Texte : Feuilles D’automne.
A Propos
Un poème de circonstance.
Feuilles D’automne.
Toutes ces feuilles mordorées
qui jonchent les sols,
font le bonheur dans les écoles,
où les enfants aiment les piétiner.
Toutes ces feuilles d’automne,
ont rendu les arbres chauves.
Ils n’ont plus, les pauvres,
qu’un triste aspect monotone.
Toutes ces feuilles jonchant les allées
sont belles à regarder.
Brunes, vertes, dorées,
un peu partout disséminées.
Elles font le bonheur des écoliers,
qui aiment les piétiner.
Et les marrons ramasser,
pour au loin les lancer.
qui jonchent les sols,
font le bonheur dans les écoles,
où les enfants aiment les piétiner.
Toutes ces feuilles d’automne,
ont rendu les arbres chauves.
Ils n’ont plus, les pauvres,
qu’un triste aspect monotone.
Toutes ces feuilles jonchant les allées
sont belles à regarder.
Brunes, vertes, dorées,
un peu partout disséminées.
Elles font le bonheur des écoliers,
qui aiment les piétiner.
Et les marrons ramasser,
pour au loin les lancer.
Poldereaux
PostScriptum
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Poème en Phonétique
tutə sε fœjə mɔʁdɔʁe
ki ʒɔ̃ʃe lε sɔl,
fɔ̃ lə bɔnœʁ dɑ̃ lεz- ekɔlə,
u lεz- ɑ̃fɑ̃z- εme lε pjetine.
tutə sε fœjə dotɔmnə,
ɔ̃ ʁɑ̃dy lεz- aʁbʁə- ʃovə.
il nɔ̃ plys, lε povʁə,
kœ̃ tʁistə aspε monotɔnə.
tutə sε fœjə ʒɔ̃ʃɑ̃ lεz- ale
sɔ̃ bεlləz- a ʁəɡaʁde.
bʁynə, vεʁtə, dɔʁe,
œ̃ pø paʁtu disemine.
εllə fɔ̃ lə bɔnœʁ dεz- ekɔlje,
ki εme lε pjetine.
e lε maʁɔ̃ ʁamase,
puʁ o lwɛ̃ lε lɑ̃se.
ki ʒɔ̃ʃe lε sɔl,
fɔ̃ lə bɔnœʁ dɑ̃ lεz- ekɔlə,
u lεz- ɑ̃fɑ̃z- εme lε pjetine.
tutə sε fœjə dotɔmnə,
ɔ̃ ʁɑ̃dy lεz- aʁbʁə- ʃovə.
il nɔ̃ plys, lε povʁə,
kœ̃ tʁistə aspε monotɔnə.
tutə sε fœjə ʒɔ̃ʃɑ̃ lεz- ale
sɔ̃ bεlləz- a ʁəɡaʁde.
bʁynə, vεʁtə, dɔʁe,
œ̃ pø paʁtu disemine.
εllə fɔ̃ lə bɔnœʁ dεz- ekɔlje,
ki εme lε pjetine.
e lε maʁɔ̃ ʁamase,
puʁ o lwɛ̃ lε lɑ̃se.