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Poème:Enfer Et Damnation (Vii)

Le Poème

Mes chers destinables,
J’aurais bien voulu me taire, mais il se trouve que je ne l’ai pas pu. Certains pour ne pas dire la majorité d’entre vous, pensent ou ont une petite idée néanmoins, de ce qu’est l’Enfer, Ô misérables ! Vous n’y saurez penser ! Vous croyez que l’Enfer est fait de châteaux de flammes ? où des prisonniers se font prendre artificiellement par derrière, par de petites fées luminescentes et tenants, volantes des torches vagabondes ? Vous croyez qu’avant les supplices il se passe bien des tortures ? et qu’ainsi, allant crechendo, un programme détaillant cela est présenté aux nouveaux venus ? dont il est exigé une signature, transmise aux hauteurs par de mignons petits chérubins, aussi vicelards que l’absence de vice ? Vous croyez que tout n’est que coups et graves écorchures ? brûlures et remuages de cellules mortes gorgées de plasma et de sang ? membres écartelés et introductions diverses ? Croyez-vous que cet endroit est le plus vastement sordide des bordels ? et que les actifs en jouissent tellement ! qu’ils bandent et mouillent ! mêlants aux cris de terreur l’écume, du voyage de leurs bielles ? comme le sel de la sueur peigne l’air des mines de charbon ? comme les bulles de la lame qui triomphent sans prestige sur la terre ?
J’habite ma maison. Confort modeste mais pas rudimentaire. Je me lève le matin, ou le soir, ou alors entre les deux. Je me couche pareillement. Mes dîners sont faits de choses simples, mais nutritives et non point nourrissantes. Mes sorties sont rares, mais j’apprécie toujours d’aller dehors quand j’y vais. Mes relations avec les autres sont bancales. Ceux que je cotoie sont des gens simples, ordinaires. Ils vivent par expérience et par matérialisme. En général leurs opinions ne sont pas constructives ; au mieux cela leur permet davantage d’expérience ou de matériel, et au pire ils y trouvent de la déception, vantant alors les mérites de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, martelant ces choses charmantes à eux-mêmes et aux autres, comme une comptable tokyoite, toujours ravie après avoir passé la cinquantième facture du matin.
Peu à peu, il me vint des sortes de visions, présentes mais intemporelles car éternelles. Imaginez une plaine, une plaine immense. Imaginez que cette plaine est ravissante, ensoleillée, fleurie, printanière. Chaque fleur, chaque arbre, chaque centimètre cube d’air est emplein d’une odeur paradisiaque. Imaginez des hommes, ils ne sont pas nombreux mais ils trouvent tous cela digne de l’enchantement. Des enfants naissent. Ils s’étonnent puis grandissent. D’autres enfants naissent, ils grandissent aussi, et progressivement ils apportent avec eux des idées pour s’amuser. L’air dans la plaine est euphorisant. Les adultes baisent et prennent en s’éprenant entre eux. On dénombre quelques milliers de cahutes. Les enfants rigolent, jouent à se chatouiller, à se poursuivre. Avec le temps les hommes s’étendent. Ils sont de plus en plus nombreux, et explorent la plaine de plus en plus. Mais un jour, un homme vit une chose étrange et lointaine. Il ne sut pas ce que c’était, mais cela attisa sa curiosité, car enfin si ce que les hommes vivaient était merveilleux, ce qu’ils pourraient vivre encore le serait autant voire peut être plus. La rumeur se propagea à travers la plaine. De partout les hommes voulaient savoir quelle était cette chose étrange. Et puis un beau matin, un homme sut et il se donna la mort. Les hommes qui étaient derrière lui se rapprochèrent, pour voir ce qu’il était arrivé. Puis, en voyant l’homme inanimé devant cette chose étrange et fixe, ils se mirent à fuir en courant. De nouveau, la rumeur se propagea que le mystère de leur quête pouvait tuer. Personne ne savait réellement ce qui pouvait tuer, mais plus personne n’osa explorer la plaine.
Les hommes vécurent alors dans l’inquiétude, et leur bonheur devint désormais à l’image de ce que plus personne n’osait découvrir. Ils se mirent alors à vivoter connement au centre de la plaine, car le seul homme intelligent était mort depuis bien longtemps.
