Poème:L’échec De Ma Vie
Le Poème
Assise sous la pluie, je vois s’envoler toutes les illusions des branches
Elles glissent en me laissant un triste goût de ruine sur la pointe de la bouche
Le ciel est devenu gris comme mes yeux ont de la peine sans mes rêves ensoleillés
Je ne ressens que les gouttes froides s’écrasaient sur mon corps et ce néant ressemble à l’éternité
Le vent m’emporte parmi ses sombres pensées de mort, d’abandon et de dernier vœu
Mais ou sont passé mes beaux amis ? Ou sont passé mes envies ? Où sont-ils tous passés ?
Il n’y a plus rien, je suis seule à attendre qu’il arrive entre la brume, qu’il descende des cieux
Qu’il me tend la main et m’amène loin devant, au dessus des nuages pour confesser à jamais
Sans aucun geste, la chaise seule est tombée violemment à terre en faisant une fissure
Mes pieds se débattent et mes mains veulent te serrer encore plus fort mais il est déjà trop tard
J’aperçois mes souvenirs, mes espoirs et mes étincelles s’éteindrent lentement dans la mare
S’échappent dans un parfum funeste toutes les petites choses que j’avais construites entre des murs
Moi qui avant rêver tant d’un avenir, pas parfait mais juste d’une petit chez soi
J’ai finis dans la fumée, les insomnies, les drogues et ces moments là c’était la dernière fois
Même en espérant fort, j’ai doucement abandonné sans m’en rendre compte, je me suis laissé
Ce soir je nage dans une odeur de sang ; ce soir j’apprécie ma mort ; ce soir ma vie est scellée.
Elles glissent en me laissant un triste goût de ruine sur la pointe de la bouche
Le ciel est devenu gris comme mes yeux ont de la peine sans mes rêves ensoleillés
Je ne ressens que les gouttes froides s’écrasaient sur mon corps et ce néant ressemble à l’éternité
Le vent m’emporte parmi ses sombres pensées de mort, d’abandon et de dernier vœu
Mais ou sont passé mes beaux amis ? Ou sont passé mes envies ? Où sont-ils tous passés ?
Il n’y a plus rien, je suis seule à attendre qu’il arrive entre la brume, qu’il descende des cieux
Qu’il me tend la main et m’amène loin devant, au dessus des nuages pour confesser à jamais
Sans aucun geste, la chaise seule est tombée violemment à terre en faisant une fissure
Mes pieds se débattent et mes mains veulent te serrer encore plus fort mais il est déjà trop tard
J’aperçois mes souvenirs, mes espoirs et mes étincelles s’éteindrent lentement dans la mare
S’échappent dans un parfum funeste toutes les petites choses que j’avais construites entre des murs
Moi qui avant rêver tant d’un avenir, pas parfait mais juste d’une petit chez soi
J’ai finis dans la fumée, les insomnies, les drogues et ces moments là c’était la dernière fois
Même en espérant fort, j’ai doucement abandonné sans m’en rendre compte, je me suis laissé
Ce soir je nage dans une odeur de sang ; ce soir j’apprécie ma mort ; ce soir ma vie est scellée.
PostScriptum
C’est vrai qu’il est dur de se relever quand on nous coupe nos rêves,
Mais c’est encore plus dur quand c’est nous même qui nous coupons nous rêves…
Poète Painoir
