Poème:11 11 Plus
Le Poème
Israël.
Sur le plan sociétal, ensuite. Comment la génération des vingtenaires, en particulier, qui vient de passer deux ans en première ligne de la guerre d’anéantissement à Gaza, va-t-elle se construire ? Avec quelles valeurs ?
Le deuxième impensé est celui de l’armement individuel des Israéliens. Après le 7 octobre 2023, l’extrême droite, partie prenante de la coalition au pouvoir, a incité les citoyens juifs à s’armer. Le nombre de permis de port d’arme a doublé : 330 000 personnes possèdent désormais une arme sur cinq millions d’adultes juifs. En dehors de la bulle de Tel-Aviv, où ils restent rares, les fusils automatiques sont omniprésents, tout particulièrement en Cisjordanie occupée.
Djokovic.
L’ambiance, elle était également folle à Athènes. Voir Djokovic, l’homme aux 24 titres du Grand Chelem, déchirer son polo et hurler sa joie devant une foule chauffée à blanc après avoir remporté un ATP 250 pouvait cependant surprendre. Pour bien comprendre les raisons de cette explosion émotionnelle, il faut se rappeler que Novak Djokovic et sa famille ont quitté la Serbie pour s’établir en Grèce. Que sa famille, liée à l’organisation de l’Open de Belgrade s’en est retirée, que le tournoi a été supprimé du calendrier et remplacé par l’Open d’Athènes, organisé par… le frère de Djokovic.
Les raisons de cet exil, qui lui a valu dans son pays des titres de presse tels que « De héros à traître », s’expliquent par un net refroidissement de ses rapports avec le pouvoir politique en place. Jusqu’en 2023, lors de son accession au rang de légende du tennis, Djokovic était le symbole de la Serbie d’après-guerre, une sorte d’ambassadeur non officiel.
Belem. (549) P
Cop 30
La cité fondée en 1616, dont 60 % des habitants vivent dans des bidonvilles, accueille la COP30 dans une zone ultrasécurisée. Elle incarne les paradoxes du Brésil moderne, aux portes de la forêt tropicale.
La « Bethléem des tropiques » est depuis des siècles la porte d’entrée des Amazonies. Initialement appelée « Feliz Lusitania » (« Lusitanie heureuse ») , elle voit le jour en 1616, à la confluence des rivières Guama et Acara, fondée par des colons portugais déterminés à contrer les incursions britanniques, françaises et espagnoles dans la région de l’estuaire de l’Amazone. Les colons y érigent le fort de la Crèche, d’où naîtra, au rythme des marées, une cité de marchands et de missionnaires où se mêlent Européens, esclaves africains et indigènes.
Lille.
Sport de guerre
Les images des deux incidents ont circulé sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Dans une vidéo tournée après la défaite de Lille contre le club alsacien dimanche soir, on entend notamment un fan lillois traiter des supporteurs strasbourgeois de « sales bougnoules ». Côté Belgrade, où les Lillois ont également perdu leur match jeudi dernier, une photo montre un supporteur effectuant un salut de Kühnen, un signe à trois doigts d’origine serbe utilisés par des néo-nazis pour contourner l’interdiction du salut hitlérien.
Julia Simon.
Entraînement irréel
Exfiltrée du groupe France pendant un mois, Julia Simon va devoir se préparer dans son coin puisqu’il est bien précisé qu’elle ne peut pas participer « aux entraînements organisés par la FFS et l’IBU (Fédération internationale) ». Cependant, dans le cadre d’une suspension, comme cela peut être le cas pour du dopage, une sanction complémentaire est généralement ajoutée pour interdire à l’athlète tout accès à des infrastructures sportives.
Exfiltrée du groupe France pendant un mois, Julia Simon va devoir se préparer dans son coin puisqu’il est bien précisé qu’elle ne peut pas participer « aux entraînements organisés par la FFS et l’IBU (Fédération internationale) ». Cependant, dans le cadre d’une suspension, comme cela peut être le cas pour du dopage, une sanction complémentaire est généralement ajoutée pour interdire à l’athlète tout accès à des infrastructures sportives.
