous jouions ensemble aux portes du temps doux,
J’avais les sentiments envers toi les plus doux.
Longtemps, j’ai cru en nous en ma prime jeunesse.
Dans les bois de genêts, au milieu des prairies,
Quand nous jouions ensemble aux portes du temps doux,
Quand nous égratignions ensemble nos genoux.
Le soir, je nous voyais au pied de la mairie.
Je n’ai été qu’un fou partant se faire la belle.
J’aurais dû nous garder, dû nous revoir quand nous,
Quand nous égratignions ensemble nos genoux
En voulant attraper les roses les plus belles.
En voulant attraper la rose la plus belle,
Il arriva parfois de tomber tous les deux
Dans les bras l’un de l’autre et mes yeux dans tes yeux
Pareils à la lionne accompagnant Cybèle.
Un jour, tu es partie, les roses sont flétries.
Les rosiers sont coupés. Passe le temps du faon,
Des baisers innocents, celui des illusions,
Lorsque je nous rêvais au pied de la mairie.
Toi, vêtu de draps bleus et moi, en traîne blanche.
Les rosiers sont coupés. Passé le temps du faon,
Vient l’heure de l’adulte et du cœur qui se fend
Sur le spleen acéré qui tombe en avalanche.
Le soir, je nous rêvais au pied de la mairie,
Mais ton père est venu et il m’a ordonné
De m’en aller au loin et de t’abandonner,
Alors je suis parti mourir pour la patrie.
Moi, vêtu de drap bleu, prisonnier des nuits blanches
Où le sang coule à flots jusqu’au fond des ruisseaux,
Où je guettais tremblant à l’abri des boisseaux.
À attendre l’enfer, massacre en avalanche…
Tu as tout emporté, mon amour, ma jeunesse
Mon cœur est asséché, mes yeux ne pleuvent plus
Sur le toit de mes rêves. Non ! Je ne t’aime plus.
Tu as tout emporté, mon amour, ma jeunesse
Je suis morte-vivante, un fantôme qui se grime.
Le jour où tu as fui, tu m’as assassinée
À coups de peine au cœur que tu m’as assénée.
Te voilà revenu sur le lieu de tes crimes
Il a tout emporté, mon amour, ma jeunesse.
Je l’ai frappé là, oui ! Juste là, en plein cœur.
À grands coups de couteau sans pitié et sans peur.
C’est dans le désespoir que le soir, les fous naissent.
Moi, j’étais revenu pour tenir ma promesse.
Il m’a fait arrêter et jeté en prison.
Il m’a fait torturer, passer à la question.
C’est dans le désespoir que le soir les fous naissent.
Tu es réapparu, mais sans que je le sache.
Alors qu’il t’accueillait avec toute amitié
À grands coups de couteau sans peur et sans pitié
Tu as tué mon père, un vieillard, comme un lâche.
Tu es réapparu, mais sans que je le sache.
Moi, j’aurais préféré te voir te balancer
Sur la place, pendu, jouant au balancier
Mais derrière la mort, du lâche, tu te caches.
Cela m’a rendu fou d’être accusé sans preuves.
Il m’a fait torturer, passé à la question.
J’ai scié mes barreaux, couru vers ta maison
Pour aller le tuer et plonger dans le fleuve
Je n’ai pas eu besoin au cou mettre une corde.
L’eau froide m’a saisi, entraîné vers le fond.
Le filet d’un pêcheur m’a traîné sous le pont.
Ils n’ont pas eu besoin au cou me mettre corde
Ta mort fut sans saveur, je voulais ma vengeance.
Sur la place ton corps, jouant au balancier
Et puis regarder faire un corbeau supplicier
L’assassin de mon père et de mes espérances.
Toi, tu ne souffres pas, oubliée ma vengeance.
La chaux fait son travail, je sais mon devenir.
Je suis morte-vivante, je connais l’avenir
Du fantôme grimé mettant fin aux souffrances.
C’est au petit matin, quand la brume se lève,
Que vint le fossoyeur et son plus jeune élève.
Sans prêter attention à la terre première
Ils ont couvert deux corps privés de mise en bière.
Ils ont fermé le trou, triste concession.
Ainsi, ils mirent fin à la conversation.
Au lieu-dit de la rose et de l’âme perdue,
Où l’on jetait les corps des noyés, des pendus,
Il se dit aujourd’hui, qu’on entend des palabres
Parcourant les buissons et les branches des arbres.
Quand le soleil se pose, aux portes du temps doux
Un vieux couple d’enfants se fait la courte-échelle,
S’étire et s’égratigne un peu de leurs genoux
En voulant attraper les roses les plus belles.
