Réservé à un publique Majeur
Poème:Mon Corps Sans Ma Peau
Le Poème
Une voiture sans capot.
Un barrage sans garde-corps.
Un système électrique sans cache.
Un gratte-ciel sans vitrage.
Et mon corps sans ma peau.
Il y a une panne
Un remous
Une étincelle
Un léger zef
Un vertige, un prurit, un cancer.
Cherche-le si tu peux.
Si, comme moi, tu es de ceux
Qui le voient
Qui le sentent
Et ne peuvent l’oublier :
Collé à toi comme un pou sur ta tête
Comme une bactérie dans ton sang
Comme un virus dans tes cellules
Comme les neutrons dans tes atomes
Comme un champignon Ophiocordyceps dans ton cerveau.
Ah ! Soit heureux celui qui rien ne perçoit,
Celui dont son existence ne se doute même pas,
Celui qui bien moins que moi ne voit
Les rouages de sa psyché.
Chez toi, mon ami, ils sont cachés
Derrière une opaque paroi
Une paroi mate, sourde et aphone,
Étanche, sénile, adiabatique !
« Ça te gratte ? Quoi ? Laisse tomber. »
Si seulement la mienne existait !
Vois-tu, moi, je dois trouver
Cet endroit qui me tire, me gratte, me démange,
Cet endroit qui me donne la nausée
De douleur ? De vertige ? Je ne sais
Qu’une chose. Je ne le trouverai jamais.
Car chaque recherche, pire que vaine,
Me malmène.
Je tire ce muscle pour regarder derrière :
J’ai touché un nerf.
La vive douleur m’assourdit, je vois blanc,
Avant de me dire :
« Ça y est, j’ai trouvé la cause de mon mal-être ! »
Mais c’était juste un nerf.
Et avant de le savoir, l’eau coule.
Il faut alors chercher plus loin.
Dans le lit de la rivière, je soulève le même galet,
Encore,
Puis un autre avant de m’écorcher.
« La source de ma douleur, enfin ! »
Ce n’était qu’un accident passager.
Pourtant, j’ai encore mal.
Et après prendre conscience
Que
Cette
Cicatrice n’est pas la
Seule
Qui m’écaille,
Je mets les deux mains dans le circuit.
.
Éclectirque ?
Lave dans mes veines
Phare dans ma tête
Plasma sur mes nerfs
Vague sur ma conscience.
Nuit.
Jour ?
Quel beau jour, il faut en profiter !
Je vais…
Je…
Moi ?
Un cancer, un vertige, un prurit.
Et malgré ma capacité d’apercevoir
Dans mon propre esprit, l’espoir,
Je ne peux plus m’empêcher de croire
À l’incertaine forme d’une vraie fatalité.
Un barrage sans garde-corps.
Un système électrique sans cache.
Un gratte-ciel sans vitrage.
Et mon corps sans ma peau.
Il y a une panne
Un remous
Une étincelle
Un léger zef
Un vertige, un prurit, un cancer.
Cherche-le si tu peux.
Si, comme moi, tu es de ceux
Qui le voient
Qui le sentent
Et ne peuvent l’oublier :
Collé à toi comme un pou sur ta tête
Comme une bactérie dans ton sang
Comme un virus dans tes cellules
Comme les neutrons dans tes atomes
Comme un champignon Ophiocordyceps dans ton cerveau.
Ah ! Soit heureux celui qui rien ne perçoit,
Celui dont son existence ne se doute même pas,
Celui qui bien moins que moi ne voit
Les rouages de sa psyché.
Chez toi, mon ami, ils sont cachés
Derrière une opaque paroi
Une paroi mate, sourde et aphone,
Étanche, sénile, adiabatique !
« Ça te gratte ? Quoi ? Laisse tomber. »
Si seulement la mienne existait !
Vois-tu, moi, je dois trouver
Cet endroit qui me tire, me gratte, me démange,
Cet endroit qui me donne la nausée
De douleur ? De vertige ? Je ne sais
Qu’une chose. Je ne le trouverai jamais.
Car chaque recherche, pire que vaine,
Me malmène.
Je tire ce muscle pour regarder derrière :
J’ai touché un nerf.
La vive douleur m’assourdit, je vois blanc,
Avant de me dire :
« Ça y est, j’ai trouvé la cause de mon mal-être ! »
Mais c’était juste un nerf.