Dans le cas de Simon, cela n’a pas été précisé par la Fédération française, qui ne souhaite d’ailleurs pas commenter sa décision. « Je n’en ai aucune idée, nous a avoué son avocat quand on lui a demandé si sa cliente pourrait s’entraîner sur un site officiel de biathlon. Ce que je sais, c’est que Julia va rester en concertation avec ses entraîneurs (Cyril Burdet et Jean-Paul Giachino) et qu’ils vont organiser en commun un planning d’entraînement. »
Sur le plan sociétal, ensuite. Comment la génération des vingtenaires, en particulier, qui vient de passer deux ans en première ligne de la guerre d’anéantissement à Gaza, va-t-elle se construire ? Avec quelles valeurs ?
Le deuxième impensé est celui de l’armement individuel des Israéliens. Après le 7 octobre 2023, l’extrême droite, partie prenante de la coalition au pouvoir, a incité les citoyens juifs à s’armer. Le nombre de permis de port d’arme a doublé : 330 000 personnes possèdent désormais une arme sur cinq millions d’adultes juifs. En dehors de la bulle de Tel-Aviv, où ils restent rares, les fusils automatiques sont omniprésents, tout particulièrement en Cisjordanie occupée.
Djokovic.
L’ambiance, elle était également folle à Athènes. Voir Djokovic, l’homme aux 24 titres du Grand Chelem, déchirer son polo et hurler sa joie devant une foule chauffée à blanc après avoir remporté un ATP 250 pouvait cependant surprendre. Pour bien comprendre les raisons de cette explosion émotionnelle, il faut se rappeler que Novak Djokovic et sa famille ont quitté la Serbie pour s’établir en Grèce. Que sa famille, liée à l’organisation de l’Open de Belgrade s’en est retirée, que le tournoi a été supprimé du calendrier et remplacé par l’Open d’Athènes, organisé par… le frère de Djokovic.
Les raisons de cet exil, qui lui a valu dans son pays des titres de presse tels que « De héros à traître », s’expliquent par un net refroidissement de ses rapports avec le pouvoir politique en place. Jusqu’en 2023, lors de son accession au rang de légende du tennis, Djokovic était le symbole de la Serbie d’après-guerre, une sorte d’ambassadeur non officiel.
Belem. (549) P
Cop 30
La cité fondée en 1616, dont 60 % des habitants vivent dans des bidonvilles, accueille la COP30 dans une zone ultrasécurisée. Elle incarne les paradoxes du Brésil moderne, aux portes de la forêt tropicale.
La « Bethléem des tropiques » est depuis des siècles la porte d’entrée des Amazonies. Initialement appelée « Feliz Lusitania » (« Lusitanie heureuse ») , elle voit le jour en 1616, à la confluence des rivières Guama et Acara, fondée par des colons portugais déterminés à contrer les incursions britanniques, françaises et espagnoles dans la région de l’estuaire de l’Amazone. Les colons y érigent le fort de la Crèche, d’où naîtra, au rythme des marées, une cité de marchands et de missionnaires où se mêlent Européens, esclaves africains et indigènes.
Lille.
Sport de guerre
Les images des deux incidents ont circulé sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Dans une vidéo tournée après la défaite de Lille contre le club alsacien dimanche soir, on entend notamment un fan lillois traiter des supporteurs strasbourgeois de « sales bougnoules ». Côté Belgrade, où les Lillois ont également perdu leur match jeudi dernier, une photo montre un supporteur effectuant un salut de Kühnen, un signe à trois doigts d’origine serbe utilisés par des néo-nazis pour contourner l’interdiction du salut hitlérien.
Julia Simon.
Entraînement irréel
Exfiltrée du groupe France pendant un mois, Julia Simon va devoir se préparer dans son coin puisqu’il est bien précisé qu’elle ne peut pas participer « aux entraînements organisés par la FFS et l’IBU (Fédération internationale) ». Cependant, dans le cadre d’une suspension, comme cela peut être le cas pour du dopage, une sanction complémentaire est généralement ajoutée pour interdire à l’athlète tout accès à des infrastructures sportives.
Exfiltrée du groupe France pendant un mois, Julia Simon va devoir se préparer dans son coin puisqu’il est bien précisé qu’elle ne peut pas participer « aux entraînements organisés par la FFS et l’IBU (Fédération internationale) ». Cependant, dans le cadre d’une suspension, comme cela peut être le cas pour du dopage, une sanction complémentaire est généralement ajoutée pour interdire à l’athlète tout accès à des infrastructures sportives.
