Texte:Mental En Vrac

La vérité c’est que je me sens piéger…

J’ai eu 23 ans, on est à la fin de l’année, est presque 2020 se montre. En trois ans c’est le vide, la tête à moitié dans l’eau. Je suis assez égoïste, j’ai pensé que j’aurais pu le faire seul mais plus les jours passe et je me souviens de ce que je ne réalise pas. J’aurais aimé reprendre des études peu être honnêtement juste pour gagner du temps, dire que je fais toujours quelques, quelques choses d’utiles ; je me dis souvent que peu être c’est mieux, car de toute façon je n’étudie pas, j’y arrive pas… il y a des choses qui me viennent à l’esprit des fois et j’essaie le plus souvent de les atténuer, pour qu’a la fin il disparaisse ou que mon envie, mes rêves et mes espoirs de… s’éteignent et que je ne sois pas déçue. Dès fois c’est triste, c’est vraiment triste, et je suis triste, souvent, je me dis et je pense, je m’ennuie, et je me noie, dans la solitude.

Je ne sais pas et je suis fatiguée de vouloir des choses, trop de choses, des fois ça vient en rappelant que je suis plus de ce côté la, de ce bord, j’ai presque entrepris mon autodestruction.
Es qu’il faut attendre de boire pour faire disparaitre les souvenirs et montrer au monde notre propre abandon où suis-je encore capable de garder la face en disant que j’y pense sans remords. J’ai pris parti souvent, le mien et mes intentions était parfois bancale, je m’en veux aujourd’hui de commencer à jalouser le monde. Je l’envie presque de regarder par curiosité leurs péripéties. Moi je ne suis pas loin, mais je suis à côté. Parce que je n’ai pas envie, je voulais travailler en aimant, en trouvant un équilibre qui m’aiderait. Je sens que je suis de plus en plus sur la pente descendante et ça m’aspire, car ce soir je tape ce texte sur l’ordi. Moi je fais du 14h-15h jusqu’au petit matin le soleil prêt à se montrer, et je repars. C’est difficile parfois, c’est contraignant souvent c’est agaçant parfois et c’est souvent que ma fenêtre et mon seul point d’attache avec le monde dehors. Je ne veux pas les voir si c’est pour me dire que je ne fais rien et je ne veux pas les voir si je veux être seule avec la musique, parce que mon casque posé j’ai mon monde en éveil je suis autre chose et je deviens une fille accomplit, qui a des amis proche sur il y a des joies, des rigolades, je suis heureuse, et je souris je vaincrais qu’importe quoi si ma réalité s’inversait. J’ai les forces mais plus l’envie, j’ai la ressource mais pas les moyens. C’est contraignant de rêver en parenthèse…

Mon monde est joli, il me blesse aussi parfois, e ne veux plus aider ou même aimer.

Je ne suis pas sûre d’être capable d’avoir ça, les autres le font facilement, leurs barrières ils s’échappent, ils s’aident et d’entraides, ils s’aiment et se protéger. Mais moi, qui me protège quand ma mère tombe et vacille ? Ils disent que je devrais tout laisser ici, et vivre ma vie en accordant des regards furtifs sur les côtés ; devrait-on abandonner pour rentrer, laisser vacillé l’échiquier et dire au revoir aux gens qui nous en construit tant bien que mal. J’ai gardé beaucoup de choses comme d’autres on les yeux qui brille d’amour brisé…

Je ne sais plus comment remonter, et je m’envole tout au fond des méandres de ma vie, de jeune adulte, que je n’aime pas, car je ne le suis pas, quelqu’un de responsable, qui essaye de sortir une personne que j’aime maladroitement du tunnel en sachant que je ne saurais la réponse.