Texte : Triste Vie.
A Propos
Un poème qui malgré le titre, peut être interprété comme un espoir.
Triste Vie.
Je fus un temps, puis je m’endormis sur mes lauriers.
Avec tout cet argent, qu’aurais-je gagné ?
Je ne suis plus, à présent,
ni le plus brillant ni le plus intelligent.
Ainsi va la vie, au détour d’un chemin,
tu rencontres le chagrin,
et puis, un autre jour,
tu connais le grand amour.
La vie est un perpétuel recommencement.
Tes sentiments ballottent au gré du vent,
qui transporte le grand radeau de notre vie,
jusqu’au lointain port de l’infini.
Tu attends la mort,
comme un veilleur attend l’aurore,
allant de tristesses en misères,
pauvre humain sur la Terre.
Pourtant tu veux y croire,
bannir tout désespoir,
faire ce pari
qu’un jour, tu iras au Paradis.
Avec tout cet argent, qu’aurais-je gagné ?
Je ne suis plus, à présent,
ni le plus brillant ni le plus intelligent.
Ainsi va la vie, au détour d’un chemin,
tu rencontres le chagrin,
et puis, un autre jour,
tu connais le grand amour.
La vie est un perpétuel recommencement.
Tes sentiments ballottent au gré du vent,
qui transporte le grand radeau de notre vie,
jusqu’au lointain port de l’infini.
Tu attends la mort,
comme un veilleur attend l’aurore,
allant de tristesses en misères,
pauvre humain sur la Terre.
Pourtant tu veux y croire,
bannir tout désespoir,
faire ce pari
qu’un jour, tu iras au Paradis.
Poldereaux
PostScriptum
OK.
Pour mettre un commentaire
Poème en Phonétique
ʒə fy œ̃ tɑ̃, pɥi ʒə mɑ̃dɔʁmi syʁ mε loʁje.
avεk tu sεt aʁʒe, koʁε ʒə ɡaɲe ?
ʒə nə sɥi plys, a pʁezɑ̃,
ni lə plys bʁijɑ̃ ni lə plysz- ɛ̃tεlliʒe.
ɛ̃si va la vi, o detuʁ dœ̃ ʃəmɛ̃,
ty ʁɑ̃kɔ̃tʁə- lə ʃaɡʁɛ̃,
e pɥi, œ̃n- otʁə ʒuʁ,
ty kɔnε lə ɡʁɑ̃t- amuʁ.
la vi εt- œ̃ pεʁpetɥεl ʁəkɔmɑ̃səmɑ̃.
tε sɑ̃timɑ̃ balɔte o ɡʁe dy vɑ̃,
ki tʁɑ̃spɔʁtə lə ɡʁɑ̃ ʁado də nɔtʁə vi,
ʒysko lwɛ̃tɛ̃ pɔʁ də lɛ̃fini.
ty atɑ̃ la mɔʁ,
kɔmə œ̃ vεjœʁ atɑ̃ loʁɔʁə,
alɑ̃ də tʁistesəz- ɑ̃ mizεʁə,
povʁə ymɛ̃ syʁ la teʁə.
puʁtɑ̃ ty vøz- i kʁwaʁə,
baniʁ tu dezεspwaʁ,
fεʁə sə paʁi
kœ̃ ʒuʁ, ty iʁaz- o paʁadi.
avεk tu sεt aʁʒe, koʁε ʒə ɡaɲe ?
ʒə nə sɥi plys, a pʁezɑ̃,
ni lə plys bʁijɑ̃ ni lə plysz- ɛ̃tεlliʒe.
ɛ̃si va la vi, o detuʁ dœ̃ ʃəmɛ̃,
ty ʁɑ̃kɔ̃tʁə- lə ʃaɡʁɛ̃,
e pɥi, œ̃n- otʁə ʒuʁ,
ty kɔnε lə ɡʁɑ̃t- amuʁ.
la vi εt- œ̃ pεʁpetɥεl ʁəkɔmɑ̃səmɑ̃.
tε sɑ̃timɑ̃ balɔte o ɡʁe dy vɑ̃,
ki tʁɑ̃spɔʁtə lə ɡʁɑ̃ ʁado də nɔtʁə vi,
ʒysko lwɛ̃tɛ̃ pɔʁ də lɛ̃fini.
ty atɑ̃ la mɔʁ,
kɔmə œ̃ vεjœʁ atɑ̃ loʁɔʁə,
alɑ̃ də tʁistesəz- ɑ̃ mizεʁə,
povʁə ymɛ̃ syʁ la teʁə.
puʁtɑ̃ ty vøz- i kʁwaʁə,
baniʁ tu dezεspwaʁ,
fεʁə sə paʁi
kœ̃ ʒuʁ, ty iʁaz- o paʁadi.