Poète Lavekrep Kodarak
Lavekrep Kodarak a publié sur le site 3 écrits. Lavekrep Kodarak est membre du site depuis l'année 2021.Lire le profil du poète Lavekrep KodarakSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Les Roses Les Plus Belles
les=ro=ses=les=plus=belles 6te=voi=là=re=ve=nu=sur=le=lieu=de=tes=crimes 12
dans=cette=vil=leou=ver=te=aux=pi=res=sou=ve=nirs 12
en=pre=nant=des=che=mins=sans=au=cun=a=ve=nir 12
te=voi=là=re=ve=nu=sur=le=lieu=de=tes=crimes 12
tu=pen=sais=en=par=tant=con=qué=rir=un=em=pire 12
croy=ant=être=au=re=tour=cou=su=dar=gent=et=dor 12
mais=tu=es=de=vant=moi=là=dans=la=chaux=tu=dors 12
je=ne=sais=tou=jours=pas=quel=sen=ti=ment=mins=pire 12
ja=mais=je=nai=pen=sé=con=qué=rir=un=em=pire 12
que=je=pour=rais=tof=frir=ma=rei=ne=mon=a=mour 12
je=vou=lais=pour=ton=cœur=des=mots=faits=de=ve=lours 12
et=te=di=re=par=toi=quel=sen=ti=ment=mins=pire 12
jad=mets=ma=lâ=che=té=je=re=con=nais=mes=torts 12
cent=fois=jau=rais=vou=lu=sur=mes=pas=re=ve=nir 12
cent=fois=jau=rais=vou=lu=u=ne=let=tre=té=crire 12
mais=je=suis=de=vant=toi=là=dans=la=chaux=je=dors 12
long=temps=jai=cru=en=nous=en=ma=prime=jeu=nes=se 12
quand=nous=jouions=en=sem=ble=aux=por=tes=du=temps=doux 12
ja=vais=les=sen=ti=ments=en=vers=toi=les=plus=doux 12
long=temps=jai=cru=en=nous=en=ma=pri=me=jeu=nesse 12
dans=les=bois=de=ge=nêts=au=mi=lieu=des=prai=ries 12
quand=nous=jouions=en=sem=ble=aux=por=tes=du=temps=doux 12
quand=nous=é=gra=ti=gnions=en=sem=ble=nos=ge=noux 12
le=soir=je=nous=vo=yais=au=pied=de=la=mai=rie 12
je=nai=é=té=quun=fou=par=tant=se=faire=la=belle 12
jau=rais=dû=nous=gar=der=dû=nous=re=voir=quand=nous 12
quand=nous=é=gra=ti=gnions=en=sem=ble=nos=ge=noux 12
en=vou=lant=at=tra=per=les=ro=ses=les=plus=belles 12
en=vou=lant=at=tra=per=la=rose=la=plus=bel=le 12
il=ar=ri=va=par=fois=de=tom=ber=tous=les=deux 12
dans=les=bras=lun=de=lautreet=mes=yeux=dans=tes=y=eux 12
pa=reils=à=la=lion=ne=ac=com=pa=gnant=cy=bèle 12
un=jour=tu=es=par=tie=les=ro=ses=sont=flé=tries 12
les=ro=siers=sont=cou=pés=pas=se=le=temps=du=faon 12
des=bai=sers=in=no=cents=ce=lui=des=illu=si=ons 12
lors=que=je=nous=rê=vais=au=pied=de=la=mai=rie 12
toi=vê=tu=de=draps=bleus=et=moi=en=traî=ne=blanche 12
les=ro=siers=sont=cou=pés=pas=sé=le=temps=du=faon 12
vient=lheure=de=la=dul=te=et=du=cœur=qui=se=fend 12
sur=le=spleen=a=cé=ré=qui=tombe=en=a=va=lanche 12
le=soir=je=nous=rê=vais=au=pied=de=la=mai=rie 12
mais=ton=père=est=ve=nu=et=il=ma=or=don=né 12
de=men=al=ler=au=loin=et=de=ta=ban=don=ner 12
a=lors=je=suis=par=ti=mou=rir=pour=la=pa=trie 12
moi=vê=tu=de=drap=bleu=pri=son=nier=des=nuits=blanches 12
où=le=sang=coule=à=flots=jus=quau=fond=des=ruis=seaux 12
où=je=guet=tais=trem=blant=à=la=bri=des=bois=seaux 12
à=at=tendre=len=fer=mas=sa=cre=en=a=va=lanche 12
tu=as=tout=em=por=té=mon=a=mour=ma=jeu=nesse 12
mon=cœur=est=as=sé=ché=mes=y=eux=ne=pleuvent=plus 12
sur=le=toit=de=mes=rêves=non=je=ne=tai=me=plus 12