Dans le cas de Simon, cela n’a pas été précisé par la Fédération française, qui ne souhaite d’ailleurs pas commenter sa décision. « Je n’en ai aucune idée, nous a avoué son avocat quand on lui a demandé si sa cliente pourrait s’entraîner sur un site officiel de biathlon. Ce que je sais, c’est que Julia va rester en concertation avec ses entraîneurs (Cyril Burdet et Jean-Paul Giachino) et qu’ils vont organiser en commun un planning d’entraînement. »
Poète Svalbard
Svalbard a publié sur le site 4339 écrits. Svalbard est membre du site depuis l'année 2019.Lire le profil du poète SvalbardSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: 11 11 Plus
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dans=le=cas=de=si=mon=ce=la=na=pas=é=té=pré=ci=sé=par=la=fé=dé=ra=tion=fran=çaise=qui=ne=sou=haite=dailleurs=pas=commen=ter=sa=dé=ci=sion=je=nen=ai=au=cu=ne=i=dée=nous=a=a=voué=son=a=vo=cat=quand=on=lui=a=de=man=dé=si=sa=clien=te=pour=rait=sen=traî=ner=sur=un=si=teof=fi=ciel=de=biath=lon=ce=que=je=sais=cest=que=ju=lia=va=res=ter=en=con=cer=ta=tion=a=vec=ses=en=traî=neurs=cy=ril=bur=det=et=jean=paul=gia=chi=no=et=quils=vont=or=ga=ni=ser=en=com=mun=un=plan=ning=den=traî=ne=ment 125
Phonétique : 11 11 Plus
isʁaεl.syʁ lə plɑ̃ sɔsjetal, ɑ̃sɥitə. kɔmɑ̃ la ʒeneʁasjɔ̃ dε vɛ̃tənεʁə, ɑ̃ paʁtikylje, ki vjɛ̃ də pase døz- ɑ̃ ɑ̃ pʁəmjεʁə liɲə də la ɡeʁə daneɑ̃tisəmɑ̃ a ɡaza, va tεllə sə kɔ̃stʁɥiʁə ? avεk kεllə valœʁ ?
lə døzjεmə ɛ̃pɑ̃se ε səlɥi də laʁməmɑ̃ ɛ̃dividɥεl dεz- isʁaeljɛ̃. apʁε lə sεt ɔktɔbʁə dø milə vɛ̃t- tʁwa, lεkstʁεmə dʁwatə, paʁti pʁənɑ̃tə də la kɔalisjɔ̃ o puvwaʁ, a ɛ̃site lε sitwajɛ̃ ʒɥifz- a saʁme. lə nɔ̃bʁə də pεʁmi də pɔʁ daʁmə a duble : tʁwa sɑ̃ tʁɑ̃tə milə pεʁsɔnə pɔsεde dezɔʁmεz- ynə aʁmə syʁ sɛ̃k miljɔ̃ dadyltə ʒɥif. ɑ̃ dəɔʁ də la bylə də tεl aviv, u il ʁεste ʁaʁə, lε fyzilz- otɔmatik sɔ̃t- ɔmnipʁezɑ̃, tu paʁtikyljεʁəmɑ̃ ɑ̃ sizʒɔʁdani ɔkype.
dʒɔkɔvik.
lɑ̃bjɑ̃sə, εllə etε eɡaləmɑ̃ fɔlə a atεnə. vwaʁ dʒɔkɔvik, lɔmə o vɛ̃t- katʁə titʁə- dy ɡʁɑ̃ ʃəlεm, deʃiʁe sɔ̃ pɔlo e yʁle sa ʒwa dəvɑ̃ ynə fulə ʃofe a blɑ̃ apʁεz- avwaʁ ʁɑ̃pɔʁte œ̃n- atp dø sɑ̃ sɛ̃kɑ̃tə puvε səpɑ̃dɑ̃ syʁpʁɑ̃dʁə. puʁ bjɛ̃ kɔ̃pʁɑ̃dʁə lε ʁεzɔ̃ də sεtə εksplozjɔ̃ emɔsjɔnεllə, il fo sə ʁapəle kə nɔvak dʒɔkɔvik e sa famijə ɔ̃ kite la sεʁbi puʁ setabliʁ ɑ̃ ɡʁεsə. kə sa famijə, lje a lɔʁɡanizasjɔ̃ də lɔpɛ̃ də bεlɡʁadə sɑ̃n- ε ʁətiʁe, kə lə tuʁnwa a ete sypʁime dy kalɑ̃dʁje e ʁɑ̃plase paʁ lɔpɛ̃ datεnə, ɔʁɡanize paʁ… lə fʁεʁə də dʒɔkɔvik.
