Texte:Penser La Société

Petite pensée eut il y a quelques temps, écrite en l’état :

Le monde est triste, soit par sa bêtise, soit par sa restriction de pensée.
Le besoin qu’on toutes ces personnes, qu’elles soient mal intentionnées, en manque de confiance, ou bien intentionnées, de se faire aimer par les autres.
Je trouve ce sentiment désespérément triste, cette envie de se faire complimenter, réconforter, écouter (sentiment qui pourrait provenir d’un subconscient hyper complexé) pour donner un sens à sa vie en se sentant exister par l’attention des autres, de voir chez eux un attrait qu’on pourrait avoir envers les personnes qu’on admire, pour s’auto-rassurer et tendre à s’aimer soi-même.

Alors que dans le fond, pourquoi vouloir sentir de par chez quelqu’un d’extérieur un réconfort sur un complexe, ou vouloir corriger ce qu’on de reproche, lorsqu’il n’y a pas de raisons de complexer.

Si on est le seul vrai juge de soi-même alors toute notion peut être changée.
On né tous différents, il n’y a donc aucune norme. On est.

Donc si la pensée générale était un peu plus ouverte, moins abrutie depuis trop longtemps, il ne devrait y avoir aucun problème d’auto-estime, de « dépression personnelle », et plus de besoin d’appartenance à un groupe, catégorie ou « conventions sociales ».
C’est à partir de là qu’on pourrait connaitre les gens plutôt que de se reconnaitre chez eux.
Car le besoin d’appartenance a créé l’égoïsme et la débilité, la privation de la Liberté.

Ce qui serait paradoxal, c’est si mon besoin d’écrire, d’en parler, serait motivé par ce même besoin d’appartenance que je méprise. ✌