Et avant de le savoir, l’eau coule.
Il faut alors chercher plus loin.
Dans le lit de la rivière, je soulève le même galet,
Encore,
Puis un autre avant de m’écorcher.
« La source de ma douleur, enfin ! »
Ce n’était qu’un accident passager.
Pourtant, j’ai encore mal.
Et après prendre conscience
Que
Cette
Cicatrice n’est pas la
Seule
Qui m’écaille,
Je mets les deux mains dans le circuit.
.
Éclectirque ?
Lave dans mes veines
Phare dans ma tête
Plasma sur mes nerfs
Vague sur ma conscience.
Nuit.
Jour ?
Quel beau jour, il faut en profiter !
Je vais…
Je…
Moi ?
Un cancer, un vertige, un prurit.
Et malgré ma capacité d’apercevoir
Dans mon propre esprit, l’espoir,
Je ne peux plus m’empêcher de croire
À l’incertaine forme d’une vraie fatalité.
PostScriptum
« Ophiocordyceps » fait référence plus précisément à la variété de champignons Ophiocordyceps unilateralis, qui infecte les fourmis, et, sans les tuer tout de suite, prend le contrôle de leur corps, les oblige à s’éloigner du groupe et à se placer et se laisser mourir à un endroit propice pour que le champignon sorte de la tête de la fourmi et libère ses spores pour contaminer d’autres fourmis.
Ce texte fait généralement référence à souffrance vécue par quelqu’un qui voit trop son propre mental, avec une vue et une analyse constante de toutes ses pensées.
Poète Minuit
Minuit a publié sur le site 1 écrit. Minuit est membre du site depuis l'année 2025.Lire le profil du poète MinuitSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Mon Corps Sans Ma Peau
u=ne=voi=tu=re=sans=ca=pot 8un=bar=ra=ge=sans=gar=de=corps 8
un=sys=tè=me=élec=tri=que=sans=ca=che 10
un=grat=te=ciel=sans=vi=tra=ge 8
et=mon=corps=sans=ma=peau 6
il=y=a=u=ne=pan=ne 7
un=re=mous 3
u=ne=é=tin=celle 5
un=lé=ger=zef 4
un=ver=ti=ge=un=pru=rit=un=can=cer 10
cher=che=le=si=tu=peux 6
si=com=me=moi=tu=es=de=ceux 8
qui=le=voient 3
qui=le=sentent 3
et=ne=peu=vent=lou=bli=er 7
col=lé=à=toi=comme=un=pou=sur=ta=tête 10
com=me=u=ne=bac=té=rie=dans=ton=sang 10
com=me=un=vi=rus=dans=tes=cel=lu=les 10
com=me=les=neu=trons=dans=tes=a=to=mes 10
commeun=cham=pi=gnon=o=phio=cor=dy=ceps=dans=ton=cer=veau 13
ah=soit=heu=reux=ce=lui=qui=rien=ne=per=çoit 11
ce=lui=dont=son=existence=ne=se=doute=mê=me=pas 11
ce=lui=qui=bien=moins=que=moi=ne=voit 9
les=rou=a=ges=de=sa=psy=ché 8
chez=toi=mon=a=mi=ils=sont=ca=chés 9
der=riè=re=u=ne=o=pa=que=pa=roi 10
u=ne=pa=roi=mate=sour=de=et=a=phone 10
étan=che=sé=ni=le=a=dia=ba=ti=que 10