tu=as=tout=em=por=té=mon=a=mour=ma=jeu=nesse 12
je=suis=morte=vi=vante=un=fan=tô=me=qui=se=grime 12
le=jour=où=tu=as=fui=tu=mas=as=sas=si=née 12
à=coups=de=peine=au=cœur=que=tu=mas=as=sé=née 12
te=voi=là=re=ve=nu=sur=le=lieu=de=tes=crimes 12
il=a=tout=em=por=té=mon=a=mour=ma=jeu=nesse 12
je=lai=frap=pé=là=oui=jus=te=là=en=plein=cœur 12
à=grands=coups=de=cou=teau=sans=pi=tié=et=sans=peur 12
cest=dans=le=dé=ses=poir=que=le=soir=les=fous=naissent 12
moi=jé=tais=re=ve=nu=pour=te=nir=ma=pro=messe 12
il=ma=fait=ar=rê=ter=et=je=té=en=pri=son 12
il=ma=fait=tor=tu=rer=pas=ser=à=la=ques=tion 12
cest=dans=le=dé=ses=poir=que=le=soir=les=fous=naissent 12
tu=es=ré=ap=pa=ru=mais=sans=que=je=le=sache 12
a=lors=quil=tac=cueillait=a=vec=toute=a=mi=ti=é 12
à=grands=coups=de=cou=teau=sans=peur=et=sans=pi=tié 12
tu=as=tué=mon=père=un=vieil=lard=com=me=un=lâche 12
tu=es=ré=ap=pa=ru=mais=sans=que=je=le=sache 12
moi=jau=rais=pré=fé=ré=te=voir=te=ba=lan=cer 12
sur=la=pla=ce=pen=du=jou=ant=au=ba=lan=cier 12
mais=der=riè=re=la=mort=du=lâ=che=tu=te=caches 12
ce=la=ma=ren=du=fou=dêtre=ac=cu=sé=sans=preuves 12
il=ma=fait=tor=tu=rer=pas=sé=à=la=ques=tion 12
jai=s=cié=mes=bar=reaux=cou=ru=vers=ta=mai=son 12
pour=al=ler=le=tuer=et=plon=ger=dans=le=fleu=ve 12
je=nai=pas=eu=be=soin=au=cou=mettre=u=ne=corde 12
leau=froi=de=ma=sai=si=en=traî=né=vers=le=fond 12
le=fi=let=dun=pê=cheur=ma=traî=né=sous=le=pont 12
ils=nont=pas=eu=be=soin=au=cou=me=met=tre=corde 12
ta=mort=fut=sans=sa=veur=je=vou=lais=ma=ven=geance 12
sur=la=pla=ce=ton=corps=jou=ant=au=ba=lan=cier 12
et=puis=re=gar=der=faire=un=cor=beau=sup=pli=cier 12
las=sas=sin=de=mon=père=et=de=mes=es=pé=rances 12
toi=tu=ne=souf=fres=pas=ou=bli=ée=ma=ven=geance 12
la=chaux=fait=son=tra=vail=je=sais=mon=de=ve=nir 12
je=suis=mor=te=vi=vante=je=con=nais=la=ve=nir 12
du=fan=tô=me=gri=mé=met=tant=fin=aux=souf=frances 12
as=té=risque 3
cest=au=pe=tit=ma=tin=quand=la=bru=me=se=lève 12
que=vint=le=fos=soyeur=et=son=plus=jeu=ne=é=lève 12
sans=prê=ter=at=ten=ti=on=à=la=terre=pre=mière 12
ils=ont=cou=vert=deux=corps=pri=vés=de=mise=en=bière 12
ils=ont=fer=mé=le=trou=tris=te=con=ces=si=on 12
ain=si=ils=mi=rent=fin=à=la=con=ver=sa=tion 12
as=té=risque 3
au=lieu=dit=de=la=rose=et=de=lâ=me=per=due 12
où=lon=je=tait=les=corps=des=noy=és=des=pen=dus 12
il=se=dit=au=jourd=hui=quon=en=tend=des=pa=labres 12
par=cou=rant=les=buis=sons=et=les=bran=ches=des=arbres 12
quand=le=so=leil=se=pose=aux=por=tes=du=temps=doux 12
un=vieux=couple=den=fants=se=fait=la=cour=teé=chel=le 12
sé=tireet=sé=gra=ti=gne=un=peu=de=leurs=ge=noux 12
en=vou=lant=at=tra=per=les=ro=ses=les=plus=belles 12
Phonétique : Les Roses Les Plus Belles
lε ʁozə lε plys bεllətə vwala ʁəvəny syʁ lə ljø də tε kʁimə.
dɑ̃ sεtə vilə uvεʁtə o piʁə suvəniʁ.
ɑ̃ pʁənɑ̃ dε ʃəmɛ̃ sɑ̃z- okœ̃ avəniʁ,
tə vwala ʁəvəny syʁ lə ljø də tε kʁimə.
ty pɑ̃sεz- ɑ̃ paʁtɑ̃ kɔ̃keʁiʁ œ̃n- ɑ̃piʁə
kʁwajɑ̃ εtʁə o ʁətuʁ kuzy daʁʒe e dɔʁ,
mε ty ε dəvɑ̃ mwa, la dɑ̃ la ʃo, ty dɔʁ.
