Poème:Dieu Est Un Traître
Le Poème
La valse des ténèbres est entamée
La noirceur de ton âme nous a charmés
Tes sombres ailes repliées théâtralement
Tu te retournes vers moi maintenant
Ton visage est pâle, androgyne et fier
Tu souris, montrant une assurance claire
Tes yeux sont sans pupille, d’un noir d’ébène
Qui me pénètrent et y reflètent ton domaine
Lentement tu me tend la main et m’invite
A entrer dans ce cercle d’ombres qui m’évitent
Je prends ta main, incapable de lui dire non
Son contact est chaud, séduisant et bon
D’un geste majestueux tes ailes m’enlacent
Et lentement nos silhouettes se fondent et s’effacent
Pour réapparaître en d’autre lieu d’autre temps
Un temps où je t’aperçoit, toi, différent
Tu es toujours aussi majestueux
Mais tes traits sont sérieux et lumineux
Tu es loin et tu parles à tes semblables
Et tous t’écoutent d’un silence impeccable
Tu es devant moi, au loin, lumineux
Mais également derrière moi, ténébreux
Je comprends alors qu’il est ce que tu fus
Et que tu es ce que lui est devenu
Lentement, tu t’avances jusqu’à mon niveau
Le sourire t’a quitté, tu n’es pas moins beau
Ton regard noir ne le quitte pas des yeux
Et il y danse et coule des larmes de feu
L’espace d’un instant, je crains ta réaction
Mais sans prévenir, débute alors l’action
Ceux qui écoutaient si calme ton autre toi
Se ruent sur lui d’un simple geste du doigt
Le combat s’engage et il lutte sans comprendre
C’est trop inégal, il fini par se rendre
Et j’assiste, impuissant, à sa chute aux enfers
A ta chute aux enfer, car tu es Lucifer.
Mon cœur se glace alors à le regarder
Celui qui de son doigt t’a juste condamné
L’être suprême dont tout le monde vante la bonté
Oui, dieu, dieu a condamné son fils bien aimé
Mon regard se pose sur toi, qui t’avances lentement
Ton regard sur eux, tu pleures des larmes de sang
Je suis ébranlé par cette scène révélatrice
Ainsi, dieu que l’on prie, a trahi son cher fils ?
Puis tout se fige soudain d’un geste de ta main
Tout s’estompe autour de toi, étoile du matin
La valse des ténèbres est déjà terminée
Lorsque nous rejoignons les ombres de ta contrée
Une myriade de questions brûle désormais mes lèvres
Je quête tes réponses avant que ne cesse ma fièvre
A-t-il agit ainsi par simple jalousie ?
De voir que les mortels t’adulaient toi aussi ?
Tu te tournes vers moi, le sang n’a pas séché
Sur ton visage si doux et glacial d’ange damné
Tu t’avances vers moi, lentement, sans mot dire
Et ton visage merveilleux retrouve le sourire
Une dernière fois tes longues et sombres ailes m’enserrent
Je veux te crier cette question : que dois je donc faire ?
Mais déjà je m’efface et regagne mon cœur
N’entendant qu’un murmure me disant : explique leur.
La noirceur de ton âme nous a charmés
Tes sombres ailes repliées théâtralement
Tu te retournes vers moi maintenant
Ton visage est pâle, androgyne et fier
Tu souris, montrant une assurance claire
Tes yeux sont sans pupille, d’un noir d’ébène
Qui me pénètrent et y reflètent ton domaine
Lentement tu me tend la main et m’invite
A entrer dans ce cercle d’ombres qui m’évitent
Je prends ta main, incapable de lui dire non
Son contact est chaud, séduisant et bon
D’un geste majestueux tes ailes m’enlacent
Et lentement nos silhouettes se fondent et s’effacent
Pour réapparaître en d’autre lieu d’autre temps
Un temps où je t’aperçoit, toi, différent
Tu es toujours aussi majestueux
Mais tes traits sont sérieux et lumineux
Tu es loin et tu parles à tes semblables
Et tous t’écoutent d’un silence impeccable
Tu es devant moi, au loin, lumineux
Mais également derrière moi, ténébreux
Je comprends alors qu’il est ce que tu fus
Et que tu es ce que lui est devenu
Lentement, tu t’avances jusqu’à mon niveau
Le sourire t’a quitté, tu n’es pas moins beau
Ton regard noir ne le quitte pas des yeux
Et il y danse et coule des larmes de feu
L’espace d’un instant, je crains ta réaction
Mais sans prévenir, débute alors l’action
Ceux qui écoutaient si calme ton autre toi
Se ruent sur lui d’un simple geste du doigt
Le combat s’engage et il lutte sans comprendre
C’est trop inégal, il fini par se rendre
Et j’assiste, impuissant, à sa chute aux enfers
A ta chute aux enfer, car tu es Lucifer.