lε ʁεzɔ̃ də sεt εɡzil, ki lɥi a valy dɑ̃ sɔ̃ pεi dε titʁə- də pʁεsə tεl kə « də eʁoz- a tʁεtʁə », sεksplike paʁ œ̃ nεt ʁəfʁwadisəmɑ̃ də sε ʁapɔʁz- avεk lə puvwaʁ pɔlitikə ɑ̃ plasə. ʒyskɑ̃ dø milə vɛ̃t- tʁwa, lɔʁ də sɔ̃n- aksesjɔ̃ o ʁɑ̃ də leʒɑ̃də dy tεni, dʒɔkɔvik etε lə sɛ̃bɔlə də la sεʁbi dapʁε ɡeʁə, ynə sɔʁtə dɑ̃basadœʁ nɔ̃ ɔfisjεl.
bəlεm. (sɛ̃- sɑ̃ kaʁɑ̃tə nəf) p
kɔp tʁɑ̃tə
la site fɔ̃de ɑ̃ milə si- sɑ̃ sεzə, dɔ̃ swasɑ̃tə puʁ sɑ̃ dεz- abitɑ̃ vive dɑ̃ dε bidɔ̃vilə, akœjə la kɔp tʁɑ̃tə dɑ̃z- ynə zonə yltʁazekyʁize. εllə ɛ̃kaʁnə lε paʁadɔksə dy bʁezil mɔdεʁnə, o pɔʁtə- də la fɔʁε tʁɔpikalə.
la « bεtleεm dε tʁɔpikəs » εst dəpɥi dε sjεklə la pɔʁtə dɑ̃tʁe dεz- amazɔni. inisjaləmɑ̃ apəleə « fəliz lyzitanja » (« lyzitani œʁøzə ») , εllə vwa lə ʒuʁ ɑ̃ milə si- sɑ̃ sεzə, a la kɔ̃flɥɑ̃sə dε ʁivjεʁə ɡama e akaʁa, fɔ̃de paʁ dε kɔlɔ̃ pɔʁtyɡε detεʁminez- a kɔ̃tʁe lεz- ɛ̃kyʁsjɔ̃ bʁitanik, fʁɑ̃sεzəz- e εspaɲɔlə dɑ̃ la ʁeʒjɔ̃ də lεstɥεʁə də lamazonə. lε kɔlɔ̃z- i eʁiʒe lə fɔʁ də la kʁεʃə, du nεtʁa, o ʁitmə dε maʁe, ynə site də maʁʃɑ̃z- e də misjɔnεʁəz- u sə mεle əʁɔpeɛ̃, εsklavəz- afʁikɛ̃z- e ɛ̃diʒεnə.
lijə.
spɔʁ də ɡeʁə
lεz- imaʒə dε døz- ɛ̃sidɑ̃z- ɔ̃ siʁkyle syʁ lε ʁezo sɔsjo sε dεʁnje ʒuʁ. dɑ̃z- ynə video tuʁne apʁε la defεtə də lijə kɔ̃tʁə lə klyb alsasjɛ̃ dimɑ̃ʃə swaʁ, ɔ̃n- ɑ̃tɑ̃ nɔtamɑ̃ œ̃ fɑ̃ lijwa tʁεte dε sypɔʁtœʁ stʁazbuʁʒwa də « salə buɲuləs ». kote bεlɡʁadə, u lε lijwaz- ɔ̃ eɡaləmɑ̃ pεʁdy lœʁ matʃ ʒødi dεʁnje, ynə fɔto mɔ̃tʁə œ̃ sypɔʁtœʁ efεktɥɑ̃ œ̃ saly də kynɛ̃, œ̃ siɲə a tʁwa dwa dɔʁiʒinə sεʁbə ytilize paʁ dε neo nazi puʁ kɔ̃tuʁne lɛ̃tεʁdiksjɔ̃ dy saly itleʁjɛ̃.
ʒylja simɔ̃.
