Poeme : Bouffée D’air
Bouffée D’air
Mon mal s’était dissipé
Effacé par les lueurs du printemps.
Mon esprit avait soufflé,
Libre de tout encombrement.
Mes yeux reflétaient
Ces fleurs bourgeonnantes.
Mes lèvres remerciaient
Le soleil de m’allouer cette détente.
Les rayons jaunes couvraient
Ma peau de chaleur.
Le vent m’ébouriffait.
Mes cheveux brillaient.
Je souriais,
Je riais,
Mon malheur oublié,
Dans ces saisons passées.
Pour la première fois,
Depuis des années,
Je m’étais mise à respirer
De ma propre volonté.
Effacé par les lueurs du printemps.
Mon esprit avait soufflé,
Libre de tout encombrement.
Mes yeux reflétaient
Ces fleurs bourgeonnantes.
Mes lèvres remerciaient
Le soleil de m’allouer cette détente.
Les rayons jaunes couvraient
Ma peau de chaleur.
Le vent m’ébouriffait.
Mes cheveux brillaient.
Je souriais,
Je riais,
Mon malheur oublié,
Dans ces saisons passées.
Pour la première fois,
Depuis des années,
Je m’étais mise à respirer
De ma propre volonté.
Maxtor
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Poème en Phonétique
mɔ̃ mal setε disipe
efase paʁ lε lɥœʁ dy pʁɛ̃tɑ̃.
mɔ̃n- εspʁi avε sufle,
libʁə də tut- ɑ̃kɔ̃bʁəmɑ̃.
mεz- iø ʁəfletε
sε flœʁ buʁʒɔnɑ̃tə.
mε lεvʁə- ʁəmεʁsjε
lə sɔlεj də malue sεtə detɑ̃tə.
lε ʁεjɔ̃ ʒonə kuvʁε
ma po də ʃalœʁ.
lə vɑ̃ mebuʁifε.
mε ʃəvø bʁijε.
ʒə suʁjε,
ʒə ʁjε,
mɔ̃ malœʁ ublje,
dɑ̃ sε sεzɔ̃ pase.
puʁ la pʁəmjεʁə fwa,
dəpɥi dεz- ane,
ʒə metε mizə a ʁεspiʁe
də ma pʁɔpʁə vɔlɔ̃te.
efase paʁ lε lɥœʁ dy pʁɛ̃tɑ̃.
mɔ̃n- εspʁi avε sufle,
libʁə də tut- ɑ̃kɔ̃bʁəmɑ̃.
mεz- iø ʁəfletε
sε flœʁ buʁʒɔnɑ̃tə.
mε lεvʁə- ʁəmεʁsjε
lə sɔlεj də malue sεtə detɑ̃tə.
lε ʁεjɔ̃ ʒonə kuvʁε
ma po də ʃalœʁ.
lə vɑ̃ mebuʁifε.
mε ʃəvø bʁijε.
ʒə suʁjε,
ʒə ʁjε,
mɔ̃ malœʁ ublje,
dɑ̃ sε sεzɔ̃ pase.
puʁ la pʁəmjεʁə fwa,
dəpɥi dεz- ane,
ʒə metε mizə a ʁεspiʁe
də ma pʁɔpʁə vɔlɔ̃te.