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Texte : Une Sainte Au Paradis



A Propos

Un petit poème en hommage à ma défunte mère (décédée en 2005) .

Une Sainte Au Paradis

Maman, tu fus la plus belle de toutes les femmes
sur la terre, la plus tendre, la plus gentille :
aucune autre n’arrivait à ta cheville.
La plus sympathique,
la plus empathique,
la plus magique.
Un être hors du commun des mortels,
un être éternel.
D’ailleurs, même si tu as vécu nonante et deux ans,
sur cette très méchante Terre,
c’était trop, beaucoup trop !
Car ta place était auprès du Père.
S’Il avait daigné laisser sa fille sur cette Terre,
c’est afin que des générations entières,
qui ta vie admirable ont connue,
s’inspirent à jamais de tes immenses vertus,
et en prennent exemple et modèle !
Je te suis éternellement fidèle,
car si tu n’es plus parmi nous ici,
cependant, tu es une grande Sainte au Paradis.
Poldereaux

PostScriptum

En attendant l’orage.


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Poème en Phonétique

mamɑ̃, ty fy la plys bεllə də tutə lε famə
syʁ la teʁə, la plys tɑ̃dʁə, la plys ʒɑ̃tijə :
okynə otʁə naʁivε a ta ʃəvilə.
la plys sɛ̃patikə,
la plysz- ɑ̃patikə,
la plys maʒikə.
œ̃n- εtʁə ɔʁ dy kɔmœ̃ dε mɔʁtεl,
œ̃n- εtʁə etεʁnεl.
dajœʁ, mεmə si ty a veky nɔnɑ̃tə e døz- ɑ̃,
syʁ sεtə tʁε meʃɑ̃tə teʁə,
setε tʁo, boku tʁo !
kaʁ ta plasə etε opʁε dy pεʁə.
sil avε dεɲe lεse sa fijə syʁ sεtə teʁə,
sεt- afɛ̃ kə dε ʒeneʁasjɔ̃z- ɑ̃tjεʁə,
ki ta vi admiʁablə ɔ̃ kɔnɥ,
sɛ̃spiʁe a ʒamε də tεz- imɑ̃sə vεʁtys,
e ɑ̃ pʁεne εɡzɑ̃plə e mɔdεlə !
ʒə tə sɥiz- etεʁnεllmɑ̃ fidεlə,
kaʁ si ty nε plys paʁmi nuz- isi,
səpɑ̃dɑ̃, ty ε ynə ɡʁɑ̃də sɛ̃tə o paʁadi.