Poème:Cri D’un Presque Munch

Ciel bleu gris,
Seine coule près de Notre-Dame de Paris,
Les vibrations des pharisiens comme des moustiques grouillent par ici,
Les scarabées et les grenouilles portent ses parapluies,
Pour tout le monde c’est le samedi du paradis ici,
Mais pour moi soudain c’est le complot et le noir jeudi,
La fausse note de géante Vanesse Paradis,
Banni, je prends de l’air, après le bus ou taxi,
Gare St Lazare, Porte d’Italie,
Sont contents, le pain levé par la méchanceté seulement se multiplie,
Corneilles et pigeons le mangeant sont devenus comme des rats bien vraiment pervertis,
Le veaux en blanc d’un prêtre ou d’un pneumologue soudain les génitaux d’un mulet devant a sorti,
Sans honte de violenter les petits,
Et si tu n’es pas d’accord on appelle le psy
Avec une sorte d’électrochoquante thérapie,
Sinon tu mourras bien sans toit et sans abri avec la phtisie,
La nuit passée, déjà le vendredi,
La Croix, pourtant sont-ils bien avertis, mais si,
Les vierges sans huile de Bonté car pleureront ceux qui en ce moment rient,
Quand la nouvelle et la dernière bête (après Staline, Hitler, kamikazes de L’Asie)
Sort de son abri,
La prostituée de Babylone l’a enfanté et par cette bête est pourtant haïe,
Mais ce n’est pas juste une question d’homophobie ou homophonie,
Arrêtez alors bien cette hypocrisie,
Qui même la dernière lune de cette nuit fait noircir,
C’est fou alors ce ’tant pis’ contre Marie Prévenante sur la Parousie,
Pas de troisième joue, la beauté néanmoins ne se perverti, quand contre Job on parie…

***En lien avec mon poème « Autobiographie en Bastille hexagonale »