Prose:Poème Sur Les États Unis

Poésie et nouvelles
Les États Unis d’Amers Rictus ; you say hurra but in facts it sucks you the star ! USA in US dollars…

Le plusse beau pays du monde est situé dans la position géographique du Nord-ouest de la map, en Amérique du porc,

il est en train de coucher avec l’Amérique d’une pute, plus au Sud.

L’Amérique, ce pays des amants qui errent pour niquer et s’amarrent à des navire de brique, est gouverné par la tyrannie et le despotisme,

par son président Donald Trouduc’ qui des lois des hommes veut toutes les faire péter.

Quand on demande aux gens ce qu’ils pensent de cet individu, tous répondent à l’unanimité qu’il leur font penser à ce que l’on sent lorsqu’on se met le nez dans… l’arrière train… de l’odorat du rectum. Ça pue la malhonnêteté !

Dollar Trahi-C’qui-Chôme désire privilégier ses amis riches assis sur des fortunes qui aguichent et importunent

Au détriment des plus pauvres et des nationalités ethniques, c’est sans éthique c’est vrai.

Cette pédale dompe les migrants vers leur lieu d’origine, en attendant qu’ils déclinent.

On devrait créer un organisme qui ferait des donations pour qu’un stunt publicitaire dans les médias soit payé par les services publics, et qui ferait une promotion pour le destituer.

Canadonald a une tribune de la honte lorsqu’il fait affaire avec son voisin du haut et rend notre premier ministre bien gêné. Car c’est connu que le Canada et les États Unis partageaient une douane du triomphe à la frontière, avant que ce dernier n’entre en scène.

Djihâd Trouve Bombe s’allie par affaire avec des pays possédant l’arme nucléaire et les appuie.

Ce drôle d’animal trompe sa femme mariée avec des madames qui lui réclament assez de monnaie des banquiers.

On connaît tous les frasques sensuelles de ce président, et ce n’est pas pour se vanter, car il clame haut et fort que dans le pantalon de ses conquêtes féminines, il doigta le petit truc.

Et quand il a la fringale des arômes qui lui tombent sous la main, il ne les consomme que pour son besoin.

On devrait être inquiet qu’il soit à la tête du pays le plus puissant au monde, quand le background dément de sa santé mentale nous démontre qu’il a un problème de personnalité, dans son encéphale droit qui disjoncte trop.

Si les médecins affirment que sa santé physique va pour le mieux, c’est qu’il feint les risques de son âge avancé qui indispose, par rapport à ses réelles capacités d’utiliser ses vieux os meurtris, afin éviter des hernies discales en faisant des pompes.

Lors de la fête nationale du 4 juillet alors que la chorale de trompette enchaîne son hymne, il fait un signe de la tête qui avertit son armée qu’il veut entamer un petit dodo niais et qu’il fait tout interrompre.

Toutes les stars du pays lui tournent le dos quand elles écoutent ce qu’il dit au peuple, elles le croient taré et idiot, sans doute, et il ne plait à aucune d’entre elles, surtout pas à Madonna tresse de blonde.

On peut croire que les artistes musicaux ne sont pas bien protégés dans leurs droits d’auteur, à cause des mesures prises par Danold TruMP3.

Banale Sitcom se laisse souvent aller avec les artisans de la télé, c’est assez pathétique et frustrant de l’entendre parler des fake news et autres chroniques d’un autre temps.

On devrait espérer qu’un bon samaritain serial-killer transporte dans l’ombre ce tribal autocrate sorti tout droit de peplums et que l’on élimine par balle et de façon fatale ce bonhomme qui corrompt pour que se relève de façon durable le Royaume. On qualifierait alors l’ex-président comme Donald Stop. Mais ça n’arrivera pas, ce ne sont que les bons présidents dans le courant qui se font tirer par des désaxés qui ne savent pas ce qu’ils font, pour que dans les annales ils se souviennent de leur nom.

On pourrait très bien souhaiter à l’Amérique mal en point de Donald : Prompt rétablissement bandes d’ignorants aveuglés par ses discours. Au secours !

Comme slogan le dicte : Make America great again ! Make America grasse et bien pleine ! Make America Pain multigrain… Make America grappe de raisin… Make America gratin dauphinois… Make America grillade de lapin… Make America salade grecque avec thym… Make America grand hamburger de boudin… Make America orangeade du matin… Make America Heineken…

Et comme presque tout le monde désire que le président actuel quitte la Maison Flanche, l’adversaire choisi pour le combattre aux prochaines élections est plus vieux que lui, et ce sont tous deux de gros bides d’aînés.

