Prose:Le Ballon Bleu.

Mon regard attiré par un mouvement
se posa sur un magnifique ballon bleu.
Il était juste là, à quelques pas devant moi.
Agité de ça de là, pars une légère brise qui lui tenais compagnie, dans sont escapades solitaires.
Un peut bousculé par les gens qui passaient tous pré, sans lui apporter aucune attention, il se trouvait esseulé, mais comblé de ce moment qui n’était qu’à lui, et où aucun regards ne s’interrogeait de sa présence.
Écoutant le staccato des semelles sur le pavé des trottoirs, comme une batoucada rythmé dans une farandole fantastique, de chaussures hétéroclite dans une valse effrénée.
Quel spectacle incroyable !
De couleurs, de forme, et de vernis craquelé.
La foule, soudainement s’intensifia, et cette danse si proche et si dense commença à devenir suffocante et dangereuse.
Quand, l’émerveillement fut vite remplacé par l’inquiétude de ce monstre palpitant, aux mille et une patte.
Et les regrets d’avoir quitter mon alcôve de bois où j’étais à l’étroit avec mes semblables de caoutchouc. Hélas ils n’ont pu me retenir de l’appel de la brise qui me donna ce moment de liberté.
Ou été elle passé maintenant que le danger ce faisait pressant ?
Quand soudain elle revint caressant mes bords concave, accompagné d’une amie bourrasque qui m’élevât si promptement que j’echappait de justesse au mille et une patte de semelles claquant le bitume.
Et comme pars magie je pris de la hauteur, et regardé avec des yeux nouveaux, le monde sous moi qui de fait, n’était pas aussi inquiétant qu’il n’y paraissait. Et je découvris un monde merveilleux que je n’aurais jamais soupçonné.
D’abord une multitude de toît divers abritant sous leurs tuiles, bien des espèces d’oiseaux qui m’accompagnère de chant mélodieux, tendit que je m’élevè toujours plus haut.
Découvrant les rue, les routes, les immeubles, les gens et leurs intrépides souliers.
Mais également la végétation, les parcs orné de fleurs chamarré laissant les effluves aux fragrances incroyable monter vers le ciel. L’ondulation du gazon et des herbes ondoyantes avec des reflet sur les crêtes comme les vagues d’une mer peu agitée nous invitant à la rejoindre.
Tout ces arbres si proche les uns des autres si haut et si fort, leurs branches qui s’emmêlent ensemble dans la plus édifiante fraternité afin de faire front face au vent qui forcit et m’élève toujours plus haut.
je continue ma course folle aux gré des vents qui me porte de plus en plus loin.
Survolant de nombreux paysages tous aussi beau et magnifique que je ne l’aurais crue.
Et petit à petit le vent faiblit doucement et survolant des champs, vignes, verger, et pâturages il approche le ballon bleu d’un petit et modeste hameau non loin de là. Il entend des jeux et des rires d’enfants.
Jouxtant un vielle édifice de pierre une cour d’école se rapproche ou les rires et les cries sont beaucoup plus présent.
Mais au milieu de tant de jeux et de distraction un enfant est adossé seul contre un arbres il ne joue pas, seulement, personne ne le vois.
Puis le vent devient bourrasque qui elle même devient brise légère et tout en douceur le ballon bleu viens contre la main de l’enfant et avec la complicité d’une légère brise y enroule délicatement la ficelle du ballon bleu.
Et un sourire grandissant viens illuminer le visage de l’enfant que maintenant tous le monde vois.