ɑ̃tʁεnəmɑ̃ iʁeεl
εksfiltʁe dy ɡʁupə fʁɑ̃sə pɑ̃dɑ̃ œ̃ mwa, ʒylja simɔ̃ va dəvwaʁ sə pʁepaʁe dɑ̃ sɔ̃ kwɛ̃ pɥiskil ε bjɛ̃ pʁesize kεllə nə pø pa paʁtisipəʁ « oz- ɑ̃tʁεnəmɑ̃z- ɔʁɡanize paʁ la εf εf εs e liby (fedeʁasjɔ̃ ɛ̃tεʁnasjɔnalə) ». səpɑ̃dɑ̃, dɑ̃ lə kadʁə dynə syspɑ̃sjɔ̃, kɔmə səla pø εtʁə lə ka puʁ dy dɔpaʒə, ynə sɑ̃ksjɔ̃ kɔ̃plemɑ̃tεʁə ε ʒeneʁaləmɑ̃ aʒute puʁ ɛ̃tεʁdiʁə a latlεtə tut- aksεz- a dεz- ɛ̃fʁastʁyktyʁə spɔʁtivə.
εksfiltʁe dy ɡʁupə fʁɑ̃sə pɑ̃dɑ̃ œ̃ mwa, ʒylja simɔ̃ va dəvwaʁ sə pʁepaʁe dɑ̃ sɔ̃ kwɛ̃ pɥiskil ε bjɛ̃ pʁesize kεllə nə pø pa paʁtisipəʁ « oz- ɑ̃tʁεnəmɑ̃z- ɔʁɡanize paʁ la εf εf εs e liby (fedeʁasjɔ̃ ɛ̃tεʁnasjɔnalə) ». səpɑ̃dɑ̃, dɑ̃ lə kadʁə dynə syspɑ̃sjɔ̃, kɔmə səla pø εtʁə lə ka puʁ dy dɔpaʒə, ynə sɑ̃ksjɔ̃ kɔ̃plemɑ̃tεʁə ε ʒeneʁaləmɑ̃ aʒute puʁ ɛ̃tεʁdiʁə a latlεtə tut- aksεz- a dεz- ɛ̃fʁastʁyktyʁə spɔʁtivə.
dɑ̃ lə ka də simɔ̃, səla na pa ete pʁesize paʁ la fedeʁasjɔ̃ fʁɑ̃sεzə, ki nə suεtə dajœʁ pa kɔmɑ̃te sa desizjɔ̃. « ʒə nɑ̃n- ε okynə ide, nuz- a avue sɔ̃n- avɔka kɑ̃t- ɔ̃ lɥi a dəmɑ̃de si sa kljɛ̃tə puʁʁε sɑ̃tʁεne syʁ œ̃ sitə ɔfisjεl də bjatlɔ̃. sə kə ʒə sε, sε kə ʒylja va ʁεste ɑ̃ kɔ̃sεʁtasjɔ̃ avεk sεz- ɑ̃tʁεnəʁs (siʁil byʁdε e ʒɑ̃ pɔl ʒjaʃinɔ) εt kil vɔ̃ ɔʁɡanize ɑ̃ kɔmœ̃ œ̃ planiŋ dɑ̃tʁεnəmɑ̃. »
Syllabes Phonétique : 11 11 Plus
i=sʁa=εl 3syʁ=lə=plɑ̃=sɔ=sje=tal=ɑ̃s=ɥitə=kɔ=mɑ̃=la=ʒe=ne=ʁa=sjɔ̃=dεvɛ̃tə=nε=ʁə=ɑ̃=paʁ=ti=ky=lje=ki=vjɛ̃=də=pa=se=dø=zɑ̃=ɑ̃=pʁə=mjε=ʁə=li=ɲə=də=la=ɡe=ʁə=da=ne=ɑ̃=ti=sə=mɑ̃=a=ɡa=za=va=tεllə=sə=kɔ̃s=tʁɥ=ʁə=a=vεk=kεllə=va=lœʁ 60