On a attendu longtemps le Go du Bon Dieu prévu depuis le haut big-bang pour déloger le président malicieux, même si à priori il a beau n’avoir rien de bien plus divin que lui.

Ce nouveau a tout récemment fait le saut dans le bed in de la candidature, malgré d’autres choix plus jeunes ou d’un autre sexe, mais c’est sa popularité qui l’a fait remporter.

Son âge a d’ailleurs défrayer les manchettes à de nombreuses reprises, probablement parce qu’il a usé de trop d’Epipen.

Son historique du passé n’est pas trop reluisant car il a de nombreuses gaffes à son actif durant sa vice présidence d’aux bas mots, avec sa bio de bris de haine durant ce mandat.

Sa relation avec les femmes est mitigée car il a sur sa personne des allégations d’avoir pogner les joes et avoir forcer des bis dingues avec certaines personnes de sexe féminin. Avoir flirter avec les jolies et de la bière, ce n’est pas toujours une réussite… Ce qui ne l’empêche pas de manifester en faveur des lgbtq+ car il affirme qu’il faut plus de bi aux deux qu’il dit à son audimat.

On ne connaît pas ses goûts personnels en matière de culture mais on sait qu’il apprécie la Joconde d’une bible dénaturée.

On espère qu’il saura gérer la crise du virus de Couille vide 19 s’il est élu président, car il faudra éviter les nouveaux cas de maladie du rot d’un pli de dengue.

On verra aux prochaines élections qui gagnera entre ces deux fuck top bip ! dinosaures grisonnants.

Il existe des synonymes de l’Amérique qui peuvent lui vouer plusieurs hymnes bienveillants autant que la critiquer. Ce sont des jeux de mots qui décrivent ce pays tel qu’il est et devrait être.

Il fut un temps où les États Unis se vantaient de morales patriotiques d’amour et d’humanité.

Des élans d’une vie où tout pouvait arriver. L’extase inouïe côtoyait l’extra pourri. Les amoureux se témoignaient de l’affection par des ébats unis. Même si elle vivait encore dans le célibat Lucie pouvait avoir dans ses pattes un cunni. Les chevaliers qui s’étaient bien conduits pouvaient tâter de dodus nibards ou en deçà et amincis de demoiselles de toutes tailles, seulement avec leur consentement. On avait encore de l’égard envers la musique composée par tous les meilleurs artistes en les payant pour leur ouvrage produit. On restait béat et réjoui devant leur cinéma qui avait mûri avec le temps. Des mâles endurcis bâtissaient ce qui allait devenir leur épatant pays. Les politiciens de tous les horizons, autant démocrate que républicain, proposaient en schéma au public des débats utiles. Les travailleurs pouvaient avoir un cadenas gratuit qui garantissait leurs emplois assujettis tout en leur donnant toutes sortes d’avantages sociaux et des passe-droit déduits d’impôt. Les intellectuels les plus renommés pouvaient s’exprimer sur tous les sujets d’intérêt n’importe quand, au moment d’un trépas d’esprit. On faisait de l’exploration spatiale dans l’espace sunny. Quand on mangeait des repas servis notre estomac faisait encore du bruit, des pets a zucchini autant que des patates frites dans l’huile. Les français pouvait manger leur fromage de brie sans être dérangé. Le pays s’entendait encore bien avec ses voisins immédiats du Mexique, des Caraibes, ou alors du Nordique canadien. L’aigle était l’emblème officiel de leur drapeau ; les États sous nid d’oisillons. C’était la Belle Époque.