ʒə nə sε tuʒuʁ pa kεl sɑ̃timɑ̃ mɛ̃spiʁə.
ʒamε ʒə nε pɑ̃se kɔ̃keʁiʁ œ̃n- ɑ̃piʁə
kə ʒə puʁʁε tɔfʁiʁ ma ʁεnə, mɔ̃n- amuʁ.
ʒə vulε, puʁ tɔ̃ kœʁ, dε mo fε də vəluʁ,
e tə diʁə paʁ twa kεl sɑ̃timɑ̃ mɛ̃spiʁə.
ʒadmε ma laʃəte, ʒə ʁəkɔnε mε tɔʁ.
sɑ̃ fwa, ʒoʁε vuly syʁ mε pa ʁəvəniʁ.
sɑ̃ fwa, ʒoʁε vuly ynə lεtʁə tekʁiʁə.
mε ʒə sɥi dəvɑ̃ twa, la, dɑ̃ la ʃo, ʒə dɔʁ.
lɔ̃tɑ̃, ʒε kʁy ɑ̃ nuz- ɑ̃ ma pʁimə ʒənεsə,
kɑ̃ nu ʒujɔ̃z- ɑ̃sɑ̃blə o pɔʁtə- dy tɑ̃ du,
ʒavε lε sɑ̃timɑ̃z- ɑ̃vεʁ twa lε plys du.
lɔ̃tɑ̃, ʒε kʁy ɑ̃ nuz- ɑ̃ ma pʁimə ʒənεsə.
dɑ̃ lε bwa də ʒənε, o miljø dε pʁεʁi,
kɑ̃ nu ʒujɔ̃z- ɑ̃sɑ̃blə o pɔʁtə- dy tɑ̃ du,
kɑ̃ nuz- eɡʁatiɲjɔ̃z- ɑ̃sɑ̃blə no ʒənu.
lə swaʁ, ʒə nu vwajεz- o pje də la mεʁi.
ʒə nε ete kœ̃ fu paʁtɑ̃ sə fεʁə la bεllə.
ʒoʁε dy nu ɡaʁde, dy nu ʁəvwaʁ kɑ̃ nu,
kɑ̃ nuz- eɡʁatiɲjɔ̃z- ɑ̃sɑ̃blə no ʒənu
ɑ̃ vulɑ̃ atʁape lε ʁozə lε plys bεllə.
ɑ̃ vulɑ̃ atʁape la ʁozə la plys bεllə,
il aʁiva paʁfwa də tɔ̃be tus lε dø
dɑ̃ lε bʁa lœ̃ də lotʁə e mεz- iø dɑ̃ tεz- iø
paʁεjz- a la ljɔnə akɔ̃paɲɑ̃ sibεlə.
œ̃ ʒuʁ, ty ε paʁti, lε ʁozə sɔ̃ fletʁi.
lε ʁozje sɔ̃ kupe. pasə lə tɑ̃ dy faɔ̃,
dε bεzez- inɔsɑ̃, səlɥi dεz- ilyzjɔ̃,
lɔʁskə ʒə nu ʁεvεz- o pje də la mεʁi.
twa, vεty də dʁa bløsz- e mwa, ɑ̃ tʁεnə blɑ̃ʃə.
lε ʁozje sɔ̃ kupe. pase lə tɑ̃ dy faɔ̃,
vjɛ̃ lœʁ də ladyltə e dy kœʁ ki sə fɑ̃
syʁ lə splin aseʁe ki tɔ̃bə ɑ̃n- avalɑ̃ʃə.
lə swaʁ, ʒə nu ʁεvεz- o pje də la mεʁi,
mε tɔ̃ pεʁə ε vəny e il ma ɔʁdɔne
də mɑ̃n- ale o lwɛ̃ e də tabɑ̃dɔne,
alɔʁ ʒə sɥi paʁti muʁiʁ puʁ la patʁi.
mwa, vεty də dʁa blø, pʁizɔnje dε nɥi blɑ̃ʃə
u lə sɑ̃ kulə a flo ʒysko fɔ̃ dε ʁɥiso,
u ʒə ɡεtε tʁɑ̃blɑ̃ a labʁi dε bwaso.
a atɑ̃dʁə lɑ̃fe, masakʁə ɑ̃n- avalɑ̃ʃə…
ty a tut- ɑ̃pɔʁte, mɔ̃n- amuʁ, ma ʒənεsə
mɔ̃ kœʁ εt- aseʃe, mεz- iø nə pləve plys
syʁ lə twa də mε ʁεvə. nɔ̃ ! ʒə nə tεmə plys.
ty a tut- ɑ̃pɔʁte, mɔ̃n- amuʁ, ma ʒənεsə
ʒə sɥi mɔʁtə vivɑ̃tə, œ̃ fɑ̃tomə ki sə ɡʁimə.
lə ʒuʁ u ty a fɥi, ty ma asasine
a ku də pεnə o kœʁ kə ty ma asene.
tə vwala ʁəvəny syʁ lə ljø də tε kʁimə
il a tut- ɑ̃pɔʁte, mɔ̃n- amuʁ, ma ʒənεsə.
