Poème:Tu M’aimais, Tu L’aimais…

Tu m’as appris la douleur,
Parler de toi sans trembler m’est impossible,
Tu m’as transmis tellement de choses indescriptible, mais tellement atroce,
Tu souffres, je souffre
Je te hais pour cela.

Je t’aime, je te déteste, je ne sais pas, je ne sais plus

Tout deux souffrants,
Toi d’elle,
Moi de mes doutes, sur toi, sur moi, sur nous, sur elle…
Toi l’exprimant par la violence,
Moi par mes larmes.

Nous n’étions jamais deux…
Toujours trois…
Tu m’aimais, tu l’aimes.
Je le savais, tu le savais.
Je le disais, tu le niais.

J’aurai donné n’importe quoi, pour la voire revenir à toi,
Je ne peux la détester, car je sais,
Si elle vivait,
Vous vous aimeriez…

Je t’aime, je te détestes.
Tu m’aimes, tu l’aimes.
Je te quittes, je t’aime.
Tu m’en veux, tu l’aimes.

C’est ce qu’il fallait faire…
Je le savais, tu le savais.

Comme tu le voulais,
J’ai appris à croire en quelques choses,
Non pas en l’amour,
Mais en mon attachement pour les personnes qui me sont chères…
Tu le sais maintenant…
Mon chère opposé…

Maintenant, tu va te fiancé…
Elle t’aime, tu le sais, je le sais.
Tu l’aimes, ta nouvelle chérie…
Laquelle des deux aimes-tu ?
Celle qui n’est plus de ce monde… ou ta nouvelle amie ?
Elle ne pourra jamais la remplacé,
Tu le sais.
Ne te caches pas la vérité,
Comme tu l’as fais en me disant que tu m’aimais…

N’oublie pas que « reproduire la même chose, ton seul exemple sur la Terre » n’est pas le bon choix.
N’essaye pas de reproduire ta vie d’avant ce moment tragique, avec une autre…
Elle n’est plus.
Tu as face à toi une nouvelle fille, une autre fille.
Elle a besoin de toi, tu le sais, elle te l’a prouvé.
Aimes-la comme elle le mérite, ne fait pas d’erreur…
Pas encore…