Poème:133415 - Sans Titre

Douceur innée,
De tes pas audacieux
Qui frétillent dans le vent
Et s’égarent dans le cœur des enfants,
Folie malade,
De ces instants prestigieux,
Faiblesse intense,
De tes pas malheureux.
Ivresse enchanteresse,
De ton être vigoureux,
Esprit tardif au regard inventif,
Lueur d’espoir dans ton âme sinistre,
Eternels lendemains,
Qui s’envolerons à jamais
Dans le tourbillon incessant de la vie.

Je vois à travers ta tignasse chaleureuse,
Un océan de douceur aux charmes exotiques,
Paradis perdu qu’on regrettera à jamais,
Danse infinie de tes jeunesses frivoles,
Chaleurs torrides et délicates d’un été majestueux.
Airs qui s’écrivent sur la pierre,
Et qui se déchaînent rigoureusement ;
Amertumes de ces années brisées,
Chemin de mélancolie et de tes tristes idées,
Rayonnement d’azur sur cette gracieuse nature,
Que de vigueur dans cette existence pimentée,
Rêves disparus, rêves enfantins,
Qui se sont déja égaré dans le lointain,
Riviére de tes souvenirs,
Qui ne cessent de couler dans mon âme paresseuse,
Le temps n’est pas parti,
Il s’écoule comme ma vie au regard de ta douce beauté.