Poème:Oublier

Un matin si bien commencé,
Tu m’a appelé,
Pour me dire que tu avait realisé
Que tu ne m’aimais plus du tout
Et que tout etait fini entre nous.
Bizarrement, deux jours avant
Tu me disait que tu m’aimais tel que j’étais.
Mes pensées étaient alors errantes…
« Comment des sentiments
Pouvaient changer en si peu de temps » ?
Je ne comprenais pas.
« Pourquoi cela m’arrivais à moi » ?
Cette nouvelle me tromatisa.
Moi qui t’aimais,
Plus que tu ne l’imaginais.
Mon cœur en faillite était entaillé
Laissant des larmes s’échapper
Et couler le long de mon nez.
Je me demandais ce que j’allais devenir,
Et si j’allais pouvoir survivre
À une telle blessure.
J’étais au bord de l’abime,
Je croyais que personne ne pourrait m’aider,
Mais l’amitié est arrivé pour me sauver
Et essayé de me faire oublier.
J’ai alors du arracher,
L’amour sacré que j’avais encré,
Dans un cœur maintenant déboussolé.
Mais le reste de mal qu’on ne peut se débarrasser,
Quand on a vraiment aimé
Celui qui reste cimenté dans un coin, caché
Pendant des mois et parfois des années
Avant d’arriver à le chasser !
Resurgit
Quand je te vois,
Ou quand je pense à toi !
Ne voyons pas que le mauvais coté des choses,
Tu m’a fait connaitre la vie en rose,
Tu a su conquérir mon cœur,
Et m’apporter du bonheur.
J’ai vécu de fabuleux moments à tes cotés,
Que je n’oublirais jamais !