Mon cœur se glace alors à le regarder
Celui qui de son doigt t’a juste condamné
L’être suprême dont tout le monde vante la bonté
Oui, dieu, dieu a condamné son fils bien aimé
Mon regard se pose sur toi, qui t’avances lentement
Ton regard sur eux, tu pleures des larmes de sang
Je suis ébranlé par cette scène révélatrice
Ainsi, dieu que l’on prie, a trahi son cher fils ?
Puis tout se fige soudain d’un geste de ta main
Tout s’estompe autour de toi, étoile du matin
La valse des ténèbres est déjà terminée
Lorsque nous rejoignons les ombres de ta contrée
Une myriade de questions brûle désormais mes lèvres
Je quête tes réponses avant que ne cesse ma fièvre
A-t-il agit ainsi par simple jalousie ?
De voir que les mortels t’adulaient toi aussi ?
Tu te tournes vers moi, le sang n’a pas séché
Sur ton visage si doux et glacial d’ange damné
Tu t’avances vers moi, lentement, sans mot dire
Et ton visage merveilleux retrouve le sourire
Une dernière fois tes longues et sombres ailes m’enserrent
Je veux te crier cette question : que dois je donc faire ?
Mais déjà je m’efface et regagne mon cœur
N’entendant qu’un murmure me disant : explique leur.
PostScriptum
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Poète Séphiroth_17364
Séphiroth_17364 a publié sur le site 5 écrits. Séphiroth_17364 est membre du site depuis l'année 2004.Lire le profil du poète Séphiroth_17364Syllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Dieu Est Un Traître
la=val=se=des=té=nè=bres=est=en=ta=mée 11la=noir=ceur=de=ton=â=me=nous=a=char=més 11
tes=som=bres=ai=les=re=pli=ées=théâ=tra=le=ment 12
tu=te=re=tour=nes=vers=moi=main=te=nant 10
ton=vi=sage=est=pâ=le=an=dro=gy=ne=et=fier 12
tu=sou=ris=mon=trant=u=ne=as=su=ran=ce=claire 12
tes=y=eux=sont=sans=pu=pil=le=dun=noir=dé=bène 12
qui=me=pé=nètrent=et=y=re=flè=tent=ton=do=maine 12
len=te=ment=tu=me=tend=la=main=et=min=vi=te 12
a=en=trer=dans=ce=cer=cle=dom=bres=qui=mé=vitent 12
je=prends=ta=main=in=ca=pable=de=lui=di=re=non 12
son=con=tact=est=chaud=sé=dui=sant=et=bon 10
dun=ges=te=ma=jes=tu=eux=tes=ai=les=men=lacent 12
et=lente=ment=nos=silhouet=tes=se=fon=dent=et=sef=facent 12
pour=ré=ap=pa=raître=en=dau=tre=lieu=dau=tre=temps 12
un=temps=où=je=ta=per=çoit=toi=dif=fé=rent 11
tu=es=tou=jours=aus=si=ma=jes=tu=eux 10