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Poeme de Pendantce

Poète Pendantce

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Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Enfer Et Damnation (Vii)mes=chers=des=ti=na=bles 6
jau=rais=bien=vou=lu=me=taire=mais=il=se=trou=ve=que=je=ne=lai=pas=pu=cer=tains=pour=ne=pas=di=re=la=ma=jo=ri=té=den=tre=vous=pen=sent=ou=ont=u=ne=pe=ti=te=i=dée=né=an=moins=de=ce=quest=len=fer=ô=mi=sé=ra=bles=vous=ny=sau=rez=pen=ser=vous=croyez=que=len=fer=est=fait=de=châ=teaux=de=flam=mes=où=des=pri=son=niers=se=font=pren=drear=ti=fi=ciel=le=ment=par=der=riè=re=par=de=pe=ti=tes=fées=lu=mi=nes=cen=tes=et=te=nants=vo=lan=tes=des=tor=ches=va=ga=bon=des=vous=croyez=qua=vant=les=sup=pli=ces=il=se=pas=se=bien=des=tor=tu=res=et=quain=si=al=lant=cre=chen=do=un=pro=gram=me=dé=taillant=ce=la=est=pré=sen=té=aux=nou=veaux=ve=nus=dont=il=est=exi=gé=u=ne=si=gna=tu=re=trans=mi=se=aux=hau=teurs=par=de=mi=gnons=pe=tits=ché=ru=bins=aus=si=vi=ce=lards=que=lab=sen=ce=de=vi=ce=vous=croyez=que=tout=nest=que=coups=et=gra=ves=é=cor=chu=res=brû=lu=res=et=re=mua=ges=de=cel=lu=les=mor=tes=gor=gées=de=plas=ma=et=de=sang=mem=bres=é=car=te=lés=et=in=tro=duc=tions=di=ver=ses=croyez=vous=que=cet=en=droit=est=le=plus=vas=te=ment=sor=di=de=des=bor=dels=et=que=les=ac=tifs=en=jouis=sent=tel=le=ment=quils=ban=dent=et=mouillent=mê=lants=aux=cris=de=ter=reur=lé=cu=me=du=voya=ge=de=leurs=biel=les=com=me=le=sel=de=la=sueur=pei=gne=lair=des=mi=nes=de=char=bon=com=me=les=bul=les=de=la=la=me=qui=triom=phent=sans=pres=ti=ge=sur=la=terre 333
jha=bite=ma=mai=son=confort=mo=des=te=mais=pas=ru=di=men=taire=je=me=lè=ve=le=ma=tin=ou=le=soir=ou=a=lors=en=tre=les=deux=je=me=cou=che=pa=rei=lle=ment=mes=dî=ners=sont=faits=de=cho=ses=sim=ples=mais=nu=tri=ti=ves=et=non=point=nour=ris=santes=mes=sor=ties=sont=ra=res=mais=jap=pré=cie=tou=jours=dal=ler=dehors=quand=jy=vais=mes=re=la=tions=a=vec=les=au=tres=sont=ban=cales=ceux=que=je=co=toie=sont=des=gens=sim=ples=or=di=naires=ils=vi=vent=par=ex=pé=rien=ceet=par=ma=té=ria=lisme=en=gé=né=ral=leurs=o=pi=nions=ne=sont=pas=cons=truc=ti=ves=au=mieux=ce=la=leur=per=met=da=van=ta=ge=dex=pé=rien=ce=ou=de=ma=té=riel=et=au=pi=re=ils=y=trou=vent=de=la=dé=cep=tion=van=tant=a=lors=les=mé=ri=tes=de=la=li=ber=té=de=lé=ga=li=té=et=de=la=fra=ter=ni=té=mar=te=lant=ces=cho=ses=char=man=tes=à=eux=mê=mes=et=aux=au=tres=com=me=u=ne=comp=ta=ble=to=kyoi=te=tou=jours=ra=vie=a=près=a=voir=pas=sé=la=cin=quan=tiè=me=fac=tu=re=du=ma=tin 238
