Univers de poésie d'un auteur

Prose:Une Rude Épreuve (Texte À Continuer À Votre Guise)

La Prose

Je m’appelle Fabien. J’ai bientôt 29 ans. J’habite près de Paris. Après une soirée arrosée chez Speed, les filles voulaient s’amuser. J’étais le seul homme de la bande. Et beaucoup d’entre-elles me plaisaient. On avait fait un deal. J’étais le seul homme, donc évidemment les yeux se tournèrent vers moi, lorsque la question fatale par la suite, fut posée : « Fabien, cher petit Fabien, tu es d’accord pour être tout à nous ce soir ? Tu serais prêt à réellement nous faire plaisir à toutes les quatre ? » Moi ayant toujours eu ce vieux phantasme d’être le coq de ces dames, je répondis « Oui, bien sûr, je vous aime toutes ». Sitôt dit sitôt fait. J’allais connaître par la suite le pire malheur pouvant s’abattre sur moi : «
_Tu es gentil Fabien, nous le savons, mais tu es un homme ici, donc tu devra te comporter en homme, c’est à dire encaisser sans rien dire. Tu es d’accord ? me demanda Speed.
J’ai un peu peur mais oui, je suis d’accord pour tout encaisser.
Même l’épreuve du feu, même l’arrachage de tes poils, même les pincements très fort ?
_ Euh… bah… peut être pas ça, mais le reste oui, répondis-je d’un air apeuré.
Très bien ! Nous sommes quatres filles, et nous avons un homme rien que pour nous ce soir. Tu es notre prisonnier à partir de maintenant. Toujours consentant ? Tu as réfléchi ? me demanda Speed
Oui oui, dis donc les filles j’ai comme une impression que je vais dérouiller ce soir avec vous !
Oui, et le mot est faible ! dit Speed pour me faire peur.
Maintenant Fabien, nous allons t’installer dans un endroit plus approprié pour faire ce que nous avons envie de faire.
Qu’est ce que vous allez faire ? demandai-je, pendant qu’une amie de Speed me bandait les yeux.
Tu auras tout le loisir de l’apprendre, cher compagnon de jeu. »

Ainsi les quatre filles m’emmenèrent dans une pièce toute noire. Le vent s’y engouffrant laissait tinter des objets, que je soupçonnait être des fourchettes en métal, ou des pics à viande. Rien qu’au point de vue du son, on se serait cru dans l’arrière salle d’une boucherie.

« Bon, dit Speed, chacune d’entre nous va le porter. Moi je porterai sa jambe droite, toi Héléna sa jambe gauche, toi Marie tu lui tiendra le ventre et Sophie tu le porteras par les bras, c’est que c’est lourd un mâle ! Puis nous l’installerons ici, sur la table en forme de X que nous avons loué, sans savoir si nous en aurions l’utilité. Au moins maintenant on sait que cette table va nous servir.

Qu’est ce que vous allez me faire ? je commençais à vraiment flipper.
Et bien d’abord nous allons te déshabiller, tu aimes être déshabillé ?
Oui beaucoup, j’aime me montrer à des filles. »

Une fois installé sur la table, avec toujours les yeux bandés, deux filles se jetèrent sur mon T-shirt pour me l’enlever.

« Bas dis donc tu as du bide toi, dit Speed en riant.
Oui je suis gros comme vous avez pu le remarquer.
Vous aimez ça les filles ? Les jeunes mecs un peu enrobés ?
OH OUI ! ! ! ! ! ! dirent-elles toutes ensembles.
Moi aussi j’aime beaucoup, je trouve ça mignon chez les anges comme Fabien. »

Puis de nouveau, deux filles se jetèrent sur moi pour me baisser mon pantalon. J’aimais vraiment beaucoup me faire déshabiller par ces filles. Je me sentais convoité, désiré, et maintenant capturé et à leur seule et unique merci.