ʒə lε fʁape la, ui ! ʒystə la, ɑ̃ plɛ̃ kœʁ.
a ɡʁɑ̃ ku də kuto sɑ̃ pitje e sɑ̃ pœʁ.
sε dɑ̃ lə dezεspwaʁ kə lə swaʁ, lε fus nεse.
mwa, ʒetε ʁəvəny puʁ təniʁ ma pʁɔmεsə.
il ma fε aʁεte e ʒəte ɑ̃ pʁizɔ̃.
il ma fε tɔʁtyʁe, pase a la kεstjɔ̃.
sε dɑ̃ lə dezεspwaʁ kə lə swaʁ lε fus nεse.
ty ε ʁeapaʁy, mε sɑ̃ kə ʒə lə saʃə.
alɔʁ kil takœjε avεk tutə amitje
a ɡʁɑ̃ ku də kuto sɑ̃ pœʁ e sɑ̃ pitje
ty a tye mɔ̃ pεʁə, œ̃ vjεjaʁ, kɔmə œ̃ laʃə.
ty ε ʁeapaʁy, mε sɑ̃ kə ʒə lə saʃə.
mwa, ʒoʁε pʁefeʁe tə vwaʁ tə balɑ̃se
syʁ la plasə, pɑ̃dy, ʒuɑ̃ o balɑ̃sje
mε dəʁjεʁə la mɔʁ, dy laʃə, ty tə kaʃə.
səla ma ʁɑ̃dy fu dεtʁə akyze sɑ̃ pʁəvə.
il ma fε tɔʁtyʁe, pase a la kεstjɔ̃.
ʒε sje mε baʁo, kuʁy vεʁ ta mεzɔ̃
puʁ ale lə tɥe e plɔ̃ʒe dɑ̃ lə fləvə
ʒə nε pa y bəzwɛ̃ o ku mεtʁə ynə kɔʁdə.
lo fʁwadə ma sεzi, ɑ̃tʁεne vεʁ lə fɔ̃.
lə filε dœ̃ pεʃœʁ ma tʁεne su lə pɔ̃.
il nɔ̃ pa y bəzwɛ̃ o ku mə mεtʁə kɔʁdə
ta mɔʁ fy sɑ̃ savœʁ, ʒə vulε ma vɑ̃ʒɑ̃sə.
syʁ la plasə tɔ̃ kɔʁ, ʒuɑ̃ o balɑ̃sje
e pɥi ʁəɡaʁde fεʁə œ̃ kɔʁbo syplisje
lasasɛ̃ də mɔ̃ pεʁə e də mεz- εspeʁɑ̃sə.
twa, ty nə sufʁə- pa, ublje ma vɑ̃ʒɑ̃sə.
la ʃo fε sɔ̃ tʁavaj, ʒə sε mɔ̃ dəvəniʁ.
ʒə sɥi mɔʁtə vivɑ̃tə, ʒə kɔnε lavəniʁ
dy fɑ̃tomə ɡʁime mεtɑ̃ fɛ̃ o sufʁɑ̃sə.
asteʁiskə
sεt- o pəti matɛ̃, kɑ̃ la bʁymə sə lεvə,
kə vɛ̃ lə fɔswajœʁ e sɔ̃ plys ʒənə elεvə.
sɑ̃ pʁεte atɑ̃sjɔ̃ a la teʁə pʁəmjεʁə
ilz- ɔ̃ kuvεʁ dø kɔʁ pʁive də mizə ɑ̃ bjεʁə.
ilz- ɔ̃ fεʁme lə tʁu, tʁistə kɔ̃sesjɔ̃.
ɛ̃si, il miʁe fɛ̃ a la kɔ̃vεʁsasjɔ̃.
asteʁiskə
o ljø di də la ʁozə e də lamə pεʁdɥ,
u lɔ̃ ʒətε lε kɔʁ dε nwaje, dε pɑ̃dys,
il sə di oʒuʁdɥi, kɔ̃n- ɑ̃tɑ̃ dε palabʁə
paʁkuʁɑ̃ lε bɥisɔ̃z- e lε bʁɑ̃ʃə dεz- aʁbʁə.
kɑ̃ lə sɔlεj sə pozə, o pɔʁtə- dy tɑ̃ du
œ̃ vjø kuplə dɑ̃fɑ̃ sə fε la kuʁtə eʃεllə,
setiʁə e seɡʁatiɲə œ̃ pø də lœʁ ʒənu
ɑ̃ vulɑ̃ atʁape lε ʁozə lε plys bεllə.