mais=tes=traits=sont=sé=rieux=et=lu=mi=neux 10
tu=es=loin=et=tu=par=les=à=tes=sem=bla=bles 12
et=tous=té=cou=tent=dun=si=len=ce=im=pec=cable 12
tu=es=de=vant=moi=au=loin=lu=mi=neux 10
mais=é=ga=le=ment=der=riè=re=moi=té=né=breux 12
je=com=prends=a=lors=quil=est=ce=que=tu=fus 11
et=que=tu=es=ce=que=lui=est=de=ve=nu 11
len=te=ment=tu=ta=van=ces=jus=quà=mon=ni=veau 12
le=sou=ri=re=ta=quit=té=tu=nes=pas=moins=beau 12
ton=re=gard=noir=ne=le=quit=te=pas=des=y=eux 12
et=il=y=danse=et=cou=le=des=lar=mes=de=feu 12
les=pa=ce=dun=ins=tant=je=crains=ta=ré=ac=tion 12
mais=sans=pré=ve=nir=dé=bu=te=a=lors=lac=tion 12
ceux=qui=é=cou=taient=si=cal=me=ton=au=tre=toi 12
se=ruent=sur=lui=dun=sim=ple=ges=te=du=doigt 11
le=com=bat=sen=gage=et=il=lut=te=sans=com=prendre 12
cest=trop=i=né=gal=il=fi=ni=par=se=ren=dre 12
et=jas=siste=im=puis=sant=à=sa=chu=teaux=en=fers 12
a=ta=chute=aux=en=fer=car=tu=es=lu=ci=fer 12
mon=cœur=se=gla=ce=a=lors=à=le=re=gar=der 12
ce=lui=qui=de=son=doigt=ta=jus=te=con=dam=né 12
lêtre=su=prê=me=dont=tout=le=mon=de=van=te=la=bon=té 14
oui=dieu=dieu=a=con=dam=né=son=fils=bien=ai=mé 12
mon=re=gard=se=pose=sur=toi=qui=ta=van=ces=len=te=ment 14
ton=re=gard=sur=eux=tu=pleures=des=lar=mes=de=sang 12
je=suis=é=bran=lé=par=cette=s=cène=ré=vé=la=trice 13
ain=si=dieu=que=lon=prie=a=tra=hi=son=cher=fils 12
puis=tout=se=fige=sou=dain=dun=ges=te=de=ta=main 12
tout=ses=tompeau=tour=de=toi=é=toi=le=du=ma=tin 12
la=val=se=des=té=nèbres=est=dé=jà=ter=mi=née 12
lors=que=nous=re=joi=gnons=les=ombres=de=ta=con=trée 12
une=my=ria=de=de=ques=tions=brû=le=dé=sor=mais=mes=lèvres 14
je=quête=tes=ré=pon=ses=a=vant=que=ne=ces=se=ma=fièvre 14
a=til=a=git=ain=si=par=sim=ple=ja=lou=sie 12
de=voir=que=les=mor=tels=ta=du=laient=toi=aus=si 12
tu=te=tour=nes=vers=moi=le=sang=na=pas=sé=ché 12
sur=ton=vi=sage=si=doux=et=gla=cial=dan=ge=dam=né 13
tu=ta=van=ces=vers=moi=len=te=ment=sans=mot=dire 12
et=ton=vi=sage=mer=veilleux=re=trou=ve=le=sou=rire 12
une=der=niè=re=fois=tes=lon=gues=et=som=bres=ai=les=men=serrent 15
je=veux=te=crier=cette=ques=tion=que=dois=je=donc=faire 12
mais=dé=jà=je=mef=face=et=re=ga=gne=mon=cœur 12
nenten=dant=quun=mur=mu=re=me=di=sant=ex=pli=que=leur 13
Phonétique : Dieu Est Un Traître
la valsə dε tenεbʁəz- εt- ɑ̃tamela nwaʁsœʁ də tɔ̃n- amə nuz- a ʃaʁme
