Univers de poésie d'un auteur

Poème:Notre Moyen D’échange

Le Poème

Il m’a fallut dans mes mots trouver ce ver qui élût à petit maux sur toute la terre : « la souffrance de chacun ». Ce vil ver en moi réveille cette lueur très terre à terre qui éveille le malheur : « l’altruisme de chacun ». Cette vile lueur me fait taire car si elle brille dans la cœur de ce vil ver pourtant futile : « notre moyen d’échange », autant souffrir en silence.
Souffrant, dans un vil silence, j’expose mon désarroi, Odieux, ce sentiment éprouvé dans une dépression innommable, Unique, ce mal rattaché à mon âme si je l’ignore il revient, Fort, ce doute pour l’avenir regret de ma vie. Fouillant, dans mon noble passer j’ai eux une ère de roi, Rêvée, ma vie est un énorme vide plein d’un bonheur irrattrapable, Affreux, ma peur remplie mon sombre présent quand la solitude devient, Nu, ma peine un habit noir dépouillé d’envie. Contradictoire et sans foi forcément très vulnérable Envie de tous ou de rien ma douleur sans cesse en vie.

Nous sommes tous à la recherche de moyen d’échange. Celui que nous tous aimons si chère, hisse et range les murs invisibles de cette grande villa. Chaque étage visible détermine notre classe. C’est à chaque pallier que nous cherchons notre place en montant l’escalier de cette grande villa « Ma Société ». Au plus haut sommet de cet escalier, Nul ne pourra nier ou même affirmer Trouver autre chose que le mépris, Imbibé d’un cri d’une couleur morose. C’est pourtant bien la où nous allons tous, au plus haut sommet de cet escalier, Pour le rendre mahousse dans cette grande villa Imbibée d’un cri d’une couleur morose. Tu veux t’allonger et voir fuir tes frères Au plus haut sommet de cet escalier. Louant ta misère sur ces marches rongées Imbibé d’un cri d’une couleur morose. Sur cette escalier de chair et de sang Tu accepte d’être piétiner comme tes frères Et tu cries ton mépris dans une couleur…
Dans le silence de ma souffrance, je suis pas un ange, mon moyen d’échange est la colère de la misère. Ce monde ou l’être cour à sa perte sous la lumières des réverbères ou tous les prêtes parle de bien être, les gens crèvent sans espoir perdant leurs rêves. Le mot bonheur se fait avoir par le malheur. Le verbe avoir prend le pouvoir du verbe être. Le mot pouvoirs est devenu source de profits. Les gens crèvent sans espoir perdant leurs rêves.

Quand ce verre, ma grande douleur, « notre moyen d’échange » et le nerf de ma vie : Je souhaite oublier tous ces chiffres, ceux qui classent les gens et montrent les écarts. Non ! ! Je ne suis pas un sous-fifre, ceux qui sont plus fort restent des bêtes sans noms. Je n’aurais pas voulu apprendre à compter pour partager les biens en parts. Non ! ! La vie nous ne pourrons l’escomptais pour stocker des richesses sans noms. Je ne voudrais pas être un numéro, une vile statistique mis à part. Non ! ! Il ne faut pas oublier les clodos. Une vie vit dans ce monde sans nom.
Nous sommes tous racistes car en nous existe cette grande conviction. « Il faut avoir pour ce faire valoir ». La possession nous rend égoïste. L’appartenance à cette idée utopiste nous donne l’indifférence.
Ce glaive, ce ver tous pourri, nous tue un par un. Je rêve de mon utopie car je ne suis qu’un Homme ! ! Dans mes rêves Unique, je me vois Manger et procréer À cette grande fragilité ; Inconcevable pour moi. Négligeons ce glaive, Tenu par mes mains Usiné par mes mains Et assommant tous mes rêves. Réveille noir du matin Annonçant ma fin. Homme ! ! je contrôle mes rêves, Uniquement quand je peux Manger sans faim et enfanter A cette grande précarité Inconcevable pour ceux N’ayant plus de rêves.

Comme tous, Je ne me sens pas fautif et abuse de mon monde, en le rendant immonde dans un flegme collectif. Nos enfants ce morfonde de nos gestes abusif, rêvant de couleurs vive dans le noir de leur monde. Pourtant le haut n’existe pas le bas n’existe pas tous sur une boule qui vers l’infinie s’enroule nous suivons cette étoile nous suivons notre étoile qui vers l’infinie s’enroule au milieu d’une foule.
Je me suis toujours sentie a part dans cette foule savante car Je n’ai jamais cru en leur culture en tous point obscure et disparu. Suis-je fou de ne pas songer comme eux ? Un peu car j’assume d’être un vil pou Irritable et bête assis sur leurs pensées Sucent leur idées pour qu’ils se grattent la tête. A quoi peu servir ce vieux savoir Née dans leurs parloirs et leur vieillir ? A rien car la vie comme la mort tourne Retourne aux origines de ce lien Celui qui t’unit aux rêves de tes semblables Humble et respectable est-il face à ta vie ? Inutile sont leurs loi inutile sont leurs bibles Sermons chiant et risible. Je ne crois quand ma foi, Trouver qui lu cru dans ma culture en tous point obscure et disparu.