«
Maintenant Fabien, nous allons te retirer tes chaussures pour que tu sois plus à l’aise. Et ensuite nous commencerons à t’attacher bien solidement.
M’attacher ? Pourquoi ? Je ne vais pas m’enfuir vous savez !
Tu sais je crois que si tu pouvais le faire, et bien tu le ferais dans quelques instants.
Pourquoi ?
Parce que cela risque d’être assez désagréable pour toi, sinon un vrai calvaire. Et d’ailleurs, après avoir insulté tant et tant de monde sur le net, tu aurais besoin d’une sévère correction !
Qu’est ce que vous allez me faire là ? je commençais à paniquer
Tu verras bien ! »

De suite mes quatre geolières me mettèrent sur le ventre, et attachèrent mes deux poignets avec une sorte d’épais ruban adhésif. Puis elles m’attachèrent les bras à l’aide de ce que j’imaginais être des sangles de cuir. Elles firent de même avec mon dos. Puis se précipitèrent pour me ligoter les jambes séparément. D’abord le haut des jambes, puis les genoux, puis mes chevilles.

J’essayais de bouger. Cela m’était impossible. Elles m’avaient attaché de partout, et je sentis qu’à présent j’étais dans de beaux draps !
J’allais être leur jouet, leur victime, leur rat de laboratoire, sur lequel elles allaient ensuite se livrer à tout un tas d’expériences sur moi.
Je sentais bien au fond de moi que j’allais vivre la misère, mais j’étais loin de soupçonner ce qui m’attendait.

" Bon, les filles, maintenant il est à nous ! A nous quatre, et rien qu’à nous quatre ! Vous avez déjà essayé de torturer un homme ?
Ce après quoi je bondissais
Me torturer ? Non pitié, vous n’allez pas faire ça quand même ? Je veux bien être votre victime, mais soyez soft. Je n’aime pas avoir mal, je suis assez douillet.
_La fessée ! La fessée ! La fessée ! dirent-elles pleines d’entrain.
_Non, pas la fessée pitié ! Ne faîtes pas ça ! ça va me faire mal, je ne veux pas avoir mal, pitié !
Nous allons t’administrer une bonne correction pour avoir insulté et fait fuir des membres de notre site web !
Nooon ! Pas ça ! Je vous en prie les filles ! Revenez à la raison ! Vous ne pouvez pas… non ! pas le baîllon ! D’accord, je serais sage, je ne recommencerais plus, c’est promis. Je le jure.
Tu le jures ? c’est promis ?
Oui !
Très bien ! Dans ce cas alors ce sera la fessée déculottée ! Car on ne jure pas, ce n’est pas bien.
Nannnn ! ! ! hurlais-je, c’est pas ce que je voulais dire, je vous en prie, je me suis mal exprimé et en voyant qu’une des quatres commençait à baisser mon caleçon, je criais encore plusse.
Nannn, pitié, naannn ! ! ! pas la fessée déculottée ! Pas ça ! Pas ç…

A peine avais-je le temps de terminer de les supplier qu’une fille me tenu la tête, pendant qu’une autre me mit un gros baîllon-boule dans la bouche. Cette fois c’était sûr ! ça allait être ma fête pour de bon ! J’allais bel et bien être vivement châtié. J’avais peur. Et en même temps j’éprouvais de la jouissance. Je ne savais plus où j’en étais dans ma tête. Elles voulaient me torturer ! et moi je n’avais plus qu’à me taire, comment aurais-je pu faire autrement d’ailleurs. Et la torture commença…
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Poeme de Pendantce

Poète Pendantce

Pendantce a publié sur le site 282 écrits. Pendantce est membre du site depuis l'année 2011.

