Poème:Au Delà

Au Delà

Je ne pense pas je me garde,
Au delà d’un espoir je m’égard
Comme retrouvé je t’ai perdu.

L’odeur est insignifiante le bruit ne parle pas,
Comme dans un miroir je te vois pas à pas.
Je t’observe de l’au de la avec de grand yeux je te contemple.

Je contemple les nuages pour apercevoir ton image.
La vie ne m’appartient pas ce n’est autre que toi.
J’observe le silence comme un sombre regard,
De ta part ; je t’épie,
Le désintérêt est source d’ennui.

Cette poésie écoutée,
Ainsi ne pas se rappeler,
Le temps que nous avons passé pour oublier,
Qui tu étais.
C’est à force de ne pas y penser qu’on fini par ressentir
Les émotions tant oubliée.

Nous ne rêvons pas,
Nous ne prions pas,
Restons les même pour ta personne.
Ne pleurons pas,
Restons les même à t’es coté.

Quand on s’écoute, on se souvient,
De nos discussions
Nous faisant tourner en rond.
Nous contemplons les nuages,
Ta vision nous rassure.
Le souvenir est incertain,
La vie l’est encore moins.

Un jour on se reverra,
Bien sur tu seras là,
Tu nous attendra près de toi,
Pour nous cueillir dans t’es bras.
Tu ne croyais pas en dieux
Nous ne t’en plaindrons pas,
Il nous a souvent déçu.

Le monde est cruelle,
La vie est belle,
Quelle est ce paradoxe qui vient de naître ?
Nous te voyons à travers nous.

Avec toi à nos cotés,
Nous sommes sur d’avancer.
Enfin nous surpasser,
Depuis le temps que ce moment
S’impatiente nous l’avons tant désiré.
Notre vie est tracée,
Comme tu nous l’a décrite.

Sur le fil d’un rasoir
Nous avançons masqué
Dans la pénombre je me dévoile
La lumière est la nuit,
Quelle douce ambiguïté
Quand on c’est qu’à
Minuit,

C’est la fin d’une
Période.

LW