Poème:D’oeil À Oeil

La flamme de guerre,
S’est apposée sur ma route,
J’arpente à couvert,
M’emmelant sur les doutes,
L’hésitation, le cœur en avant,
Sans masque, ni gant,

Aux chemins que je croise,
De nombreux engrenages,
Mais toujours sans rage,
J’effleure ses mots, limitant l’approche,
L’implication à y croire, je déboise,
Et toise, les clartés véritables du coche,

La flamme de guerre,
M’emmène au contoire,
De coups d’épée, je creuse pour voir,
Mais de véracité, j’en sent l’illusoire,
Pas en entié, de partie seulement,
Alors je suis condamnée au temps,

Qu’importe le chemin que je prendrais,
Je ne trouvais la vérité,
On est ce que l’on est,
Je suis condamnée, meurtrie du passé,
A n’être qu’une déscendante enlisée,
Dans l’incertitude, à accepter, ce que j’ignore,

En ce champs de bataille, mes cries se cacheront,
Et je ne sais, si neutralisés, ils demeureront,
J’ai toutefois fait un pas,
Que je ne regretterais sûrement pas,
Mon âme saigne encore et toujours,
De touS ce que je n’ai pas eu depuis toujours,

Mais la flamme de guerre s’est apposée,
D’oeil à oeil, un regard en arrière,
J’ai arpentée le mystère du passé,
L’hésitation, le cœur en avant,
Au bord des larmes, j’ai ouvert,
A demie la boite cachée si longtemps.

Copyright PCP7 2006