Poème:Souvenir Fatale

Souvenir Fatale :

Nous écrivons avec raison,
Le bruit de l’eau est doux,
Les oiseaux chante et nous pensons,

Nous comptons les nuages
Comme nous comptons les pages,
Nous avançons prudemment en évitant de nous brusquer,
Nous savons que l’heure est pour bientôt.

Nous savons aussi que tout à une fin,
Que la fatalité est une énigme,
Qui prend fin.

Nous voyons à travers le temps,
Comme au passé, mais au présent.
L’esprit est clair comme de l’’eau de roche,
Il nous inspire mais nous tourmente.

Un matin passe mais je trépasse,
Quelle heure est-il ?
Déjà trop tard.

Nous nous souvenons de nos passages,
Rimant avec présage,
Ah si seulement nous avions su…

Un Homme perdu mais tourmenté nous attendez,
Il était seul, désemparé.
Quand nous y repensons il est trop tard tout est fini.

Alors viennent à présent les larmes de la nuit
Coulant comme un torrent
Aussi puissant que le temps
(Qui nous perd)

Tu m’as dis un jour que chaque Homme est unique,
Qu’il ne peut avoir une tunique,
Il est maître de lui même,
Mais différent par moment.

Il pense avec regret,
Pénètre froidement dans le néant,
Nous invite à le suivre ne serait ce qu’un bref instant.

Le bonheur s’estompe,
La joie disparaît,
Il part sans nous dire au revoir.

Ma peine est si grande que l’espoir s’éclipse
Mais l’espoir peut détruire si on le prend avec entrain,
On vit comme on peut à chacun son destin.

LW