ça=te=grat=te=quoi=lais=se=tom=ber 10
si=seu=le=ment=la=mien=ne=exis=tait 9
vois=tu=moi=je=dois=trou=ver 7
cet=en=droit=qui=me=tire=me=grat=te=me=dé=mange 12
cet=en=droit=qui=me=don=ne=la=nau=sée 10
de=dou=leur=de=ver=ti=ge=je=ne=sais 10
quune=chose=je=ne=le=trou=ve=rai=ja=mais 10
car=cha=que=re=cher=che=pi=re=que=vaine 10
me=mal=mè=ne 4
je=tire=ce=mus=cle=pour=re=gar=der=der=rière 11
jai=tou=ché=un=nerf 5
la=vive=dou=leur=mas=sour=dit=je=vois=blanc 10
avant=de=me=di=re 5
ça=y=est=jai=trou=vé=la=cause=de=mon=mal=être 13
mais=cé=tait=jus=te=un=nerf 7
et=a=vant=de=le=sa=voir=leau=cou=le 10
il=faut=a=lors=cher=cher=plus=loin 8
dans=le=lit=de=la=ri=vière=je=sou=lève=le=même=galet 13
en=co=re 3
puis=un=au=tre=a=vant=de=mé=cor=cher 10
la=sour=ce=de=ma=dou=leur=en=fin 10
ce=né=tait=quun=ac=ci=dent=pas=sa=ger 10
pour=tant=jai=en=co=re=mal 7
et=a=près=pren=dre=cons=cien=ce 8
que 1
cet=te 2
ci=ca=tri=ce=nest=pas=la 7
seu=le 2
qui=mé=cail=le 4
je=mets=les=deux=mains=dans=le=cir=cuit 9
1
é=clec=tir=que 4
la=ve=dans=mes=vei=nes 6
pha=re=dans=ma=tê=te 6
plas=ma=sur=mes=nerf=s 6
va=gue=sur=ma=cons=cien=ce 7
nuit 1
jour 1
quel=beau=jour=il=faut=en=pro=fi=ter 9
je=vais 2
je 1
moi 1
un=can=cer=un=ver=ti=ge=un=pru=rit 10
et=mal=gré=ma=ca=pa=ci=té=da=perce=voir 11
dans=mon=pro=pre=es=prit=les=poir 8
je=ne=peux=plus=mem=pê=cher=de=croi=re 10
à=lin=cer=taine=forme=dune=vraie=fa=ta=li=té 11
Phonétique : Mon Corps Sans Ma Peau
ynə vwatyʁə sɑ̃ kapo.œ̃ baʁaʒə sɑ̃ ɡaʁdə kɔʁ.
œ̃ sistεmə elεktʁikə sɑ̃ kaʃə.
œ̃ ɡʁatə sjεl sɑ̃ vitʁaʒə.
e mɔ̃ kɔʁ sɑ̃ ma po.
il i a ynə panə
œ̃ ʁəmu
ynə etɛ̃sεllə
œ̃ leʒe zεf
œ̃ vεʁtiʒə, œ̃ pʁyʁi, œ̃ kɑ̃se.
ʃεʁʃə lə si ty pø.
si, kɔmə mwa, ty ε də sø
ki lə vwae
ki lə sɑ̃te
e nə pəve lublje :
kɔle a twa kɔmə œ̃ pu syʁ ta tεtə
kɔmə ynə bakteʁi dɑ̃ tɔ̃ sɑ̃
kɔmə œ̃ viʁys dɑ̃ tε sεllylə
kɔmə lε nøtʁɔ̃ dɑ̃ tεz- atɔmə
kɔmə œ̃ ʃɑ̃piɲɔ̃ ɔfjɔkɔʁdisεp dɑ̃ tɔ̃ sεʁvo.
a ! swa œʁø səlɥi ki ʁjɛ̃ nə pεʁswa,
səlɥi dɔ̃ sɔ̃n- εɡzistɑ̃sə nə sə dutə mεmə pa,
səlɥi ki bjɛ̃ mwɛ̃ kə mwa nə vwa
lε ʁuaʒə də sa psike.
ʃe twa, mɔ̃n- ami, il sɔ̃ kaʃe
dəʁjεʁə ynə ɔpakə paʁwa
ynə paʁwa matə, suʁdə e afɔnə,
etɑ̃ʃə, senilə, adjabatikə !
« sa tə ɡʁatə ? kwa ? lεsə tɔ̃be. »
si sələmɑ̃ la mjεnə εɡzistε !
vwa ty, mwa, ʒə dwa tʁuve
sεt ɑ̃dʁwa ki mə tiʁə, mə ɡʁatə, mə demɑ̃ʒə,
sεt ɑ̃dʁwa ki mə dɔnə la noze
də dulœʁ ? də vεʁtiʒə ? ʒə nə sε
kynə ʃozə. ʒə nə lə tʁuvəʁε ʒamε.
kaʁ ʃakə ʁəʃεʁʃə, piʁə kə vεnə,
mə malmεnə.
