Slam:Ma Ville
Le Slam
Ma ville
Tu sais ma ville entre tes tours couleur béton couleur bêtise
Les leçons de la vie c’est dans la rue que je les ai apprises
Les cours du soir c’était fumer faire la pige aux filles
Se friter au foot jouer aux billes
Alors ma ville lorsque tu t’endors
Que tes ruelles se fondent dans la masse
L’écheveau des souvenirs défile en technicolor
Puis s’effiloche dans ma tête en petites séquences fugaces
Tu vois ma ville sans concession je te regarde
Avec des yeux attentifs de chien de garde
Peu à peu on a appris à se connaître
Tu m’as ouvert les bras comme une mère
Alors ma ville lorsque tu t’endors
Que tes ruelles se fondent dans la masse
Je t’offre un ticket franco de port
Un aller retour la Défense ou Montparnasse
Ton regard traverse le periph change de classe
Dans ton esprit un peu retors
Tu aperçois les tours des traders voraces
Tu changes le champ de vision de ton décor
Tu vois pavaner les costards cravates
Sur les avenues opposées des traine- savates
Et puis tes illusions se fondent sur la glace
Des grands buildings empreints de classe
Tu sais ma ville malgré ton odeur de soufre et de béton
Ta fracture sociale qui fait la une des journaux
Je jette mon poing dans la vitrine des allusions
Je tempe ma plume dans l’asphalte
En acrobate des jeux de mots j’exalte
Comme la cerise sur le guetto
Ok, ok ma ville c’est sûr c’est dur à concevoir
Lorsque ça saigne sur ton trottoir
Les junkies titubants chauffant leur dose
Le soir le square a peur au paradis des éléphants roses
Alors ma ville lorsque tu t’endors
Que tes ruelles font la grimace
Tes souillures je les prends à bras le corps
Dans ma caboche toute la nuit je me les ressasse
Je vois la nuisance dans tes halls d’immeuble
La goutte d’eau qui fait déborder le vase
Les parasites encagoulés qui beuglent
Depuis des décennies la goutte on se la repasse
Et puis elle finit dans la rigole des veules
Alors ma ville puisque tu t’endors
Que tes neurones sont amorphes
Sur tes murs qui ruissellent le mauvais sort
Je m’insurge, en cri du cœur j’écris ma strophe
J’avoue j’ai mille fois voulu me faire la malle
Prendre mes cliques mes claques voir d’autres mondes attachants
Mais j’ai jeté mon encrier aux pieds de tes tours à dix balles
Et l’encre est indélébile comme la sonorité de mon accent
Alors ma ville lorsque tu t’endors
Que tes ruelles se fondent dans la masse
Pour ne plus voir tes murs tagués dignes d’un film gore
Je ferme les yeux et je m’envole hors de la nasse
Tu sais ma ville entre tes tours couleur béton couleur bêtise
Les leçons de la vie c’est dans la rue que je les ai apprises