Vous troupeau, vous broutez le pâturage ou les clôtures du berger sont close, tenu des chiens pour taire les sauvages. Eh ! ! Petit mouton rose tu peux changer les choses. Rêvasse petit mouton rose, car la nuit tombée les moutons sautent. Allez mouton, bouleverse ton pâturage, va rendre ce blanc troupeau moins morose. Eh ! ! Fait partir le berger et son entourage. Cogite petit mouton rose, car la nuit tombée les montons sautent. Vit petit mouton, change ton pâturage, ou les clôtures du berger sont close, tenu des chiens pour taire les sauvages. Réunie en troupeau tu peux changer les choses. Eh ! ! Rie petit mouton rose, car la nuit tombée les moutons sautent. Porte haut ces trois mots qui font battre nos cœurs. Ces Trois mots qui ont traversés le temps, les guerres et les dictatures. Ces trois mots que nous devons porter plus haut que toutes autres bannières ou symboles. « Liberté, Egalité, Fraternité ».
J’ai fais un rêve ou l’homme savait voir la différence pour entendre l’objection. J’ai fais un rêve ou l’homme savait parler de sa divergence pour prendre position. J’ai fais un rêve ou l’homme ne maquais jamais de moyen d’échange. J’ai fais un rêve ou mère « notre terre » nourrissait tous les hommes dans leurs rêves les plus fous. Levons notre poing changeons notre moyen d’échange, ce ver, ma grande douleur, ce mur invisible, ce glaive, QUI NOUS TUE UN PAR UN.
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PostScriptum

Un petit mixe de tous ce que j’ai ecris mis bout a bout

Poeme de Pafpaf

Poète Pafpaf

Pafpaf a publié sur le site 54 écrits. Pafpaf est membre du site depuis l'année 2007.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Notre Moyen D’échangeil=ma=fal=lut=dans=mes=mots=trou=ver=ce=ver=qui=é=lût=à=pe=tit=maux=sur=tou=te=la=ter=re=la=souf=fran=ce=de=cha=cun=ce=vil=ver=en=moi=ré=vei=lle=cet=te=lueur=très=ter=re=à=ter=re=qui=é=vei=lle=le=mal=heur=lal=truis=me=de=cha=cun=cet=te=vi=le=lueur=me=fait=tai=re=car=si=el=le=brille=dans=la=cœur=de=ce=vil=ver=pour=tant=fu=ti=le=no=tre=moyen=dé=chan=ge=au=tant=souf=frir=en=si=lence 100
souf=frant=dans=un=vil=silen=ce=jex=po=se=mon=dé=sar=roi=o=dieux=ce=sen=ti=ment=é=prou=vé=dans=u=ne=dé=pres=sion=in=nom=ma=ble=u=ni=que=ce=mal=rat=ta=ché=à=mon=â=me=si=je=li=gno=re=il=re=vient=fort=ce=dou=te=pour=la=ve=nir=re=gret=de=ma=vie=fouillant=dans=mon=no=ble=pas=ser=jai=eux=u=ne=è=re=de=roi=rê=vée=ma=vieest=un=é=nor=me=vi=de=plein=dun=bon=heur=ir=rat=tra=pa=ble=af=freux=ma=peur=rem=plie=mon=som=bre=pré=sent=quand=la=so=li=tu=de=de=vient=nu=ma=pei=ne=un=ha=bit=noir=dé=pouillé=den=vie=contra=dic=toi=re=et=sans=foi=for=cé=ment=très=vul=né=ra=ble=en=vie=de=tous=ou=de=rien=ma=dou=leur=sans=ces=se=en=vie 161
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je=me=suis=tou=jours=sen=tiea=part=dans=cette=fou=le=sa=van=te=car=je=nai=ja=mais=cru=en=leur=cul=tu=re=en=tous=point=obs=cu=re=et=dis=pa=ru=suis=je=fou=de=ne=pas=son=ger=com=me=eux=un=peu=car=jas=su=me=dê=tre=un=vil=pou=ir=ri=ta=ble=et=bê=te=as=sis=sur=leurs=pen=sées=su=cent=leur=i=dées=pour=quils=se=grat=tent=la=tê=te=a=quoi=peu=ser=vir=ce=vieux=sa=voir=née=dans=leurs=par=loirs=et=leur=vieillir=a=rien=car=la=vie=com=me=la=mort=tour=ne=re=tour=ne=aux=o=ri=gi=nes=de=ce=lien=ce=lui=qui=tu=nit=aux=rê=ves=de=tes=sem=bla=bles=hum=ble=et=res=pec=ta=ble=est=il=fa=ce=à=ta=vie=i=nu=tile=sont=leurs=loi=i=nu=ti=le=sont=leurs=bi=bles=ser=mons=chiant=et=ri=sible=je=ne=crois=quand=ma=foi=trou=ver=qui=lu=cru=dans=ma=cul=tu=re=en=tous=point=obs=cu=re=et=dis=pa=ru 196
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jai=fais=un=rêveou=lhom=me=sa=vait=voir=la=dif=fé=ren=ce=pour=en=ten=dre=lob=jec=tion=jai=fais=un=rê=ve=ou=l=hom=me=sa=vait=par=ler=de=sa=di=ver=gen=ce=pour=pren=dre=po=si=tion=jai=fais=un=rê=ve=ou=l=hom=me=ne=ma=quais=ja=mais=de=moyen=dé=change=jai=fais=un=rê=ve=ou=mè=re=no=tre=ter=re=nour=ris=sait=tous=les=hom=mes=dans=leurs=rê=ves=les=plus=fous=le=vons=no=tre=poing=chan=geons=no=tre=moyen=dé=chan=ge=ce=ver=ma=gran=de=dou=leur=ce=mur=in=vi=si=ble=ce=glai=ve=qui=nous=tue=un=par=un 125
Phonétique : Notre Moyen D’échangeil ma faly dɑ̃ mε mo tʁuve sə vεʁ ki ely a pəti mo syʁ tutə la teʁə : « la sufʁɑ̃sə də ʃakyn ». sə vil vεʁ ɑ̃ mwa ʁevεjə sεtə lɥœʁ tʁε teʁə a teʁə ki evεjə lə malœʁ : « laltʁɥismə də ʃakyn ». sεtə vilə lɥœʁ mə fε tεʁə kaʁ si εllə bʁijə dɑ̃ la kœʁ də sə vil vεʁ puʁtɑ̃ fytilə : « nɔtʁə mwajɛ̃ deʃɑ̃ʒə », otɑ̃ sufʁiʁ ɑ̃ silɑ̃sə.
sufʁɑ̃, dɑ̃z- œ̃ vil silɑ̃sə, ʒεkspozə mɔ̃ dezaʁwa, ɔdjø, sə sɑ̃timɑ̃ epʁuve dɑ̃z- ynə depʁesjɔ̃ inɔmablə, ynikə, sə mal ʁataʃe a mɔ̃n- amə si ʒə liɲɔʁə il ʁəvjɛ̃, fɔʁ, sə dutə puʁ lavəniʁ ʁəɡʁε də ma vi. fujɑ̃, dɑ̃ mɔ̃ nɔblə pase ʒε øz- ynə εʁə də ʁwa, ʁεve, ma vi εt- œ̃n- enɔʁmə vidə plɛ̃ dœ̃ bɔnœʁ iʁatʁapablə, afʁø, ma pœʁ ʁɑ̃pli mɔ̃ sɔ̃bʁə pʁezɑ̃ kɑ̃ la sɔlitydə dəvjɛ̃, ny, ma pεnə œ̃-abi nwaʁ depuje dɑ̃vi. kɔ̃tʁadiktwaʁə e sɑ̃ fwa fɔʁsemɑ̃ tʁε vylneʁablə ɑ̃vi də tusz- u də ʁjɛ̃ ma dulœʁ sɑ̃ sεsə ɑ̃ vi.