tε sɔ̃bʁəz- εlə ʁəplje teatʁaləmɑ̃
ty tə ʁətuʁnə- vεʁ mwa mɛ̃tənɑ̃
tɔ̃ vizaʒə ε palə, ɑ̃dʁɔʒinə e fje
ty suʁi, mɔ̃tʁɑ̃ ynə asyʁɑ̃sə klεʁə
tεz- iø sɔ̃ sɑ̃ pypijə, dœ̃ nwaʁ debεnə
ki mə penεtʁe e i ʁəflεte tɔ̃ dɔmεnə
lɑ̃təmɑ̃ ty mə tɑ̃ la mɛ̃ e mɛ̃vitə
a ɑ̃tʁe dɑ̃ sə sεʁklə dɔ̃bʁə- ki mevite
ʒə pʁɑ̃ ta mɛ̃, ɛ̃kapablə də lɥi diʁə nɔ̃
sɔ̃ kɔ̃takt ε ʃo, sedɥizɑ̃ e bɔ̃
dœ̃ ʒεstə maʒεstɥø tεz- εlə mɑ̃lase
e lɑ̃təmɑ̃ no siluεtə sə fɔ̃de e sefase
puʁ ʁeapaʁεtʁə ɑ̃ dotʁə ljø dotʁə tɑ̃
œ̃ tɑ̃z- u ʒə tapεʁswa, twa, difeʁɑ̃
ty ε tuʒuʁz- osi maʒεstɥø
mε tε tʁε sɔ̃ seʁjøz- e lyminø
ty ε lwɛ̃ e ty paʁləz- a tε sɑ̃blablə
e tus tekute dœ̃ silɑ̃sə ɛ̃pεkablə
ty ε dəvɑ̃ mwa, o lwɛ̃, lyminø
mεz- eɡaləmɑ̃ dəʁjεʁə mwa, tenebʁø
ʒə kɔ̃pʁɑ̃z- alɔʁ kil ε sə kə ty fy
e kə ty ε sə kə lɥi ε dəvəny
lɑ̃təmɑ̃, ty tavɑ̃sə ʒyska mɔ̃ nivo
lə suʁiʁə ta kite, ty nε pa mwɛ̃ bo
tɔ̃ ʁəɡaʁ nwaʁ nə lə kitə pa dεz- iø
e il i dɑ̃sə e kulə dε laʁmə- də fø
lεspasə dœ̃n- ɛ̃stɑ̃, ʒə kʁɛ̃ ta ʁeaksjɔ̃
mε sɑ̃ pʁevəniʁ, debytə alɔʁ laksjɔ̃
sø ki ekutε si kalmə tɔ̃n- otʁə twa
sə ʁye syʁ lɥi dœ̃ sɛ̃plə ʒεstə dy dwa
lə kɔ̃ba sɑ̃ɡaʒə e il lytə sɑ̃ kɔ̃pʁɑ̃dʁə
sε tʁo ineɡal, il fini paʁ sə ʁɑ̃dʁə
e ʒasistə, ɛ̃pɥisɑ̃, a sa ʃytə oz- ɑ̃fe
a ta ʃytə oz- ɑ̃fe, kaʁ ty ε lysife.
mɔ̃ kœʁ sə ɡlasə alɔʁz- a lə ʁəɡaʁde
səlɥi ki də sɔ̃ dwa ta ʒystə kɔ̃damne
lεtʁə sypʁεmə dɔ̃ tu lə mɔ̃də vɑ̃tə la bɔ̃te
ui, djø, djø a kɔ̃damne sɔ̃ fis bjɛ̃ εme
mɔ̃ ʁəɡaʁ sə pozə syʁ twa, ki tavɑ̃sə lɑ̃təmɑ̃
tɔ̃ ʁəɡaʁ syʁ ø, ty plœʁə dε laʁmə- də sɑ̃
ʒə sɥiz- ebʁɑ̃le paʁ sεtə sεnə ʁevelatʁisə
ɛ̃si, djø kə lɔ̃ pʁi, a tʁai sɔ̃ ʃεʁ fis ?
pɥi tu sə fiʒə sudɛ̃ dœ̃ ʒεstə də ta mɛ̃
tu sεstɔ̃pə otuʁ də twa, etwalə dy matɛ̃
la valsə dε tenεbʁəz- ε deʒa tεʁmine
lɔʁskə nu ʁəʒwaɲɔ̃ lεz- ɔ̃bʁə- də ta kɔ̃tʁe
ynə miʁjadə də kεstjɔ̃ bʁylə dezɔʁmε mε lεvʁə
ʒə kεtə tε ʁepɔ̃səz- avɑ̃ kə nə sεsə ma fjεvʁə
a til aʒi ɛ̃si paʁ sɛ̃plə ʒaluzi ?
də vwaʁ kə lε mɔʁtεl tadylε twa osi ?
ty tə tuʁnə- vεʁ mwa, lə sɑ̃ na pa seʃe
syʁ tɔ̃ vizaʒə si duz- e ɡlasjal dɑ̃ʒə damne
ty tavɑ̃sə vεʁ mwa, lɑ̃təmɑ̃, sɑ̃ mo diʁə
e tɔ̃ vizaʒə mεʁvεjø ʁətʁuvə lə suʁiʁə
ynə dεʁnjεʁə fwa tε lɔ̃ɡz- e sɔ̃bʁəz- εlə mɑ̃seʁe
ʒə vø tə kʁje sεtə kεstjɔ̃ : kə dwa ʒə dɔ̃k fεʁə ?
mε deʒa ʒə mefasə e ʁəɡaɲə mɔ̃ kœʁ
nɑ̃tɑ̃dɑ̃ kœ̃ myʁmyʁə mə dizɑ̃ : εksplikə lœʁ.