Syllabes Phonétique : Les Roses Les Plus Belles
lε=ʁo=zə=lε=plys=bεl=lə 7tə=vwa=la=ʁə=və=ny=syʁ=lə=ljø=də=tε=kʁimə 12
dɑ̃=sεtə=vi=ləu=vεʁ=tə=o=pi=ʁə=su=və=niʁ 12
ɑ̃=pʁə=nɑ̃=dε=ʃə=mɛ̃=sɑ̃=zo=kœ̃=a=və=niʁ 12
tə=vwa=la=ʁə=və=ny=syʁ=lə=ljø=də=tε=kʁimə 12
ty=pɑ̃=sε=zɑ̃=paʁ=tɑ̃=kɔ̃=ke=ʁiʁ=œ̃=nɑ̃=piʁə 12
kʁwa=jɑ̃=εtʁə=o=ʁə=tuʁ=ku=zy=daʁ=ʒe=e=dɔʁ 12
mε=ty=ε=də=vɑ̃=mwa=la=dɑ̃=la=ʃo=ty=dɔʁ 12
ʒə=nə=sε=tu=ʒuʁ=pa=kεl=sɑ̃=ti=mɑ̃=mɛ̃s=piʁə 12
ʒa=mε=ʒə=nε=pɑ̃=se=kɔ̃=ke=ʁiʁ=œ̃=nɑ̃=piʁə 12
kə=ʒə=puʁ=ʁε=tɔ=fʁiʁ=ma=ʁε=nə=mɔ̃=na=muʁ 12
ʒə=vu=lε=puʁ=tɔ̃=kœʁ=dε=mo=fε=də=və=luʁ 12
e=tə=di=ʁə=paʁ=twa=kεl=sɑ̃=ti=mɑ̃=mɛ̃s=piʁə 12
ʒad=mε=ma=la=ʃə=te=ʒə=ʁə=kɔ=nε=mε=tɔʁ 12
sɑ̃=fwa=ʒo=ʁε=vu=ly=syʁ=mε=pa=ʁə=və=niʁ 12
sɑ̃=fwa=ʒo=ʁε=vu=ly=y=nə=lε=tʁə=te=kʁiʁə 12
mε=ʒə=sɥi=də=vɑ̃=twa=la=dɑ̃=la=ʃo=ʒə=dɔʁ 12
lɔ̃=tɑ̃=ʒε=kʁy=ɑ̃=nu=zɑ̃=ma=pʁi=mə=ʒə=nεsə 12
kɑ̃=nu=ʒu=jɔ̃=zɑ̃=sɑ̃blə=o=pɔʁ=tə=dy=tɑ̃=du 12
ʒa=vε=lε=sɑ̃=ti=mɑ̃=zɑ̃=vεʁ=twa=lε=plys=du 12
lɔ̃=tɑ̃=ʒε=kʁy=ɑ̃=nu=zɑ̃=ma=pʁi=mə=ʒə=nεsə 12
dɑ̃=lε=bwa=də=ʒə=nε=o=mi=ljø=dε=pʁε=ʁi 12
kɑ̃=nu=ʒu=jɔ̃=zɑ̃=sɑ̃blə=o=pɔʁ=tə=dy=tɑ̃=du 12
kɑ̃=nu=ze=ɡʁa=ti=ɲjɔ̃=zɑ̃=sɑ̃=blə=no=ʒə=nu 12
lə=swaʁ=ʒə=nu=vwa=jε=zo=pje=də=la=mε=ʁi 12
ʒə=nε=e=te=kœ̃=fu=paʁ=tɑ̃sə=fε=ʁə=la=bεllə 12
ʒo=ʁε=dy=nu=ɡaʁ=de=dy=nu=ʁə=vwaʁ=kɑ̃=nu 12
kɑ̃=nu=ze=ɡʁa=ti=ɲjɔ̃=zɑ̃=sɑ̃=blə=no=ʒə=nu 12
ɑ̃=vu=lɑ̃=a=tʁa=pe=lε=ʁozə=lε=plys=bεl=lə 12
ɑ̃=vu=lɑ̃=a=tʁa=pe=la=ʁozə=la=plys=bεl=lə 12
il=a=ʁi=va=paʁ=fwa=də=tɔ̃=be=tus=lε=dø 12
dɑ̃=lε=bʁa=lœ̃=də=lotʁəe=mε=ziø=dɑ̃=tε=zi=ø 12
pa=ʁεj=za=la=ljɔ=nə=a=kɔ̃=pa=ɲɑ̃=si=bεlə 12
œ̃=ʒuʁ=ty=ε=paʁ=ti=lε=ʁo=zə=sɔ̃=fle=tʁi 12
lε=ʁo=zje=sɔ̃=ku=pe=pasə=lə=tɑ̃=dy=fa=ɔ̃ 12
dε=bε=ze=zi=nɔ=sɑ̃=səl=ɥi=dε=zi=ly=zjɔ̃ 12
lɔʁ=skə=ʒə=nu=ʁε=vε=zo=pje=də=la=mε=ʁi 12