nu sɔmə tusz- a la ʁəʃεʁʃə də mwajɛ̃ deʃɑ̃ʒə. səlɥi kə nu tusz- εmɔ̃ si ʃεʁə, isə e ʁɑ̃ʒə lε myʁz- ɛ̃viziblə də sεtə ɡʁɑ̃də vila. ʃakə etaʒə viziblə detεʁminə nɔtʁə klasə. sεt- a ʃakə palje kə nu ʃεʁʃɔ̃ nɔtʁə plasə ɑ̃ mɔ̃tɑ̃ lεskalje də sεtə ɡʁɑ̃də vila « ma sɔsjete ». o plys-o sɔmε də sεt εskalje, nyl nə puʁʁa nje u mεmə afiʁme tʁuve otʁə ʃozə kə lə mepʁi, ɛ̃bibe dœ̃ kʁi dynə kulœʁ mɔʁozə. sε puʁtɑ̃ bjɛ̃ la u nuz- alɔ̃ tus, o plys-o sɔmε də sεt εskalje, puʁ lə ʁɑ̃dʁə mausə dɑ̃ sεtə ɡʁɑ̃də vila ɛ̃bibe dœ̃ kʁi dynə kulœʁ mɔʁozə. ty vø talɔ̃ʒe e vwaʁ fɥiʁ tε fʁεʁəz- o plys-o sɔmε də sεt εskalje. lwɑ̃ ta mizεʁə syʁ sε maʁʃə ʁɔ̃ʒez- ɛ̃bibe dœ̃ kʁi dynə kulœʁ mɔʁozə. syʁ sεtə εskalje də ʃεʁ e də sɑ̃ ty aksεptə dεtʁə pjetine kɔmə tε fʁεʁəz- e ty kʁi tɔ̃ mepʁi dɑ̃z- ynə kulœʁ…
dɑ̃ lə silɑ̃sə də ma sufʁɑ̃sə, ʒə sɥi pa œ̃n- ɑ̃ʒə, mɔ̃ mwajɛ̃ deʃɑ̃ʒə ε la kɔlεʁə də la mizεʁə. sə mɔ̃də u lεtʁə kuʁ a sa pεʁtə su la lymjεʁə dε ʁevεʁbεʁəz- u tus lε pʁεtə paʁlə də bjɛ̃ εtʁə, lε ʒɑ̃ kʁεve sɑ̃z- εspwaʁ pεʁdɑ̃ lœʁ ʁεvə. lə mo bɔnœʁ sə fε avwaʁ paʁ lə malœʁ. lə vεʁbə avwaʁ pʁɑ̃ lə puvwaʁ dy vεʁbə εtʁə. lə mo puvwaʁz- ε dəvəny suʁsə də pʁɔfi. lε ʒɑ̃ kʁεve sɑ̃z- εspwaʁ pεʁdɑ̃ lœʁ ʁεvə.