lə=dø=zjεməɛ̃=pɑ̃se=ε=səl=ɥidə=laʁ=mə=mɑ̃=ɛ̃=di=vid=ɥεl=dε=zi=sʁa=e=ljɛ̃=a=pʁε=lə=sεt=ɔk=tɔ=bʁə=dø=mi=lə=vɛ̃t=tʁw=lεk=stʁ=mə=dʁwa=tə=paʁ=ti=pʁə=nɑ̃=tə=də=la=kɔ=a=li=sjɔ̃=o=pu=vwaʁ=a=ɛ̃=si=te=lε=si=twa=jɛ̃=ʒɥif=za=saʁ=me=lə=nɔ̃=bʁə=də=pεʁ=mi=də=pɔʁ=daʁ=məa=du=ble=tʁwa=sɑ̃=tʁɑ̃=tə=mi=lə=pεʁ=sɔ=nə=pɔ=sε=de=de=zɔʁ=mε=zy=nəaʁ=mə=syʁ=sɛ̃k=mi=ljɔ̃=da=dyl=tə=ʒɥif=ɑ̃=də=ɔʁ=də=la=by=lə=də=tεl=a=viv=u=il=ʁεs=te=ʁa=ʁə=lε=fy=zil=zo=tɔ=ma=tik=sɔ̃=tɔm=ni=pʁe=zɑ̃=tu=paʁ=ti=ky=ljε=ʁə=mɑ̃=ɑ̃=siz=ʒɔʁ=da=ni=ɔ=ky=pe 144
dʒɔ=kɔ=vik 3
lɑ̃=bjɑ̃sə=εl=ləe=tε=e=ɡalə=mɑ̃=fɔ=ləa=a=tεnə=vwaʁ=dʒɔ=kɔ=vik=lɔ=məo=vɛ̃t=ka=tʁə=ti=tʁə=dy=ɡʁɑ̃=ʃə=lεm=de=ʃi=ʁe=sɔ̃=pɔ=lo=e=yʁ=le=sa=ʒwa=də=vɑ̃=y=nə=fu=lə=ʃo=fe=a=blɑ̃=a=pʁε=za=vwaʁ=ʁɑ̃=pɔʁ=te=œ̃=natp=dø=sɑ̃=sɛ̃=kɑ̃=tə=pu=vε=sə=pɑ̃=dɑ̃=syʁ=pʁɑ̃=dʁə=puʁ=bjɛ̃=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=lε=ʁε=zɔ̃=də=sε=tə=εk=spl=zjɔ̃=e=mɔ=sjɔ=nεllə=il=fo=sə=ʁa=pə=le=kə=nɔ=vak=dʒɔ=kɔ=vik=e=sa=fa=mi=jə=ɔ̃=ki=te=la=sεʁ=bi=puʁ=se=ta=bliʁ=ɑ̃=ɡʁε=sə=kə=sa=fa=mi=jə=lje=a=lɔʁ=ɡa=ni=za=sjɔ̃=də=lɔ=pɛ̃=də=bεl=ɡʁa=də=sɑ̃=nε=ʁə=ti=ʁe=kə=lə=tuʁ=nwa=a=e=te=sy=pʁi=me=dy=ka=lɑ̃=dʁje=e=ʁɑ̃=pla=se=paʁ=lɔ=pɛ̃=da=tε=nə=ɔʁ=ɡa=ni=ze=paʁ=lə=fʁε=ʁə=də=dʒɔ=kɔ=vik 178
lεʁεzɔ̃də=sεt=εɡ=zil=ki=lɥi=a=va=ly=dɑ̃=sɔ̃=pε=i=dε=ti=tʁə=də=pʁε=sə=tεl=kə=dəe=ʁo=za=tʁε=tʁə=sεk=spl=ke=paʁ=œ̃=nεt=ʁə=fʁwa=di=sə=mɑ̃=də=sε=ʁa=pɔʁ=za=vεk=lə=pu=vwaʁ=pɔ=li=ti=kəɑ̃=pla=sə=ʒys=kɑ̃=dø=mi=lə=vɛ̃t=tʁw=lɔʁ=də=sɔ̃=nak=se=sjɔ̃=o=ʁɑ̃=də=le=ʒɑ̃=də=dy=tε=ni=dʒɔ=kɔ=vik=e=tε=lə=sɛ̃=bɔ=lə=də=la=sεʁ=bi=da=pʁε=ɡe=ʁə=y=nə=sɔʁ=tə=dɑ̃=ba=sa=dœʁ=nɔ̃=ɔ=fi=sjεl 103
bə=lεm=sɛ̃=sɑ̃kaʁɑ̃tə=nəf=p 6