twa=vε=ty=də=dʁa=bløs=ze=mwa=ɑ̃=tʁε=nə=blɑ̃ʃə 12
lε=ʁo=zje=sɔ̃=ku=pe=pase=lə=tɑ̃=dy=fa=ɔ̃ 12
vjɛ̃=lœʁ=də=la=dyl=tə=e=dy=kœʁ=ki=sə=fɑ̃ 12
syʁ=lə=splin=ase=ʁe=ki=tɔ̃=bə=ɑ̃=na=va=lɑ̃ʃə 12
lə=swaʁ=ʒə=nu=ʁε=vε=zo=pje=də=la=mε=ʁi 12
mε=tɔ̃=pεʁə=ε=və=ny=e=il=ma=ɔʁ=dɔ=ne 12
də=mɑ̃=na=le=o=lwɛ̃=e=də=ta=bɑ̃=dɔ=ne 12
a=lɔʁ=ʒə=sɥi=paʁ=ti=mu=ʁiʁ=puʁ=la=pa=tʁi 12
mwa=vε=ty=də=dʁa=blø=pʁi=zɔ=nje=dε=nɥi=blɑ̃ʃə 12
ulə=sɑ̃=ku=lə=a=flo=ʒys=ko=fɔ̃=dε=ʁɥi=so 12
u=ʒə=ɡε=tε=tʁɑ̃=blɑ̃=a=la=bʁi=dε=bwa=so 12
a=a=tɑ̃dʁə=lɑ̃=fe=ma=sa=kʁə=ɑ̃=na=va=lɑ̃ʃə 12
ty=a=tu=tɑ̃=pɔʁ=te=mɔ̃=na=muʁ=ma=ʒə=nεsə 12
mɔ̃=kœʁ=ε=tase=ʃe=mε=zi=ø=nə=plə=ve=plys 12
syʁ=lə=twa=də=mε=ʁεvə=nɔ̃=ʒə=nə=tε=mə=plys 12
ty=a=tu=tɑ̃=pɔʁ=te=mɔ̃=na=muʁ=ma=ʒə=nεsə 12
ʒə=sɥimɔʁtə=vi=vɑ̃=tə=œ̃=fɑ̃=to=mə=ki=sə=ɡʁimə 12
lə=ʒuʁ=u=ty=a=fɥi=ty=ma=a=sa=si=ne 12
a=kudə=pε=nə=o=kœʁ=kə=ty=ma=a=se=ne 12
tə=vwa=la=ʁə=və=ny=syʁ=lə=ljø=də=tε=kʁimə 12
il=a=tu=tɑ̃=pɔʁ=te=mɔ̃=na=muʁ=ma=ʒə=nεsə 12
ʒə=lε=fʁa=pe=la=ui=ʒys=tə=la=ɑ̃=plɛ̃=kœʁ 12
a=ɡʁɑ̃=ku=də=ku=to=sɑ̃=pi=tje=e=sɑ̃=pœʁ 12
sε=dɑ̃=lə=de=zεs=pwaʁkə=lə=swaʁ=lε=fus=nε=se 12
mwa=ʒe=tε=ʁə=və=ny=puʁ=tə=niʁ=ma=pʁɔ=mεsə 12
il=ma=fε=a=ʁε=te=e=ʒə=te=ɑ̃=pʁi=zɔ̃ 12
il=ma=fε=tɔʁ=ty=ʁe=pa=se=a=la=kεs=tjɔ̃ 12
sε=dɑ̃=lə=de=zεs=pwaʁkə=lə=swaʁ=lε=fus=nε=se 12
ty=ε=ʁe=a=pa=ʁy=mε=sɑ̃=kə=ʒə=lə=saʃə 12
a=lɔʁ=kil=ta=kœjε=a=vεk=tu=tə=a=mi=tje 12
a=ɡʁɑ̃=ku=də=ku=to=sɑ̃=pœʁ=e=sɑ̃=pi=tje 12
ty=a=ty=e=mɔ̃=pεʁə=œ̃=vjε=jaʁ=kɔ=məœ̃=laʃə 12
ty=ε=ʁe=a=pa=ʁy=mε=sɑ̃=kə=ʒə=lə=saʃə 12
mwa=ʒo=ʁε=pʁe=fe=ʁe=tə=vwaʁ=tə=ba=lɑ̃=se 12
syʁ=la=pla=sə=pɑ̃=dy=ʒu=ɑ̃=o=ba=lɑ̃=sje 12
mε=də=ʁjε=ʁə=la=mɔʁ=dy=la=ʃə=ty=tə=kaʃə 12
sə=la=ma=ʁɑ̃=dy=fu=dεtʁəa=ky=ze=sɑ̃=pʁə=və 12
