Poème:Visage

Le Poème

Je me réveille dans une angoisse inépuisable ; Epuisé, j’écris des larmes d’âme où le silence résonne. Un silence ineffable, immobile, comme l’écho de mes larmes. L’odeur bleue de l’espace et l’argenté ciel nuit me dévoilent. Je pleure le jour. Mes larmes sont la pluie.
Qui suis-je ?

Partage du Poème avec vos contacts

Poète Mais Où Marche Lâme

Mais Où Marche Lâme a publié sur le site 57 écrits. Mais Où Marche Lâme est membre du site depuis l'année 2005.Lire le profil du poète Mais Où Marche Lâme

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Visage

je=me=ré=veille=dans=u=ne=an=gois=se=i=né=pui=sa=ble=e=pui=sé=jé=cris=des=lar=mes=dâ=me=où=le=si=len=ce=ré=sonne=un=si=len=ce=i=nef=fa=ble=im=mo=bi=le=com=me=lé=cho=de=mes=larmes=lo=deur=bleue=de=les=pa=ce=et=lar=gen=té=ciel=nuit=me=dé=voilent=je=pleu=re=le=jour=mes=lar=mes=sont=la=pluie 78
qui=suis=je 3

Phonétique : Visage

ʒə mə ʁevεjə dɑ̃z- ynə ɑ̃ɡwasə inepɥizablə, əpɥize, ʒekʁi dε laʁmə- damə u lə silɑ̃sə ʁezɔnə. œ̃ silɑ̃sə inefablə, imɔbilə, kɔmə leʃo də mε laʁmə. lɔdœʁ blø də lεspasə e laʁʒɑ̃te sjεl nɥi mə devwale. ʒə plœʁə lə ʒuʁ. mε laʁmə- sɔ̃ la plɥi.
ki sɥi ʒə ?

Syllabes Phonétique : Visage

ʒə=mə=ʁe=vε=jə=dɑ̃=zy=nə=ɑ̃=ɡwa=sə=i=nep=ɥi=za=blə=əp=ɥi=ze=ʒe=kʁi=dε=laʁ=mə=da=mə=u=lə=si=lɑ̃=sə=ʁe=zɔ=nə=œ̃=si=lɑ̃=sə=i=ne=fa=blə=i=mɔ=bi=lə=kɔ=mə=le=ʃo=də=mε=laʁ=mə=lɔ=dœʁ=blø=də=lεs=pa=sə=e=laʁ=ʒɑ̃=te=sjεl=nɥi=mə=de=vwa=le=ʒə=plœ=ʁə=lə=ʒuʁ=mε=laʁ=mə=sɔ̃=la=plɥi 82
ki=sɥi=ʒə 3

Récompense

Coup de coeur: 0

J’aime: 0

J’aime pas: 0

Commentaires Sur La Poesie

13/01/2006 00:13Rose_Noire

beau poème,
hum je vais surment me tromper mais j’essaie quand même
tu serais la lune? sinon j, aimerais bien savoir qui tu es.
bonne continuation
-xx-

21/01/2006 23:10Florian

popopopopo, 17, 18 ans à la limite, faut pas pleurer bonhomme, et oui la poésie c’’est pas des pleurnicheries d’adulescent, c’est la vraie vie et la liberté a un prix ( t’es pas prêt à pouvoir te la payer !) Allez, sans rancune, lis, lis, lis partout, lis des poètes, des vrais, des qui te feront grandire et sois humble. Mais bon je suis con après tout, si àa te fait du bien, pourquoi pas, et si en plus tu fais se pâmer des midinettes, t’aurais tort de t’en priver mais n’oublie pas que les mots, les armes, ça tue pareil, alors gaffe.

Poème Vie
Du 12/01/2006 19:14

L'écrit contient 53 mots qui sont répartis dans 1 strophes.