Les cours du soir c’était fumer faire la pige aux filles
Se friter au foot jouer aux billes
Alors ma ville lorsque tu t’endors
Que tes ruelles se fondent dans la masse
L’écheveau des souvenirs défile en technicolor
Puis s’effiloche dans ma tête en petites séquences fugaces
Tu vois ma ville sans concession je te regarde
Avec des yeux attentifs de chien de garde
Peu à peu on a appris à se connaître
Tu m’as ouvert les bras comme une mère
Alors ma ville lorsque tu t’endors
Que tes ruelles se fondent dans la masse
Je t’offre un ticket franco de port
Un aller retour la Défense ou Montparnasse
Ton regard traverse le periph change de classe
Dans ton esprit un peu retors
Tu aperçois les tours des traders voraces
Tu changes le champ de vision de ton décor
Tu vois pavaner les costards cravates
Sur les avenues opposées des traine- savates
Et puis tes illusions se fondent sur la glace
Des grands buildings empreints de classe
Tu sais ma ville malgré ton odeur de soufre et de béton
Ta fracture sociale qui fait la une des journaux
Je jette mon poing dans la vitrine des allusions
Je tempe ma plume dans l’asphalte
En acrobate des jeux de mots j’exalte
Comme la cerise sur le guetto
Ok, ok ma ville c’est sûr c’est dur à concevoir
Lorsque ça saigne sur ton trottoir
Les junkies titubants chauffant leur dose
Le soir le square a peur au paradis des éléphants roses
Alors ma ville lorsque tu t’endors
Que tes ruelles font la grimace
Tes souillures je les prends à bras le corps
Dans ma caboche toute la nuit je me les ressasse
Je vois la nuisance dans tes halls d’immeuble
La goutte d’eau qui fait déborder le vase
Les parasites encagoulés qui beuglent
Depuis des décennies la goutte on se la repasse
Et puis elle finit dans la rigole des veules
Alors ma ville puisque tu t’endors
Que tes neurones sont amorphes
Sur tes murs qui ruissellent le mauvais sort
Je m’insurge, en cri du cœur j’écris ma strophe
J’avoue j’ai mille fois voulu me faire la malle
Prendre mes cliques mes claques voir d’autres mondes attachants
Mais j’ai jeté mon encrier aux pieds de tes tours à dix balles
Et l’encre est indélébile comme la sonorité de mon accent
Alors ma ville lorsque tu t’endors
Que tes ruelles se fondent dans la masse
Pour ne plus voir tes murs tagués dignes d’un film gore
Je ferme les yeux et je m’envole hors de la nasse
Slameur Serge
Serge a publié sur le site 1 écrit. Serge est membre du site depuis l'année 2024.Lire le profil du slameur SergeSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Ma Ville
ma=vi=lle 3tu=sais=ma=villeentre=tes=tours=cou=leur=bé=ton=cou=leur=bê=tise 14