peu=à=peu=il=me=vint=des=sortes=de=vi=sions=pré=sen=tes=mais=in=tem=po=rel=les=car=é=ter=nelles=ima=gi=nez=u=ne=plai=ne=u=ne=plai=neim=mense=ima=gi=nez=que=cet=te=plai=ne=est=ra=vis=san=te=en=so=leillée=fleu=rie=prin=ta=nière=cha=que=fleur=cha=que=ar=bre=cha=que=cen=ti=mè=tre=cu=be=dair=est=em=plein=du=ne=o=deur=pa=ra=di=siaque=ima=gi=nez=des=hom=mes=ils=ne=sont=pas=nom=breux=mais=ils=trou=vent=tous=ce=la=di=gne=de=len=chan=te=ment=des=en=fants=naissent=ils=sé=ton=nent=puis=gran=dissent=dau=tres=en=fants=nais=sent=ils=gran=dis=sent=aus=si=et=pro=gres=si=ve=ment=ils=ap=por=tent=a=vec=eux=des=i=dées=pour=sa=mu=ser=lair=dans=la=plai=ne=est=eu=pho=ri=sant=les=a=dul=tes=bai=sent=et=pren=nent=en=sé=pre=nant=en=tre=eux=on=dé=nom=bre=quel=ques=milliers=de=ca=hutes=les=en=fants=ri=go=lent=jouent=à=se=cha=touiller=à=se=pour=suivre=avec=le=temps=les=hom=mes=sé=tendent=ils=sont=de=plus=en=plus=nom=breux=et=ex=plo=rent=la=plai=ne=de=plus=en=plus=mais=un=jour=un=hom=me=vit=u=ne=cho=se=é=tran=ge=et=loin=taine=il=ne=sut=pas=ce=que=cé=tait=mais=ce=la=at=ti=sa=sa=cu=rio=si=té=car=en=fin=si=ce=que=les=hom=mes=vi=vaient=é=tait=mer=veil=leux=ce=quils=pour=raient=vi=vre=en=co=re=le=se=rait=au=tant=voi=re=peut=ê=tre=plus=la=ru=meur=se=pro=pa=gea=à=tra=vers=la=plaine=de=par=tout=les=hom=mes=vou=laient=sa=voir=quel=le=é=tait=cet=te=cho=se=é=trange=et=puis=un=beau=ma=tin=un=hom=me=sut=et=il=se=don=na=la=mort=les=hom=mes=qui=é=taient=der=riè=re=lui=se=rap=pro=chè=rent=pour=voir=ce=quil=é=tait=ar=ri=vé=puis=en=voyant=lhom=me=i=na=ni=mé=de=vant=cet=te=cho=se=é=tran=ge=et=fixe=ils=se=mi=rent=à=fu=ir=en=cou=rant=de=nou=veau=la=ru=meur=se=pro=pa=gea=que=le=mys=tè=re=de=leur=quê=te=pou=vait=tuer=per=son=ne=ne=sa=vait=réel=le=ment=ce=qui=pou=vait=tuer=mais=plus=per=son=ne=no=sa=ex=plo=rer=la=plaine 454
les=hommes=vé=cu=rent=a=lors=dans=lin=quié=tu=de=et=leur=bon=heur=de=vint=dé=sor=mais=à=li=ma=ge=de=ce=que=plus=per=son=ne=no=sait=dé=cou=vrir=ils=se=mi=rent=a=lors=à=vi=vo=ter=con=ne=ment=au=cen=tre=de=la=plai=ne=car=le=seul=hom=mein=tel=li=gent=é=tait=mort=de=puis=bien=long=temps 73
Phonétique : Enfer Et Damnation (Vii)mε ʃεʁ dεstinablə,
ʒoʁε bjɛ̃ vuly mə tεʁə, mεz- il sə tʁuvə kə ʒə nə lε pa py. sεʁtɛ̃ puʁ nə pa diʁə la maʒɔʁite dɑ̃tʁə vu, pɑ̃se u ɔ̃ ynə pətitə ide neɑ̃mwɛ̃, də sə kε lɑ̃fe, o mizeʁablə ! vu ni soʁe pɑ̃se ! vu kʁwaje kə lɑ̃fe ε fε də ʃato də flamə ? u dε pʁizɔnje sə fɔ̃ pʁɑ̃dʁə aʁtifisjεllmɑ̃ paʁ dəʁjεʁə, paʁ də pətitə fe lyminesɑ̃təz- e tənɑ̃, vɔlɑ̃tə dε tɔʁʃə vaɡabɔ̃də ? vu kʁwaje kavɑ̃ lε syplisəz- il sə pasə bjɛ̃ dε tɔʁtyʁə ? e kɛ̃si, alɑ̃ kʁεʃɑ̃do, œ̃ pʁɔɡʁamə detajɑ̃ səla ε pʁezɑ̃te o nuvo vənys ? dɔ̃ il εt- εɡziʒe ynə siɲatyʁə, tʁɑ̃smizə o-otœʁ paʁ də miɲɔ̃ pəti ʃeʁybɛ̃, osi visəlaʁd kə labsɑ̃sə də visə ? vu kʁwaje kə tu nε kə kuz- e ɡʁavəz- ekɔʁʃyʁə ? bʁylyʁəz- e ʁəmɥaʒə də sεllylə mɔʁtə- ɡɔʁʒe də plasma e də sɑ̃ ? mɑ̃bʁəz- ekaʁtəlez- e ɛ̃tʁɔdyksjɔ̃ divεʁsə ? kʁwaje vu kə sεt ɑ̃dʁwa ε lə plys vastəmɑ̃ sɔʁdidə dε bɔʁdεl ? e kə lεz- aktifz- ɑ̃ ʒuise tεllmɑ̃ ! kil bɑ̃de e muje ! mεlɑ̃z- o kʁi də teʁœʁ lekymə, dy vwajaʒə də lœʁ bjεllə ? kɔmə lə sεl də la sɥœʁ pεɲə lεʁ dε minə də ʃaʁbɔ̃ ? kɔmə lε bylə də la lamə ki tʁjɔ̃fe sɑ̃ pʁεstiʒə syʁ la teʁə ?
