Poème:Agonie D’une Larme

Un peut de sang sur le couteau
Et doucement dans la beignoir,
Je vois changer la couleur de l’eau,
J’ai la tete qui tourne, tout devient noir…

J’agonise par cette douleur,
La lame et fine, mes cris infime,
Coup de poignard qui me perce le cœur,
Est-ce la mort qui me fait signe ?

Sur le miroir presque briser,
J’ai l’ame en peine de ne voir aucune presence,
L’eau se condence formant de la buée,
On peut y lire « suicide sans retricense »

Je n’eprouve aucune larme,
Quand sous ma peau la peur s’instale,
C’est non sans peine que je m’acharne,
À rester calme, à rester calme…

Dans ma salle de bain,
Siffle le vent du petit matin,
Qui me ramene à mon destin,
La fin du reve, la nuit s’eteint…

Sur la campagne brumeuse,
J’ouvre les yeux mon teint et pale,
Avec mes cicatrices douloureuse,
Je m’envole et je m’etale…

J’ai trouver la fin du dedale,
Une luciole brilent au fond du tunel,
C’est si calme aucun varcame,
Je m’enfonce seul dans les ruelles…