les=le=çons=de=la=vie=cest=dans=la=rue=que=je=les=ai=ap=prises 16
les=cours=du=soir=cé=tait=fu=mer=faire=la=pi=geaux=filles 13
se=fri=ter=au=foot=jou=er=aux=bi=lles 10
a=lors=ma=vil=le=lors=que=tu=ten=dors 10
que=tes=ruel=les=se=fon=dent=dans=la=masse 10
léche=veau=des=souve=nirs=dé=fi=leen=tech=ni=co=lor 12
puis=sef=fi=loche=dans=ma=tê=teen=pe=tites=sé=quences=fu=gaces 14
tu=vois=ma=ville=sans=conces=sion=je=te=re=garde 11
a=vec=des=yeux=at=ten=tifs=de=chien=de=garde 11
peu=à=peu=on=a=ap=pris=à=se=con=naître 11
tu=mas=ou=vert=les=bras=comme=u=ne=mère 10
a=lors=ma=vil=le=lors=que=tu=ten=dors 10
que=tes=ruel=les=se=fon=dent=dans=la=masse 10
je=tof=fre=un=ti=cket=fran=co=de=port 10
un=al=ler=re=tour=la=défen=seou=mont=par=nasse 11
ton=re=gard=tra=verse=le=pe=ri=ph=change=de=classe 12
dans=ton=es=prit=un=peu=re=tors 8
tu=a=per=çois=les=tours=des=tra=ders=vo=races 11
tu=changes=le=champ=de=vi=sion=de=ton=dé=cor 11
tu=vois=pa=va=ner=les=cos=tards=cra=vates 10
sur=les=ave=nues=op=po=sées=des=traine=sa=vates 11
et=puis=tes=illu=sions=se=fondent=sur=la=glace 10
des=grands=buil=dings=em=preints=de=clas=se 9
tu=sais=ma=ville=mal=gré=ton=o=deur=de=soufreet=de=bé=ton 14
ta=frac=ture=so=ciale=qui=fait=la=une=des=jour=naux 12
je=jette=mon=poing=dans=la=vi=trine=des=al=lu=sions 12
je=tem=pe=ma=plu=me=dans=las=pha=lte 10
en=a=cro=ba=te=des=jeux=de=mots=jexalte 10
com=me=la=ce=ri=se=sur=le=guet=to 10
ok=ok=ma=ville=cest=sûr=cest=dur=à=conce=voir 11
lors=que=ça=sai=gne=sur=ton=trot=toir 9
les=jun=kies=ti=tu=bants=chauf=fant=leur=dose 10
le=soir=le=s=quarea=peur=au=pa=ra=dis=des=é=lé=phants=roses 15
a=lors=ma=vil=le=lors=que=tu=ten=dors 10
que=tes=ru=el=les=font=la=gri=ma=ce 10
tes=souillu=res=je=les=prends=à=bras=le=corps 10
dans=ma=ca=boche=toute=la=nuit=je=me=les=res=sasse 12
je=vois=la=nui=sance=dans=tes=halls=dim=meuble 10
la=gout=te=deau=qui=fait=dé=bor=der=le=vase 11
les=pa=ra=sites=en=ca=gou=lés=qui=beuglent 10
de=puis=des=décen=nies=la=gout=teon=se=la=re=passe 12
et=puis=elle=fi=nit=dans=la=ri=gole=des=veules 11
a=lors=ma=vil=le=puis=que=tu=ten=dors 10
que=tes=neu=ro=nes=sont=a=mor=phes 9
sur=tes=murs=qui=ruis=sel=lent=le=mau=vais=sort 11
je=min=sur=ge=en=cri=du=cœur=jé=cris=ma=strophe 12
ja=voue=jai=mille=fois=vou=lu=me=faire=la=malle 11
prendre=mes=cli=ques=mes=cla=ques=voir=dautres=mondes=at=ta=chants 13
mais=jai=je=té=mon=en=crier=aux=pieds=de=tes=tours=à=dix=balles 15
et=lencreest=in=dé=lé=bile=comme=la=so=no=ri=té=de=mon=ac=cent 16
a=lors=ma=vil=le=lors=que=tu=ten=dors 10
que=tes=ruel=les=se=fon=dent=dans=la=masse 10
pour=ne=plus=voir=tes=murs=ta=gués=dignes=dun=film=gore 12