kɑ̃ sə veʁə, ma ɡʁɑ̃də dulœʁ, « nɔtʁə mwajɛ̃ deʃɑ̃ʒə » εt lə nεʁf də ma vi : ʒə suεtə ublje tus sε ʃifʁə, sø ki klase lε ʒɑ̃z- e mɔ̃tʁe lεz- ekaʁ. nɔ̃ ! ! ʒə nə sɥi pa œ̃ su fifʁə, sø ki sɔ̃ plys fɔʁ ʁεste dε bεtə sɑ̃ nɔ̃. ʒə noʁε pa vuly apʁɑ̃dʁə a kɔ̃te puʁ paʁtaʒe lε bjɛ̃z- ɑ̃ paʁ. nɔ̃ ! ! la vi nu nə puʁʁɔ̃ lεskɔ̃tε puʁ stɔke dε ʁiʃesə sɑ̃ nɔ̃. ʒə nə vudʁε pa εtʁə œ̃ nymeʁo, ynə vilə statistikə miz- a paʁ. nɔ̃ ! ! il nə fo pa ublje lε klɔdo. ynə vi vit dɑ̃ sə mɔ̃də sɑ̃ nɔ̃.
nu sɔmə tus ʁasistə kaʁ ɑ̃ nuz- εɡzistə sεtə ɡʁɑ̃də kɔ̃viksjɔ̃. « il fo avwaʁ puʁ sə fεʁə valwaʁ ». la pɔsesjɔ̃ nu ʁɑ̃t- eɡɔistə. lapaʁtənɑ̃sə a sεtə ide ytɔpistə nu dɔnə lɛ̃difeʁɑ̃sə.
sə ɡlεvə, sə vεʁ tus puʁʁi, nu tɥ œ̃ paʁ œ̃. ʒə ʁεvə də mɔ̃n- ytɔpi kaʁ ʒə nə sɥi kœ̃n- ɔmə ! ! dɑ̃ mε ʁεvəz- ynikə, ʒə mə vwa mɑ̃ʒe e pʁɔkʁee a sεtə ɡʁɑ̃də fʁaʒilite, ɛ̃kɔ̃səvablə puʁ mwa. neɡliʒɔ̃ sə ɡlεvə, təny paʁ mε mɛ̃z- yzine paʁ mε mɛ̃z- e asɔmɑ̃ tus mε ʁεvə. ʁevεjə nwaʁ dy matɛ̃ anɔ̃sɑ̃ ma fɛ̃. ɔmə ! ! ʒə kɔ̃tʁolə mε ʁεvə, ynikəmɑ̃ kɑ̃ ʒə pø mɑ̃ʒe sɑ̃ fɛ̃ e ɑ̃fɑ̃te a sεtə ɡʁɑ̃də pʁekaʁite ɛ̃kɔ̃səvablə puʁ sø nεjɑ̃ plys də ʁεvə.

kɔmə tus, ʒə nə mə sɑ̃s pa fotif e abyzə də mɔ̃ mɔ̃də, ɑ̃ lə ʁɑ̃dɑ̃ imɔ̃də dɑ̃z- œ̃ flεɡmə kɔlεktif. noz- ɑ̃fɑ̃ sə mɔʁfɔ̃də də no ʒεstəz- abyzif, ʁεvɑ̃ də kulœʁ vivə dɑ̃ lə nwaʁ də lœʁ mɔ̃də. puʁtɑ̃ lə-o nεɡzistə pa lə ba nεɡzistə pa tus syʁ ynə bulə ki vεʁ lɛ̃fini sɑ̃ʁulə nu sɥivɔ̃ sεtə etwalə nu sɥivɔ̃ nɔtʁə etwalə ki vεʁ lɛ̃fini sɑ̃ʁulə o miljø dynə fulə.
ʒə mə sɥi tuʒuʁ sɑ̃ti a paʁ dɑ̃ sεtə fulə savɑ̃tə kaʁ ʒə nε ʒamε kʁy ɑ̃ lœʁ kyltyʁə ɑ̃ tus pwɛ̃ ɔpskyʁə e dispaʁy. sɥi ʒə fu də nə pa sɔ̃ʒe kɔmə ø ? œ̃ pø kaʁ ʒasymə dεtʁə œ̃ vil pu iʁitablə e bεtə asi syʁ lœʁ pɑ̃se syse lœʁ ide puʁ kil sə ɡʁate la tεtə. a kwa pø sεʁviʁ sə vjø savwaʁ ne dɑ̃ lœʁ paʁlwaʁz- e lœʁ vjεjiʁ ? a ʁjɛ̃ kaʁ la vi kɔmə la mɔʁ tuʁnə ʁətuʁnə oz- ɔʁiʒinə də sə ljɛ̃ səlɥi ki tyni o ʁεvə də tε sɑ̃blabləz- œ̃blə e ʁεspεktablə εt- il fasə a ta vi ? inytilə sɔ̃ lœʁ lwa inytilə sɔ̃ lœʁ biblə sεʁmɔ̃ ʃjɑ̃ e ʁiziblə. ʒə nə kʁwa kɑ̃ ma fwa, tʁuve ki ly kʁy dɑ̃ ma kyltyʁə ɑ̃ tus pwɛ̃ ɔpskyʁə e dispaʁy.

