Texte : Magnificence.

cette nature… luxuriante… ,
cette végétation abondante… ,
qui s’épanouit, et qui… prolifère, … ,
sans que j’en devine le moindre mystère… !

Celle qui… prolifère, malgré… « guêpes et abeilles »… !
Une authentique et vraie… … merveille !

Cette nature, qui, malgré ses immenses dangers,
qui, … cependant… tant me sidère… .

Ô Dieu, quel est donc… ce… mystère… ?

En fait, oui, un voisin… me l’avait. … reproché,
oui, reproché… cet amour excessif de « Mère Nature ».

À son goût… beaucoup, beaucoup. … trop excessif… !

Celui qui m’avait, vertement… reproché,
oui, reproché… d’admirer… ,
peut-être m’estimant très naïf,
… toute la magnificence… des ifs… !

sεtə natyʁə… lyksyʁjɑ̃tə… ,
sεtə veʒetasjɔ̃ abɔ̃dɑ̃tə… ,
ki sepanui, e ki… pʁɔlifεʁə, … ,
sɑ̃ kə ʒɑ̃ dəvinə lə mwɛ̃dʁə mistεʁə… !

sεllə ki… pʁɔlifεʁə, malɡʁe… « ɡεpəz- e abεjs »… !
ynə otɑ̃tikə e vʁε… mεʁvεjə !

sεtə natyʁə, ki, malɡʁe sεz- imɑ̃sə dɑ̃ʒe,
ki, … səpɑ̃dɑ̃… tɑ̃ mə sidεʁə…

o djø, kεl ε dɔ̃k… sə… mistεʁə… ?

ɑ̃ fε, ui, œ̃ vwazɛ̃… mə lavε… ʁəpʁoʃe,
ui, ʁəpʁoʃe… sεt amuʁ εksesif də « mεʁə natyʁə ».

a sɔ̃ ɡu… boku, boku… tʁo εksesif… !

səlɥi ki mavε, vεʁtəmɑ̃… ʁəpʁoʃe,
ui, ʁəpʁoʃe… dadmiʁe… ,
pø tεtʁə mεstimɑ̃ tʁε najf,
… tutə la maɲifisɑ̃sə… dεz- ifs… !