kɔp=tʁɑ̃=tə 3
la=si=te=fɔ̃=de=ɑ̃milə=si=sɑ̃=sεzə=dɔ̃=swa=sɑ̃=tə=puʁ=sɑ̃=dε=za=bi=tɑ̃=vi=ve=dɑ̃=dε=bi=dɔ̃=vi=lə=a=kœjə=la=kɔp=tʁɑ̃=tə=dɑ̃=zy=nə=zo=nəyl=tʁa=ze=ky=ʁi=ze=εl=ləɛ̃=kaʁ=nə=lε=pa=ʁa=dɔk=sə=dy=bʁe=zil=mɔ=dεʁ=nə=o=pɔʁ=tə=də=la=fɔ=ʁε=tʁɔpikalə 66
la=bε=tle=εm=dε=tʁɔ=pi=kəs=εst=dəp=ɥi=dε=sjεklə=lapɔʁtə=dɑ̃=tʁe=dε=za=ma=zɔ=ni=i=ni=sja=lə=mɑ̃=a=pə=le=ə=fə=liz=ly=zi=ta=nja=ly=zi=ta=ni=œ=ʁø=zə=εl=lə=vwa=lə=ʒuʁ=ɑ̃=mi=lə=si=sɑ̃=sε=zə=a=la=kɔ̃f=lɥɑ̃=sə=dε=ʁi=vjε=ʁə=ɡa=ma=e=a=ka=ʁa=fɔ̃=de=paʁ=dε=kɔ=lɔ̃=pɔʁ=ty=ɡε=de=tεʁ=mi=ne=za=kɔ̃=tʁe=lε=zɛ̃=kyʁ=sjɔ̃=bʁi=ta=nik=fʁɑ̃=sε=zə=ze=εs=pa=ɲɔ=lə=dɑ̃=la=ʁe=ʒjɔ̃=də=lεs=tɥε=ʁə=də=la=ma=zo=nə=lε=kɔ=lɔ̃=zi=e=ʁi=ʒe=lə=fɔʁ=də=la=kʁε=ʃə=du=nε=tʁa=o=ʁit=mə=dε=ma=ʁe=y=nə=si=te=də=maʁ=ʃɑ̃=ze=də=mi=sjɔ=nε=ʁə=zu=sə=mε=le=ə=ʁɔ=pe=ɛ̃=εs=kla=və=za=fʁi=kɛ̃=ze=ɛ̃diʒεnə 165
li=jə 2
spɔʁ=də=ɡe=ʁə 4
lεzimaʒə=dε=dø=zɛ̃=si=dɑ̃=zɔ̃=siʁ=ky=le=syʁ=lε=ʁe=zo=sɔ=sjo=sε=dεʁ=nje=ʒuʁ=dɑ̃=zy=nə=vi=de=o=tuʁ=ne=a=pʁε=la=de=fε=tə=də=li=jə=kɔ̃=tʁə=lə=klyb=al=sa=sjɛ̃=di=mɑ̃=ʃə=swaʁ=ɔ̃=nɑ̃=tɑ̃=nɔ=ta=mɑ̃=œ̃=fɑ̃=li=jwa=tʁε=te=dε=sy=pɔʁ=tœʁ=stʁaz=buʁ=ʒwa=də=sa=lə=bu=ɲu=ləs=ko=te=bεl=ɡʁa=də=u=lε=li=jwa=zɔ̃=e=ɡa=lə=mɑ̃=pεʁ=dy=lœʁ=matʃ=ʒø=di=dεʁ=nje=y=nə=fɔ=to=mɔ̃=tʁəœ̃=sy=pɔʁ=tœʁ=e=fεk=tɥɑ̃=œ̃=sa=ly=də=ky=nɛ̃=œ̃=si=ɲəa=tʁwa=dwa=dɔ=ʁi=ʒi=nə=sεʁ=bəy=ti=li=ze=paʁ=dε=ne=o=na=zi=puʁ=kɔ̃=tuʁ=ne=lɛ̃=tεʁ=dik=sjɔ̃=dy=sa=ly=i=tle=ʁjɛ̃ 147
ʒy=lja=si=mɔ̃ 4
ɑ̃=tʁεnə=mɑ̃=i=ʁe=εl 6