je=ferme=les=yeux=et=je=men=vole=hors=de=la=nasse 12
Phonétique : Ma Ville
ma viləty sε ma vilə ɑ̃tʁə tε tuʁ kulœʁ betɔ̃ kulœʁ bεtizə
lε ləsɔ̃ də la vi sε dɑ̃ la ʁy kə ʒə lεz- ε apʁizə
lε kuʁ dy swaʁ setε fyme fεʁə la piʒə o fijə
sə fʁite o fu ʒue o bijə
alɔʁ ma vilə lɔʁskə ty tɑ̃dɔʁ
kə tε ʁyεllə sə fɔ̃de dɑ̃ la masə
leʃəvo dε suvəniʁ defilə ɑ̃ tεknikɔlɔʁ
pɥi sefiloʃə dɑ̃ ma tεtə ɑ̃ pətitə sekɑ̃sə fyɡasə
ty vwa ma vilə sɑ̃ kɔ̃sesjɔ̃ ʒə tə ʁəɡaʁdə
avεk dεz- iøz- atɑ̃tif də ʃjɛ̃ də ɡaʁdə
pø a pø ɔ̃n- a apʁiz- a sə kɔnεtʁə
ty ma uvεʁ lε bʁa kɔmə ynə mεʁə
alɔʁ ma vilə lɔʁskə ty tɑ̃dɔʁ
kə tε ʁyεllə sə fɔ̃de dɑ̃ la masə
ʒə tɔfʁə œ̃ tikε fʁɑ̃ko də pɔʁ
œ̃n- ale ʁətuʁ la defɑ̃sə u mɔ̃tpaʁnasə
tɔ̃ ʁəɡaʁ tʁavεʁsə lə pəʁif ʃɑ̃ʒə də klasə
dɑ̃ tɔ̃n- εspʁi œ̃ pø ʁətɔʁ
ty apεʁswa lε tuʁ dε tʁade vɔʁasə
ty ʃɑ̃ʒə lə ʃɑ̃ də vizjɔ̃ də tɔ̃ dekɔʁ
ty vwa pavane lε kɔstaʁd kʁavatə
syʁ lεz- avənɥz- ɔpoze dε tʁεnə savatə
e pɥi tεz- ilyzjɔ̃ sə fɔ̃de syʁ la ɡlasə
dε ɡʁɑ̃ bɥildiŋz- ɑ̃pʁɛ̃ də klasə
ty sε ma vilə malɡʁe tɔ̃n- ɔdœʁ də sufʁə e də betɔ̃
ta fʁaktyʁə sɔsjalə ki fε la ynə dε ʒuʁno
ʒə ʒεtə mɔ̃ puiŋ dɑ̃ la vitʁinə dεz- alyzjɔ̃
ʒə tɑ̃pə ma plymə dɑ̃ lasfaltə
ɑ̃n- akʁɔbatə dε ʒø də mo ʒεɡzaltə
kɔmə la səʁizə syʁ lə ɡεto
oke, oke ma vilə sε syʁ sε dyʁ a kɔ̃səvwaʁ
lɔʁskə sa sεɲə syʁ tɔ̃ tʁɔtwaʁ
lε ʒœ̃ki titybɑ̃ ʃofɑ̃ lœʁ dozə
lə swaʁ lə skaʁə a pœʁ o paʁadi dεz- elefɑ̃ ʁozə
alɔʁ ma vilə lɔʁskə ty tɑ̃dɔʁ
kə tε ʁyεllə fɔ̃ la ɡʁimasə
tε sujyʁə ʒə lε pʁɑ̃z- a bʁa lə kɔʁ
dɑ̃ ma kaboʃə tutə la nɥi ʒə mə lε ʁesasə
ʒə vwa la nɥizɑ̃sə dɑ̃ tεz- al diməblə
la ɡutə do ki fε debɔʁde lə vazə
lε paʁazitəz- ɑ̃kaɡule ki bøɡle
dəpɥi dε desεni la ɡutə ɔ̃ sə la ʁəpasə
e pɥiz- εllə fini dɑ̃ la ʁiɡɔlə dε vələ
alɔʁ ma vilə pɥiskə ty tɑ̃dɔʁ
kə tε nəʁɔnə sɔ̃t- amɔʁfə
syʁ tε myʁ ki ʁɥisεlle lə movε sɔʁ
ʒə mɛ̃syʁʒə, ɑ̃ kʁi dy kœʁ ʒekʁi ma stʁɔfə
ʒavu ʒε milə fwa vuly mə fεʁə la malə
pʁɑ̃dʁə mε klik mε klak vwaʁ dotʁə- mɔ̃dəz- ataʃɑ̃
mε ʒε ʒəte mɔ̃n- ɑ̃kʁje o pje də tε tuʁz- a di- balə
e lɑ̃kʁə εt- ɛ̃delebilə kɔmə la sonoʁite də mɔ̃n- aksɑ̃
alɔʁ ma vilə lɔʁskə ty tɑ̃dɔʁ
kə tε ʁyεllə sə fɔ̃de dɑ̃ la masə
puʁ nə plys vwaʁ tε myʁ taɡe diɲə dœ̃ film ɡɔʁə
ʒə fεʁmə lεz- iøz- e ʒə mɑ̃vɔlə ɔʁ də la nasə
Syllabes Phonétique : Ma Ville
ma=vi=lə 3ty=sε=maviləɑ̃tʁə=tε=tuʁ=ku=lœʁ=be=tɔ̃=ku=lœʁ=bεtizə 12
lεlə=sɔ̃də=la=vi=sε=dɑ̃=la=ʁy=kə=ʒə=lε=zεapʁizə 12
lε=kuʁ=dy=swaʁse=tε=fy=me=fεʁə=la=pi=ʒəo=fi=jə 13
sə=fʁi=te=o=fu=ʒu=e=o=bi=jə 10
a=lɔʁ=ma=vi=lə=lɔʁ=skə=ty=tɑ̃=dɔʁ 10
kə=tε=ʁy=εl=lə=sə=fɔ̃=de=dɑ̃=la=ma=sə 12
le=ʃə=vo=dεsuvə=niʁ=de=fi=ləɑ̃=tεk=ni=kɔ=lɔʁ 12
pɥise=filoʃə=dɑ̃=ma=tε=təɑ̃=pə=ti=tə=se=kɑ̃=sə=fyɡasə 13