vu tʁupo, vu bʁute lə patyʁaʒə u lε klotyʁə dy bεʁʒe sɔ̃ klozə, təny dε ʃjɛ̃ puʁ tεʁə lε sovaʒə. ε ! ! pəti mutɔ̃ ʁozə ty pø ʃɑ̃ʒe lε ʃozə. ʁεvasə pəti mutɔ̃ ʁozə, kaʁ la nɥi tɔ̃be lε mutɔ̃ sote. ale mutɔ̃, buləvεʁsə tɔ̃ patyʁaʒə, va ʁɑ̃dʁə sə blɑ̃ tʁupo mwɛ̃ mɔʁozə. ε ! ! fε paʁtiʁ lə bεʁʒe e sɔ̃n- ɑ̃tuʁaʒə. kɔʒitə pəti mutɔ̃ ʁozə, kaʁ la nɥi tɔ̃be lε mɔ̃tɔ̃ sote. vit pəti mutɔ̃, ʃɑ̃ʒə tɔ̃ patyʁaʒə, u lε klotyʁə dy bεʁʒe sɔ̃ klozə, təny dε ʃjɛ̃ puʁ tεʁə lε sovaʒə. ʁeyni ɑ̃ tʁupo ty pø ʃɑ̃ʒe lε ʃozə. ε ! ! ʁi pəti mutɔ̃ ʁozə, kaʁ la nɥi tɔ̃be lε mutɔ̃ sote. pɔʁtə-o sε tʁwa mo ki fɔ̃ batʁə no kœʁ. sε tʁwa mo ki ɔ̃ tʁavεʁse lə tɑ̃, lε ɡeʁəz- e lε diktatyʁə. sε tʁwa mo kə nu dəvɔ̃ pɔʁte plys-o kə tutəz- otʁə- banjεʁəz- u sɛ̃bɔlə. « libεʁte, əɡalite, fʁatεʁnite ».
ʒε fεz- œ̃ ʁεvə u lɔmə savε vwaʁ la difeʁɑ̃sə puʁ ɑ̃tɑ̃dʁə lɔbʒεksjɔ̃. ʒε fεz- œ̃ ʁεvə u lɔmə savε paʁle də sa divεʁʒɑ̃sə puʁ pʁɑ̃dʁə pozisjɔ̃. ʒε fεz- œ̃ ʁεvə u lɔmə nə makε ʒamε də mwajɛ̃ deʃɑ̃ʒə. ʒε fεz- œ̃ ʁεvə u mεʁə « nɔtʁə teʁə » nuʁʁisε tus lεz- ɔmə dɑ̃ lœʁ ʁεvə lε plys fus. ləvɔ̃ nɔtʁə puiŋ ʃɑ̃ʒɔ̃ nɔtʁə mwajɛ̃ deʃɑ̃ʒə, sə vεʁ, ma ɡʁɑ̃də dulœʁ, sə myʁ ɛ̃viziblə, sə ɡlεvə, ki nu tɥ œ̃ paʁ œ̃.
Syllabes Phonétique : Notre Moyen D’échangeil=ma=fa=ly=dɑ̃=mε=mo=tʁu=ve=sə=vεʁ=ki=e=ly=a=pə=ti=mo=syʁ=tu=tə=la=te=ʁə=la=su=fʁɑ̃=sə=də=ʃa=kyn=sə=vil=vεʁ=ɑ̃=mwa=ʁe=vε=jə=sε=tə=lɥœ=ʁə=tʁε=te=ʁə=a=te=ʁə=ki=e=vε=jə=lə=ma=lœʁ=lal=tʁɥis=mə=də=ʃa=kyn=sε=tə=vi=lə=lɥœʁ=mə=fε=tε=ʁə=kaʁ=si=εl=lə=bʁi=jə=dɑ̃=la=kœʁ=də=sə=vil=vεʁ=puʁ=tɑ̃=fy=ti=lə=nɔ=tʁə=mwa=jɛ̃=de=ʃɑ̃=ʒə=o=tɑ̃=su=fʁiʁ=ɑ̃=si=lɑ̃=sə 104
su=fʁɑ̃=dɑ̃=zœ̃=vil=si=lɑ̃sə=ʒεk=spo=zə=mɔ̃=de=za=ʁwa=ɔ=djø=sə=sɑ̃=ti=mɑ̃=e=pʁu=ve=dɑ̃=zy=nə=de=pʁe=sjɔ̃=i=nɔ=ma=blə=y=ni=kə=sə=mal=ʁa=ta=ʃe=a=mɔ̃=na=mə=si=ʒə=li=ɲɔ=ʁə=il=ʁə=vjɛ̃=fɔʁ=sə=du=tə=puʁ=la=və=niʁ=ʁə=ɡʁε=də=ma=vi=fu=jɑ̃=dɑ̃=mɔ̃=nɔ=blə=pa=se=ʒε=ø=zy=nəε=ʁə=də=ʁwa=ʁε=ve=ma=vi=ε=tœ̃=ne=nɔʁ=mə=vi=də=plɛ̃=dœ̃=bɔ=nœʁ=i=ʁa=tʁa=pa=blə=a=fʁø=ma=pœʁ=ʁɑ̃=pli=mɔ̃=sɔ̃=bʁə=pʁe=zɑ̃=kɑ̃=la=sɔ=li=ty=də=də=vjɛ̃=ny=ma=pε=nə=œ̃-a=bi=nwaʁ=de=pu=je=dɑ̃=vi=kɔ̃=tʁa=dik=twa=ʁə=e=sɑ̃=fwa=fɔʁ=se=mɑ̃=tʁε=vyl=ne=ʁa=blə=ɑ̃=vi=də=tus=zu=də=ʁjɛ̃=ma=du=lœʁ=sɑ̃=sε=sə=ɑ̃=vi 164