εk=sfil=tʁe=dyɡʁupə=fʁɑ̃sə=pɑ̃=dɑ̃=œ̃=mwa=ʒy=lja=si=mɔ̃=va=də=vwaʁ=sə=pʁe=pa=ʁe=dɑ̃=sɔ̃=kwɛ̃=pɥis=kil=ε=bjɛ̃=pʁe=si=ze=kεllə=nə=pø=pa=paʁ=ti=si=pəʁ=o=zɑ̃=tʁε=nə=mɑ̃=zɔʁ=ɡa=ni=ze=paʁ=la=εf=εf=ε=səe=li=by=fe=de=ʁa=sjɔ̃=ɛ̃=tεʁ=na=sjɔ=na=lə=sə=pɑ̃=dɑ̃=dɑ̃=lə=ka=dʁə=dy=nə=sys=pɑ̃=sjɔ̃=kɔ=mə=sə=la=pø=ε=tʁə=lə=ka=puʁ=dy=dɔ=pa=ʒə=y=nə=sɑ̃k=sjɔ̃=kɔ̃=ple=mɑ̃=tε=ʁəε=ʒe=ne=ʁa=lə=mɑ̃=a=ʒu=te=puʁ=ɛ̃=tεʁ=di=ʁəa=la=tlε=tə=tu=tak=sε=za=dε=zɛ̃=fʁas=tʁyk=ty=ʁə=spɔʁtivə 127
εk=sfil=tʁe=dyɡʁupə=fʁɑ̃sə=pɑ̃=dɑ̃=œ̃=mwa=ʒy=lja=si=mɔ̃=va=də=vwaʁ=sə=pʁe=pa=ʁe=dɑ̃=sɔ̃=kwɛ̃=pɥis=kil=ε=bjɛ̃=pʁe=si=ze=kεllə=nə=pø=pa=paʁ=ti=si=pəʁ=o=zɑ̃=tʁε=nə=mɑ̃=zɔʁ=ɡa=ni=ze=paʁ=la=εf=εf=ε=səe=li=by=fe=de=ʁa=sjɔ̃=ɛ̃=tεʁ=na=sjɔ=na=lə=sə=pɑ̃=dɑ̃=dɑ̃=lə=ka=dʁə=dy=nə=sys=pɑ̃=sjɔ̃=kɔ=mə=sə=la=pø=ε=tʁə=lə=ka=puʁ=dy=dɔ=pa=ʒə=y=nə=sɑ̃k=sjɔ̃=kɔ̃=ple=mɑ̃=tε=ʁəε=ʒe=ne=ʁa=lə=mɑ̃=a=ʒu=te=puʁ=ɛ̃=tεʁ=di=ʁəa=la=tlε=tə=tu=tak=sε=za=dε=zɛ̃=fʁas=tʁyk=ty=ʁə=spɔʁtivə 127
dɑ̃lə=kadə=si=mɔ̃=sə=la=na=pa=e=te=pʁe=si=ze=paʁ=la=fe=de=ʁa=sjɔ̃=fʁɑ̃=sεzə=ki=nə=su=ε=tə=da=jœʁ=pa=kɔ=mɑ̃=te=sa=de=si=zjɔ̃=ʒə=nɑ̃=nε=o=ky=nə=i=de=nu=za=a=vu=e=sɔ̃=na=vɔ=ka=kɑ̃=tɔ̃=lɥi=a=də=mɑ̃=de=si=sa=kljɛ̃=tə=puʁ=ʁε=sɑ̃=tʁε=ne=syʁ=œ̃=si=təɔ=fi=sjεl=də=bja=tlɔ̃=sə=kə=ʒə=sε=sε=kə=ʒy=lja=va=ʁεs=te=ɑ̃=kɔ̃=sεʁ=ta=sjɔ̃=a=vεk=sε=zɑ̃=tʁε=nəʁs=si=ʁil=byʁ=dε=e=ʒɑ̃=pɔl=ʒja=ʃi=nɔ=εt=kil=vɔ̃=ɔʁ=ɡa=ni=ze=ɑ̃=kɔ=mœ̃=œ̃=pla=niŋ=dɑ̃=tʁε=nə=mɑ̃ 127
Historique des Modifications
11/11/2025 11:38
11/11/2025 11:25
11/11/2025 07:31
11/11/2025 06:56
Récompense
Poesie sans commentaire
11/11/2025Poeme-France
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Poème Art
Du 11/11/2025 06:50
L'écrit contient 732 mots qui sont répartis dans 5 strophes.