Syllabation De L'Écrit

Phonétique : Une Rude Épreuve (Texte À Continuer À Votre Guise)ʒə mapεllə fabjɛ̃. ʒε bjɛ̃to vɛ̃t- nəv- ɑ̃. ʒabitə pʁε də paʁi. apʁεz- ynə swaʁe aʁoze ʃe spid, lε fijə vulε samyze. ʒetε lə səl ɔmə də la bɑ̃də. e boku dɑ̃tʁə εllə mə plεzε. ɔ̃n- avε fε œ̃ dəal. ʒetε lə səl ɔmə, dɔ̃k evidamɑ̃ lεz- iø sə tuʁnεʁe vεʁ mwa, lɔʁskə la kεstjɔ̃ fatalə paʁ la sɥitə, fy poze : « fabjɛ̃, ʃεʁ pəti fabjɛ̃, ty ε dakɔʁ puʁ εtʁə tut- a nu sə swaʁ ? ty səʁε pʁε a ʁeεllmɑ̃ nu fεʁə plεziʁ a tutə lε katʁə ? » mwa εjɑ̃ tuʒuʁz- y sə vjø fɑ̃tasmə dεtʁə lə kɔk də sε damə, ʒə ʁepɔ̃dis « ui, bjɛ̃ syʁ, ʒə vuz- εmə tutəs ». sito di sito fε. ʒalε kɔnεtʁə paʁ la sɥitə lə piʁə malœʁ puvɑ̃ sabatʁə syʁ mwa : «
suliɲe ty ε ʒɑ̃til fabjɛ̃, nu lə savɔ̃, mε ty ε œ̃n- ɔmə isi, dɔ̃k ty dəvʁa tə kɔ̃pɔʁte ɑ̃n- ɔmə, sεt- a diʁə ɑ̃kεse sɑ̃ ʁjɛ̃ diʁə. ty ε dakɔʁ ? mə dəmɑ̃da spid.
suliɲe ʒε œ̃ pø pœʁ mεz- ui, ʒə sɥi dakɔʁ puʁ tut- ɑ̃kεse.
suliɲe mεmə lepʁəvə dy fø, mεmə laʁaʃaʒə də tε pwal, mεmə lε pɛ̃səmɑ̃ tʁε fɔʁ ?
suliɲe ø… ba… pø εtʁə pa sa, mε lə ʁεstə ui, ʁepɔ̃di ʒə dœ̃n- εʁ apəʁe.
suliɲe tʁε bjɛ̃ ! nu sɔmə katʁə- fijə, e nuz- avɔ̃z- œ̃n- ɔmə ʁjɛ̃ kə puʁ nu sə swaʁ. ty ε nɔtʁə pʁizɔnje a paʁtiʁ də mɛ̃tənɑ̃. tuʒuʁ kɔ̃sɑ̃tɑ̃ ? ty a ʁefleʃi ? mə dəmɑ̃da spid
suliɲe ui ui, di dɔ̃k lε fijə ʒε kɔmə ynə ɛ̃pʁesjɔ̃ kə ʒə vε deʁuje sə swaʁ avεk vu !
suliɲe ui, e lə mo ε fεblə ! di spid puʁ mə fεʁə pœʁ.
suliɲe mɛ̃tənɑ̃ fabjɛ̃, nuz- alɔ̃ tɛ̃stale dɑ̃z- œ̃n- ɑ̃dʁwa plysz- apʁɔpʁje puʁ fεʁə sə kə nuz- avɔ̃z- ɑ̃vi də fεʁə.
suliɲe kε sə kə vuz- ale fεʁə ? dəmɑ̃dε ʒə, pɑ̃dɑ̃ kynə ami də spid mə bɑ̃dε lεz- iø.
suliɲe ty oʁa tu lə lwaziʁ də lapʁɑ̃dʁə, ʃεʁ kɔ̃paɲɔ̃ də ʒø. »

ɛ̃si lε katʁə fijə mamənεʁe dɑ̃z- ynə pjεsə tutə nwaʁə. lə vɑ̃ si ɑ̃ɡufʁɑ̃ lεsε tɛ̃te dεz- ɔbʒε, kə ʒə supsɔnε εtʁə dε fuʁʃεtəz- ɑ̃ metal, u dε pikz- a vjɑ̃də. ʁjɛ̃ ko pwɛ̃ də vɥ dy sɔ̃, ɔ̃ sə səʁε kʁy dɑ̃ laʁjεʁə salə dynə buʃəʁi.

« suliɲe bɔ̃, di spid, ʃakynə dɑ̃tʁə nu va lə pɔʁte. mwa ʒə pɔʁtəʁε sa ʒɑ̃bə dʁwatə, twa elena sa ʒɑ̃bə ɡoʃə, twa maʁi ty lɥi tjɛ̃dʁa lə vɑ̃tʁə e sɔfi ty lə pɔʁtəʁa paʁ lε bʁa, sε kə sε luʁ œ̃ malə ! pɥi nu lɛ̃stalʁɔ̃z- isi, syʁ la tablə ɑ̃ fɔʁmə də iks kə nuz- avɔ̃ lue, sɑ̃ savwaʁ si nuz- ɑ̃n- oʁjɔ̃ lytilite. o mwɛ̃ mɛ̃tənɑ̃ ɔ̃ sε kə sεtə tablə va nu sεʁviʁ.