ty=vwa=ma=vilə=sɑ̃=kɔ̃=se=sjɔ̃=ʒə=tə=ʁə=ɡaʁdə 12
a=vεk=dε=zi=ø=za=tɑ̃=tif=də=ʃjɛ̃=də=ɡaʁdə 12
pø=a=pø=ɔ̃=na=a=pʁi=za=sə=kɔ=nε=tʁə 12
ty=ma=u=vεʁ=lε=bʁa=kɔ=mə=y=nə=mε=ʁə 12
a=lɔʁ=ma=vi=lə=lɔʁ=skə=ty=tɑ̃=dɔʁ 10
kə=tε=ʁy=εl=lə=sə=fɔ̃=de=dɑ̃=la=ma=sə 12
ʒə=tɔ=fʁə=œ̃=ti=kε=fʁɑ̃=ko=də=pɔʁ 10
œ̃=na=le=ʁə=tuʁ=la=de=fɑ̃sə=u=mɔ̃t=paʁ=nasə 12
tɔ̃ʁə=ɡaʁ=tʁa=vεʁ=sə=lə=pə=ʁif=ʃɑ̃=ʒə=də=klasə 12
dɑ̃=tɔ̃=nεs=pʁi=œ̃=pø=ʁə=tɔʁ 8
ty=a=pεʁ=swa=lε=tuʁ=dε=tʁa=de=vɔ=ʁa=sə 12
ty=ʃɑ̃=ʒə=lə=ʃɑ̃=də=vi=zjɔ̃=də=tɔ̃=de=kɔʁ 12
ty=vwa=pa=va=ne=lε=kɔs=taʁd=kʁa=va=tə 11
syʁ=lε=za=vən=ɥzɔ=po=ze=dε=tʁε=nə=sa=vatə 12
e=pɥi=tε=zi=ly=zjɔ̃=sə=fɔ̃=de=syʁ=la=ɡlasə 12
dε=ɡʁɑ̃=bɥil=diŋ=zɑ̃=pʁɛ̃=də=kla=sə 9
ty=sεmavilə=mal=ɡʁe=tɔ̃=nɔ=dœʁ=də=su=fʁəe=də=be=tɔ̃ 13
ta=fʁak=tyʁə=sɔ=sjalə=ki=fε=la=ynə=dε=ʒuʁ=no 12
ʒə=ʒεtə=mɔ̃=pu=iŋ=dɑ̃=la=vitʁinə=dε=za=ly=zjɔ̃ 12
ʒə=tɑ̃=pə=ma=ply=mə=dɑ̃=las=fal=tə 10
ɑ̃=na=kʁɔ=ba=tə=dε=ʒø=də=mo=ʒεɡ=zal=tə 12
kɔ=mə=la=sə=ʁi=zə=syʁ=lə=ɡε=to 10
o=ke=o=ke=mavilə=sε=syʁ=sε=dyʁ=a=kɔ̃sə=vwaʁ 12
lɔʁ=skə=sa=sε=ɲə=syʁ=tɔ̃=tʁɔ=twaʁ 9
lε=ʒœ̃=ki=ti=ty=bɑ̃=ʃo=fɑ̃=lœ=ʁə=do=zə 12
lə=swaʁlə=ska=ʁəa=pœʁ=o=pa=ʁa=di=dε=ze=le=fɑ̃ʁozə 13
a=lɔʁ=ma=vi=lə=lɔʁ=skə=ty=tɑ̃=dɔʁ 10
kə=tε=ʁy=εl=lə=fɔ̃=la=ɡʁi=ma=sə 10
tε=su=jy=ʁə=ʒə=lε=pʁɑ̃=za=bʁa=lə=kɔʁ 11
dɑ̃=ma=kaboʃə=tu=tə=la=nɥi=ʒə=mə=lε=ʁe=sasə 12
ʒə=vwa=la=nɥi=zɑ̃=sə=dɑ̃=tε=zal=di=mə=blə 12
la=ɡu=tə=do=ki=fε=de=bɔʁ=de=lə=va=zə 12
lε=pa=ʁa=zi=tə=zɑ̃=ka=ɡu=le=ki=bø=ɡle 12
dəp=ɥi=dε=de=sε=ni=la=ɡutəɔ̃=sə=la=ʁə=pasə 12
e=pɥi=zεllə=fi=ni=dɑ̃=la=ʁi=ɡɔlə=dε=və=lə 12
a=lɔʁ=ma=vi=lə=pɥis=kə=ty=tɑ̃=dɔʁ 10
kə=tε=nə=ʁɔ=nə=sɔ̃=ta=mɔʁ=fə 9
syʁ=tε=myʁ=ki=ʁɥi=sεl=le=lə=mo=vε=sɔʁ 11
ʒə=mɛ̃=syʁ=ʒə=ɑ̃=kʁi=dy=kœʁ=ʒe=kʁi=ma=stʁɔfə 12
ʒa=vu=ʒε=milə=fwa=vu=ly=mə=fε=ʁə=la=malə 12
pʁɑ̃dʁə=mε=klik=mε=klak=vwaʁ=dotʁə=mɔ̃=də=za=ta=ʃɑ̃ 12
mεʒεʒə=te=mɔ̃=nɑ̃=kʁje=o=pje=də=tε=tuʁ=za=dibalə 12
e=lɑ̃kʁəε=tɛ̃=de=le=bilə=kɔmə=la=so=no=ʁi=te=də=mɔ̃=nak=sɑ̃ 16
a=lɔʁ=ma=vi=lə=lɔʁ=skə=ty=tɑ̃=dɔʁ 10
kə=tε=ʁy=εl=lə=sə=fɔ̃=de=dɑ̃=la=ma=sə 12
puʁnə=plys=vwaʁ=tε=myʁ=ta=ɡe=di=ɲə=dœ̃=film=ɡɔʁə 12
ʒə=fεʁmə=lε=ziø=ze=ʒə=mɑ̃=vɔ=ləɔʁ=də=la=nasə 12
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
27/05/2024 10:32Anya
Un texte fort,une plume parfois trempee dans le vitriol, mais cette ville aux contrastes sociaux si forts, cette construction tentaculaire entre ombre et lumière, on sent que vous l’aimez tant,un écrit bouleversant
27/05/2024 22:39David T...
Oui des passages très intenses, il y’a de la profondeur, du rythme et des plongées dans l’obscurité. Bravo, un vrai coup de cœur.
Slam Realité
Du 26/05/2024 18:06
L'écrit contient 477 mots qui sont répartis dans 8 strophes.