nu=sɔmə=tus=za=la=ʁə=ʃεʁ=ʃə=də=mwa=jɛ̃=de=ʃɑ̃=ʒə=səl=ɥi=kə=nu=tus=zε=mɔ̃=si=ʃε=ʁə=i=səe=ʁɑ̃=ʒə=lε=myʁ=zɛ̃=vi=zi=blə=də=sε=tə=ɡʁɑ̃=də=vi=la=ʃa=kə=e=ta=ʒə=vi=zi=blə=de=tεʁ=mi=nə=nɔ=tʁə=kla=sə=sε=ta=ʃa=kə=pa=lje=kə=nu=ʃεʁ=ʃɔ̃=nɔ=tʁə=pla=sə=ɑ̃=mɔ̃=tɑ̃=lεs=ka=lje=də=sε=tə=ɡʁɑ̃=də=vi=la=ma=sɔ=sje=te=o=plys-o=sɔ=mε=də=sεt=εs=ka=lje=nyl=nə=puʁ=ʁa=nje=u=mε=mə=a=fiʁ=me=tʁu=ve=o=tʁə=ʃo=zə=kə=lə=me=pʁi=ɛ̃=bi=be=dœ̃=kʁi=dy=nə=ku=lœʁ=mɔ=ʁo=zə=sε=puʁ=tɑ̃=bjɛ̃=la=u=nu=za=lɔ̃=tus=o=plys-o=sɔ=mε=də=sεt=εs=ka=lje=puʁ=lə=ʁɑ̃=dʁə=ma=u=sə=dɑ̃=sε=tə=ɡʁɑ̃=də=vi=la=ɛ̃=bi=be=dœ̃=kʁi=dy=nə=ku=lœʁ=mɔ=ʁo=zə=ty=vø=ta=lɔ̃=ʒe=e=vwaʁ=fɥ=iʁ=tε=fʁε=ʁə=zo=plys-o=sɔ=mε=də=sεt=εs=ka=lje=lwɑ̃=ta=mi=zε=ʁə=syʁ=sε=maʁ=ʃə=ʁɔ̃=ʒe=zɛ̃=bi=be=dœ̃=kʁi=dy=nə=ku=lœʁ=mɔ=ʁo=zə=syʁ=sε=tə=εs=ka=lje=də=ʃεʁ=e=də=sɑ̃=ty=ak=sεp=tə=dε=tʁə=pje=ti=ne=kɔ=mə=tε=fʁε=ʁə=ze=ty=kʁi=tɔ̃=me=pʁi=dɑ̃=zy=nə=ku=lœʁ 258
dɑ̃lə=si=lɑ̃=sə=də=ma=su=fʁɑ̃=sə=ʒə=sɥi=pa=œ̃=nɑ̃=ʒə=mɔ̃=mwa=jɛ̃=de=ʃɑ̃=ʒəε=la=kɔ=lε=ʁə=də=la=mi=zε=ʁə=sə=mɔ̃=də=u=lε=tʁə=kuʁ=a=sa=pεʁ=tə=su=la=ly=mjε=ʁə=dε=ʁe=vεʁ=bε=ʁə=zu=tus=lε=pʁε=tə=paʁ=lə=də=bjɛ̃=ε=tʁə=lε=ʒɑ̃=kʁε=ve=sɑ̃=zεs=pwaʁ=pεʁ=dɑ̃=lœʁ=ʁε=və=lə=mo=bɔ=nœʁ=sə=fε=a=vwaʁ=paʁ=lə=ma=lœʁ=lə=vεʁ=bə=a=vwaʁ=pʁɑ̃=lə=pu=vwaʁ=dy=vεʁ=bə=ε=tʁə=lə=mo=pu=vwaʁ=zε=də=və=ny=suʁ=sə=də=pʁɔ=fi=lε=ʒɑ̃=kʁε=ve=sɑ̃=zεs=pwaʁ=pεʁ=dɑ̃=lœʁ=ʁεvə 124