ʒə tiʁə sə mysklə puʁ ʁəɡaʁde dəʁjεʁə :
ʒε tuʃe œ̃ nεʁf.
la vivə dulœʁ masuʁdi, ʒə vwa blɑ̃,
avɑ̃ də mə diʁə :
« sa i ε, ʒε tʁuve la kozə də mɔ̃ mal εtʁə ! »
mε setε ʒystə œ̃ nεʁf.
e avɑ̃ də lə savwaʁ, lo kulə.
il fo alɔʁ ʃεʁʃe plys lwɛ̃.
dɑ̃ lə li də la ʁivjεʁə, ʒə sulεvə lə mεmə ɡalε,
ɑ̃kɔʁə,
pɥiz- œ̃n- otʁə avɑ̃ də mekɔʁʃe.
« la suʁsə də ma dulœʁ, ɑ̃fɛ̃ ! »
sə netε kœ̃n- aksidɑ̃ pasaʒe.
puʁtɑ̃, ʒε ɑ̃kɔʁə mal.
e apʁε pʁɑ̃dʁə kɔ̃sjɑ̃sə
kə
sεtə
sikatʁisə nε pa la
sələ
ki mekajə,
ʒə mεt lε dø mɛ̃ dɑ̃ lə siʁkɥi.
.
eklεktiʁkə ?
lavə dɑ̃ mε vεnə
faʁə dɑ̃ ma tεtə
plasma syʁ mε nεʁf
vaɡ syʁ ma kɔ̃sjɑ̃sə.
nɥi.
ʒuʁ ?
kεl bo ʒuʁ, il fo ɑ̃ pʁɔfite !
ʒə vε…
ʒə…
mwa ?
œ̃ kɑ̃se, œ̃ vεʁtiʒə, œ̃ pʁyʁi.
e malɡʁe ma kapasite dapεʁsəvwaʁ
dɑ̃ mɔ̃ pʁɔpʁə εspʁi, lεspwaʁ,
ʒə nə pø plys mɑ̃pεʃe də kʁwaʁə
a lɛ̃sεʁtεnə fɔʁmə dynə vʁε fatalite.
Syllabes Phonétique : Mon Corps Sans Ma Peau
y=nə=vwa=ty=ʁə=sɑ̃=ka=po 8œ̃=ba=ʁa=ʒə=sɑ̃=ɡaʁ=də=kɔʁ 8
œ̃=sis=tε=mə=e=lεk=tʁi=kə=sɑ̃=kaʃə 10
œ̃=ɡʁa=tə=sjεl=sɑ̃=vi=tʁa=ʒə 8
e=mɔ̃=kɔʁ=sɑ̃=ma=po 6
il=i=a=y=nə=pa=nə 7
œ̃=ʁə=mu 3
y=nə=e=tɛ̃=sεl=lə 6
œ̃=le=ʒe=zεf 4
œ̃=vεʁ=ti=ʒə=œ̃=pʁy=ʁi=œ̃=kɑ̃=se 10
ʃεʁ=ʃə=lə=si=ty=pø 6
si=kɔ=mə=mwa=ty=ε=də=sø 8
ki=lə=vwa 3
ki=lə=sɑ̃=te 4
e=nə=pə=ve=lu=blj=e 7
kɔ=le=a=twa=kɔmə=œ̃=pu=syʁ=ta=tεtə 10
kɔ=mə=y=nə=bak=te=ʁi=dɑ̃=tɔ̃=sɑ̃ 10
kɔ=mə=œ̃=vi=ʁys=dɑ̃=tε=sεl=ly=lə 10
kɔ=mə=lε=nø=tʁɔ̃=dɑ̃=tε=za=tɔ=mə 10
kɔməœ̃=ʃɑ̃=pi=ɲɔ̃=ɔ=fjɔ=kɔʁ=di=sεp=dɑ̃=tɔ̃=sεʁ=vo 13
a=swa=œ=ʁø=səl=ɥi=ki=ʁjɛ̃nə=pεʁ=swa 10
səl=ɥi=dɔ̃=sɔ̃=nεɡ=zistɑ̃sə=nə=sə=dutə=mεmə=pa 11
səl=ɥi=ki=bj=ɛ̃=mwɛ̃=kə=mwa=nə=vwa 10
lε=ʁu=a=ʒə=də=sa=psi=ke 8
