Poème:La Vie Me Quitte
Le Poème
Mon corps est épuisé
Chaque geste est un calvaire
Dans mes dernieres forces j’ essai de puiser
Mon seul refuge est désormais la prière
Je tremble, j’ ai peur
Chere famille je vous quitte, je le sens
C’est alors que s’éteint la derniere lueur
Mes dernieres pensées vont vers ce sublime cadeau que jamais je ne possederais :
Un enfant ! !
Chaque geste est un calvaire
Dans mes dernieres forces j’ essai de puiser
Mon seul refuge est désormais la prière
Je tremble, j’ ai peur
Chere famille je vous quitte, je le sens
C’est alors que s’éteint la derniere lueur
Mes dernieres pensées vont vers ce sublime cadeau que jamais je ne possederais :
Un enfant ! !
Poète Litlebets
Litlebets a publié sur le site 28 écrits. Litlebets est membre du site depuis l'année 2006.Lire le profil du poète LitlebetsSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: La Vie Me Quitte
mon=corps=est=é=pui=sé 6cha=que=ges=te=est=un=cal=vai=re 9
dans=mes=der=nie=res=for=ces=jes=sai=de=pui=ser 12
mon=seul=re=fu=ge=est=dé=sor=mais=la=pri=ère 12
je=trem=ble=jai=peur 5
che=re=fa=mil=le=je=vous=quit=te=je=le=sens 12
cest=a=lors=que=sé=teint=la=der=nie=re=lueur 11
mes=der=nie=res=pen=sées=vont=vers=ce=su=blime=ca=deau=que=ja=mais=je=ne=pos=se=de=rais 22
un=en=fant 3
Phonétique : La Vie Me Quitte
mɔ̃ kɔʁz- εt- epɥizeʃakə ʒεstə εt- œ̃ kalvεʁə
dɑ̃ mε dεʁnjəʁə fɔʁsə- ʒesε də pɥize
mɔ̃ səl ʁəfyʒə ε dezɔʁmε la pʁjεʁə
ʒə tʁɑ̃blə, ʒε pœʁ
ʃəʁə famijə ʒə vu kitə, ʒə lə sɑ̃s
sεt- alɔʁ kə setɛ̃ la dεʁnjəʁə lɥœʁ
mε dεʁnjəʁə pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə syblimə kado kə ʒamε ʒə nə pɔsədəʁε :
œ̃n- ɑ̃fɑ̃ ! !
Syllabes Phonétique : La Vie Me Quitte
mɔ̃=kɔʁ=zε=tep=ɥi=ze 6ʃa=kə=ʒεs=tə=ε=tœ̃=kal=vεʁ=ə 9
dɑ̃=mε=dεʁ=njə=ʁə=fɔʁ=sə=ʒe=sε=də=pɥi=ze 12
mɔ̃=səl=ʁə=fy=ʒə=ε=de=zɔʁ=mε=la=pʁi=jεʁ 12
ʒə=tʁɑ̃=blə=ʒε=pœ=ʁə 6
ʃə=ʁə=fa=mi=jə=ʒə=vu=ki=tə=ʒə=lə=sɑ̃s 12
sε=ta=lɔʁ=kə=se=tɛ̃=la=dεʁ=nj=ə=ʁə=lɥœʁ 12
mε=dεʁ=njə=ʁə=pɑ̃se=vɔ̃=vεʁ=sə=sy=bli=mə=ka=do=kə=ʒa=mε=ʒə=nə=pɔ=sə=də=ʁε 22
œ̃=nɑ̃=fɑ̃ 3
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
19/08/2006 17:336o¤p~sérenity~l¤o90
La vie nous quitte que quand on a accepté sa mort, il faut se battre sans relâche, seul la faucheuse peut décidé de notre sort, et il n’est pas encore l’heure de la tienne^^
~Cascada~
Poème - Sans Thème -
Du 03/08/2006 12:26
L'écrit contient 61 mots qui sont répartis dans 1 strophes.