suliɲe kε sə kə vuz- ale mə fεʁə ? ʒə kɔmɑ̃sεz- a vʁεmɑ̃ flipe.
suliɲe e bjɛ̃ dabɔʁ nuz- alɔ̃ tə dezabije, ty εməz- εtʁə dezabije ?
suliɲe ui boku, ʒεmə mə mɔ̃tʁe a dε fijə. »

ynə fwaz- ɛ̃stale syʁ la tablə, avεk tuʒuʁ lεz- iø bɑ̃de, dø fijə sə ʒətεʁe syʁ mɔ̃ te ʃiʁ puʁ mə lɑ̃ləve.

« suliɲe ba di dɔ̃k ty a dy bidə twa, di spid ɑ̃ ʁjɑ̃.
suliɲe ui ʒə sɥi ɡʁo kɔmə vuz- ave py lə ʁəmaʁke.
suliɲe vuz- εme sa lε fijə ? lε ʒənə mεkz- œ̃ pø ɑ̃ʁɔbe ?
suliɲe ɔ ui ! ! ! diʁe tεllə tutəz- ɑ̃sɑ̃blə.
suliɲe mwa osi ʒεmə boku, ʒə tʁuvə sa miɲɔ̃ ʃe lεz- ɑ̃ʒə kɔmə fabjɛ̃. »

pɥi də nuvo, dø fijə sə ʒətεʁe syʁ mwa puʁ mə bεse mɔ̃ pɑ̃talɔ̃. ʒεmε vʁεmɑ̃ boku mə fεʁə dezabije paʁ sε fijə. ʒə mə sɑ̃tε kɔ̃vwate, deziʁe, e mɛ̃tənɑ̃ kaptyʁe e a lœʁ sələ e ynikə mεʁsi.

« suliɲe mɛ̃tənɑ̃ fabjɛ̃, nuz- alɔ̃ tə ʁətiʁe tε ʃosyʁə puʁ kə ty swa plysz- a lεzə. e ɑ̃sɥitə nu kɔmɑ̃səʁɔ̃z- a tataʃe bjɛ̃ sɔlidəmɑ̃.
suliɲe mataʃe ? puʁkwa ? ʒə nə vε pa mɑ̃fɥiʁ vu save !
suliɲe ty sε ʒə kʁwa kə si ty puvε lə fεʁə, e bjɛ̃ ty lə fəʁε dɑ̃ kεlkz- ɛ̃stɑ̃.
suliɲe puʁkwa ?
suliɲe paʁsə kə səla ʁiskə dεtʁə ase dezaɡʁeablə puʁ twa, sinɔ̃ œ̃ vʁε kalvεʁə. e dajœʁ, apʁεz- avwaʁ ɛ̃sylte tɑ̃ e tɑ̃ də mɔ̃də syʁ lə nεt, ty oʁε bəzwɛ̃ dynə sevεʁə kɔʁεksjɔ̃ !
suliɲe kε sə kə vuz- ale mə fεʁə la ? ʒə kɔmɑ̃sεz- a panike
suliɲe ty veʁa bjɛ̃ ! »

də sɥitə mε katʁə ʒɔljεʁə mə mεtεʁe syʁ lə vɑ̃tʁə, e ataʃεʁe mε dø pwaɲεz- avεk ynə sɔʁtə depε ʁybɑ̃ adezif. pɥiz- εllə mataʃεʁe lε bʁaz- a lεdə də sə kə ʒimaʒinεz- εtʁə dε sɑ̃ɡlə də kɥiʁ. εllə fiʁe də mεmə avεk mɔ̃ do. pɥi sə pʁesipitεʁe puʁ mə liɡɔte lε ʒɑ̃bə sepaʁemɑ̃. dabɔʁ lə-o dε ʒɑ̃bə, pɥi lε ʒənu, pɥi mε ʃəvilə.

ʒesεjε də buʒe. səla metε ɛ̃pɔsiblə. εllə mavε ataʃe də paʁtu, e ʒə sɑ̃ti ka pʁezɑ̃ ʒetε dɑ̃ də bo dʁa !
ʒalεz- εtʁə lœʁ ʒuε, lœʁ viktimə, lœʁ ʁa də labɔʁatwaʁə, syʁ ləkεl εlləz- alε ɑ̃sɥitə sə livʁe a tut- œ̃ tas dεkspeʁjɑ̃sə syʁ mwa.
ʒə sɑ̃tε bjɛ̃ o fɔ̃ də mwa kə ʒalε vivʁə la mizεʁə, mε ʒetε lwɛ̃ də supsɔne sə ki matɑ̃dε.