Syllabes Phonétique : Dieu Est Un Traître
la=val=sə=dε=te=nε=bʁə=zε=tɑ̃=ta=me 11la=nwaʁ=sœ=ʁə=də=tɔ̃=na=mə=nu=za=ʃaʁ=me 12
tε=sɔ̃=bʁə=zε=lə=ʁə=plje=te=a=tʁa=lə=mɑ̃ 12
ty=tə=ʁə=tuʁ=nə=vεʁ=mwa=mɛ̃=tə=nɑ̃ 10
tɔ̃=vi=za=ʒə=ε=palə=ɑ̃=dʁɔ=ʒi=nə=e=fje 12
ty=su=ʁi=mɔ̃=tʁɑ̃=y=nə=a=sy=ʁɑ̃=sə=klεʁə 12
tε=zi=ø=sɔ̃=sɑ̃=py=pi=jə=dœ̃=nwaʁ=de=bεnə 12
kimə=pe=nε=tʁe=e=i=ʁə=flε=te=tɔ̃=dɔ=mεnə 12
lɑ̃=tə=mɑ̃=ty=mə=tɑ̃=la=mɛ̃=e=mɛ̃=vi=tə 12
a=ɑ̃=tʁe=dɑ̃=sə=sεʁklə=dɔ̃=bʁə=ki=me=vi=te 12
ʒə=pʁɑ̃=ta=mɛ̃=ɛ̃=ka=pablə=də=lɥi=di=ʁə=nɔ̃ 12
sɔ̃=kɔ̃=takt=ε=ʃo=sed=ɥi=zɑ̃=e=bɔ̃ 10
dœ̃=ʒεs=tə=ma=ʒεs=tɥø=tε=zε=lə=mɑ̃=la=se 12
e=lɑ̃tə=mɑ̃=no=si=lu=ε=tə=sə=fɔ̃=de=e=se=fase 14
puʁ=ʁe=a=pa=ʁεtʁə=ɑ̃=do=tʁə=ljø=do=tʁə=tɑ̃ 12
œ̃=tɑ̃=zu=ʒə=ta=pεʁ=swa=twa=di=fe=ʁɑ̃ 11
ty=ε=tu=ʒuʁ=zo=si=ma=ʒεs=tɥ=ø 10
mε=tε=tʁε=sɔ̃=se=ʁj=ø=ze=ly=mi=nø 11
ty=ε=lwɛ̃=e=ty=paʁ=lə=za=tε=sɑ̃=bla=blə 12
e=tus=te=ku=te=dœ̃=si=lɑ̃=sə=ɛ̃=pε=kablə 12
ty=ε=də=vɑ̃=mwa=o=lwɛ̃=ly=mi=nø 10
mε=ze=ɡa=lə=mɑ̃=də=ʁjε=ʁə=mwa=te=ne=bʁø 12
ʒə=kɔ̃=pʁɑ̃=za=lɔʁ=kil=ε=sə=kə=ty=fy 11
e=kə=ty=εs=ə=kə=lɥi=ε=də=və=ny 11
lɑ̃=tə=mɑ̃=ty=ta=vɑ̃=sə=ʒys=ka=mɔ̃=ni=vo 12
lə=su=ʁi=ʁə=ta=ki=te=ty=nε=pa=mwɛ̃=bo 12
tɔ̃=ʁə=ɡaʁ=nwaʁ=nə=lə=ki=tə=pa=dε=zi=ø 12
e=il=i=dɑ̃sə=e=ku=lə=dε=laʁ=mə=də=fø 12
lεs=pa=sə=dœ̃=nɛ̃s=tɑ̃=ʒə=kʁɛ̃=ta=ʁe=ak=sjɔ̃ 12
mε=sɑ̃=pʁe=və=niʁ=de=by=tə=a=lɔʁ=lak=sjɔ̃ 12
sø=ki=e=ku=tε=si=kal=mə=tɔ̃=no=tʁə=twa 12
sə=ʁy=e=syʁ=lɥi=dœ̃=sɛ̃=plə=ʒεs=tə=dy=dwa 12
lə=kɔ̃=ba=sɑ̃=ɡaʒə=e=il=ly=tə=sɑ̃=kɔ̃=pʁɑ̃dʁə 12
sε=tʁo=i=ne=ɡal=il=fi=ni=paʁ=sə=ʁɑ̃=dʁə 12
