Poème:Plume D’enclume

L’oiseau pris son envol au loin en perdant quelques plumes, fuyant les terres dévastées des humains.
Il cherche la liberté mais nul par ou il est allé, il l’a trouvé.
Il trouva des congénères, qui eux s’étaient installés sur ces terres. l’oiseau les méprisa.
Il reprit son élan de plus belle et en faisant virevolter des plumes dans son passage.
Il chercha un monde nouveau, un monde dans lequel il se plaira, car celui ci le dégoûte.
Par plusieurs fois il lui vint cette pensée : La mort, la réponse a tout et un nouveau monde en plus.
Mais cette idée elle même le répugnait tout autant que ce qu’il voyait, mais il la pensait quand même.
Les plumes continuèrent de danser dans son sillon, continuer a voler ainsi sans s’arrêter.
Pour bien ou aller ? Car jamais l’oiseau trouvera la terre de ses rêves, il le sait et se le répète.
Mais il continue, il ne perd pas espoir, même seul il continuera, le petit oiseau.
Il continuera a voler, jusqu’a ne plus avoir de plume, jusqu’au jour ou il tombera…
Il n’as rien d’exceptionnel pourtant le petit être de plumes, il se sent exclus de tous, si différent d’eux.
Voila une de ses raisons de trouver un nouveau monde aussi, espérant trouver un monde qui le ressemblera plus…
Par surprise il trouva d’autre être ailés qui volait comme lui, cherchant un monde meilleur, il fut heureux.
Mais ces derniers finir par abandonner, le lâchant et laissant seul le petit héros infatigable. Il les méprisa comme les autres.
Voyant la cruauté du monde d’un oeil différent, d’un oeil unique, il comprit tout et comprit le mystère de ce monde.
A chaque fois il avait raison, a force d’avoir vu ce monde, d’avoir vécu le plus terrible des malheur et donné le meilleur des bonheur avant son grand départ
Il saisissait tout, sa clairvoyance a fait de lui l’être le plus précieux de ce monde qu’il méprise tant.
Et il s’enfuyait de plus belle, se déplumant toujours les ailes comme cela, il parcourut le monde tellement de fois…
Mais il ne trouva toujours rien comme il le pensait, et finit par arrêter de battre des ailes, mort de fatigue.
Et il tomba, avant de le voir tomber de sa chute, ses yeux finirent par être inhibés par les ténèbre, et la il perdit sa conscience.
Que lui est arrivé ? Nul ne sait…
Car nul s’en préoccupait…
Les dieux eux même ne savent pas, étonnés qu’un être les surpassait comme cela…
Il fut oublié…
C’est une vie oublié parmi tant d’autre…
Et c’est ainsi que le cycle de la vie et du monde demeure a jamais…