il=ma=fε=tɔʁ=ty=ʁe=pa=se=a=la=kεs=tjɔ̃ 12
ʒε=sj=e=mε=ba=ʁo=ku=ʁy=vεʁ=ta=mε=zɔ̃ 12
puʁ=a=le=lə=tɥe=e=plɔ̃=ʒe=dɑ̃=lə=flə=və 12
ʒə=nε=pa=ybə=zwɛ̃=o=ku=mε=tʁə=y=nə=kɔʁdə 12
lo=fʁwa=də=ma=sε=zi=ɑ̃=tʁε=ne=vεʁ=lə=fɔ̃ 12
lə=fi=lε=dœ̃=pε=ʃœʁ=ma=tʁε=ne=su=lə=pɔ̃ 12
il=nɔ̃=pa=y=bə=zwɛ̃=o=ku=mə=mε=tʁə=kɔʁdə 12
ta=mɔʁ=fy=sɑ̃=sa=vœʁ=ʒə=vu=lε=ma=vɑ̃=ʒɑ̃sə 12
syʁ=la=pla=sə=tɔ̃=kɔʁ=ʒu=ɑ̃=o=ba=lɑ̃=sje 12
e=pɥi=ʁə=ɡaʁ=de=fεʁə=œ̃=kɔʁ=bo=sy=pli=sje 12
la=sa=sɛ̃=də=mɔ̃=pεʁə=e=də=mε=zεs=pe=ʁɑ̃sə 12
twa=ty=nə=su=fʁə=pa=u=blje=ma=vɑ̃=ʒɑ̃=sə 12
la=ʃo=fε=sɔ̃=tʁa=vaj=ʒə=sε=mɔ̃=də=və=niʁ 12
ʒə=sɥi=mɔʁ=tə=vi=vɑ̃tə=ʒə=kɔ=nε=la=və=niʁ 12
dy=fɑ̃=to=mə=ɡʁi=me=mε=tɑ̃=fɛ̃=o=su=fʁɑ̃sə 12
as=te=ʁis=kə 4
sε=to=pə=ti=ma=tɛ̃=kɑ̃=la=bʁy=mə=sə=lεvə 12
kə=vɛ̃lə=fɔ=swa=jœʁ=e=sɔ̃=plys=ʒə=nə=e=lεvə 12
sɑ̃=pʁε=te=a=tɑ̃=sjɔ̃=a=la=te=ʁə=pʁə=mjεʁə 12
il=zɔ̃=ku=vεʁ=dø=kɔʁ=pʁi=ve=də=mizə=ɑ̃=bjεʁə 12
il=zɔ̃=fεʁ=me=lə=tʁu=tʁis=tə=kɔ̃=se=sj=ɔ̃ 12
ɛ̃=si=il=mi=ʁe=fɛ̃=a=la=kɔ̃=vεʁ=sa=sjɔ̃ 12
as=te=ʁis=kə 4
o=ljø=di=də=la=ʁo=zə=e=də=la=mə=pεʁdɥ 12
u=lɔ̃=ʒə=tε=lε=kɔʁ=dε=nwa=je=dε=pɑ̃=dys 12
il=sə=di=o=ʒuʁ=dɥi=kɔ̃=nɑ̃=tɑ̃=dε=pa=labʁə 12
paʁ=ku=ʁɑ̃=lε=bɥi=sɔ̃=ze=lε=bʁɑ̃=ʃə=dε=zaʁbʁə 12
kɑ̃=lə=sɔ=lεj=sə=pozə=o=pɔʁ=tə=dy=tɑ̃=du 12
œ̃=vjø=kuplə=dɑ̃=fɑ̃=sə=fε=la=kuʁ=tə=e=ʃεllə 12
se=tiʁəe=se=ɡʁa=ti=ɲə=œ̃=pø=də=lœʁ=ʒə=nu 12
ɑ̃=vu=lɑ̃=a=tʁa=pe=lε=ʁozə=lε=plys=bεl=lə 12
Récompense
Commentaire Sur La Poesie

01/09/2023 20:36Maricarmelle
Une orchestration cornélienne sublime, un poème divin! Bravo Maître! C’est mon coup de cœur direct!
Je ne trouve pas les mots :l’admiration démesurée que j’éprouve pour votre écrit m’en prive!
Poème Homme-Femme
Du 18/07/2021 22:52
L'écrit contient 932 mots qui sont répartis dans 30 strophes.