ʒabitə ma mεzɔ̃. kɔ̃fɔʁ mɔdεstə mε pa ʁydimɑ̃tεʁə. ʒə mə lεvə lə matɛ̃, u lə swaʁ, u alɔʁz- ɑ̃tʁə lε dø. ʒə mə kuʃə paʁεjmɑ̃. mε dine sɔ̃ fε də ʃozə sɛ̃plə, mε nytʁitivəz- e nɔ̃ pwɛ̃ nuʁʁisɑ̃tə. mε sɔʁti sɔ̃ ʁaʁə, mε ʒapʁesi tuʒuʁ dale dəɔʁ kɑ̃ ʒi vε. mε ʁəlasjɔ̃z- avεk lεz- otʁə- sɔ̃ bɑ̃kalə. sø kə ʒə kɔtwa sɔ̃ dε ʒɑ̃ sɛ̃plə, ɔʁdinεʁə. il vive paʁ εkspeʁjɑ̃sə e paʁ mateʁjalismə. ɑ̃ ʒeneʁal lœʁz- ɔpinjɔ̃ nə sɔ̃ pa kɔ̃stʁyktivə, o mjø səla lœʁ pεʁmε davɑ̃taʒə dεkspeʁjɑ̃sə u də mateʁjεl, e o piʁə ilz- i tʁuve də la desεpsjɔ̃, vɑ̃tɑ̃ alɔʁ lε meʁitə də la libεʁte, də leɡalite e də la fʁatεʁnite, maʁtəlɑ̃ sε ʃozə ʃaʁmɑ̃təz- a ø mεməz- e oz- otʁə, kɔmə ynə kɔ̃tablə tɔkiwatə, tuʒuʁ ʁavi apʁεz- avwaʁ pase la sɛ̃kɑ̃tjεmə faktyʁə dy matɛ̃.
pø a pø, il mə vɛ̃ dε sɔʁtə- də vizjɔ̃, pʁezɑ̃tə mεz- ɛ̃tɑ̃pɔʁεllə kaʁ etεʁnεllə. imaʒinez- ynə plεnə, ynə plεnə imɑ̃sə. imaʒine kə sεtə plεnə ε ʁavisɑ̃tə, ɑ̃sɔlεje, fləʁi, pʁɛ̃tanjεʁə. ʃakə flœʁ, ʃakə aʁbʁə, ʃakə sɑ̃timεtʁə kybə dεʁ εt- ɑ̃plɛ̃ dynə ɔdœʁ paʁadizjakə. imaʒine dεz- ɔmə, il nə sɔ̃ pa nɔ̃bʁø mεz- il tʁuve tus səla diɲə də lɑ̃ʃɑ̃təmɑ̃. dεz- ɑ̃fɑ̃ nεse. il setɔne pɥi ɡʁɑ̃dise. dotʁəz- ɑ̃fɑ̃ nεse, il ɡʁɑ̃dise osi, e pʁɔɡʁesivəmɑ̃ ilz- apɔʁte avεk ø dεz- ide puʁ samyze. lεʁ dɑ̃ la plεnə εt- əfɔʁizɑ̃. lεz- adyltə bεze e pʁεne ɑ̃ sepʁənɑ̃ ɑ̃tʁə ø. ɔ̃ denɔ̃bʁə kεlk milje də kaytə. lεz- ɑ̃fɑ̃ ʁiɡɔle, ʒue a sə ʃatuje, a sə puʁsɥivʁə. avεk lə tɑ̃ lεz- ɔmə setɑ̃de. il sɔ̃ də plysz- ɑ̃ plys nɔ̃bʁø, e εksplɔʁe la plεnə də plysz- ɑ̃ plys. mεz- œ̃ ʒuʁ, œ̃n- ɔmə vit ynə ʃozə etʁɑ̃ʒə e lwɛ̃tεnə. il