Painoir a publié sur le site 875 écrits. Painoir est membre du site depuis l'année 2005.Lire le profil du poète PainoirSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: L’échec De Ma Vie
as=si=se=sous=la=pluie=je=vois=sen=vo=ler=tou=tes=les=il=lu=si=ons=des=bran=ches 21el=les=glis=sent=en=me=lais=sant=un=tris=te=goût=de=rui=ne=sur=la=poin=te=de=la=bou=che 23
le=ciel=est=de=ve=nu=gris=com=me=mes=y=eux=ont=de=la=pei=ne=sans=mes=rê=ves=en=so=leil=lés 25
je=ne=res=sens=que=les=gout=tes=froides=sé=cra=saient=sur=mon=corps=et=ce=né=ant=res=sem=bleà=lé=ter=ni=té 26
le=vent=mem=por=te=par=mi=ses=som=bres=pen=sées=de=mort=da=ban=don=et=de=der=ni=er=vœu 23
mais=ou=sont=pas=sé=mes=beaux=a=mis=ou=sont=pas=sé=mes=en=vies=où=sont=tils=tous=pas=sés 22
il=ny=a=plus=rien=je=suis=seuleà=at=ten=dre=quil=ar=ri=ve=en=tre=la=bru=me=quil=des=cen=de=des=cieux 26
quil=me=tend=la=main=et=ma=mè=ne=loin=de=vant=au=des=sus=des=nu=a=ges=pour=con=fes=ser=à=ja=mais 26
sans=au=cun=ges=te=la=chai=se=seu=le=est=tom=bée=vio=lem=ment=à=ter=re=en=fai=sant=u=ne=fis=sure 26
mes=pieds=se=dé=bat=tent=et=mes=mains=veu=lent=te=ser=rer=en=co=re=plus=fort=mais=il=est=dé=jà=trop=tard 26
ja=per=çois=mes=sou=ve=nirs=mes=es=poirs=et=mes=é=tin=cel=les=sé=tein=drent=len=te=ment=dans=la=ma=re 26
sé=chap=pent=dans=un=par=fum=funes=te=tou=tes=les=pe=ti=tes=cho=ses=que=ja=vais=cons=trui=tes=en=tre=des=murs 27
moi=qui=a=vant=rê=ver=tant=dun=a=ve=nir=pas=par=fait=mais=jus=te=du=ne=pe=tit=chez=soi 23
jai=fi=nis=dans=la=fu=mée=les=in=som=nies=les=dro=gues=et=ces=mo=ments=là=cé=tait=la=der=niè=re=fois 26
mê=me=en=es=pé=rant=fort=jai=dou=ce=ment=a=ban=don=né=sans=men=ren=dre=comp=te=je=me=suis=lais=sé 26
ce=soir=je=nage=dans=u=ne=o=deur=de=sang=ce=soir=jap=pré=cie=ma=mort=ce=soir=ma=vie=est=s=cel=lée 26
Phonétique : L’échec De Ma Vie
asizə su la plɥi, ʒə vwa sɑ̃vɔle tutə lεz- ilyzjɔ̃ dε bʁɑ̃ʃəεllə ɡlise ɑ̃ mə lεsɑ̃ œ̃ tʁistə ɡu də ʁɥinə syʁ la pwɛ̃tə də la buʃə
lə sjεl ε dəvəny ɡʁi kɔmə mεz- iøz- ɔ̃ də la pεnə sɑ̃ mε ʁεvəz- ɑ̃sɔlεje
ʒə nə ʁəsɛ̃ kə lε ɡutə fʁwadə sekʁazε syʁ mɔ̃ kɔʁz- e sə neɑ̃ ʁəsɑ̃blə a letεʁnite
lə vɑ̃ mɑ̃pɔʁtə paʁmi sε sɔ̃bʁə- pɑ̃se də mɔʁ, dabɑ̃dɔ̃ e də dεʁnje vey
mεz- u sɔ̃ pase mε boz- ami ? u sɔ̃ pase mεz- ɑ̃vi ? u sɔ̃ til tus pase ?
il ni a plys ʁjɛ̃, ʒə sɥi sələ a atɑ̃dʁə kil aʁivə ɑ̃tʁə la bʁymə, kil desɑ̃də dε sjø
kil mə tɑ̃ la mɛ̃ e mamεnə lwɛ̃ dəvɑ̃, o dəsy dε nɥaʒə puʁ kɔ̃fese a ʒamε
sɑ̃z- okœ̃ ʒεstə, la ʃεzə sələ ε tɔ̃be vjɔlamɑ̃ a teʁə ɑ̃ fəzɑ̃ ynə fisyʁə
mε pje sə debate e mε mɛ̃ vəle tə seʁe ɑ̃kɔʁə plys fɔʁ mεz- il ε deʒa tʁo taʁ
ʒapεʁswa mε suvəniʁ, mεz- εspwaʁz- e mεz- etɛ̃sεllə setɛ̃dʁe lɑ̃təmɑ̃ dɑ̃ la maʁə
seʃape dɑ̃z- œ̃ paʁfœ̃ fynεstə tutə lε pətitə ʃozə kə ʒavε kɔ̃stʁɥitəz- ɑ̃tʁə dε myʁ
mwa ki avɑ̃ ʁεve tɑ̃ dœ̃n- avəniʁ, pa paʁfε mε ʒystə dynə pəti ʃe swa
ʒε fini dɑ̃ la fyme, lεz- ɛ̃sɔmni, lε dʁɔɡz- e sε mɔmɑ̃ la setε la dεʁnjεʁə fwa
mεmə ɑ̃n- εspeʁɑ̃ fɔʁ, ʒε dusəmɑ̃ abɑ̃dɔne sɑ̃ mɑ̃ ʁɑ̃dʁə kɔ̃tə, ʒə mə sɥi lεse
sə swaʁ ʒə naʒə dɑ̃z- ynə ɔdœʁ də sɑ̃, sə swaʁ ʒapʁesi ma mɔʁ, sə swaʁ ma vi ε sεlle.
