Poème:Une Sincérité Imposée

Je te propose un marché,
Celui de ma sincérité.
Ne crois pas que c’est faux,
Car tout est si beau.

Je suis à toi,
Oui, aie pitié de moi.
Je t’en pris Vanessa,
Aime-moi.

Je souffre de t’attendre,
Viens tuer mes souffrances.
Je suis à la salle d’attente,
Depuis des millénaire.

… Et je t’aime encore.
J’aime ce beaux visage qu’il ya en toi,
Celui de la femme du roi.
Avec toi, je serai toujours en accord !

Je t’aime à en mourrir.
De ton amour seulement,
Je pourrais me nourrir.
Si au moins, tu fesais semblant.

Tous les soirs,
Pleurant et me demandant,
Si un jour,
Tu reviendra vers moi.

Trois années ont passés,
Sans lesquelles je ne me suis jamais tanner,
Je t’est aimé.
Du coin de l’oeil,
Je t’ai protégé du mauvais oeil.

Je n’aime que toi,
Je crois que maintenant,
Assez d’années ont passées,
Sans que j’aie à te le prouver.

Aime-moi,
Comme je t’aime.
N’aie aucune pitié de moi,
Comme j’ai eue foie en toi.

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