Poème:Jné Plus Enviii D’aimé !

-Je t’aime- ce mot ne me dit plus rien,
Ce mot n’est plus dans mon vocabulaire.
C’est « je t’aime » ont toujours été faux,
Je n’ai jamais aimé et je me suis jamais faite aimé.
L’amour pour moi n’existe plus, je n’en veux plus,
Vous m’avez trop décu.
Longtemps j’ai été perdu et la je le réalise
Je me suis retrouvé.
Il y a encore la vie…

Aimé c’est encore pleuré,
Aimé c’est comme sacrifié tout pour ensuite se faire rejeté.
Et apres l’amour y il a l’oubli, la souffrance
Ya rien de plus pire que d’avoir a oublié.
C’est la que tu gardes une fausse espoir,
C’est la que tu ne vie plus le present
Puisque tu reviens toujours sur le passé.
Comme moi je me suis battu contre se mal et j’ai abandonné
Car a tou les soirs, en fermant les yeux,
Ya que lui qui cesse de me hanté
Et c’est vraiment la pire des souffrances que l’amour
Nous donne en conséquence.
C’est justement pourquoi le mot amour
N’a plus aucune sinification pour moi.

Oui j’avoue aimé ma deja fais sourrire,
Ma deja donné des moments inoubliable
Et ya rien de plus beau que d’etre heureux a deux,
De se sentir aimé, adoré et admiré.
Rien de tel que beaucoup de tendresse,
Des caresses en n’en plus finir,
De se serré dans nos bras et de sentir que l’amour nous entour,
De croire que c’est pour toujours,
De faire des projets d’avenir,
De vivre que pour l’autre
Et de se dire je t’aime sans douté
Qu’un jour tu devrais l’oublié.
Oui, c’est beau, trop même, pour etre vrai
Et sa ne dure qu’un certain temps puis l’enfer arrive,
Impuissante face à sa,
Tu le regarde dans les yeux,
En l’imaginant dans les bras d’une autre fille
Puisque tu le sais qu’il ta trompé.
Croire encore que c’est pour toujours
Même si tu na plus aucune raisons
Sur lesquels t’appuiyé et la…
L’amour ne vie que sur des fausses paroles,
Des mots ditent sans pensé,
Des promesses en l’air
Et faire de l’amour un jeu,
Une simple parti de plaisir dans un lit sans amour,
Fermant les yeux en croyan fort
Qu’il ne fait pas la même chose avec d’autre filles
Certain soire.
Tu m’as trahis… tu as fait de moi une femme qui a peur d’aimé maineant.