kɑ̃sə=ve=ʁə=ma=ɡʁɑ̃=də=du=lœʁ=nɔ=tʁə=mwa=jɛ̃=de=ʃɑ̃=ʒə=εt=lə=nεʁf=də=ma=vi=ʒə=su=ε=təu=blje=tus=sε=ʃi=fʁə=sø=ki=kla=se=lε=ʒɑ̃=ze=mɔ̃=tʁe=lε=ze=kaʁ=nɔ̃=ʒə=nə=sɥi=pa=œ̃=su=fi=fʁə=sø=ki=sɔ̃=plys=fɔʁ=ʁεs=te=dε=bε=tə=sɑ̃=nɔ̃=ʒə=no=ʁε=pa=vu=ly=a=pʁɑ̃=dʁə=a=kɔ̃=te=puʁ=paʁ=ta=ʒe=lε=bjɛ̃=zɑ̃=paʁ=nɔ̃=la=vi=nu=nə=puʁ=ʁɔ̃=lεs=kɔ̃=tε=puʁ=stɔ=ke=dε=ʁi=ʃe=sə=sɑ̃=nɔ̃=ʒə=nə=vu=dʁε=pa=ε=tʁə=œ̃=ny=me=ʁo=y=nə=vi=lə=sta=tis=ti=kə=mi=za=paʁ=nɔ̃=il=nə=fo=pa=u=blje=lε=klɔ=do=y=nə=vi=vit=dɑ̃=sə=mɔ̃=də=sɑ̃=nɔ̃ 144
nu=sɔ=mə=tus=ʁa=sis=tə=kaʁ=ɑ̃=nu=zεɡ=zis=tə=sε=tə=ɡʁɑ̃=də=kɔ̃=vik=sj=ɔ̃=il=fo=a=vwaʁ=puʁ=sə=fε=ʁə=va=lwaʁ=la=pɔ=se=sj=ɔ̃=nu=ʁɑ̃=te=ɡɔ=is=tə=la=paʁ=tə=nɑ̃=sə=a=sε=tə=i=de=y=tɔ=pis=tə=nu=dɔ=nə=lɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=sə 64
sə=ɡlεvə=sə=vεʁ=tus=puʁ=ʁi=nu=tɥ=œ̃=paʁ=œ̃=ʒə=ʁε=və=də=mɔ̃=ny=tɔ=pi=kaʁ=ʒə=nə=sɥi=kœ̃=nɔ=mə=dɑ̃=mε=ʁε=və=zy=ni=kə=ʒə=mə=vwa=mɑ̃=ʒe=e=pʁɔ=kʁe=e=a=sε=tə=ɡʁɑ̃=də=fʁa=ʒi=li=te=ɛ̃=kɔ̃=sə=va=blə=puʁ=mwa=ne=ɡli=ʒɔ̃=sə=ɡlε=və=tə=ny=paʁ=mε=mɛ̃=zy=zi=ne=paʁ=mε=mɛ̃=ze=a=sɔ=mɑ̃=tus=mε=ʁε=və=ʁe=vεjə=nwaʁ=dy=ma=tɛ̃=a=nɔ̃=sɑ̃=ma=fɛ̃=ɔ=mə=ʒə=kɔ̃=tʁo=lə=mε=ʁε=və=y=ni=kə=mɑ̃=kɑ̃=ʒə=pø=mɑ̃=ʒe=sɑ̃=fɛ̃=e=ɑ̃=fɑ̃=te=a=sε=tə=ɡʁɑ̃=də=pʁe=ka=ʁi=te=ɛ̃=kɔ̃=sə=va=blə=puʁ=sø=nε=jɑ̃=plys=də=ʁεvə 140

kɔmə=tus=ʒə=nə=mə=sɑ̃s=pa=fo=tif=e=a=by=zə=də=mɔ̃=mɔ̃=də=ɑ̃=lə=ʁɑ̃=dɑ̃=i=mɔ̃=də=dɑ̃=zœ̃=flεɡ=mə=kɔ=lεk=tif=no=zɑ̃=fɑ̃=sə=mɔʁ=fɔ̃=də=də=no=ʒεs=tə=za=by=zif=ʁε=vɑ̃=də=ku=lœʁ=vi=və=dɑ̃=lə=nwaʁ=də=lœʁ=mɔ̃=də=puʁ=tɑ̃=lə-o=nεɡ=zis=tə=pa=lə=ba=nεɡ=zis=tə=pa=tus=syʁ=y=nə=bu=lə=ki=vεʁ=lɛ̃=fi=ni=sɑ̃=ʁu=lə=nu=sɥi=vɔ̃=sε=təe=twa=lə=nu=sɥi=vɔ̃=nɔ=tʁə=e=twa=lə=ki=vεʁ=lɛ̃=fi=ni=sɑ̃=ʁu=lə=o=mi=ljø=dy=nə=fulə 116
ʒə=mə=sɥi=tu=ʒuʁ=sɑ̃=ti=a=paʁ=dɑ̃=sεtə=fu=lə=sa=vɑ̃=tə=kaʁ=ʒə=nε=ʒa=mε=kʁy=ɑ̃=lœʁ=kyl=ty=ʁəɑ̃=tus=pwɛ̃=ɔp=sky=ʁə=e=dis=pa=ʁy=sɥi=ʒə=fu=də=nə=pa=sɔ̃=ʒe=kɔ=mə=ø=œ̃=pø=kaʁ=ʒa=sy=mə=dε=tʁə=œ̃=vil=pu=i=ʁi=ta=blə=e=bε=tə=a=si=syʁ=lœʁ=pɑ̃=se=sy=se=lœʁ=i=de=puʁ=kil=sə=ɡʁa=te=la=tε=tə=a=kwa=pø=sεʁ=viʁ=sə=vjø=sa=vwaʁ=ne=dɑ̃=lœʁ=paʁ=lwaʁ=ze=lœʁ=vjε=jiʁ=a=ʁjɛ̃=kaʁ=la=vi=kɔ=mə=la=mɔʁ=tuʁ=nə=ʁə=tuʁ=nə=o=zɔ=ʁi=ʒi=nə=də=sə=ljɛ̃=səl=ɥi=ki=ty=ni=o=ʁε=və=də=tε=sɑ̃=bla=blə=zœ̃=blə=e=ʁεs=pεk=ta=blə=ε=til=fa=sə=a=ta=vi=i=ny=ti=lə=sɔ̃=lœʁ=lwa=i=ny=ti=lə=sɔ̃=lœʁ=bi=blə=sεʁ=mɔ̃=ʃjɑ̃=e=ʁi=zi=blə=ʒə=nə=kʁwa=kɑ̃=ma=fwa=tʁu=ve=ki=ly=kʁy=dɑ̃=ma=kyl=ty=ʁə=ɑ̃=tus=pwɛ̃=ɔp=sky=ʁə=e=dis=pa=ʁy 199