e=ʒa=sistə=ɛ̃p=ɥi=sɑ̃=a=sa=ʃy=təo=zɑ̃=fe 12
a=ta=ʃytə=o=zɑ̃=fe=kaʁ=ty=ε=ly=si=fe 12
mɔ̃=kœʁ=sə=ɡla=sə=a=lɔʁ=za=lə=ʁə=ɡaʁ=de 12
səl=ɥi=ki=də=sɔ̃=dwa=ta=ʒys=tə=kɔ̃=dan 11
lεtʁə=sy=pʁε=mə=dɔ̃=tulə=mɔ̃=də=vɑ̃=tə=la=bɔ̃=te 13
u=i=djø=djø=a=kɔ̃=dan=sɔ̃=fis=bjɛ̃=ε=me 12
mɔ̃ʁə=ɡaʁ=sə=po=zə=syʁ=twa=ki=ta=vɑ̃=sə=lɑ̃=tə=mɑ̃ 14
tɔ̃ʁə=ɡaʁ=syʁ=ø=ty=plœ=ʁə=dε=laʁ=mə=də=sɑ̃ 12
ʒə=sɥi=ze=bʁɑ̃=le=paʁ=sεtə=sε=nə=ʁe=ve=latʁisə 12
ɛ̃=si=djø=kə=lɔ̃=pʁi=a=tʁa=i=sɔ̃=ʃεʁ=fis 12
pɥi=tusə=fi=ʒə=su=dɛ̃=dœ̃=ʒεs=tə=də=ta=mɛ̃ 12
tu=sεs=tɔ̃pəo=tuʁ=də=twa=e=twa=lə=dy=ma=tɛ̃ 12
la=val=sə=dε=te=nεbʁə=zε=de=ʒa=tεʁ=mi=ne 12
lɔʁskə=nu=ʁə=ʒwa=ɲɔ̃=lε=zɔ̃=bʁə=də=ta=kɔ̃=tʁe 12
ynə=mi=ʁja=də=də=kεs=tjɔ̃=bʁy=lə=de=zɔʁ=mε=mε=lεvʁə 14
ʒə=kεtə=tε=ʁe=pɔ̃=sə=za=vɑ̃=kə=nə=sε=sə=ma=fjεvʁə 14
a=til=a=ʒi=ɛ̃=si=paʁ=sɛ̃=plə=ʒa=lu=zi 12
də=vwaʁ=kə=lε=mɔʁ=tεl=ta=dy=lε=twa=o=si 12
ty=tə=tuʁ=nə=vεʁ=mwa=lə=sɑ̃=na=pa=se=ʃe 12
syʁ=tɔ̃=vi=zaʒə=si=du=ze=ɡla=sjal=dɑ̃=ʒə=dam=ne 13
ty=ta=vɑ̃=sə=vεʁ=mwa=lɑ̃=tə=mɑ̃=sɑ̃=mo=diʁə 12
e=tɔ̃=vi=zaʒə=mεʁ=vε=jø=ʁə=tʁu=və=lə=suʁiʁə 12
ynə=dεʁ=njε=ʁə=fwa=tε=lɔ̃ɡ=ze=sɔ̃=bʁə=zε=lə=mɑ̃=se=ʁe 15
ʒə=vøtə=kʁje=sε=tə=kεs=tjɔ̃=kə=dwa=ʒə=dɔ̃k=fεʁə 12
mε=de=ʒa=ʒə=me=fasə=e=ʁə=ɡa=ɲə=mɔ̃=kœʁ 12
nɑ̃=tɑ̃=dɑ̃=kœ̃=myʁ=myʁə=mə=di=zɑ̃=εk=spli=kə=lœʁ 13
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
01/08/2007 00:29Babynis
Magnifique...vraiment...
Mes amitiés, Babynis (BF)
Poème Religion
Du 25/05/2007 17:08
L'écrit contient 513 mots qui sont répartis dans 15 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.