Poème:Gay-Parade À La Concorde Entre Hitler Et Staline

Je vous salue Marie,
Vous n’aimez pas du tout leur dame sombre pédérastie,
Mais pour certains Tu encore pries,
Tu leur dis tenir bien en vainquant la dépendance perverse qui les comme esclaves et vampires lie,
Tu n’es pas Marianne sur un échiquier du bidon paradis,
Tu ne les vends pas le methadone des laboratoires clandestines de Paris,
Même que maintenant cette commerce six, six, six est permise,
Car c’est le temps quand la bête sort de son abîme contre Jesus Christ, Le Fils,
Avec les terroristes du FIS,
Tout de même tu n’échanges pas le cocaïne contre l’héroïne comme le fascisme contre pédérastie d’artificiel cramoisi et communisme pas moins pis,
Gay-parades sont si ressemblantes aux manifestations pour Staline, antichristianisme rit,
Quand les parents ce qu’il faut devant les gens en « bons égyptiens » disent,
En tremblant en cachette que ses petits enfants par les ordonnances du pharaon ne se pervertissent, des soucis,
Idem le roi de Sodome bis,
En fourrure des brebis tuées défilent comme soi-disant antifascistes des nouvelles supermodeles en troupes du fascisme damné et perverti,
En vociférant exactement comme ses grands parents collaborationnistes, évolutions pharisiennes des cabris.

*En lien avec ma poème « Autobiographie en Bastille hexagonale » ou chateau Goulag hexagonal - Il fait beau dans le France, quoi…