Poème:Ton Absence M’a Tué.

J’essaie de le cacher devant vous.

Pour éviter les questions auxquelles je n’ai de réponses.

Tout ces pourquoi qui me poussent à bout.

Pour ne pas m’avouer ce que de moi j’ai d’ignorances.

Je ne veux plus savoir le pourquoi,

Tu m’as laissé alors que j’avais confiance en toi.

Mes larmes ne sèchent pas,

Je me brise petit à petit et je regrette ça.

J’avançais sûre de moi parce que tu étais là,

Ta présence me procurait courage et sécurité.

Aurais-je toujours l’envie d’entamer des pas ?

J’avais une raison et je n’ai plus la volonté.

Au dessus de ce trou, je pleure, habillée de noir,

Me laissant bercer par la chute de toutes ses roses.

La pluie saccage mon corps triste comme ton absence,

Pourrais-je encore t’entendre et te sentir ce soir ?

Ce jour là tu es partis en fuyant mes regards

Je t’ai laissé passer, indifférente… sans pour autant te regarder

Tu t’éloignais, je pleure toujours… mais t’ai-je permis ce départ ?

Pourquoi tu n’a fais que ce que tu voulais sans de moi te soucier…

Chaque instant est maintenant plus dur, est-ce vraiment réel

Que tu reviennes doucement dans mes bras comme avant ?

Je ne peux effacer ces derniers moments, ces merveilles,

Ton sourire, cet éclat dans tes yeux… Tout simplement mes sentiments.

La lame dans la main, la plaie dans le cœur qui se déchire.

Je ne supporte plus ton absence ni nos si beaux souvenirs,

Je veux les effacer, les gommer et t’oublier éternellement

Puissent mes sentiments s’en aller avec ce sang…

Cachée dans les toilettes, je reste en larme,

En sanglots, pour snifer ma cam et affronter

Cette réalité qui ne fait plus de moi une femme

Je n’ai plus aucune raison de choisir une destinée.

Je croyais être tout pour toi et je ne suis rien,

J’avais tellement confiance et tu m’as déçu,

Je ne trouve plus le chemin, je passe par l’issue.

La seule qui me reste, parce que je ne peux vivre sans toi…
Je ne peux que me mentir chaque jour,

Me dire que tu seras toujours là mon amour.

Mais le temps devient lourd et sonne ma fin

Comme le bruit des tambours, je n’ai plus faim.