ʃe=twa=mɔ̃=na=mi=il=sɔ̃=ka=ʃe 9
də=ʁjε=ʁə=y=nə=ɔ=pa=kə=pa=ʁwa 10
y=nə=pa=ʁwa=matə=suʁ=də=e=a=fɔnə 10
e=tɑ̃=ʃə=se=ni=lə=a=dja=ba=tikə 10
sa=tə=ɡʁa=tə=kwa=lε=sə=tɔ̃=be 10
si=sə=lə=mɑ̃=la=mjε=nə=εɡ=zis=tε 10
vwa=ty=mwa=ʒə=dwa=tʁu=ve 7
sεt=ɑ̃=dʁwakimə=tiʁə=mə=ɡʁa=tə=mə=de=mɑ̃ʒə 10
sεt=ɑ̃=dʁwa=ki=mə=dɔ=nə=la=no=ze 10
də=du=lœʁ=də=vεʁ=ti=ʒə=ʒə=nə=sε 10
kynə=ʃozə=ʒə=nə=lə=tʁu=və=ʁε=ʒa=mε 10
kaʁ=ʃa=kə=ʁə=ʃεʁ=ʃə=pi=ʁə=kə=vεnə 10
mə=mal=mε=nə 4
ʒə=tiʁə=sə=mys=klə=puʁʁə=ɡaʁ=de=də=ʁjεʁə 10
ʒε=tu=ʃe=œ̃=nεʁf 5
la=vivə=du=lœʁ=ma=suʁ=di=ʒə=vwa=blɑ̃ 10
a=vɑ̃=də=mə=di=ʁə 6
sa=i=ε=ʒε=tʁu=ve=lakozə=də=mɔ̃=mal=εtʁə 12
mε=se=tε=ʒys=tə=œ̃=nεʁf 7
e=a=vɑ̃=də=lə=sa=vwaʁ=lo=ku=lə 10
il=fo=a=lɔʁ=ʃεʁ=ʃe=plys=lwɛ̃ 8
dɑ̃lə=lidə=la=ʁi=vjεʁə=ʒə=su=lε=və=lə=mε=mə=ɡa=lε 14
ɑ̃=kɔ=ʁə 3
pɥi=zœ̃=no=tʁə=a=vɑ̃=də=me=kɔʁ=ʃe 10
la=suʁ=sə=də=ma=du=lœʁ=ɑ̃=fɛ̃ 10
sə=ne=tε=kœ̃=nak=si=dɑ̃=pa=sa=ʒe 10
puʁ=tɑ̃=ʒε=ɑ̃=kɔ=ʁə=mal 7
e=a=pʁε=pʁɑ̃=dʁə=kɔ̃=sj=ɑ̃=sə 9
kə 1
sε=tə 2
si=ka=tʁi=sə=nε=pa=la 7
sə=lə 2
ki=me=ka=jə 4
ʒə=mεt=lε=dø=mɛ̃=dɑ̃=lə=siʁ=kɥi 9
1
e=klεk=tiʁ=kə 4
la=və=dɑ̃=mε=vε=nə 6
fa=ʁə=dɑ̃=ma=tε=tə 6
plas=ma=syʁ=mε=nεʁf 5
va=ɡə=syʁ=ma=kɔ̃=sj=ɑ̃=sə 8
nɥi 1
ʒuʁ 1
kεl=bo=ʒuʁ=il=fo=ɑ̃=pʁɔ=fi=te 9
ʒə=vε 2
ʒə 1
mwa 1
œ̃=kɑ̃=se=œ̃=vεʁ=ti=ʒə=œ̃=pʁy=ʁi 10
e=mal=ɡʁe=ma=ka=pa=si=te=dapεʁsə=vwaʁ 10
dɑ̃=mɔ̃=pʁɔ=pʁə=εs=pʁi=lεs=pwaʁ 8
ʒə=nə=pø=plys=mɑ̃=pε=ʃe=də=kʁwa=ʁə 10
a=lɛ̃sεʁtεnə=fɔʁ=mə=dy=nə=vʁε=fa=ta=li=te 11
Récompense
Poesie sans commentaire

02/05/2025Poeme-France
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Poème État d'âme
Du 17/03/2025 22:50
L'écrit contient 386 mots qui sont répartis dans 14 strophes.