ɡjmε suliɲe bɔ̃, lε fijə, mɛ̃tənɑ̃ il εt- a nu ! a nu katʁə, e ʁjɛ̃ ka nu katʁə ! vuz- ave deʒa esεje də tɔʁtyʁe œ̃n- ɔmə ?
sə apʁε kwa ʒə bɔ̃disε suliɲe mə tɔʁtyʁe ? nɔ̃ pitje, vu nale pa fεʁə sa kɑ̃ mεmə ? ʒə vø bjɛ̃ εtʁə vɔtʁə viktimə, mε swaje sɔft. ʒə nεmə pa avwaʁ mal, ʒə sɥiz- ase dujε.
suliɲe la fese ! la fese ! la fese ! diʁe tεllə plεnə dɑ̃tʁɛ̃.
suliɲe nɔ̃, pa la fese pitje ! nə fεtə pa sa ! sa va mə fεʁə mal, ʒə nə vø pa avwaʁ mal, pitje !
suliɲe nuz- alɔ̃ tadministʁe ynə bɔnə kɔʁεksjɔ̃ puʁ avwaʁ ɛ̃sylte e fε fɥiʁ dε mɑ̃bʁə- də nɔtʁə sitə wεb !
suliɲe nuɔ̃ ! pa sa ! ʒə vuz- ɑ̃ pʁi lε fijə ! ʁəvənez- a la ʁεzɔ̃ ! vu nə puve pa… nɔ̃ ! pa lə bεlɔ̃ ! dakɔʁ, ʒə səʁε saʒə, ʒə nə ʁəkɔmɑ̃səʁε plys, sε pʁɔmi. ʒə lə ʒyʁə.
suliɲe ty lə ʒyʁə ? sε pʁɔmi ?
suliɲe ui !
suliɲe tʁε bjɛ̃ ! dɑ̃ sə ka alɔʁ sə səʁa la fese dekylɔte ! kaʁ ɔ̃ nə ʒyʁə pa, sə nε pa bjɛ̃.
suliɲe na εn εn εn εn ! ! ! yʁlε ʒə, sε pa sə kə ʒə vulε diʁə, ʒə vuz- ɑ̃ pʁi, ʒə mə sɥi mal εkspʁime suliɲe e ɑ̃ vwajɑ̃ kynə dε katʁə- kɔmɑ̃sε a bεse mɔ̃ kaləsɔ̃, ʒə kʁjεz- ɑ̃kɔʁə plysə.
suliɲe na εn εn εn, pitje, naa εn εn εn ! ! ! pa la fese dekylɔte ! pa sa ! pa s…

a pεnə avε ʒə lə tɑ̃ də tεʁmine də lε syplje kynə fijə mə təny la tεtə, pɑ̃dɑ̃ kynə otʁə mə mit œ̃ ɡʁo bεlɔ̃ bulə dɑ̃ la buʃə. sεtə fwa setε syʁ ! sa alε εtʁə ma fεtə puʁ də bɔ̃ ! ʒalε bεl e bjɛ̃ εtʁə vivəmɑ̃ ʃatje. ʒavε pœʁ. e ɑ̃ mεmə tɑ̃ ʒepʁuvε də la ʒuisɑ̃sə. ʒə nə savε plysz- u ʒɑ̃n- etε dɑ̃ ma tεtə. εllə vulε mə tɔʁtyʁe ! e mwa ʒə navε plys ka mə tεʁə, kɔmɑ̃ oʁε ʒə py fεʁə otʁəmɑ̃ dajœʁ. e la tɔʁtyʁə kɔmɑ̃sa…

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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
31/10/2013 07:32Charlotte Albert

Affreux... pauvre gars

Auteur de Poésie
31/10/2013 12:49Pendantce

Tu es dure speed ! 🙂
Tu peux continuer le texte si tu veux, cela me ferait plaisir.

Prose Rencontre
Du 31/10/2013 01:21

L'écrit contient 1185 mots qui sont répartis dans 12 strophes.