nə syt pa sə kə setε, mε səla atiza sa kyʁjozite, kaʁ ɑ̃fɛ̃ si sə kə lεz- ɔmə vivε etε mεʁvεjø, sə kil puʁʁε vivʁə ɑ̃kɔʁə lə səʁε otɑ̃ vwaʁə pø εtʁə plys. la ʁymœʁ sə pʁɔpaʒa a tʁavεʁ la plεnə. də paʁtu lεz- ɔmə vulε savwaʁ kεllə etε sεtə ʃozə etʁɑ̃ʒə. e pɥiz- œ̃ bo matɛ̃, œ̃n- ɔmə syt e il sə dɔna la mɔʁ. lεz- ɔmə ki etε dəʁjεʁə lɥi sə ʁapʁoʃεʁe, puʁ vwaʁ sə kil etε aʁive. pɥi, ɑ̃ vwajɑ̃ lɔmə inanime dəvɑ̃ sεtə ʃozə etʁɑ̃ʒə e fiksə, il sə miʁe a fɥiʁ ɑ̃ kuʁɑ̃. də nuvo, la ʁymœʁ sə pʁɔpaʒa kə lə mistεʁə də lœʁ kεtə puvε tɥe. pεʁsɔnə nə savε ʁeεllmɑ̃ sə ki puvε tɥe, mε plys pεʁsɔnə noza εksplɔʁe la plεnə.
lεz- ɔmə vekyʁe alɔʁ dɑ̃ lɛ̃kjetydə, e lœʁ bɔnœʁ dəvɛ̃ dezɔʁmεz- a limaʒə də sə kə plys pεʁsɔnə nozε dekuvʁiʁ. il sə miʁe alɔʁz- a vivɔte kɔnəmɑ̃ o sɑ̃tʁə də la plεnə, kaʁ lə səl ɔmə ɛ̃tεlliʒe etε mɔʁ dəpɥi bjɛ̃ lɔ̃tɑ̃.
Syllabes Phonétique : Enfer Et Damnation (Vii)mε=ʃεʁ=dεs=ti=na=blə 6
ʒo=ʁε=bjɛ̃=vu=lymə=tε=ʁə=mε=zil=sə=tʁu=və=kə=ʒə=nə=lε=pa=py=sεʁ=tɛ̃=puʁ=nə=pa=di=ʁə=la=ma=ʒɔ=ʁi=te=dɑ̃=tʁə=vu=pɑ̃=se=u=ɔ̃=y=nə=pə=ti=tə=i=de=ne=ɑ̃=mwɛ̃=də=sə=kε=lɑ̃=fe=o=mi=ze=ʁa=blə=vu=ni=so=ʁe=pɑ̃=se=vu=kʁwa=je=kə=lɑ̃=fe=ε=fε=də=ʃa=to=də=fla=mə=u=dε=pʁi=zɔ=nje=sə=fɔ̃=pʁɑ̃=dʁəaʁ=ti=fi=sjεl=lmɑ̃=paʁ=də=ʁjε=ʁə=paʁ=də=pə=ti=tə=fe=ly=mi=ne=sɑ̃=tə=ze=tə=nɑ̃=vɔ=lɑ̃=tə=dε=tɔʁ=ʃə=va=ɡa=bɔ̃=də=vu=kʁwa=je=ka=vɑ̃=lε=sy=pli=sə=zil=sə=pa=sə=bjɛ̃=dε=tɔʁ=ty=ʁə=e=kɛ̃=si=a=lɑ̃=kʁε=ʃɑ̃=do=œ̃=pʁɔ=ɡʁa=mə=de=ta=jɑ̃=sə=la=ε=pʁe=zɑ̃=te=o=nu=vo=və=nys=dɔ̃=il=ε=tεɡ=zi=ʒe=y=nə=si=ɲa=ty=ʁə=tʁɑ̃s=mi=zə=o-o=tœʁ=paʁ=də=mi=ɲɔ̃=pə=ti=ʃe=ʁy=bɛ̃=o=si=vi=sə=laʁd=kə=lab=sɑ̃