Syllabes Phonétique : L’échec De Ma Vie
a=si=zə=su=la=plɥi=ʒə=vwa=sɑ̃=vɔ=le=tu=tə=lε=zi=ly=zj=ɔ̃=dε=bʁɑ̃=ʃə 21εl=lə=ɡli=se=ɑ̃=mə=lε=sɑ̃=œ̃=tʁis=tə=ɡu=də=ʁɥi=nə=syʁ=la=pwɛ̃=tə=də=la=bu=ʃə 23
lə=sjεl=ε=də=və=ny=ɡʁi=kɔ=mə=mε=zi=ø=zɔ̃=də=la=pε=nə=sɑ̃=mε=ʁε=və=zɑ̃=sɔ=lε=j=e 26
ʒə=nəʁə=sɛ̃kə=lε=ɡu=tə=fʁwa=də=se=kʁa=zε=syʁ=mɔ̃=kɔʁ=ze=sə=ne=ɑ̃=ʁə=sɑ̃=blə=a=le=tεʁ=ni=te 26
lə=vɑ̃=mɑ̃=pɔʁ=tə=paʁ=mi=sε=sɔ̃=bʁə=pɑ̃=se=də=mɔʁ=da=bɑ̃=dɔ̃=e=də=dεʁ=nj=e=ve=y 24
mε=zu=sɔ̃=pa=se=mε=bo=za=mi=u=sɔ̃=pa=se=mε=zɑ̃=vi=u=sɔ̃=til=tus=pa=se 22
il=ni=a=plys=ʁjɛ̃=ʒə=sɥisə=ləa=a=tɑ̃=dʁə=kil=a=ʁi=və=ɑ̃=tʁə=la=bʁy=mə=kil=de=sɑ̃=də=dε=sjø 26
kil=mə=tɑ̃=la=mɛ̃=e=ma=mε=nə=lwɛ̃=də=vɑ̃=o=də=sy=dε=nɥ=a=ʒə=puʁ=kɔ̃=fe=se=a=ʒa=mε 26
sɑ̃=zo=kœ̃=ʒεs=tə=la=ʃε=zə=sə=lə=ε=tɔ̃=be=vjɔ=la=mɑ̃=a=te=ʁə=ɑ̃=fə=zɑ̃=y=nə=fi=syʁə 26
mε=pje=sə=de=ba=te=e=mε=mɛ̃=və=le=tə=se=ʁe=ɑ̃=kɔ=ʁə=plys=fɔʁ=mε=zil=ε=de=ʒa=tʁo=taʁ 26
ʒa=pεʁ=swa=mε=su=və=niʁ=mε=zεs=pwaʁ=ze=mε=ze=tɛ̃=sεl=lə=se=tɛ̃=dʁe=lɑ̃=tə=mɑ̃=dɑ̃=la=ma=ʁə 26
se=ʃa=pe=dɑ̃=zœ̃=paʁ=fœ̃=fy=nεstə=tu=tə=lε=pə=ti=tə=ʃo=zə=kə=ʒa=vε=kɔ̃s=tʁɥi=tə=zɑ̃=tʁə=dε=myʁ 27
mwa=ki=a=vɑ̃=ʁε=ve=tɑ̃=dœ̃=na=və=niʁ=pa=paʁ=fε=mε=ʒys=tə=dy=nə=pə=ti=ʃe=swa 23
ʒε=fi=ni=dɑ̃=la=fy=me=lε=zɛ̃=sɔm=ni=lε=dʁɔɡ=ze=sε=mɔ=mɑ̃=la=se=tε=la=dεʁ=nj=ε=ʁə=fwa 26
mε=mə=ɑ̃=nεs=pe=ʁɑ̃=fɔʁ=ʒε=du=sə=mɑ̃=a=bɑ̃=dɔ=ne=sɑ̃=mɑ̃=ʁɑ̃=dʁə=kɔ̃=tə=ʒə=mə=sɥi=lε=se 26
sə=swaʁ=ʒə=na=ʒə=dɑ̃=zy=nə=ɔ=dœʁ=də=sɑ̃=sə=swaʁ=ʒa=pʁe=si=ma=mɔʁ=sə=swaʁ=ma=vi=ε=sεl=le 26
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
27/07/2006 17:32(F)Fleurlune Mimi(F)
on se puni d’être malheureux. . .
(k)(k) la vie reste toujours longue devant nous pour nous donner une autre chance de bonheur. . . 
27/07/2006 18:19Black $Hadow
Les amis sont partout, appelle les et tu trouveras leurs mains tendues à toi, crois moi 
Joli écrit
27/07/2006 20:49Evangelista
. . . Sincérement ton j’ai ressentis beaucoup de peines en lisant ton poème, ça dois être une grande douleur à vivre, mais garde courage, ton avenir est meilleur et t’attends des jours de bonheur.
Très bel écrit, Amicalement.
28/07/2006 22:01Cindy Limpens
"On RêVe D’uN IdEaL, On Le PRie, On L’aPpeLLe, On Le GuEttE,
Et PuiS Le JoUr Où Il Se DessInE, On DéCoUvRe La PeuR De Le ViVrE,
CeLLe De Ne PaS EtrE A La HaUtEuR De SeS PrOpRes RêVeS,
CeLLe EnCoRe De Les MaRieR A UnE RéAliTé DoNt On DeVienT ReSpoNsaBle. "
(M. Lévy)
Il n’est pas trop tard pour courir apres ce rêve que tu laisse échapper de tes mains. . . Ne renonce jamais, Pai. ca peut paraitre c*n, parce qu’on ne se connait pas, mais je crois en toi. . . Et, je sais que tu trouveras la force de réaliser tes rêves.
Au Plaisir, Mamz’elle Pai(F)
Poème - Sans Thème -
Du 27/07/2006 14:38
L'écrit contient 278 mots qui sont répartis dans 4 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.