vu=tʁu=po=vu=bʁu=te=lə=pa=ty=ʁaʒəu=lε=klo=ty=ʁə=dy=bεʁ=ʒe=sɔ̃=klo=zə=tə=ny=dε=ʃjɛ̃=puʁ=tε=ʁə=lε=so=va=ʒə=ε=pə=ti=mu=tɔ̃=ʁo=zə=ty=pø=ʃɑ̃=ʒe=lε=ʃo=zə=ʁε=va=sə=pə=ti=mu=tɔ̃=ʁo=zə=kaʁ=la=nɥi=tɔ̃=be=lε=mu=tɔ̃=so=te=a=le=mu=tɔ̃=bu=lə=vεʁ=sə=tɔ̃=pa=ty=ʁa=ʒə=va=ʁɑ̃=dʁə=sə=blɑ̃=tʁu=po=mwɛ̃=mɔ=ʁo=zə=ε=fε=paʁ=tiʁ=lə=bεʁ=ʒe=e=sɔ̃=nɑ̃=tu=ʁa=ʒə=kɔ=ʒi=tə=pə=ti=mu=tɔ̃=ʁo=zə=kaʁ=la=nɥi=tɔ̃=be=lε=mɔ̃=tɔ̃=so=te=vit=pə=ti=mu=tɔ̃=ʃɑ̃=ʒə=tɔ̃=pa=ty=ʁa=ʒə=u=lε=klo=ty=ʁə=dy=bεʁ=ʒe=sɔ̃=klo=zə=tə=ny=dε=ʃjɛ̃=puʁ=tε=ʁə=lε=so=va=ʒə=ʁe=y=ni=ɑ̃=tʁu=po=ty=pø=ʃɑ̃=ʒe=lε=ʃo=zə=ε=ʁi=pə=ti=mu=tɔ̃=ʁo=zə=kaʁ=la=nɥi=tɔ̃=be=lε=mu=tɔ̃=so=te=pɔʁ=tə-o=sε=tʁwa=mo=ki=fɔ̃=ba=tʁə=no=kœʁ=sε=tʁwa=mo=ki=ɔ̃=tʁa=vεʁ=se=lə=tɑ̃=lε=ɡe=ʁə=ze=lε=dik=ta=ty=ʁə=sε=tʁwa=mo=kə=nu=də=vɔ̃=pɔʁ=te=plys-o=kə=tu=tə=zo=tʁə=ba=njε=ʁə=zu=sɛ̃=bɔ=lə=li=bεʁ=te=ə=ɡa=li=te=fʁa=tεʁ=ni=te 250
ʒε=fε=zœ̃=ʁεvəu=lɔ=mə=sa=vε=vwaʁ=la=di=fe=ʁɑ̃=sə=puʁ=ɑ̃=tɑ̃=dʁə=lɔb=ʒεk=sjɔ̃=ʒε=fε=zœ̃=ʁε=və=u=lɔ=mə=sa=vε=paʁ=le=də=sa=di=vεʁ=ʒɑ̃=sə=puʁ=pʁɑ̃=dʁə=po=zi=sjɔ̃=ʒε=fε=zœ̃=ʁε=və=u=lɔ=mə=nə=ma=kε=ʒa=mε=də=mwa=jɛ̃=de=ʃɑ̃=ʒə=ʒε=fε=zœ̃=ʁε=və=u=mε=ʁə=nɔ=tʁə=te=ʁə=nuʁ=ʁi=sε=tus=lε=zɔ=mə=dɑ̃=lœʁ=ʁε=və=lε=plys=fus=lə=vɔ̃=nɔ=tʁə=pu=iŋ=ʃɑ̃=ʒɔ̃=nɔ=tʁə=mwa=jɛ̃=de=ʃɑ̃=ʒə=sə=vεʁ=ma=ɡʁɑ̃=də=du=lœʁ=sə=myʁ=ɛ̃=vi=zi=blə=sə=ɡlε=və=ki=nu=tɥ=œ̃=paʁ=œ̃ 127

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Commentaire poème
26/04/2024Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 15/11/2009 20:35

L'écrit contient 1115 mots qui sont répartis dans 5 strophes.