Aujourd’hui, la nourriture a été remplacée par des mets gras qui ne font plus jouir. Le président est davantage intéréssé aux fesses qu’il zieuta d’une Stormy Daniels, lors d’une de ses anciennes parties de jambes en l’air dans le jacuzzi avec l’actrice, qu’à penser au bien-être de ses propres citoyens. On fait la guerre à la Russie de façon électronique, ex cetera à la Syrie sur le terrain des conflits. Leurs ex-présidents ont foutu le bordel au Moyen-Orient alors que des soldats chiites et quelques autres américains protègent leur territoire par des combats de l’armée furtifs, à cause de terroristes islamiques qui ripostent désormais en attaquant les congrégations sunnites par des attentats suicide. On espère que les États Punis ne ressembleront pas au Sénat de Mussolini. On ne sait même pas le résultat de Khashoggi à sa mort. À la télévision, certains médias ennuient de par leur médiocrité ambiante ; la population s’informe peu sur les enjeux essentiels mondiaux car on zappe de la chaîne Al-Jazeera vers MTV en un rien de temps. Leurs vedettes ont la grosse tête et se prennent pour des bourgeois ahuris. On pratique l’euthanasie des mœurs et le terrible vice amène de l’eczéma et des sinusites dans les hôpitaux. On compte un haut taux de chômage et une pénurie de main d’œuvre se fait sentir dans les entreprises à la recherche d’employés. La pollution mondiale provient majoritairement des GES à contrat d’usines de leurs compagnies pétrolières. Le territoire connaît de plus en plus de catastrophes naturelles et ce sont des dégâts fortuits, puisque personne ne s’intéresse au réchau qui cuit la planète. Son président nous fait vivre ses énervants caprices et nous donne des embarras subis. Son mandat présidentiel en étapes du dit maître d’œuvre est tâché d’erreurs monumentales. Les migrants font de l’escalade de murs investis. Les habitants de ce pays ont de belles âmes trucidées ; ils font la fiesta avec des fusils, pour leur collection personnelle ou pour marteler ce qui buta autrui. On les appelle des gros bêta funny. Ce sont des casse-noix imbus d’eux même. Ils ne vivent que dans leur tête, devant leur ordinateur et leurs écrans fuis.

On ne sait pas comment trouver une solution a tout ça ; jouer à UNO avec l’ONU ou autant avec l’OTAN. . On pourrait se tourner vers les pays proches comme le Canada, par exemple. Mais ils gaspillent des bouteilles d’eau, c’est un Cas Nada. Ils ne collaborent pas pour le prix des aliments, c’est un caca d’Allah où le canevas se réduit puisqu’on ne sait plus combien coûte des cans de bananes en dés. Ils jouent à cache-cache sous les draps, en dissimulant des faits biaisé, pour éviter que leurs provinces ne suivent la Constitution au delà du bras ingrat de la Loi, et finissent par devenir corrompus avec leurs bla-bla-bla envenimé de persona non grata à l’assemblée nationale. Ils légalisent des drogues, promettent des grands changements pour contrer le marché noir et quand on essaye d’en acheter, on se rend compte que les SAQ cannabis sont vides de caisses d’ananas… Sa population ne fait pas toujours attention à sa santé malgré les règles de son guide alimentaire, puisqu’elle semble avoir un karma pour consommer du chocolat en quantité exagérée et devenir grasse et obèse, et se fiche de choper un cancer en fumant du tabac, mais ce n’est rien par rapport à ailleurs dans le monde où certaines pharmacies sonnent le glas et font le combat envers des maladies comme la malaria, mais aussi le sida, le choléra ou encore le virus du Zika. À tolérer différentes religions, pour satisfaire toutes les femmes en burka, les défenseurs de La Croix ou les professeurs de Yoga, ces gens sont rendus à quasiment instaurer un climat de charia, à partager les tracas du pontificat et à empêcher de faire l’ascension de l’Himalaya. Comme les autres pays de l’Occident par le mouvement MeToo, leurs scandales glamour d’agressions sexuelles des Ayatollahs vedettes font parti des saga des médias, et on y punit les violeurs rats et les divas blessées se demandent pourquoi moi ? Il faudrait leur conseiller un manuel d’instruction sur l’amour qui n’est pas du charabia, comme le Kama Sutra par exemple, et qui aiderait les gars à atteindre le nirvâna, puisqu’ils feraient de la drague un dada qui les amèneraient à faire les premiers pas.
Le Canada, cette contrée paisible où tous ceux qui y vivent sont de joyeux lurons, doit être épargnée des abrutis et qu’à n’a damne personne d’autre que les connards dominants et les canailles qui se dandinent.

D’où vient l’origine des États Unis, du temps de la Guerre de Cent An ? Alors celle qui combattait les Anglais et qui passa au bûcher pour sauver la France, Jeanne d’arc ? Certainement pas de l’époque des Christian qui sont arrivés avec leurs barques en Amérique, de Gengis Khan qui a laissé sa marque pour que Taïwan les traquent, des nazis avec l’Allemagne et du krach qui suivit, ou des jazzman qui fumait du crack, ou encore de la Nouvelle-Bretagne qui a signé ses actes, des négociations avec La Havane et les nombreux cul-de-sac qui ont débutés, du moment où le racisme faisait des ravages et que stagnent les blacks, de ce qui émane des flaques de la Période Industrielle…

Quoi faire si ce n’est que d’attendre que ça passe… il faut agir bien évidemment pour éviter que ce territoire finisse par devenir les États démunis d’Amérique…