=sə=də=vi=sə=vu=kʁwa=je=kə=tu=nε=kə=ku=ze=ɡʁa=və=ze=kɔʁ=ʃy=ʁə=bʁy=ly=ʁə=ze=ʁəm=ɥa=ʒə=də=sεl=ly=lə=mɔʁ=tə=ɡɔʁ=ʒe=də=plas=ma=e=də=sɑ̃=mɑ̃=bʁə=ze=kaʁ=tə=le=ze=ɛ̃=tʁɔ=dyk=sjɔ̃=di=vεʁ=sə=kʁwa=je=vu=kə=sεt=ɑ̃=dʁwa=ε=lə=plys=vas=tə=mɑ̃=sɔʁ=di=də=dε=bɔʁ=dεl=e=kə=lε=zak=tif=zɑ̃=ʒui=se=tεl=lmɑ̃=kil=bɑ̃=de=e=mu=je=mε=lɑ̃=zo=kʁi=də=te=ʁœʁ=le=ky=mə=dy=vwa=ja=ʒə=də=lœʁ=bjεllə=kɔ=mə=lə=sεl=də=la=sɥœʁ=pε=ɲə=lεʁ=dε=mi=nə=də=ʃaʁ=bɔ̃=kɔ=mə=lε=by=lə=də=la=la=mə=ki=tʁjɔ̃=fe=sɑ̃=pʁεs=ti=ʒə=syʁ=la=te=ʁə 339
ʒa=bitə=ma=mε=zɔ̃=kɔ̃=fɔʁ=mɔ=dεs=tə=mε=pa=ʁy=di=mɑ̃=tε=ʁə=ʒə=mə=lε=və=lə=ma=tɛ̃=u=lə=swaʁ=u=a=lɔʁ=zɑ̃=tʁə=lε=dø=ʒə=mə=ku=ʃə=pa=ʁεj=mɑ̃=mε=di=ne=sɔ̃=fε=də=ʃo=zə=sɛ̃=plə=mε=ny=tʁi=ti=və=ze=nɔ̃=pwɛ̃=nuʁ=ʁi=sɑ̃=tə=mε=sɔʁ=ti=sɔ̃=ʁa=ʁə=mε=ʒa=pʁe=si=tu=ʒuʁ=da=le=dəɔʁ=kɑ̃=ʒi=vε=mε=ʁə=la=sjɔ̃=za=vεk=lε=zo=tʁə=sɔ̃=bɑ̃=ka=lə=sø=kə=ʒə=kɔ=twa=sɔ̃=dε=ʒɑ̃=sɛ̃=plə=ɔʁ=di=nε=ʁə=il=vi=ve=paʁ=εk=spe=ʁjɑ̃=sə=e=paʁ=ma=te=ʁja=lis=mə=ɑ̃=ʒe=ne=ʁal=lœʁ=zɔ=pi=njɔ̃=nə=sɔ̃=pa=kɔ̃s=tʁyk=ti=və=o=mjø=sə=la=lœʁ=pεʁ=mε=da=vɑ̃=ta=ʒə=dεk=spe=ʁjɑ̃=sə=u=də=ma=te=ʁjεl=e=o=pi=ʁə=il=zi=tʁu=ve=də=la=de=sεp=sjɔ̃=vɑ̃=tɑ̃=a=lɔʁ=lε=me=ʁi=tə=də=la=li=bεʁ=te=də=le=ɡa=li=te=e=də=la=fʁa=tεʁ=ni=te=maʁ=tə=lɑ̃=sε=ʃo=zə=ʃaʁ=mɑ̃=tə=za=ø=mε=mə=ze=o=zo=tʁə=kɔ=mə=y=nə=kɔ̃=ta=blə=tɔ=ki=wa=tə=tu=ʒuʁ=ʁa=vi=a=pʁε=za=vwaʁ=pa=se=la=sɛ̃=kɑ̃=tjε=mə=fak=ty=ʁə=dy=ma=tɛ̃ 245
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Poesie sans commentaire

Commentaire poème
18/04/2024Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 04/10/2012 09:19

L'écrit contient 693 mots qui sont répartis dans 1 strophes.