Texte:100 Mètres Sous La Surface,
Le Texte
Chris… ? !
Le silence.
Chris… ?
Les minutes passent, le temps devient long
La mer, les vagues, en cette nuit tout est devenu déchainée…
Personnes ne contrôle plus rien, et c’est à la hâte que l’on a dû en, en perdre un.
Il n’y a pas de choix qui sois facile, celui-là en était, un cri dans le vent.
Pourtant c’est bien sous l’océan que tout se joue,
Des hommes partis, des plongeurs aguerri aux nombres de trois,
ils sont pourtant, maintenant, un duo.
La situation bascule, le cordon reliant son histoire de survie
Coupés…
La capsule de protection est loin, le bateau qui en était son protecteur
Accompagnant ses yeux, le guidant par une oreillette s’est tue…
Il fait sombre, dérivant dans les abysses
Préludes de la vie d’aujourd’hui, ces mains ne retiennent que du vide
Une plongée dans le noir, dans l’apesanteur ou personnes ne vous entendra crier.
Cela ne relève même plus de la survie, d’un miracle
C’était un corps sans aucun signe de vie,
Auquel on s’attendait à remonter à la surface…
Doucement, ces coéquipiers revinrent le chercher
Le trouver, sa silhouette qui apparait dans la nuit épaisse…
On le remonte et lui enlève son casque, lui fait du bouche-à-bouche.
L’homme qui avait attendu une demi-heure dans l’ombre noir des fonds marins,
Revint à la vie, fatigué bien sur, mais sans aucunes autres anomalie ou blessures…
Il en devient un survivant du pire, un homme qui revient de loin.
Le silence.
Chris… ?
Les minutes passent, le temps devient long
La mer, les vagues, en cette nuit tout est devenu déchainée…
Personnes ne contrôle plus rien, et c’est à la hâte que l’on a dû en, en perdre un.
Il n’y a pas de choix qui sois facile, celui-là en était, un cri dans le vent.
Pourtant c’est bien sous l’océan que tout se joue,
Des hommes partis, des plongeurs aguerri aux nombres de trois,
ils sont pourtant, maintenant, un duo.
La situation bascule, le cordon reliant son histoire de survie
Coupés…
La capsule de protection est loin, le bateau qui en était son protecteur
Accompagnant ses yeux, le guidant par une oreillette s’est tue…
Il fait sombre, dérivant dans les abysses
Préludes de la vie d’aujourd’hui, ces mains ne retiennent que du vide
Une plongée dans le noir, dans l’apesanteur ou personnes ne vous entendra crier.
Cela ne relève même plus de la survie, d’un miracle
C’était un corps sans aucun signe de vie,
Auquel on s’attendait à remonter à la surface…
Doucement, ces coéquipiers revinrent le chercher
Le trouver, sa silhouette qui apparait dans la nuit épaisse…
On le remonte et lui enlève son casque, lui fait du bouche-à-bouche.
L’homme qui avait attendu une demi-heure dans l’ombre noir des fonds marins,
Revint à la vie, fatigué bien sur, mais sans aucunes autres anomalie ou blessures…
Il en devient un survivant du pire, un homme qui revient de loin.
PostScriptum
Inspiré de l’histoire du plongeur Chris Lemons, en écoutant la vidéo de François Calvier, du documentaire « L’ivresse des profondeurs », et du film retraçant sa vie, « Last Breath ».

Écrivain Roserouge
Roserouge a publié sur le site 1334 écrits. Roserouge est membre du site depuis l'année 2020.Lire le profil de l'auteur poète RoserougeSyllabation De L'Écrit
Phonétique : 100 Mètres Sous La Surface,
kʁi… ? !lə silɑ̃sə.
kʁi… ?
lε minytə pase, lə tɑ̃ dəvjɛ̃ lɔ̃
la mεʁ, lε vaɡ, ɑ̃ sεtə nɥi tut- ε dəvəny deʃεne…
pεʁsɔnə nə kɔ̃tʁolə plys ʁjɛ̃, e sεt- a la atə kə lɔ̃n- a dy ɑ̃, ɑ̃ pεʁdʁə œ̃.
il ni a pa də ʃwa ki swa fasilə, səlɥi la ɑ̃n- etε, œ̃ kʁi dɑ̃ lə vɑ̃.
puʁtɑ̃ sε bjɛ̃ su lɔseɑ̃ kə tu sə ʒu,
dεz- ɔmə paʁti, dε plɔ̃ʒœʁz- aɡeʁi o nɔ̃bʁə- də tʁwa,
il sɔ̃ puʁtɑ̃, mɛ̃tənɑ̃, œ̃ dyo.
la sitɥasjɔ̃ baskylə, lə kɔʁdɔ̃ ʁəljɑ̃ sɔ̃n- istwaʁə də syʁvi
kupe…
la kapsylə də pʁɔtεksjɔ̃ ε lwɛ̃, lə bato ki ɑ̃n- etε sɔ̃ pʁɔtεktœʁ
akɔ̃paɲɑ̃ sεz- iø, lə ɡidɑ̃ paʁ ynə ɔʁεjεtə sε tɥ…
il fε sɔ̃bʁə, deʁivɑ̃ dɑ̃ lεz- abisə
pʁelydə də la vi doʒuʁdɥi, sε mɛ̃ nə ʁətjεne kə dy vidə
ynə plɔ̃ʒe dɑ̃ lə nwaʁ, dɑ̃ lapəzɑ̃tœʁ u pεʁsɔnə nə vuz- ɑ̃tɑ̃dʁa kʁje.
səla nə ʁəlεvə mεmə plys də la syʁvi, dœ̃ miʁaklə
setε œ̃ kɔʁ sɑ̃z- okœ̃ siɲə də vi,
okεl ɔ̃ satɑ̃dε a ʁəmɔ̃te a la syʁfasə…
dusəmɑ̃, sε kɔekipje ʁəvɛ̃ʁe lə ʃεʁʃe
lə tʁuve, sa siluεtə ki apaʁε dɑ̃ la nɥi epεsə…
ɔ̃ lə ʁəmɔ̃tə e lɥi ɑ̃lεvə sɔ̃ kaskə, lɥi fε dy buʃə a buʃə.
lɔmə ki avε atɑ̃dy ynə dəmi œʁ dɑ̃ lɔ̃bʁə nwaʁ dε fɔ̃ maʁɛ̃,
ʁəvɛ̃ a la vi, fatiɡe bjɛ̃ syʁ, mε sɑ̃z- okynəz- otʁəz- anɔmali u blesyʁə…
il ɑ̃ dəvjɛ̃ œ̃ syʁvivɑ̃ dy piʁə, œ̃n- ɔmə ki ʁəvjɛ̃ də lwɛ̃.
Historique des Modifications
13/11/2020 18:36
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Poesie sans commentaire

01/05/2025Poeme-France
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Texte Destin
Du 13/11/2020 18:36
L'écrit contient 259 mots qui sont répartis dans 4 strophes.